Villars-Fontaine
Modèle:Infobox Commune de France
Villars-Fontaine est une commune française située dans le département de la Côte-d'Or en région Bourgogne-Franche-Comté.
Géographie
Situation
Villars-Fontaine est dans la moitié sud de la Côte-d'Or. Sa préfecture Dijon est à 32 km au nord-est, sa sous-préfecture Beaune à 18 km au sud, son chef-lieu de canton Nuits-Saint-Georges à 5 km à l'est<ref name="googlemapsVillarsFont">Modèle:Lien web.
- Les distances par route entre deux points donnés sont calculées dans le panneau latéral (voir l'onglet en haut à gauche de l'écran - cliquer sur "itinéraires").</ref>.
Le parc naturel régional du Morvan est à 55 km à l'ouest<ref name="googlemapsVillarsFont"/> (42 km à vol d'oiseau<ref name="geoportlVillarsFont">Modèle:Géoportail Couches « Cartes IGN classiques », « Limites administratives » et « Hydrographie » activées. Vous pouvez bouger la carte (cliquer gauche et maintenir enfoncé, bouger la souris), zoomer (molette de souris ou échelle de l'écran), moduler la transparence, désactiver ou supprimer les couches (= cartes) avec leurs échelles d'intensité dans l'onglet de "sélection de couches" en haut à droite, et en ajouter depuis l'onglet "Cartes" en haut à gauche. Les distances et surfaces se mesurent avec les outils dans l'onglet "Accéder aux outils cartographiques" (petite clé à molette) sous l'onglet "sélection de couches".</ref>).
Description
La commune de Villars-Fontaine tourne autour de la montagne de Villars, butte de calcaire au nord-est du bourg, culminant à 491 m sur la commune de Segrois et prolongée au nord par un petit massif d'environ 4,5 km de long (jusqu'à Curley) ; l'étranglement entre les deux monts, se trouve entre Segrois et Concœur<ref name="geoportlVillarsFont"/>. Seule la moitié sud de la montagne de Villars est sur Villars.
Hydrographie
Le Meuzin, qui coule du nord au sud puis d'ouest vers l'est, marque la limite de commune à l'ouest (avec Meuilley) et au sud (avec Meuilley et Chaux), sur un peu plus de 4 km de long sans interruption<ref name="geoportlVillarsFont"/>. C'est un affluent de la Dheune elle-même affluent de la Saône ; il participe donc au bassin du Rhône, côté Méditerranéen du territoire national. noter que la ligne de séparation des eaux avec les bassins de l'Atlantique et de la Manche n'est qu'à une vingtaine de km à l'ouest, vers Maconge.
Il n'y a pas d'étang sur la commune. L'étang « de Reignier, sous les sources de Reignier, au bord du Meuzin », est appelé étang de Gratte-Dos sur la carte IGN et se trouve à quelque 30 m de la limite de commune mais côté Meuilley<ref name="geoportlVillarsFont"/>.
Par contre s'y trouvent un certain nombre de sources, dont seulement trois sont indiquées sur la carte IGN<ref name="geoportlVillarsFont"/> mais d'autres plus petites peuvent également être présentes. Que ce soit par leur nombre ou par l'importance de leur débit, toujours est-il que Modèle:Référence souhaitée
Modèle:Référence souhaitée, qui bénéficie ainsi de plusieurs sources ; ce qui a amené le nom de Villars-Fontaine. .
Occupation du sol
Le long du Meuzin à 270 m d'altitude on trouve les prairies et les cultures de céréales et oléagineux sur les terres meubles argilo-calcaires les moins pentues. Le village est à mi-pente au milieu des vignes à 325 m d'altitude. Au dessus des vignes il y a les friches, hier friches à moutons, aujourd'hui reboisées artificiellement de pins ou naturellement de pins disséminés, de chênes, de houx, d'autres feuillus. Un seul bois ancien : le bois de Vaugloux sur Concœur. Le plateau du sommet de la montagne de Villars est occupé par la forêt de Mantuan.
L'activité principale de Villars est viti-vinicole. Les 290 ha de la commune comprennent entre 60 et 95 ha de vignoble dont la majeure partie est exploitée par cinq viticulteurs de la commune<ref>Villars-Fontaine sur la carte de google.fr/maps, vue rapprochée montrant l'implantation de cinq viticulteurs dans le village ou aux abords.</ref>. Aujourd'hui les meilleurs cépages sont le pinot noir vers le clos au Duc et les Gruenchats, et le pinot chardonnay blanc sur les argiles blanches de la Jiromé<ref name="garcia">Modèle:Article.</ref>,<ref name="grivot">Modèle:Article.</ref>.
Communes limitrophes
LA commune de Villars-Fontaine est limitrophe de quatre autres communes<ref name="geoportlVillarsFontCommunes">Modèle:Géoportail.</ref>.
Rose des vents | Messanges | Segrois | Rose des vents | |
Modèle:Abréviation discrète | Nuits-Saint-Georges | |||
Modèle:Abréviation discrète Villars-Fontaine Modèle:Abréviation discrète | ||||
Modèle:Abréviation discrète | ||||
Meuilley | Chaux | {{#if:| | ||
Enclave : }} |
Hameaux et lieux-dits
Il n'y a pas de hameaux sur Villars-Fontaine. La Rochotte, autrefois moulin et ferme au pont du Meuzin à l'ouest sur la route de Villars-Fontaine à Meuilley, est essentiellement sur Meuilley - la seule maison du hameau qui se trouve en rive gauche du Meuzin (donc sur Villars) est au lieu-dit « en Regney »<ref name="geoportlVillarsFont"/>.
Vers Nuits-Saint-Georges, côté nord de la D35, se trouvent les carrières (calcaire de Comblanchien) développées à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. S'y trouve aussi la gare, vestige du tramway départemental du second quart du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, à l'entrée de la combe de la Serrée auprès de deux moulins situés sur la commune de Chaux, sur la rive opposée du Meuzin<ref name="geoportlCarrieres">Modèle:Géoportail.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref>.
Urbanisme
Typologie
Villars-Fontaine est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Dijon, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (51,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (51,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (45,2 %), cultures permanentes (16,5 %), terres arables (15,4 %), zones agricoles hétérogènes (11,9 %), prairies (7,9 %), mines, décharges et chantiers (3,2 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Toponymie
Noms successifs : Modèle:Refnec ; Villars-Fontaines<ref name="geoportlVillarsCass">Modèle:Géoportail.</ref> (au pluriel - carte de Cassini, vers 1750) ; Modèle:Refnec
Histoire
Il ne semble pas y avoir eu d'établissements préhistoriques sur la commune.
Époque gallo-romaine
Le nom de Villars vient vraisemblablement du gallo-romain « villaris » qui s'appliquait à une dépendance d'exploitation agricole. Ce qui signifie qu'à l'époque gallo-romaine, Villars était un écart de la villa de Meuilley, où une occupation gallo-romaine certaine a pu susciter le développement d'écarts vers Villars.
Moyen Âge
Villars a été ensuite dépendant de la seigneurie de Vergy.
Vergy et les villages à proximité sont d'origine médiévale, créés directement ou indirectement par les seigneurs de Vergy, puis les ducs de Bourgogne et les établissements ecclésiastiques (abbaye de Saint-Vivant, Chapitre de Saint-Denis de Vergy, abbaye du Lieu-Dieu). Le finage de Villars fut donné en partie au Chapitre de Saint-Denis par les sires de Vergy et, par des échanges, le chapitre acquit la totalité du finage.
Il y a vers Segrois une très belle cabotte sous murger qui est difficilement datable. Les vestiges les plus anciens semblent être les caves du château du {{#switch: ou
| e | er | = Modèle:S mini-{{#ifeq: XIV|-| – | XIV }}Modèle:S mini- siècle
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}}. Des restes médiévaux sont visibles dans des maisons à la Moingine et à l'Issard.
Temps modernes
Avant la Révolution
Dès le milieu du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Antoine de la Tour, avocat et maire de Beaune à trois reprises, s'intéresse au pays de Vergy. Il acquiert à Villars le clos au Duc en 1558, la seigneurie de Meuilley en 1563, et semble résider dans la maison seigneuriale de Villars. En 1610, Henri IV fait démanteler la forteresse de Vergy et de ce fait détruit la collégiale Saint-Denis. Le chapitre s'installe à Nuits-Saint-Georges avec les reliques de saint Denis. Le petit-fils d'Antoine de la Tour acquiert en 1617 la seigneurie de Villars du chapitre de Saint-Denis. Allié avec l'ancienne famille de Saumaise-Chazan (capitaine de Vergy un siècle plus tôt) par sa sœur, ces derniers héritent par les De la Tour de la seigneurie de Villars.
La demeure que l'on appelle « le Château » date de la fin du Modèle:S mini, vraisemblablement construite par la dame de Villars, Charlotte Regnault de Saint-Quentin, entre 1690 et 1700 ; le nombre de feux passe alors de 17 à 34, attirant artisans, fermiers et domestiques pour sa construction et son installation. Auparavant, il existait une maison seigneuriale mentionnée tout au long du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. Des vestiges de stucs Renaissance dits du « château de Villars-Fontaine » sont au musée de Beaune mais leur origine ne peut être prouvée<ref>Modèle:Article.</ref>.
En 1719, la seigneurie est achetée par Jean-Baptiste Gagne, puis par Hubert Joseph Pasquier en 1758. Celui-ci développe surtout les jardins, dans la ligne des physiocrates : à partir de 1750 des jardiniers viennent travailler à Villars<ref name="sadosky"/>.
Le patron de la cure de Villars-Fontaine est la collégiale de Nuits<ref name="131Courtepee1778vol3">Modèle:Ouvrage.</ref>. La paroisse est celle de Meuilley, qui fait partie du diocèse d'Autun jusqu'en 1790 puis du diocèse de Dijon. Les actes des assemblées de 1635<ref>Prêt de Modèle:Précision nécessaire.</ref>, 1645, 1646 et 1666 (enquête de l'intendant Bouchu) nous laissent entrevoir la vie communautaire. En 1621, le seigneur de Villars achète Messanges, à l'époque une annexe de Collange et dont dépend le fourneau de Pellerey<ref name="183Courtepee1778vol3">Modèle:Harvsp.</ref>. Pellerey, de nos jours un hameau sur Curtil-Vergy sur le Meuzin, en bordure de la commune de Messanges, est relié à Curtil-Vergy par une voie qui s'appelle encore la « rue des forges de Pellerey » ; et côté sud de Pellerey se trouve le « clos des Tuileries ». De plus, le Meuzin porte le moulin de Pellerey à 450 m en amont (au nord) et le moulin de Chevalier à 350 m en aval (au sud)<ref name="geoportlPellerey5">Modèle:Géoportail.</ref>. Ces éléments indiquent un lieu certainement très actif autrefois, et aux activités diverses.
Après la Révolution
Après des hésitations au cours du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, le nom de Villars-Fontaine s'impose et la commune de Villars-Fontaine naît en 1789. L'ajout de « Fontaine » reflète l'abondance des sources à Villars (voir la section "Hydrographie" ci-dessus).
Entre 1789 et 1815, un long procès oppose le seigneur Pasquier et la commune pour la possession de l'étang Reignier. Celui-ci revient à la commune par un jugement du Conseil d'état ; ce qui permet, grâce à la plantation de peupliers, de financer la maison commune en 1865 (architecte Caillot à Dijon)<ref name="verdet">Modèle:Article.</ref>.
Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, les Mollerat de Pellerey achètent le château et transportent la grille de Saint-Vivant, dont ils avaient acheté les bâtiments comme bien national, à l'entrée du château de Villars<ref name="sadosky">Modèle:Article.</ref>.
Époque contemporaine
Il y a peu de communaux à Villars : les friches de la montagne, le bois de Vaugloux, l'étang Reignier. La commune possède quelques vignes et une carrière qui est aujourd'hui en cours d'aménagement<ref name="verdet"/>.
Cette construction, qui abrite l'école et l'instituteur de 1881 à 1970, fait partie de la vague de grands travaux du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle avec la déviation de la départementale en 1860 et le réseau de fontaines publiques en 1871. Viennent ensuite le téléphone en 1900, l'électricité en 1925, la télévision vers 1958, le revêtement des chemins autour de 1960. Le réseau d'eau est amélioré en 1963 avec l'arrivée de l'eau sur l'évier. Le tramway de l'arrière-Côte dessert Villars, sa halte et la gare des carrières de 1922 à 1934<ref name="verdet"/>.
Aux Modèle:S mini-, {{#switch: XIX
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}} les habitants étaient principalement vignerons (propriétaires ou ouvriers), puis laboureurs ou artisans. Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle les vins de Villars sont peu prisés, un phénomène qui semble s'améliorer au cours des {{#switch: XIX
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}}. Puis arrive la terrible crise du vignoble français dans la seconde moitié du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, qui commence avec l'oïdium (à partir de ~1850), suivi du phylloxéra (à partir des années 1860), du mildiou (arrivé vers 1880) et du black rot (vers 1885). En une génération humaine, la viticulture est ruinée. Après replantation, le pays reste figé jusqu'au renouveau des Hautes côtes de Nuits à partir de 1961 et le travail sur la qualité qui y est associé. Aujourd'hui le meilleur est le pinot noir vers le clos au Duc et les Gruenchats, et le pinot chardonnay blanc sur les argiles blanches de la Jiromé<ref name="garcia"/>,<ref name="grivot"/>.
Le monument commémoratif de la bataille du Modèle:Date- est édifié par le Souvenir français en 1896. Il est l’œuvre du sculpteur Aristide Onésyme Croisy et du fondeur Antoine Durenne de Sommevoire. Il commémore le repli vers Pont-de-Pany des forces allemandes devant les forces françaises dans Villars et le canon sur la montagne de Chaux.
Politique et administration
Les maires de Villars
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluFin
Les instituteurs de Villars
École fermée en 1970.
Démographie
Villars est une modeste commune de 290 hectares, sa population actuelle est de 120 habitants. Importante au milieu du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle (35 feux en 1377 soit environ 160 habitants), la population s'écroule pendant la guerre de Cent ans (14 feux en 1431), puis varie lentement ou brutalement au gré des épidémies, des crises alimentaires, des crises agricoles ou d'événements comme la construction du château. Le maximum est atteint au début du Modèle:S mini s. avec 198 habitants, le minimum à 92 entre 1936 et 1975.
Modèle:Population de France/section
Économie
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Le cœur du village est assez homogène, datant des Modèle:S mini, Modèle:S mini et Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècles. La partie moderne, datant du dernier quart du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, est bien caractéristique du mitage périurbain contemporain<ref name="verdet"/>.
- Mairie-lavoir de 1866, avec le lavoir au niveau de la rue et le bâtiment de mairie au premier étage. Le lavoir est clos sur trois côtés et fermé en façade par une grille avec portillon<ref>Le lavoir de la mairie, photo sur culture.gouv.fr.</ref>. Modèle:Inscrit MH<ref name="MrmeeMairieLavoir">Modèle:Base Mérimée.</ref>,<ref name="MrmeeeLavoir">Modèle:Base Mérimée.</ref>,<ref>La mairie lavoir, photo sur culture.gouv.fr. Ce site inclut plusieurs photos de deux lavoirs et d'autres bâtiments de la commune.</ref>.
- Château de Villars-Fontaine<ref name="MrmeeChateau">Modèle:Base Mérimée.</ref>
- Monument commémoratif de la bataille du Modèle:Date
- Cabotte en murger
- Croix de dévotion (2)
- Croix du village
- Maisons du {{#switch: au
| e | er | = Modèle:S mini-{{#ifeq: XIX|-| – | XIX }}Modèle:S mini- siècle
| Modèle:S mini-{{#ifeq: au|-| – | au }}Modèle:S mini- siècle
}}
- Maison seigneuriale de la fin du Modèle:S mini, son parc, le portail de Saint-Vivant
- Pont du Meuzin vers Meuilley : pont mixte où passait le tramway et les bords du Meuzin
- Carrières : des Toppes, du Saut de la Pucelle, de la combe Jacotte
- La montagne karstique parcourue par les sentiers de randonnées
- La combe de la Serrée
- Nombreuses fontaines
- Salle des fêtes pouvant accueillir les nombreux banquets bourguignons et autres réjouissances liées aux saisons viticoles
Personnalités liées à la commune
- Bernard Hudelot (1942-2019), viticulteur et œnologue reconnu et atypique, y est né. Il achète le château en 2000 qui unifie le domaine viticole de Modèle:Unité qu'il a créé progressivement depuis 1971.
Notes et références
Notes
Cartes
Références
Voir aussi
Articles connexes
Bibliographie
- V.Sabbagh, Saint-Denis de Vergy, La Quintefeuille"", n°5
- G.Verdet, Villars-Fontaine sous le second Empire, La Quintefeuille"", n°9
- C.Sadosky, Le rôle de la collégiale Saint-Denis dans l'économie des Hautes Côtes de Nuits, La Quintefeuille"", n°10
- G.Verdet, La communauté villageoise de Villars-Fontaine sous Louis XIV, La Quintefeuille"", n°11
- G.Verdet, Villars-Fontaine et la tramway de l'arrière côte, La Quintefeuille"", n° 11
- J.P. Garcia, Vigne et vin de Villars-Fontaine, La Quintefeuille, n°12