Maconge
Modèle:Infobox Commune de France
Maconge est une commune française située dans le canton d'Arnay-le-Duc, département de la Côte-d'Or, en région Bourgogne-Franche-Comté.
Géographie
Situation
Maconge est dans la partie sud-ouest de la Côte-d'Or. Le parc naturel régional du Morvan est à Modèle:Unité à l'ouest à vol d'oiseau<ref name="geoportlMaconge">Modèle:Géoportail La couche « Hydrologie » est activée. Vous pouvez bouger la carte, zoomer (molette de souris ou échelle de l'écran), moduler la transparence, désactiver ou supprimer les couches (= cartes) avec leurs échelles d'intensité dans l'onglet de "sélection de couches" en haut à droite, et en ajouter depuis l'onglet "Cartes" en haut à gauche.</ref> (Modèle:Unité par la route)<ref name="googlemapsDstnceMaconge">Modèle:Lien web. Les distances par route entre deux points donnés sont calculées via l'onglet en haut à gauche de la carte ; dans le cadre à gauche de l'écran, indiquer sur la ligne du haut la ville pour laquelle vous voulez connaître la distance depuis Maconge.</ref>.
Paris est à Modèle:Unité au nord-est, la préfecture Dijon à Modèle:Unité à l'est par la A38 (gratuite), son chef-lieu de canton Arnay-le-Duc à Modèle:Unité au sud-ouest. Les autres grandes villes les plus proches sont Beaune à Modèle:Unité au sud-est, Autun (Saône-et-Loire) à Modèle:Unité au sud-ouest, Saulieu à Modèle:Unité à l'ouest et Avallon (Yonne) à Modèle:Unité au nord-ouest. Plus localement, Pouilly-en-Auxois est à Modèle:Unité au nord-ouest et Châteauneuf à Modèle:Unité à l'ouest<ref name="googlemapsDstnceMaconge"/>.
Maconge fait partie de la communauté de communes de Pouilly-en-Auxois et Bligny-sur-Ouche.
Routes et transports
L'autoroute A6 traverse la partie Est de la commune. L'accès le plus proche est l'échangeur n° 24 de Pouilly-en-Auxois à Modèle:Unité au nord<ref name="googlemapsDstnceMaconge"/> ; c'est également un accès à l'autoroute A38, qui débute là et mène à Dijon. Les aires de repos de Chaignot (sens Paris-Lyon) et de la Répotte (sens Lyon-Paris) de la A6 sont sur le territoire de la commune<ref name="geoportlMaconge"/>.
La D977bis longe l'autoroute A6.
La D981 traverse dans le sens nord-sud la partie ouest de la commune, reliant Pouilly-en-Auxois au nord avec Arnay-le-Duc, Autun (la D981 devient la D681 en Saône-et-Loire) et Luzy dans le sud-est de la Nièvre.
Le bourg est traversé par la D14 reliant la D977bis au nord avec Cussy-le-Châtel, Foissy et au-delà au sud<ref name="googlemapsDstnceMaconge"/>.
L'aérodrome de Pouilly - Maconge occupe le coin sud-ouest de la commune et une partie du territoire de Meilly-sur-Rouvres<ref name="geoportlMaconge"/>.
Communes limitrophes
Villages, hameaux, lieux-dits, écarts
La commune comprend seulement deux hameaux : les Perrins en sortie de bourg au sud, et Escommes<ref name="geoportlMaconge"/>.
Les lieux-dits sont nettement plus nombreux. Dans la liste, les noms des lieux-dits sont en italiques, ceux des hameaux en lettres droites.
Escommes, petit hameau d'environ 20 habitants riverain à la Vandenesse, est le seul hameau de la commune indiqué sur la carte de Cassini (Ecome)<ref name="geoportlMacongeCassini">Modèle:Géoportail.</ref> et sur la carte d'Etat-major du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref name="geoportlMacongeEMrapproché">Modèle:Géoportail.</ref>. Face à son port de plaisance sur le canal se trouve une imposante maison, héritière de l'activité commerciale du canal de Bourgogne : c'est une ancienne cimenterie construite vers 1830.
Hydrographie
et l'ancienne cimenterie
La commune est bordée à l'est par la Vandenesse et le canal de Bourgogne qui emprunte la vallée de la Vandenesse sur environ Modèle:Unité de Pont-d'Ouche au tunnel de point de partage des eaux du canal à Créancey. Un port de plaisance ("halte fluviale") est aménagé à Escommes<ref name="geoportlMaconge"/>, où accostent des péniches touristiques et la navette touristique "la Billebaude". L'écluse n° 1 d'Escommes est aussi sur la commune, première écluse vers le sud en sortant du port d'Escommes ; l'écluse n° 2 de Sermaize frôle la commune mais se trouve sur Créancey. À Modèle:Unité au nord du port d'Escommes, le canal emprunte un tunnel long de 3333 m. Ce tunnel est situé sur la ligne de partage des eaux entre l'Atlantique et la Méditerranée<ref name="geoportlMaconge"/>.
La commune est également traversée du sud au nord par la rigole d'alimentation du canal provenant du réservoir de Chazilly à Modèle:Unité au sud<ref name="geoportlMaconge"/> ; à son passage au village elle y alimente un lavoir au bout de l'impasse de l'Église ouvrant sur la place Étienne Dureux. Ce lavoir est couvert de tuiles rondes rares en Bourgogne<ref name="geoportlMaconge"/>,<ref name="PtPatrmnlavoir">Modèle:Lien web. 14 photos du lavoir.</ref>.
Occupation des terres, géologie
Dans le nord de la commune, le bois Revel couvre environ Modèle:Unité. De petites pièces de bois sont répandues un peu partout, en particulier le long des cours d'eau et dans les replis de terrain.
Urbanisme
Typologie
Maconge est une commune rurale<ref group=Note>Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Dijon, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (88,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (46,2 %), terres arables (42,3 %), forêts (7,6 %), zones urbanisées (3,9 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Toponymie
Selon Muret le nom viendrait de Macco ou Marco plutôt que du nom germanique Macco, bien que Grégoire de Tours en fournisse un exemple<ref>Modèle:Article.</ref>.
Noms connus : Maconges (1199) ; Macongex (1249) ; Maconge (1461) ; Massinge (1574) ; Masconge (1625) ; Masconges (1657) ; Mattonge (1661) ; Macconge (1733)<ref name="Roserot221">Modèle:Ouvrage.</ref>
Histoire
Préhistoire
Des silex taillés du type Levallois ont été retrouvés à l'est de Maconge<ref>Modèle:Article.</ref>.
Antiquité
Maconge jouxtait l'ancienne route d'Arnay-le-Duc à Dijon<ref name="geoportlMacongeCassini"/>.
Moyen-Âge
Du point de vue ecclésiastique, Maconge est d'abord une succursale de Rouvres-sous-Meilly, puis une annexe de Meilly qui est substitué à Rouvres<ref name="Roserot221"/>. La carte de Cassini l'indique d'ailleurs comme telle avec l'abréviation "succ.(ursale)"<ref name="geoportlMacongeCassini"/>.
Maconge et Meilly sont de l'ancien domaine des ducs de Bourgogne. Hugues IV les vend en 1340 à Guillaume Gallois de la Baume. Les deux villages échoient ensuite à Renaud de Gillans, puis à J. le Hardi de la Trousse, ensuite aux comtes de Bouligneux et au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle au président de Champeron<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
1248 : Guillaume seigneur de Maconge est enterré à l'abbaye de la Bussière<ref name="courtepee160">Modèle:Ouvrage.</ref>.
Temps modernes
En 1589, amodiation de Maconge, Rouvres et Meilly par Antoinette Triboulet, veuve de Jean Masson bourgeois de Beaune<ref name="ArchDepInventaire">Modèle:Ouvrage.</ref>.
En 1724, le seigneur de Maconge est Jean-Charles Coste de Champéron, président du parlement de Paris<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
Vers 1730, le domaine de Maconge, Rouvres et Meilly est acquis par Jean Pâris de Monmartel<ref name="ArchDepInventaire"/>, conseiller d'État, qui paye Modèle:Unité pour Thoisy-le-Désert, Châteauneuf et les trois quarts de Vandenesse en plus des trois lieux précités<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Deux foires sont établies en 1587 et un marché le mardi<ref name="courtepee160"/>.
En 1789, Maconge dépend de la province de Bourgogne, bailliage d'Arnay-le-Duc<ref name="Roserot221"/>. Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, la commune fait partie du canton de Pouilly, comme l'indique la carte d'état-major de l'époque<ref name="geoportlMacongeEM">Modèle:Géoportail Maconge est en bas à droite, "Con de Pouilly" inscrit en haut à gauche.</ref>.
Politique et administration
Civile sous l'Ancien régime
- 1790 : Jean Vivant Micault de Corbeton (Modèle:Date- - Modèle:Date-), président au Parlement de Bourgogne, seigneur de Meilly-sur-Rouvres, Rouvres-sous-Meilly, Saligny, Liernolles, Maconge, Barbirey-sur-Ouche, Santenay, Pommard et autres lieux, dernier marquis de Joncy, époux de Marie Françoise Trudaine. Mort décapité.
Civile depuis La Révolution
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin
Démographie
Modèle:Population de France/section
Environnement
En raison de ses efforts pour la qualité de son environnement nocturne, la commune a été labellisée « Village 2 étoiles » en 2013<ref>Modèle:Article.</ref>. Le label est décerné par l'Association nationale pour la protection du ciel et de l'environnement nocturnes (ANPCEN) et compte 5 échelons. Des panneaux aux entrées du village, indiquent cette distinction.
Économie
Lieux et monuments
(anc. Saint-Gengoux)
- Dans le village
L'église paroissiale Sainte-Anne, anciennement Saint-Gengoux, date de la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle ou du début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Elle est inscrite MH depuis 2004<ref name="mrmeeEglise" group="MH">Modèle:Base Mérimée.</ref>. Sa clôture de sanctuaire à deux battants en fer forgé et étampé porte un décor en fonte de fer ; elle date de la fin Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle ou début Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et est inscrite MH depuis 2005<ref name="mrmeeClotureSnctr" group="MH">Modèle:Base Palissy.</ref>. Elle inclut, inscrits MH depuis 2005 :
- un autel-tombeau datant de 1859 par Étienne Bourgeois, sculpteur et tailleur de pierre dijonnais, a réalisé la même année un autel identique pour une chapelle de l'église de Créancey<ref group="MH" name="mrmeeAutelTabStat">Modèle:Base Palissy.</ref> ;
- l'ancien maître-autel-tombeau en bois et son tabernacle datent du milieu du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et sont inscrits <ref group="MH" name="mrmeeAutelTab">Modèle:Base Palissy.</ref> ;
- un autel de la Modèle:2e moitié du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle par le sculpteur dijonnais Jules Schanosky, frère de Xavier Schanosky qui a travaillé à l'abbaye de la Bussière. Il a orné la façade de l'autel avec une copie en demi-relief de la Cène de Léonard de Vinci<ref group="MH" name="mrmeeAutelTabDais">Modèle:Base Palissy. Une photo de cet autel est visible sur la page de l'église Ste Anne du site Petit Patrimoine.</ref>. L'église contient 25 autres pièces de mobilier inscrites MH - voir le menu déroulant dans Abbaye de la Bussière#Mobilier classé MH.
Une croix du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle se trouve sur la place de l'église, inscrite MH depuis 1925<ref name="mrmeeCroixEglise" group="MH">Modèle:Base Mérimée.</ref>. Une demande de subvention pour travaux de restauration a été déposée pour elle en 1934<ref group="MH">Modèle:Lien web.</ref>. Cette croix reposoir montre une inhabituelle association de pierre (socle, croix) et de bronze (image du Christ crucifié, Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle) : mais sa plus grande originalité est sous la figure crucifiée, deux bras sortant de chaque côté du fût de la croix et portant chacun un personnage debout tourné vers le devant de la croix : d'un côté sainte Marie, de l'autre saint Jean portant l'évangile, tous deux se tenant sur un socle sculpté d'une tête d'ange<ref name=CroixReposoir>Modèle:Lien web. 18 photos de la croix.</ref>.
La vieille pompe à godets montée au-dessus d'un puits, et son abreuvoir en métal riveté (voir photo en tête d'article), ont été fabriqués par les établissements Sigoillot à Arnay-le-Duc. Ils se trouvent place Étienne Dureux, en face du lavoir<ref name="PtPatrmnPompe ">Modèle:Lien web. 7 photos de la pompe.</ref>.
- Hors du village
Une croix monumentale au hameau des Perrins est inscrite MH depuis 2004<ref name="mrmeeCroixPerrins" group="MH">Modèle:Base Mérimée.</ref>. Une autre dans la Grande rue de Maconge date également du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et est inscrite MH depuis 2004<ref name="mrmeeCroixGdRue" group="MH">Modèle:Base Mérimée.</ref>.
La croix de chemin près de Crais sur la RD14 au croisement du CR18, est en fonte sur piédestal et socle en pierre moulurée. La croix est ornementée de tiges de lierre s'enroulant autour d'elle<ref name="mrmeeCroixCheminCrais" group="MH">Modèle:Base Mérimée.</ref>.
Croix de cimetière<ref name="mrmeeCroixCimetiere" group="MH">Modèle:Base Mérimée.</ref> ; croix de chemin près de Champ Bougeau<ref name="mrmeeCroixCheminBougeau" group="MH">Modèle:Base Mérimée.</ref> ; croix de chemin rue Ursin<ref name="mrmeeCroixCheminUrsin" group="MH">Modèle:Base Mérimée.</ref>.
La croix de chemin à l'écluse d'Escommes n° 1 du versant Saône date de 1854 ou 1855. Elle se trouve près du pont sur la rigole de Chazilly<ref name="mrmeePontIsole" group="MH">Modèle:Base Mérimée.</ref>. Elle est en pierre, montée sur un socle en pierre<ref name="mrmeeCroixEscommes" group="MH">Modèle:Base Mérimée.</ref>. Pont et croix sont inscrits MH depuis 2016.
Le pont routier construit dans le second quart du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle sur la rigole de Chazilly à son débouché dans le bassin du port d'Escommes, est élargi de Modèle:Unité en 1863 et son tablier changé en 1897. Il est inscrit MH depuis 2016<ref group="MH" name="mrmeePontIsole"/>,<ref group=Note name="geoportlPontRigoleEscommes">Modèle:Géoportail.</ref>.
L'écluse de Sermaise n° 2 du versant Saône est sur Sermaise mais le reste du site de l'écluse est sur Maconge, dont le pont routier passant l'écluse. Le site est inscrit MH depuis 2016<ref name="mrmeeSiteEcls2" group="MH">Modèle:Base Mérimée.</ref>. Le pont routier a été construit dans le second quart du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et peut-être surélevé dans les dernières années du même siècle, une opération au cours de laquelle son tablier d'origine, dont on ne sait s'il était en bois ou en pierre, aurait été remplacé par un tablier métallique. Ses trottoirs sont en pierre. Il est inscrit MH depuis 2016<ref name="mrmeePontEcls2" group="MH">Modèle:Base Mérimée.</ref>.
Le bassin du port d'Escommes<ref name="PtPatrmnPort">Modèle:Lien web. 13 photos du port.</ref>,<ref name="mrmeePortEscmms" group="MH">Modèle:Base Mérimée.</ref>, avec l'écluse d'Escommes n° 1<ref name="mrmeeEclsEscmms" group="MH">Modèle:Base Mérimée.</ref> et sa maison éclusière de type Foucherot<ref name="mrmeeMsnBassinEscmms" group="MH">Modèle:Base Mérimée.</ref>, sont inscrits MH depuis 2016.
-
Port d'Escommes -
Maison éclusière d'Escommes
L'usine hydroélectrique à l'écluse d'Escommes n° 1 a été construite en 1893. Elle fournissait l'électricité pour les toueurs mis en place par l'ingénieur François-Marie Galliot pour tirer les bateaux lors de la traversée du partage des eaux, le tunnel du canal de Créancey à Pouilly. Sa source d'énergie était la chute d'eau de l'écluse. Elle est inscrite MH depuis 2016<ref name="mrmeeUsineHydro" group="MH">Modèle:Base Mérimée.</ref>.
La rigole d'alimentation du réservoir de Chazilly, dite rigole de Chazilly, a été construite dans les années 1820-1830 en même temps que le réservoir de Chazilly. Elle comporte de nombreux aqueducs aménagés sous la rigole afin de laisser passer les cours d'eau voisins, ainsi que de nombreux ponts. Elle commence à la tour de prise d'eau du réservoir de Chazilly ; une partie de son trop-plein se déverse dans une rigole qui rejoint la décharge de fond du barrage. La rigole de Chazilly emprunte un aqueduc pour passer au-dessus de la digue du réservoir du Tillot. Elle est inscrite MH depuis 2016<ref name="mrmeeRigoleChazilly" group="MH">Modèle:Base Mérimée.</ref>.
La rigole d'alimentation du canal de Bourgogne, dite rigole de Beaume, date des années 1830 et traverse le village. Elle aussi comporte de nombreux ouvrages d'art (ponts et aqueducs). La partie de l'ouvrage traversant le village de Maconge a été restaurée en 1893. La rigole est inscrite MH depuis 2016<ref name="mrmeeRigoleBeaume" group="MH">Modèle:Base Mérimée.</ref>.
Les « murs Mire », sur l'aire de la Repotte de l'autoroute A6 dans le sens Lyon-Paris, est une structure moderne de murs carrelés de céramique colorée avec une "fenêtre" cadrant Châteauneuf<ref>Modèle:Lien web. Nombreuses photos.</ref>.
Personnalités liées à la commune
- Jean Dard, instituteur né à Maconge en 1789<ref>Modèle:Article.</ref>, a ouvert la première classe d'école au Sénégal et a écrit un dictionnaire français-wolof.
Voir aussi
Articles connexes
Bibliographie
- Jacques Denizot, Encyclopédie de la Côte-d'Or. Bourgs et villages du Pays de Pouilly-en-Auxois, édition annotée, commentée et illustrée, éditions Jalon, 2019.
Notes et références
Notes
- Notes sur la démographie
Cartes
Références
- Références des bases de données Mérimée et Palissy pour les meubles et immeubles inscrits ou classés au titre de Monuments Historiques