Segrois est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (56 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (56 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
forêts (44 %), terres arables (40 %), zones agricoles hétérogènes (16 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
La présence d'une agglomération remonte au monde gallo-romain, comme l'atteste la présence de nombreuses fondations et de tuiles aisément identifiables retrouvées çà et là dans le sous-sol et à proximité de murs enterrés et identifiés. Les Romains y avaient entretenu des vignes et créé des clos, tel que celui « de la fontaine aux chevaux » dont une résurgence de la source existe toujours, au sommet de la rue des Modeux, après avoir subi un glissement de terrain au cours du Moyen Âge. Le lien avec l'abbaye de Saint-Vivant est évident car les plus vieilles maisons comportent dans leur cave un terminal des souterrains menant à Vergy.