Stade athlétique spinalien
Modèle:En-tête label Modèle:Infobox Club de football
Le Stade athlétique spinalien, couramment abrégé en SA spinalien ou SAS Épinal, est un club de football français fondé en 1941 par fusion de deux clubs et basé à Épinal dans les Vosges.
Le SAS participe pour la première fois au championnat de France amateurs (en 1948 et remporte son groupe en 1953. Ces premiers résultats sont toutefois suivis d'une première crise, le club spinalien retrouvant la Promotion d'Honneur deux ans plus tard.
Le SAS, remonté en Division 3 en 1971, est promu en Division 2 en 1974 où il enchaîne maints exercices honorables. Toutefois, le club, locataire du stade de la Colombière depuis sa fondation, est marqué par une seconde crise après sa relégation en 1979 et se retrouve en Division 4 deux ans plus tard. Remontant progressivement, le club retrouve la Division 2 en 1990 et adopte le statut professionnel. Au cours des années 1990, le SAS oscille entre D2 et National, jusqu'à son dépôt de bilan, prononcé en 1998.
Contraint de redémarrer en Division d'Honneur, le club spinalien retrouve les championnats nationaux en 2003. Il faut attendre 2011 pour que le club remonte en National, niveau auquel il participe épisodiquement depuis. Le club est présidé par Yves Bailly.
Le club retrouve le championnat de National à l'issue de la saison 2022-2023 après six saisons en National 2.
Histoire
Clubs spinaliens avant la fusion (1909-1941)
Modèle:Ref nec, déclaré le Modèle:Date comme association vouée au sport et aux activités en plein air<ref>Modèle:Article</ref>. Le CSS participe à partir de 1916 aux championnats de l'Union des sociétés françaises de sports athlétiques (USFSA)<ref name="nom" />. Parallèlement, un autre club, le Stade Saint-Michel, du nom du quartier homonyme, est fondé en 1918<ref name="nom" />. Le Club sportif spinalien devient quant à lui l'Union sportive spinalienne en 1921<ref name="nom" />, puis change à nouveau de nom pour devenir Athlétic Club spinalien en 1928<ref name="annonce1928">Modèle:Article</ref>. Son siège est alors situé au Grand Café, rue du Boudiou<ref name="annonce1928" />.
L'AC Spinalien participe aux championnats de la Ligue lorraine de football à partir de 1921, et le Stade Saint-Michel à partir de 1923<ref name="nom" />. Les deux clubs, Modèle:Citation, se rencontrent alors régulièrement en championnat<ref group="C" name="p87" />.
Débuts prometteurs suivis d'une première crise (1941-1964)
Modèle:Début d'illustration Modèle:Début de carte[[Fichier:Modèle:Géolocalisation/France|180px]] Modèle:G Modèle:Fin de carte Modèle:Fin d'illustration
Le Stade athlétique spinalien est fondé le Modèle:Date par fusion du Stade Saint-Michel et de l'Athletic club spinalien<ref name="ssm">Modèle:Lien web</ref>,<ref group="C" name="p87">Modèle:Harvsp</ref>. Cette fusion est la concrétisation d'un souhait émis bien plus tôt dans la cité des images, celui de créer un grand club qui puisse avoir accès à davantage de ressources et de moyens que ces deux prédécesseurs<ref group="C" name="p87" />. Les mécènes respectifs des deux clubs, deux industriels du textile, le catholique Max Prud'homme pour le Stade Saint-Michel, et le protestant Georges Laederich pour l'ACS, ont contribué à cette fusion<ref>L'Echo de Nancy, 10 janvier 1941, "L'ACS et le SSM fusionnent pour donner le S.A. spinalien"</ref>.
Le nouveau SAS est l'un des cinq clubs lorrains à être autorisé à participer au championnat de France amateur organisé en 1943-1944<ref>Modèle:Article</ref>.
Participant d'abord aux championnats du District des Vosges<ref>L'Echo de Nancy, 3 mars 1941</ref>, le SA spinalien est intégré en 1945 au championnat de Promotion d'Honneur de la Ligue de Lorraine (première division régionale<ref name="pyramide">Modèle:Lien web</ref>,<ref group=note>La PH ne constitue la D1 régionale que lors de la saison 1945-1946.</ref>) et finit cinquième à l'issue de sa première saison à ce niveau<ref name="nom"/>. Une réforme de la pyramide entraîne le reversement du SAS dans une PH correspondant au deuxième niveau régional. Vainqueur de son groupe l'année suivante, en 1947, le SAS est alors promu en Division d'Honneur<ref name="nom" />. Après avoir terminé quatrième de Division d'Honneur<ref>Modèle:Lien web</ref> et en raison de la non-conformité du stade de l'ES Piennes initialement qualifié, le club spinalien participe l'année suivante à la première édition du championnat de France amateur (saison 1948-1949)<ref group="A" name="p133">Modèle:Harvsp Modèle:P.</ref>. Le SAS se maintiendra dans ce championnat six années consécutives<ref group="A" name="p133" />.
À l'issue de sa première saison de CFA, le SAS finit à la septième place, entre le FC Mulhouse et le FC Gueugnon<ref>Modèle:Lien web</ref>. À partir de 1949, l'équipe, entraînée par David Ickovitz, surnommé « Coco » David, réalise ses premières performances remarquables, se plaçant notamment deuxième du groupe Est en 1950 et 1951<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>, et première en 1953<ref group="A" name="p133" />,<ref group="note">En CFA, de 1948 à 1970, les premières places ne sont pas qualificatives pour la Division 2 professionnelle.</ref>. En phase finale, le SAS est tenu en échec par la réserve de l'UA Sedan-Torcy (0-0)<ref group="C" name="p144">Modèle:Harvsp</ref> et s'incline 2-0 face à la réserve des Girondins de Bordeaux<ref group="C" name="p145">Modèle:Harvsp</ref>.
Ces résultats satisfaisants ne s'inscrivent cependant pas dans la durée. En effet, dès la saison suivante, le club finit à la douzième place et est ainsi relégué en Division d'Honneur<ref>Modèle:Lien web</ref>. Malgré cela, le club atteint cette année-là pour la première fois les trente-deuxièmes de finale Coupe de France<ref group="A" name="p133" />.
De retour en DH, le SAS finit onzième en fin de saison et est relégué en Promotion d'Honneur (PH)<ref>Modèle:Lien web</ref>. C'est le début d'une Modèle:Citation qui durera dix ans<ref group="A" name="p133" />. Le club ne reste toutefois qu'une seule saison au deuxième niveau régional. Premier de son groupe, il réalise par ailleurs cette année-là l'un des plus beaux parcours de son histoire en Coupe de France, atteignant les seizièmes de finale de l'édition 1955-1956<ref group="C" name=" p256">Modèle:Harvsp</ref>. Accédant ainsi de nouveau au championnat de Division d'Honneur, il le remporte deux ans plus tard en 1958 et retrouve ainsi le CFA<ref>Modèle:Lien web</ref>, où il ne se distingue guère<ref group="A" name="p133" />.
Après deux saisons au meilleur niveau amateur, le SAS, à égalité de points avec l'ASCA Wittelsheim qui elle se maintient, est relégué en DH à l'issue de la saison 1960-1961<ref>Modèle:Lien web</ref>, où il ne se maintiendra pas. Dernier avec treize points, le SA spinalien retombe alors en PH<ref>Modèle:Lien web</ref>. Les Boutons d'or restent deux saisons à ce niveau, puis, entraîné Jean-Claude Kuhnapfel, sont vainqueurs de leur groupe en 1964, retrouvant ainsi la Division d'Honneur la saison suivante<ref name="nom" />.
Émergence et premières apparitions en Division 2 (1964-1979)
À la fin des années 1960, le Stade athlétique spinalien qui évolue en Division d'Honneur s'illustre à nouveau, terminant notamment vice-champion à trois reprises, de 1966 à 1968<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>. En 1962, Modèle:Me Cousin est devenu président. Décrit comme un Modèle:Citation, les historiens du football lorrain lui attribuent l'apport d'une certaine stabilité dans le club<ref group="C" name="p183">Modèle:Harvsp</ref>. C'est notamment lui qui fait revenir Coco David au poste d'entraîneur en 1969. Sous les ordres de ce dernier, le SAS est sacré champion de Division d'Honneur en 1971 et accède ainsi au championnat de France de Division 3<ref group="A" name="p133" />, niveau duquel les Spinaliens sont alors absents depuis dix ans.
Pour sa première saison en D3, l'équipe termine à une satisfaisante cinquième place<ref>Modèle:Lien web</ref>. Après un bon exercice 1973-1974<ref group="B" name="p36" />, et en vertu du refus de la Fédération française de football d'intégrer l'AS Mutzig en Division 2, le SAS, deuxième de son groupe, accède pour la première fois de son histoire au deuxième échelon du football français<ref group="A" name="p133" />,<ref group="B" name="p36">Modèle:Harvsp Modèle:P.</ref>. Cette montée accroit considérablement l'intérêt des spinaliens pour le club, ce qui se traduit notamment par des moyennes d'affluence démultipliées<ref group="A" name="p134">Modèle:Harvsp Modèle:P.</ref>. L'engouement populaire va au-delà des attentes des joueurs et dirigeants<ref group="B" name="p36" />. D'un point de vue sportif, toutefois, la première saison est difficile puisque le SA Épinal obtient son maintien lors de l'avant-dernière journée<ref group="A" name="p134" /> et termine premier non-relégable du groupe B<ref>Modèle:Lien web</ref>. En 1975-1976, bien que renforcé par l'arrivée de l'international yougoslave Ivica Hlevnjak<ref group="A" name="p134" />, le SAS vit une saison très compliquée et termine à la douzième place du classement en battant l'AS Cannes lors de la dernière journée<ref group="A" name="p134" />.
La saison 1976-1977 est considérée comme l'une des plus réussies par le club spinalien en Division 2. L'équipe occupe en effet la tête du groupe B en début de saison, avant de toutefois descendre de quelques places au classement<ref group="A" name="p134" />. Les Boutons d'or réalisent notamment cette année-là l'exploit de battre le RC Strasbourg<ref group="A" name="p134" />, futur vainqueur du groupe<ref name="1976-1977" />, faisant ainsi oublier la défaite 5-0 du match aller<ref group="B" name="p37" />. Ils terminent la saison à la septième place<ref name="1976-1977">Modèle:Lien web</ref>. En 1977-1978, le SAS mené par l'attaquant Santos Brown réalise encore un exercice honorable, finissant sixième<ref group="A" name="p134" />.
Paradoxalement, le public se fait plus rare dans les tribunes du stade de la Colombière, et la saison suivante, le club spinalien subit le départ de très nombreux joueurs<ref group="A" name="p134" />. Marquée de surcroit par de très nombreuses blessures en cours de saison, la saison 1978-1979 est extrêmement difficile pour le club<ref group="A" name="p134" />. Seizième du groupe A, le SAS est relégué en Division 3<ref>Modèle:Lien web</ref>. Le président du club, Modèle:M. Staub, présente alors sa démission<ref group="A" name="p134" />.
Entre Divisions 3 et 4 (1979-1990)
À partir de la fin des années 1970, le SAS entre dans une nouvelle période de crise<ref group="A" name="p134" />. Sixième de son groupe de Division 3 1979-1980<ref>Modèle:Lien web</ref>, il ne parvient pas à s'y maintenir la saison suivante et est relégué en Division 4<ref group="A" name="p134" />,<ref>Modèle:Lien web</ref>. Le SAS reste trois saisons à ce niveau. Deuxième du groupe C en 1984, derrière le FC Thionville, il remonte en Division 3<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Pour son retour au troisième échelon, le SA Épinal finit septième du groupe Est en 1985<ref>Modèle:Lien web</ref>. La saison 1985-1986 est plus compliquée, puisque l'équipe termine à la onzième place, à cinq points du premier relégable<ref>Modèle:Lien web</ref>. Les résultats du SAS sont alors irréguliers d'une saison à l'autre. Septième en exercice 1987<ref>Modèle:Lien web</ref>, quatrième en 1988<ref>Modèle:Lien web</ref>, neuvième avec deux points d'avance sur le premier relégable l'année suivante<ref>Modèle:Lien web</ref>, il faut attendre 1989-1990 pour que le SAS décroche un titre de vainqueur de groupe, lui permettant ainsi de retrouver la Division 2<ref group="A" name="p134" />. Le club, entraîné par Pierre Pleimelding depuis 1986, est alors assuré de finir champion quatre journées avant la fin du championnat, le Modèle:Date, après une victoire 2-1 contre la réserve du Racing Paris 1<ref name="histoire" />.
Retour au premier plan, professionnalisme, puis dépôt de bilan (1990-1998)
En 1990, l'équipe, qui continue d'être dirigée par l'entraîneur emblématique Pierre Pleimelding, remonte en Division 2 après avoir réalisé une excellente saison en Division 3<ref group="A" name="p134"/>. Sous l'impulsion de son président Jacques Neboux, le club opte cette année-là pour le statut professionnel<ref group="A" name="p135" />,<ref group="C" name="p290">Modèle:Harvsp</ref>, ce qui lui permet d'être plus attractif pour les jeunes footballeurs de la région<ref group="C" name="p290" />. Après un début de saison honorable et grâce à un recrutement intéressant<ref group="C" name="p290" />, le maintien est rapidement assuré<ref group="C" name="p290" /> et les Boutons d'Or terminent à la treizième place d'une poule dominée par le Racing Club de Strasbourg et l'OGC Nice<ref>Modèle:Lien web</ref>. La saison 1991-1992 se déroule de la même manière et se l'équipe finit à nouveau à la treizième place<ref>Modèle:Lien web</ref>. La saison suivante, marquée notamment par le départ du buteur Patrick Weiss, figure emblématique du club<ref group="C" name="p290" /> et par une réorganisation des championnats qui entraîne sept relégations par groupe<ref>Modèle:Lien web</ref> voit le SAS manquer ses objectifs. Seizième de son groupe, le club est donc reversé dans le nouveau championnat de National 1 pour la saison suivante<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Tirant les leçons de ce qui est considéré comme une Modèle:Citation adoptée lors de ces années en Division 2, le club spinalien décide de changer d'orientation en s'engageant dans une nouvelle politique de formation, sous l'égide d'un ancien joueur Philippe Maurice<ref group="A" name="p135">Modèle:Harvsp Modèle:P.</ref>. La première saison en National 1 s'insère dans cette phase de reconstruction<ref group="C" name="p290" /> et se conclut avec une onzième place du groupe A<ref>Modèle:Lien web</ref>. La saison 1994-1995 est quant à elle très réussie, puisque l'équipe finit première du groupe B de National 1<ref>Modèle:Lien web</ref>. Cette réussite est liée aux efforts entrepris par le club au niveau de la formation et aux joueurs qui en sont issus, comme Esposito, Marchandé ou Tissot<ref group="C" name="p291">Modèle:Harvsp</ref>. C'est toutefois le FC Lorient qui remporte la finale et est sacré champion de France de football National<ref>Modèle:Lien web</ref>.
La Direction nationale du contrôle de gestion, d'abord opposée au retour du SAS Football en D2, l'accepte finalement grâce aux efforts de soutien du maire d'Épinal d'alors : Philippe Séguin<ref group="A" name="p135" />,<ref group="C" name="p291" />. La saison 1995-1996, bien que s'achevant avec une place de premier non-relégable à égalité de points avec le Stade poitevin<ref>Modèle:Lien web</ref>, est marquée par de nombreux « exploits », le SAS battant notamment l'Olympique de Marseille 2-0 et le Stade Malherbe Caen 4-0<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Par suite de nombreux départs de joueurs, la saison 1996-1997 est très difficile pour les Boutons-d'or, qui finissent derniers de Division 2 après avoir occupé cette place durant presque toute la saison<ref>Modèle:Lien web</ref>. De retour en National, le club, aux finances exsangues<ref name="histoire" />, abandonne quatre journées avant la fin du championnat<ref group="A" name="p135" /> et dépose le bilan en mai 1998<ref name="histoire" />. Le redémarrage se fait en Division d'Honneur, championnat auquel l'équipe première du club n'avait plus participé depuis 1971.
Période de reconstruction (1998-2011)
Après le dépôt de bilan, le SAS repart en Division d'Honneur de la Ligue lorraine de football. Pour sa première saison à ce niveau, les Spinaliens finissent sixièmes, loin derrière le premier du groupe Creutzwald<ref>Modèle:Lien web</ref>. L'équipe, emmenée par l'entraîneur-joueur Laurent Bénier<ref name="histoire">Modèle:Lien web</ref>, termine quatrième la saison suivante<ref>Modèle:Lien web</ref>, après avoir longtemps joué le haut de tableau<ref>Modèle:Vid Modèle:Lien web</ref>. De nouveau quatrième en 2001<ref>Modèle:Lien web</ref>, le SAS ne parvient toujours pas à monter en CFA 2 en 2002, finissant deuxième derrière l'ES Thaon-les-Vosges<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Le SAS décroche finalement le titre de Division d'Honneur en 2003<ref>Modèle:Lien web</ref> et dès l'année suivante, il enchaîne avec un nouveau succès en remportant sa poule de CFA 2<ref>Modèle:Lien web</ref> et accède ainsi au championnat de France amateur nouvelle mouture, auquel il participe pour la première fois.
En CFA, le club spinalien a du mal à se distinguer et enchaîne les saisons moyennes<ref>Modèle:Lien web</ref>. En 2005, il termine quatorzième avec un point de plus que le premier relégué<ref>Modèle:Lien web</ref>. En 2006, à nouveau quatorzième, le SA Épinal est cette fois à égalité de points avec le premier relégué<ref>Modèle:Lien web</ref>. Malgré une saison 2006-2007 satisfaisante s'achevant avec une huitième place du groupe A<ref>Modèle:Lien web</ref>, les Boutons d'or finissent seizièmes la saison suivante et sont donc logiquement relégués en CFA 2<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les Spinaliens réussissent à remonter immédiatement en remportant le groupe C de CFA 2 2008-2009<ref>Modèle:Lien web</ref>. De retour en CFA, le SAS se classe alors huitième en fin de saison, à égalité de points avec la réserve de l'AS Nancy-Lorraine et l'Olympique Noisy-le-Sec<ref>Modèle:Lien web</ref>. La saison 2010-2011 est exceptionnelle pour le club, qui conserve son invincibilité pendant 23 matchs, ne perdant qu'une seule rencontre<ref>Modèle:Lien web</ref>. Finalement, le SAS Football termine second du groupe B de CFA, derrière le RC Besançon<ref>Modèle:Lien web</ref> et monte en National à la suite du dépôt de bilan du Grenoble Foot 38 qui y libère une place<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Retours en National (depuis 2011)
En 2011-2012, le SAS participe au National pour la première fois depuis le dépôt de bilan de 1998<ref>Modèle:Lien web</ref>. La première saison du club spinalien à ce niveau est très réussie, le club occupant la tête du championnat dès les premières journées et enchaînant les victoires<ref name="2011-2012">Modèle:Lien web</ref>. Le club finit à la cinquième place, à quatre points du troisième<ref>Modèle:Lien web</ref> après une défaite 6-0 face au Paris FC, et en raison, d'après certains supporters, Modèle:Citation<ref name="2011-2012" />.
En 2012-2013, se classant à l'antépénultième place du classement<ref>Modèle:Lien web</ref>, le SAS Football est relégué en CFA<ref>Modèle:Lien web</ref>. Cette même saison, le SAS réalise néanmoins un excellent parcours en Coupe de France, atteignant les huitièmes de finale, perdus contre le Racing Club de Lens. L'année suivante, les Boutons d'or remontent en National, après avoir terminé premiers du groupe B<ref>Modèle:Lien web</ref>. Après une saison très difficile, le SA Spinalien, bien que dernier au classement, est repêché le Modèle:Date, soit la veille de l'annonce des calendriers pour la saison suivante, en raison de la rétrogradation administrative de l'Athlétic Club Arles-Avignon<ref>Modèle:Lien web</ref> et des sanctions pesant sur l'US Colomiers. La saison suivante est tout aussi compliquée et le club, avant-dernier, est à nouveau relégué sportivement en CFA mais se voit repêché une deuxième fois le Modèle:Date en raison de la rétrogradation de l'Évian TG FC en CFA et de la mise en liquidation des SR Colmar<ref>Modèle:Lien web</ref>. En 2017, le club, Modèle:15e, ne parvient pas à se maintenir et est relégué en National 2.
Lors de la saison 2017-2018, le club termine Modèle:7e mais se démarque en Coupe de France, où le SAS atteint les seizièmes de finale et est éliminé par l’Olympique de Marseille. En 2018-2019, le club termine à la Modèle:8e place du classement. La saison suivante, le SAS termine à la Modèle:6e place et atteint les quarts de finale de la Coupe de France. Il est éliminé par l'AS Saint-Étienne au stade Marcel-Picot.
À l'issue de la saison 2022-2023, le SAS finit premier du groupe B de National 2 et remonte en National.
Palmarès
Titres et trophées
Le Stade athlétique spinalien remporte son premier titre de niveau national en finissant premier du groupe Est du championnat de France amateur de football 1953-1954. Il faut attendre 1990 pour que le SAS termine à nouveau vainqueur de groupe d'une compétition nationale, le club remportant cette année-là le groupe Est du championnat de France de football de Division 3, qui lui permet d'accéder à la Division 2 pour la seconde fois. Dans les années 2000, le club spinalien remporte deux fois sa poule de CFA 2 et deux fois sa poule de CFA, en 2014 et 2023.
En parallèle, le SAS remporte trois fois la Division d'Honneur de la Ligue lorraine de football, en 1958, 1971, et 2003; et deux fois son groupe de Promotion, deuxième niveau de la Ligue de Lorraine. Le SAS Football est également triple vainqueur de la Coupe de Lorraine, la dernière victoire en finale datant de 1985.
Le tableau suivant liste le palmarès de l'équipe fanion dans les principales compétitions officielles auxquelles elle participe.
| Compétitions nationales | Compétitions régionales |
|---|---|
|
|
Bilan sportif
Modèle:Article connexe Le Stade athlétique spinalien compte dix saisons en Division 2, dont 5 avec le statut amateur. Il se place en 2014 à la Modèle:69e sur 146 du classement de deuxième division toutes saisons confondues établi par la Ligue de football professionnel<ref>Modèle:Lien web</ref>.
De plus, le SAS totalise 26 saisons au troisième niveau national, dont six en National dont une avec le statut professionnel, onze en Division 3 et neuf dans l'ancien Championnat de France amateur. À cela il faut ajouter quinze saisons au quatrième niveau, dont trois en Division 4, sept en Championnat de France amateur et cinq saisons en National 2 ; et deux saisons au cinquième échelon national, en CFA 2.
| Championnat | Saisons | Titres | Modèle:Abréviation discrète | Modèle:Abréviation discrète | Modèle:Abréviation discrète | Modèle:Abréviation discrète | Modèle:Abréviation discrète | Modèle:Abréviation discrète | Modèle:Abréviation discrète |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| Division 2 (1974-1997) | 10 | 0 | 354 | 97 | 101 | 156 | 376 | 517 | -140 |
| National 1/National (depuis 1993) | 6 | 1<ref group="note" name="champion">Les titres indiqués ne correspondent qu'à des titres de vainqueurs de groupe</ref> | 178 | 56 | 55 | 67 | 210 | 244 | -34 |
| CFA (D3) (1948-1961)<ref group="note">Les détails des résultats des saisons 1948-1949 et 1953-1954 ne sont pas connus</ref> | 9 | 1<ref group="note" name="champion"/> | 164 | 72 | 46 | 46 | 297 | 239 | 58 |
| Division 3 (1971-1989) | 11 | 1<ref group="note" name="champion"/> | 328 | 134 | 94 | 100 | 459 | 402 | 57 |
| CFA (D4) (2005-2014) | 7 | 1<ref group="note" name="champion"/> | 204 | 65 | 72 | 67 | 247 | 267 | -20 |
| Division 4 (1981-1984) | 3 | 0 | 78 | 44 | 17 | 17 | 157 | 86 | 71 |
| CFA 2 (2003-2009) | 2 | 2<ref group="note" name="champion"/> | 60 | 34 | 13 | 13 | 108 | 75 | 33 |
| National 2 (2018-2023) | 5 | 1<ref group="note" name="champion"/> | 14 | 6 | 4 | 4 | 16 | 14 | 2 |
Championnat disputé
La frise chronologique suivante montre l'évolution des championnats de la Fédération française de football auxquels le SA spinalien a participé au cours de son histoire<ref group=note>Les noms des championnats et le nombre de niveaux ont évolué au cours des années. Pour les championnats nationaux, se reporter à l'article football en France, pour les championnats régionaux, à l'article Ligue lorraine de football.</ref>.
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- définition de la taille de la frise
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pos:(196,194) textcolor:navy fontsize:S text:Championnats pos:(196,182) textcolor:navy fontsize:S text:professionnels pos:(104,134) textcolor:navy fontsize:S text:Championnats pos:(104,122) textcolor:navy fontsize:S text:amateurs pos:(655,134) textcolor:navy fontsize:S text:Pyramide pos:(655,122) textcolor:navy fontsize:S text:unique
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Parcours en Coupe de France
Premières performances et épopée 1955-1956 (1941-1972)
Le club spinalien atteint à maintes reprises les trente-deuxièmes de finale de la Coupe de France de football. En 1952, le SAS atteint pour la première fois de son histoire ce stade de la compétition<ref group="A" name="p133" />, éliminé par l'OCG Nice sur le score de 5-0<ref name="1951/1952">Modèle:Lien web</ref>. En 1955-1956, bien qu'en championnat de Promotion, le SAS réalise l'un des plus beaux parcours de son histoire, atteignant les seizièmes de finale<ref group="A" name="p133" />, éliminé par l'UA Sedan Torcy<ref group="C" name="p289" />, futur vainqueur de la compétition.
En 1957-1958, le club, alors en DH est éliminé au sixième tour par l'AS Troyenne-et-Savinienne<ref>Modèle:Lien web</ref>. En Coupe de France 1962-1963, le SA Spinalien, alors en Promotion, atteint les trente-deuxièmes de finale pour la première fois depuis 1955-1956 et affronte l'Olympique lyonnais. Cinq divisions séparent les deux clubs, et les Lyonnais s'imposent 4-0<ref name="epinal-lyon" />.
Le SAS atteint à nouveau le sixième tour en 1965-1966, où il est éliminé par l'AS Mutzig<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Deux phases distinctes de résultats intéressants (1972-1998)
Le club atteint à nouveau les trente-deuxièmes de finale en 1972-1973, où les Boutons d'or sont éliminés par le Paris Football Club, qui ira pour sa part jusqu'en huitièmes de finale<ref>Modèle:Lien web</ref>. La saison suivante, coïncidant avec la montée en D2, le SAS se hisse à nouveau en trente-deuxièmes de finale, où il est éliminé par La Berrichonne de Châteauroux, en match rejoué<ref>Modèle:Lien web</ref>. Les Spinaliens atteignent les trente-deuxièmes pour la troisième fois d'affilée en 1975, et sont cette fois-ci sortis par le CS Sedan<ref>Modèle:Lien web</ref>, comme en 1956.
Les deux saisons suivantes, le SAS est éliminé par les SR Haguenau, alors en Division 3 : au septième tour en 1976<ref>Modèle:Lien web</ref>, et en trente-deuxièmes de finale en 1977<ref>Modèle:Lien web</ref>. Lors de l'édition 1978, le SAS atteint à nouveau les trente-deuxièmes, et est éliminé par l'OGC Nice (D1)<ref>Modèle:Lien web</ref>. Pour la troisième fois d'affilée, le SA Spinalien est éliminé en trente-deuxièmes de finale en 1979, par les Sports réunis déodatiens (D2)<ref>Modèle:Lien web</ref>.
À partir de la relégation du SA Épinal en Division 3, les parcours remarquables se font plus rares, et il faut attendre 1985 pour retrouver le club en trente-deuxièmes de finale<ref>Modèle:Lien web</ref>. En 1990, année où le club remporte sa poule de Division 3, les Boutons d'or atteignent les seizièmes de finale de la compétition, après avoir éliminé le Racing Club de Lens, alors en D2<ref>Modèle:Lien web</ref>. C'est l'US Orléans qui élimine les Spinaliens<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Dans les années 1990, le Stade athlétique spinalien atteint régulièrement les trente-deuxièmes de finale. En 1990-1991, le club est éliminé à ce stade par le Lille OSC (D1)<ref>Modèle:Lien web</ref>. Après une élimination au Modèle:8e par un club de DH la saison suivante<ref>Modèle:Lien web</ref>, le SAS atteint les seizièmes de la compétition en 1993 et est écarté par l'AS Saint-Étienne (D1) aux tirs au but<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Relégué en National 1, le SAS Football atteint néanmoins les trente-deuxièmes de finale en 1993-1994, où il est éliminé par le FC Sochaux<ref>Modèle:Lien web</ref>. Éliminé au Modèle:8e par l'US Créteil (N1) pour son retour en D2<ref>Modèle:Lien web</ref>, le club atteint à nouveau les trente-deuxièmes l'année suivante où il est sorti par l'ESTAC aux tirs-au-but<ref>Modèle:Lien web</ref>. Paradoxalement, c'est l'année du dépôt de bilan que le SA Spinalien réalise l'exploit d'éliminer le Racing Club de Strasbourg, récent huitième-de-finaliste de la coupe UEFA<ref>Modèle:Lien web</ref>. Le SAS est éliminé au tour suivant par le Racing Club de Lens, futur champion de France 1998.
Après-professionnalisme et épopée 2012-2013 (depuis 1998)
Après le dépôt de bilan de 1998, le SAS atteint à quelques reprises la phase finale de la compétition. En 2005, le club spinalien atteint les trente-deuxièmes de finale pour la première fois depuis 1998 et est éliminé par Blois Foot 41, également en CFA, après prolongations<ref>Modèle:Soccerway match</ref>. En Coupe de France 2007-2008, à nouveau en trente-deuxièmes, le SAS reçoit le Paris SG au stade de la Colombière. La rencontre, maintenue malgré une météo laissant présager un report, est gagnée 2-0 par les Parisiens, qui dominent le match à partir du premier but (Modèle:22e) et du carton rouge dont écope un ailier d'Épinal<ref>Modèle:Lien web</ref>.
C'est lors de la Coupe de France 2012-2013 que le SAS crée une surprise de niveau national : en Modèle:32e de finale, Épinal élimine l'Olympique lyonnais aux tirs au but grâce à Martin "cutie" Jutteau, dépassant pour la première fois depuis le dépôt de bilan, les Modèle:32e de finale. Ce succès est toutefois attribuable aux largesses de l'arbitre G. Loustalot-Forest, responsable de décisions discutables<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>. Ils battent même les canaris nantais, pensionnaires de Ligue 2, en Modèle:16e de finale aux tirs au but<ref>Modèle:Lien web</ref>. Toutefois, le beau parcours des Boutons d'or s'arrête là, après la défaite en huitième de finale contre le RC Lens sur le score de 2 à 0<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>. L'année suivante, ce sont les Chamois Niortais qui sortent le SAS, en trente-deuxièmes de finale. En Modèle:Date-, Epinal quitte la coupe de France en Modèle:16e de finale, éliminé par l'Olympique de Marseille 2 buts à 0<ref>Modèle:Article</ref> au stade de la Colombière devant plus de Modèle:Nombre.
L'exploit (Saison 2019/2020)
Dans son antre de la Colombière, le SAS accueille le prestigieux LOSC lors des 8èmes de finale le 29/01/2020. Bien que menés au score, les Vosgiens parviennent à inverser la tendance et s'imposent sur le score de 2 buts à 1 dans le temps règlementaire.
Parcours en Coupe de la Ligue
En 1995-1996, pour sa première participation à la Coupe de la Ligue française de football, le SAS est sorti dès le premier tour par le SCO d'Angers<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Lors de l'édition suivante, les Lorrains battent le Perpignan Canet Football Club lors du premier tour<ref>Modèle:Lien web</ref>. Qualifiés pour les seizièmes de finale, le SAS n'ira pas plus loin, Le Mans UC éliminant le club en le défaisant 2-0 en novembre 1996<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Depuis la Coupe de la Ligue 1997-1998, le SAS n'a plus participé à une édition, dans la mesure où il a perdu son statut professionnel. Selon le classement réalisé par la Ligue de football professionnel, en 2015-2016, le SAS est Modèle:63e sur 72, avec trois saisons et cinq rencontres disputées, dont deux gagnées et trois perdues<ref>Modèle:Lien web</ref>.
| Rang | Équipe | Modèle:Abréviation discrète | Modèle:Abréviation discrète | Modèle:Abréviation discrète | Modèle:Abréviation discrète | Modèle:Abréviation discrète | Modèle:Abréviation discrète | Modèle:Abréviation discrète |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 61 | Stade briochin | 3 | 5 | 2 | 3 | 5 | 6 | -1 |
| 62 | FC Libourne Saint Seurin | 3 | 5 | 2 | 3 | 5 | 7 | -2 |
| 63 | SA Épinal | 3 | 5 | 2 | 3 | 2 | 6 | -4 |
| 64 | CA Bastia | 3 | 4 | 1 | 3 | 4 | 5 | -1 |
| 65 | Olympique d'Alès | 3 | 3 | 0 | 3 | 2 | 4 | -2 |
Structures du club
Structures sportives
Stade
Modèle:Article détaillé Dès sa création, le SAS évolue au stade de la Colombière à Épinal, sur le terrain de l'ancienne formation du Patronage Saint Michel<ref name="saisons_du_sas">Modèle:Lien web</ref>. L'enceinte, datant d'avant la Grande Guerre, avait été rasée par les Allemands pendant le second conflit, pour être transformée en bois de chauffage<ref group="A" name="p133" />, puis reconstruite grâce à la générosité de Modèle:M. Laederich, mécène du club<ref group="C" name="p87" />.
Le stade subit d'importantes rénovations dans les années 1950<ref group="A" name="p133" /> et la nouvelle enceinte est inaugurée en septembre 1967. Elle accueille depuis tous les matchs à domicile des Boutons d'or. Le record d'affluence s'élève à Modèle:Nombre, atteint le Modèle:Date, lors d'un match contre l'Association sportive Nancy-Lorraine<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Le club n'a jamais changé de stade.
Aspects juridiques et économiques
Statut juridique et légal
Le Stade athlétique spinalien est à l'origine une association loi de 1901 fondée en 1941 après la fusion du Stade Saint-Michel et de l'Athlétic Club spinalien.
En juillet 1995, le SAS Football adopte le statut professionnel et se constitue en la société anonyme à objet sportif au capital d'un million de Francs « STADE ATHLETIQUE EPINAL »<ref name="saos">Modèle:Lien web</ref>. Le président du conseil d'administration est alors Raphaël Ravello. Celle-ci dépose le bilan en 1998<ref group="A" name="p135" />,<ref>Modèle:Lien web</ref> et est officiellement dissoute en 2004<ref name="saos" />.
D'octobre 2012 à juillet 2015, le SAS Football est géré conjointement par la société par actions simplifiée (SAS) au capital de Modèle:Unité « STADE ATHLETIQUE SPINALIEN FOOTBALL » et par l'association éponyme<ref name="societe.com">Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>. L'association a son siège au stade de la Colombière, chemin du Petit Chaperon Rouge, à Épinal<ref name="fff">Modèle:Lien web</ref>. En 2014, le « correspondant compétitions nationales » est Claude Chère et le trésorier est Ghislain Virion. Le club est affilié sous le numéro 500481 à la Ligue lorraine de football et au district des Vosges, qui correspond au département des Vosges<ref name="fff"/>.
Éléments comptables
Évolution du budget
Lors de la saison 2011-2012, pour leur montée en National, le budget du club est d'un million d'euros, ce qui en fait le Modèle:17e du championnat Modèle:Langue avec Luzenac<ref>Modèle:Lien web</ref>. La saison suivante, toujours en National, le budget est augmenté à 1,3 million d'euros<ref>Modèle:Lien web</ref>. En 2013-2014, le budget du club s'élève à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web</ref>.
En National 2014-2015, il est augmenté à 1,8 million d'euros<ref>Modèle:Lien web</ref>. Ce budget est notamment composé de Modèle:Unité de subventions directes, de Modèle:Unité de mise à disposition d'éducateurs, et de Modèle:Unité de Modèle:Langue<ref>Modèle:Lien web</ref>. La saison suivante, après un maintien obtenu grâce aux nombreuses rétrogradations d'autres clubs, le budget du club est baissé à 1,5 million d'euros<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Bilan comptable et analyse financière
Au Modèle:Date, la société par actions simplifiée (SAS) déclarait un chiffre d'affaires de Modèle:Unité. Le résultat d'exploitation est négatif de Modèle:Unité<ref name="societe.com2">Modèle:Lien web</ref>.
Le fonds de roulement du club est négatif de Modèle:Unité, et le besoin en fonds de roulement est pour sa part négatif à hauteur de Modèle:Unité<ref name="societe.com2" />. Ainsi, le club présente des faiblesses financières, sa rentabilité d'exploitation et sa rentabilité nette étant limitées. La SAS « Stade Athlétique Spinalien Football » ne bénéficie par ailleurs que de faibles capacités d'autofinancement<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Équipementiers et sponsors
L'équipementier actuel du Stade athlétique spinalien est Errea<ref>Modèle:Lien web</ref>.
En outre, l'Ermitage sponsorise déjà le club pour la saison 1990-1991 en Division 2. À cette époque, Casino, Quaser et Izoard soutiennent également le SA Spinalien<ref>Modèle:Article</ref>.
Personnalités du club
Anciens joueurs
| Rang | Nom | Buts | Matchs | Carrière au club |
|---|---|---|---|---|
| 1 | Modèle:FRA-d Patrick Weiss | 196 | 228 | 1982 - 1992 |
| 2 | Modèle:FRA-d Julien Jahier | 106 | 266 | 2003 - 2012 |
| 3 | Modèle:MAR-d Abdellah Asbabou | 79 | 236 | 2006 - 2012 2013 - 2014 |
| 4 | Modèle:FRA-d Romain Chouleur | 56 | 154 | 2011 - 2016 |
| 5 | Modèle:CRO-d Ivan Hlevnjak | 27 | 118 | 1975 - 1979 |
| Rang | Nom | Matchs | Carrière au club |
|---|---|---|---|
| 1 | Modèle:FRA-d Jacques Charron | 468 | 1970 - 1979 |
| 2 | Modèle:FRA-d Olivier Robin | 378 | depuis 2004 |
| 3 | Modèle:FRA-d Julien Jahier | 266 | 2003 - 2012 |
| 4 | Modèle:FRA-d Loïc Demangeon | 241 | 1997 - 1998 2004 - 2012 |
| 5 | Modèle:MAR-d Abdellah Asbabou | 236 | 2006 - 2012 2013 - 2014 |
Au cours de son histoire, le club spinalien a compté dans ses rangs plusieurs joueurs qui ont marqué de leur empreinte l'histoire du club. Le défenseur français Jacques Charron est le joueur le plus capé sous le maillot spinalien avec 468 apparitions suivi de près par le portier français Olivier Robin avec 378 apparitions. Au rayon des meilleurs buteurs, c'est l'attaquant français Patrick Weiss qui occupe la première place avec 196 réalisations suivi de l'attaquant français Julien Jahier auteur de 106 réalisations sous le maillot du club vosgien.
Peu après la fondation du club, le SA Spinalien est mené par l'entraîneur-joueur Auguste Jordan, joueur-vedette de l'équipe de France de football, alors prisonnier de la Wehrmacht à Épinal<ref name="jordan" />.
Dans les années 1960, les joueurs du SAS Football sont tous amateurs et très peu ont connu le professionnalisme. Le groupe 1962-1963, en Promotion, est toutefois renforcé par Adorno Pasina, ancien du Football Club Sochaux-Montbéliard<ref name="epinal-lyon" />.
En 1974, pour sa première saison en Division 2, le SAS Football obtient la signature de Patrick Dupa, international français junior<ref group="B" name="p36" />. Partis quelques années plus tôt, Jacky Receveur et Patrice Vicq retournent au club cette même saison<ref group="B" name="p36" />.
L'international yougoslave Ivica Hlevnjak, au club de 1975 à 1979, est considéré comme le meilleur joueur ayant porté les couleurs du SAS<ref group="A" name="p134" />. En effet, à la fin des années 1970, le club spinalien aligne une équipe d'un bon niveau comptant notamment le Libérien Santos Brown et le Chilien Infante<ref group="A" name="p134" />. Jean-Paul Delahaye est pour sa part le gardien emblématique de cette période, avec plus de 238 matchs disputés sous les couleurs d'Épinal<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref group="C" name="p289" />.
Claude Chéré et Pascal Kieffer, restés au club alors que celui-ci évoluait entre Division 3 et Division 4, sont devenus des joueurs emblématiques de cette période<ref group="A" name="p134" />. Ce dernier est désormais éducateur au SAS<ref>Modèle:Lien web</ref>. L'attaquant Patrick Weiss, un jeune du club parti après la relégation en D3 et revenu grâce aux efforts de Jean-Paul Delahaye<ref group="C" name="p289" /> devient quant à lui un joueur emblématique de la période 1982-1992, qui coïncide avec la remontée du club<ref group="A" name="p134" />.
Le défenseur Oswaldo Condi, au club de 1995 à 1998, puis de 2001 à 2009, participe à la majorité des matchs du club à partir de 2004<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Historique des entraineurs
Premiers entraîneurs (1941-1963)
Le premier entraineur du SAS est le Franco-autrichien Auguste Jordan. Ce dernier, international renommé des années 1930, est en fait prisonnier de la Wehrmacht à Épinal, mais cette dernière, en raison de son statut de joueur-vedette, décide de l'autoriser à jouer au SAS tout juste fondé, dont il sera entraîneur-joueur pendant sa captivité<ref name="jordan">Modèle:Lien web</ref>. Son successeur est le champion de France 1934-1935 Willy Wagner, à la tête de l'équipe jusqu'en 1944.
C'est en 1949 que Jean-Claude « Coco » David, David Ickovitz de son vrai nom<ref group="C" name="p288">Modèle:Harvsp</ref> prend la charge de l'équipe pour la première fois. Il amène l'équipe à son premier titre de CFA et devient l'Modèle:Citation du club<ref group="A" name="p133" />. Remplacé en 1955 par Jean Lohner, ce dernier est lui-même remplacé par l'ancien international roumain Florian Radu l'année suivante.
De Kuhnapfel à Pleimelding (1963-1993)
L'ancien professionnel du Football Club de Metz, Jean-Claude Kuhnapfel entraîne l'équipe à partir de 1963 et devient une figure emblématique de la lente reconstruction des années 1960, avec le président Modèle:Me Cousin<ref group="C" name="p183" />. Toutefois, Modèle:Me Cousin choisit de faire revenir Coco David au club en 1969, et celui que l'on surnommait alors Modèle:Citation<ref group="B" name="p36" /> fait monter l'équipe en Division 2<ref group="A" name="p133" />. Ce dernier sera entraîneur jusqu'en 1981, de manière toutefois discontinue, l'ancien international luxembourgeois Ady Schmit prenant la tête de l'équipe de 1973 à 1975, et Hervé Collot pour la saison 1978-1979 uniquement.
En 1986, l'international français Pierre Pleimelding signe comme entraîneur-joueur au SAS<ref>Modèle:Lien web</ref>. Il devient l'entraîneur emblématique de la remontée du club spinalien en Division 2 et marque ainsi durablement les supporters<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Après-Pleimelding (depuis 1993)
Philippe Maurice, qui succède à Pleimelding, mise sur la formation, avec des résultats probants les premières années, le club remontant en Division 2<ref group="A" name="p135" />. Maurice est toutefois remplacé en octobre 1996 par Gilbert Zoonekynd, lui-même remplacé par Moussa Bezaz après la relégation en National. Bezaz est remercié en fin de saison, l'équipe étant contrainte de repartir en Division d'Honneur.
Après le dépôt de bilan, en 1998, Laurent Bénier, au club depuis 1995<ref>Modèle:Lien web</ref>, devient entraîneur-joueur. Il met l'accent sur la formation, et quitte son poste en 2009 pour devenir directeur technique du club<ref name="benier">Modèle:Lien web</ref>. L'ancien joueur Fabien Tissot est chargé de l'équipe première jusqu'à fin 2014 où, en raison de la dernière place en National 2014-2015, il est écarté de son poste par les dirigeants spinaliens et remplacé par Bénier, qui retrouve ce poste cinq ans après l'avoir quitté<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Liste des entraîneurs
Modèle:Section à sourcer Le tableau suivant récapitule la liste des entraîneurs connus du Stade athlétique spinalien de 1941 à nos jours. Au total, vingt-six personnes se sont succédé à la tête de l'équipe première.
Deux entraîneurs occupent la fonction à deux reprises sur deux périodes distinctes : Pierre Pleimelding de 1986 à décembre 1992, puis de mars à juin 1993; et Laurent Bénier, de 1998 à 2009, puis depuis décembre 2014. Coco David occupe quant à lui la fonction durant quatre périodes distinctes : de 1949 à 1955, puis de 1969 à 1973, de 1975 à 1978, et de 1979 à 1981. Il est de ce fait celui à avoir occupé le poste le plus longtemps (15 saisons).
| # | Période | Nom |
|---|---|---|
| 1 | 1941 | Modèle:AUT-d/Modèle:FRA-d Auguste Jordan |
| 2 | 1941-1943 | Modèle:FRA-d Willy Wagner |
| 3 | 1943-1944 | Modèle:FRA-d Willy Wagner / Modèle:FRA-d Perruchot |
| 4 | 1946-1948 | Modèle:FRA-d Mathulis |
| 5 | 1948-1949 | Modèle:FRA-d F. Voisembert |
| 6 | 1949-1955 | Modèle:FRA-d Jean-Claude « Coco » David |
| 7 | 1955-1956 | Modèle:FRA-d Jean Lohner |
| 8 | 1956-1957 | Modèle:ROM-d Florian Radu |
| 9 | 1957-1962 | Modèle:FRA-d Alphonse Rolland |
| 10 | 1962-1963 | Modèle:FRA-d Casimir Brotowski |
| 11 | 1963-1969 | Modèle:FRA-d Jean-Claude Kuhnapfel |
| 12 | 1969-1973 | Modèle:FRA-d Coco David (2) |
| 13 | 1973-1975 | Modèle:LUX-d Ady Schmit |
| 14 | 1975-1978 | Modèle:FRA-d Coco David (3) |
| 15 | 1978-1979 | Modèle:FRA-d Hervé Collot |
| 16 | 1979-1980 | Modèle:FRA-d Coco David (4) |
| 17 | 1980-1981 | Modèle:FRA-d Coco David et Michel Cassan |
| 18 | 1981-1984 | Modèle:FRA-d Jean-Paul Delahaye |
| 19 | 1984-1986 | Modèle:GER-d Georg Tripp |
| 20 | 1986-dec. 1992 | Modèle:FRA-d Pierre Pleimelding |
| 20 | dec. 1992-Modèle:Date- | Modèle:FRA-d Alain Grumellon |
| 21 | 1993 | Modèle:FRA-d Pierre Pleimelding (2) |
| 22 | 1993-oct. 1996 | Modèle:FRA-d Philippe Maurice |
| 23 | oct. 1996-1997 | Modèle:FRA-d Gilbert Zoonekynd |
| 24 | 1997-1998 | Modèle:FRA-d Moussa Bezaz |
| 25 | 1998-2009 | Modèle:FRA-d Laurent Bénier |
| 26 | 2009-dec. 2014 | Modèle:FRA-d Fabien Tissot |
| 27 | dec. 2014-2016 | Modèle:FRA-d Laurent Bénier (2) |
| 28 | 2016-2021 | Modèle:FRA-d Xavier Collin |
| 29 | 2021-2022 | Modèle:FRA-d Pascal Moulin |
| 30 | 2022- | Modèle:FRA-d Fabien Tissot |
Présidents
Le premier président est Fernand Prud'homme, largement à l'origine de la fusion des deux anciens clubs spinaliens<ref group="C" name="p87" />. Ce dernier se retire définitivement en 1948, année de la première saison du club en CFA.
En 1963, alors que le SAS évolue en promotion, Modèle:Me Georges Cousin succède à Camille Gelleray à la présidence<ref name="epinal-lyon">Modèle:Lien web</ref>. Modèle:Me Cousin amène son club de la Promotion à la Division 2 avant de Modèle:Citation en 1977 à Roger Staub. Il reste au club et devient président d'honneur<ref group="B" name="p38">Modèle:Harvsp</ref>.
L'ancien président des Sports réunis déodatiens Jacques Neboux<ref group="C" name="p184">Modèle:Harvsp</ref> prend la présidence du SAS en 1986, après avoir été sollicité par le député-maire d'Épinal Philippe Séguin<ref group="C" name="p289">Modèle:Harvsp</ref>. Véritable personnalité du football vosgien, Neboux va restructurer le club et apporter son soutien à l'entraîneur Pierre Pleimelding, ce qui permettra notamment la remontée en Division 2, une décennie après la dernière saison des Spinaliens à ce niveau<ref group="C" name="p289" />. Neboux se retire en 1997, souhaitant à son tour Modèle:Citation<ref group="A" name="p135" />.
Dans les années 2000, le président du Stade athlétique spinalien est Denis Collot. Celui-ci quitte le club en cours de saison 2006-2007<ref name="retour">Modèle:Lien web</ref>. À partir de février 2007, la présidence du club est assurée par l'avocat Stéphane Viry<ref>Modèle:Lien web</ref>. Yves Bailly, directeur de l'usine Norske Skog de Golbey lui succède en 2013<ref>Modèle:Lien web</ref>.
| # | Période | Nom |
|---|---|---|
| 1 | 1941-1945 | Modèle:FRA-d Fernand Prud'homme |
| 2 | 1945-1946 | Modèle:FRA-d P. Deronne |
| 3 | 1946-1948 | Modèle:FRA-d Fernand Prud'homme |
| 4 | 1948-1950 | Modèle:FRA-d Modèle:Dr Bodenreider |
| 5 | 1950-1963 | Modèle:FRA-d Camille Gelleray |
| 6 | 1963-1977 | Modèle:FRA-d Modèle:Me Georges Cousin |
| 7 | 1977-1978 | Modèle:FRA-d Roger Staub |
| 8 | 1978-1981 | Modèle:FRA-d R. Haffemeyer |
| 9 | 1981-1983 | Modèle:FRA-d G. Weltzer |
| 10 | 1983-1986 | Modèle:FRA-d B. Mathieu |
| 11 | 1986-1997 | Modèle:FRA-d Jacques Neboux |
| 12 | 1997-1998 | Modèle:FRA-d T. Schick |
| 13 | 1998-2001 | Modèle:FRA-d Eric Staub |
| 14 | 2001-2007 | Modèle:FRA-d Denis Collot |
| 15 | 2007-2013 | Modèle:FRA-d Modèle:Me Stéphane Viry |
| 16 | Depuis 2013 | Modèle:FRA-d Yves Bailly |
Effectif Actuel (Saison 2022-2023)
Identité du club
Rivalités
Dans les années 1970, en Division 2, le club rencontre l'Association sportive Nancy-Lorraine de Michel Platini lors de derbys mémorables<ref group="B" name="p36" />.
À cette période, les derbys vosgiens contre les SR Saint-Dié constituent également des moments forts du championnat<ref group="B" name="p36" />. En 1976, le club déodatien, alors dernier du groupe B de Division 2, est la première équipe à battre le SA spinalien en championnat cette saison<ref group="B" name="p37">Modèle:Harvsp</ref>. Le début des années 1970 est également marqué par les derbys contre le Club sportif Vittellois<ref group="C" name="p192">Modèle:Harvsp</ref>. En 1972, le derby aller à la Colombière est le théâtre d’échauffourées entre un joueur vittellois et des supporteurs spinaliens<ref group="C" name="p193">Modèle:Harvsp</ref>.
Couleurs et évolutions du blason
Les couleurs du Stade athlétique spinalien sont le jaune et le bleu.
Le blason historique du Stade athlétique spinalien date des années 1940<ref name="racingstub">Modèle:Lien web</ref>. C'est un écusson surmonté d'une représentation simplifiée du Château d'Épinal, l'un des symboles de la ville. En outre, les infrastructures sportives du club sont situées à proximité des ruines du château<ref>Modèle:Pdf Modèle:Lien web</ref>. La première version connue est divisée en deux parts égales, celle de droite entièrement colorée en jaune, avec la lettre S en bleu par-dessus ; la part de gauche étant quant à elle à rayures blanches et bleu foncé, sur lesquelles est inscrite la lettre A<ref name="racingstub" />. Sur la tour du château est inscrit « Épinal » et sur sa base « football ».
Dans les années 1970, le logo est modernisé, adoptant des courbes plus claires. Ce sont désormais les lettres SAS qui sont mises en exergue au centre de l'écusson : bleues à gauche, jaunes à droite. Les rayures blanches et bleues sont abandonnées au profit d'un bleu uni<ref>Modèle:Lien web</ref>. Le mot « football » disparait tandis que le mot « Épinal » est déplacé au centre de l'écusson. En 1998, le logo est à nouveau changé pour une version proche de l'original des années 1940 : les mots « football » et « Épinal » réaparaissent à leurs emplacements originaux, ainsi que les rayures blanches et bleues<ref name="racingstub" />.
Toutefois, en novembre 2011, le club se décide pour un logo en rupture totale, les lettres SAS étant calligraphiées en minuscule dans une police moderne, dans un bleu différent de l'original, au-dessus du mot « football », également en minuscules. Le nom « Épinal » apparaît en majuscule<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Le Modèle:Date-, jour du 80ème anniversaire du club : révélation de la nouvelle identité graphique du SAS Football à la suite d'un concours lancé fin 2020 qui avait ouvert la possibilité à l’ensemble des amoureux du club de repenser le logo actuel. Mr Alan GRAND-GIRARD, Spinalien de 23 ans, passionné de graphisme depuis l’adolescence est le vainqueur désigné par le Comité de sélection, composé des membres du Conseil d'administration, du manager général et son adjoint, du coordinateur du foot à 11, du responsable de la section féminine, des représentants des groupes de supporters.
Les objectifs de ce nouveau logo sont de retrouver l’identité forte du club et de la ville, d’incarner les valeurs et l’ambition du club et de répondre enfin aux codes graphiques actuels.
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Ancien logo du club.
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Logo entre 2011 et 2021.
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Logo depuis 2021.
Dénomination du club
En 1941, le nouveau Stade Athlétic spinalien récupère le numéro d'affiliation FFF de l'Athlétic Club Spinalien. Le club conserve cette dénomination jusqu'en 1991, date à laquelle il est renommé Stade athlétique spinalien football club<ref name="nom">Modèle:Lien web</ref>.
En 1993, le SAS FC est renommé Stade athlétique Épinal, ceci jusqu'au dépôt de bilan de la SAOS en 1998<ref name="nom" />. Depuis, le club adopte le nom officiel de Stade athlétique spinalien<ref name="nom" />.
Affluences et supporters
Les affluences du SAS dépendent largement du championnat dans lequel il évolue. En 1974, la montée en Division 2 démultiplie les affluences<ref group="A" name="p134" />, le club spinalien y réalise les meilleures affluences de son histoire. Paradoxalement, tandis que les résultats s'améliorent, les affluences diminuent lentement<ref group="A" name="p134" />. Dans les années 1980, les affluences connues sont proches des Modèle:Nombre, voire inférieures.
Le record d'affluence à un match du club remonte au Modèle:Date, quand Modèle:Nombre assistent au derby contre l'Association sportive Nancy-Lorraine menée par le jeune Michel Platini<ref group="B" name="p36" />. La meilleure progression se fait entre la saison 1973-1974 et la saison 1974-1975 : de Modèle:Nombre en Division 3, on passe à 4 075 en Division 2<ref>Modèle:Lien web</ref>, meilleure affluence moyenne du SA Spinalien, soit une hausse de 129 %. La plus forte baisse se fait entre la saison 1977-1978 et la saison 1978-1979 : de Modèle:Nombre en Division 2<ref>Modèle:Lien web</ref>, on passe à 2 011 en Division 3 l'année suivante<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les affluences se rapprochent à nouveau des Modèle:Nombre en moyenne à la fin des années 1980 et dans les années 1990<ref>Modèle:Lien web</ref>, quand le club retrouve la Division 2, avec toutefois de fortes baisses lors des saisons passées en National 1 et National. Après le dépôt de bilan, le club réalise ses plus basses affluences connues ; les retours en National entraînant toutefois des regains d'intérêt pour le club<ref>Modèle:Lien web</ref>.
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ImageSize = width:448 height:232 PlotArea = left:42 right:10 top:1 bottom:20 TimeAxis = orientation:horizontal AlignBars = justify DateFormat = yyyy Period = from:1972 till:2016 ScaleMajor = unit:year increment:10 start:1972
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color:grisclair width:0.5 # repères et légende axe vertical (nombre de spectateurs) bar:8 color:white from:start till:end bar:7 color:grisfonce from:start till:end bar:6 from:start till:end bar:5 color:grisfonce from:start till:end bar:4 from:start till:end bar:3 color:grisfonce from:start till:end bar:2 from:start till:end bar:1 color:grisfonce from:start till:end
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layer:front color:couleurcourbe width:1 # courbe d'affluence points:(42,83)(51,65) # 1972: 2 114 s. à 1973: 1 492 s. points:(51,65)(60,73) # 1973: 1 492 s. à 1974: 1 779 s. points:(60,73)(69,142) # 1974: 1 779 s. à 1975: 4 075 s. points:(69,142)(78,131) # 1975: 4 075 s. à 1976: 3 724 s. points:(78,131)(87,122) # 1976: 3 724 s. à 1977: 3 414 s. points:(87,122)(96,117) # 1977: 3 414 s. à 1978: 3 260 s. points:(96,117)(105,80) # 1978: 3 260 s. à 1979: 2 011 s. points:(105,80)(114,52) # 1979: 2 011 s. à 1980: 1 078 s. points:(114,52)(123,46) # 1980: 1 078 s. à 1981: 865 s. points:(123,46)(159,53) # 1981: 865 s. à 1985: 1 107 s. points:(159,53)(168,44) # 1985: 1 107 s. à 1986: 808 s. points:(168,44)(177,41) # 1986: 808 s. à 1987: 690 s. points:(177,41)(186,56) # 1987: 690 s. à 1988: 1 190 s. points:(186,56)(195,44) # 1988: 1 190 s. à 1989: 817 s. points:(195,44)(204,62) # 1989: 817 s. à 1990: 1 421 s. points:(204,62)(213,75) # 1990: 1 421 s. à 1991: 1 850 s. points:(213,75)(222,77) # 1991: 1 850 s. à 1992: 1 919 s. points:(222,77)(231,56) # 1992: 1 919 s. à 1993: 1 190 s. points:(231,56)(240,34) # 1993: 1 190 s. à 1994: 482 s. points:(240,34)(249,44) # 1994: 482 s. à 1995: 819 s. points:(249,44)(258,82) # 1995: 819 s. à 1996: 2 071 s. points:(258,82)(267,70) # 1996: 2 071 s. à 1997: 1 672 s. points:(267,70)(276,41) # 1997: 1 672 s. à 1998: 720 s. points:(276,41)(339,32) # 1998: 720 s. à 2005: 396 s. points:(339,32)(348,28) # 2005: 396 s. à 2006: 264 s. points:(348,28)(357,30) # 2006: 264 s. à 2007: 320 s. points:(357,30)(384,30) # 2007: 320 s. à 2010: 332 s. points:(384,30)(393,35) # 2010: 332 s. à 2011: 502 s. points:(393,35)(402,69) # 2011: 502 s. à 2012: 1 643 s. points:(402,69)(411,46) # 2012: 1 643 s. à 2013: 859 s.
color:black width:3 # points du nombre de spectateurs points:(42,82)(42,84) # 1972: 2 114 s. points:(51,64)(51,66) # 1973: 1 492 s. points:(60,72)(60,74) # 1974: 1 779 s. points:(69,141)(69,143) # 1975: 4 075 s. points:(78,130)(78,132) # 1976: 3 724 s. points:(87,121)(87,123) # 1977: 3 414 s. points:(96,116)(96,118) # 1978: 3 260 s. points:(105,79)(105,81) # 1979: 2 011 s. points:(114,51)(114,53) # 1980: 1 078 s. points:(123,45)(123,47) # 1981: 865 s. points:(159,52)(159,54) # 1985: 1 107 s. points:(168,43)(168,45) # 1986: 808 s. points:(177,40)(177,42) # 1987: 690 s. points:(186,55)(186,57) # 1988: 1 190 s. points:(195,43)(195,45) # 1989: 817 s. points:(204,61)(204,63) # 1990: 1 421 s. points:(213,74)(213,76) # 1991: 1 850 s. points:(222,76)(222,78) # 1992: 1 919 s. points:(231,55)(231,57) # 1993: 1 190 s. points:(240,33)(240,35) # 1994: 482 s. points:(249,43)(249,45) # 1995: 819 s. points:(258,81)(258,83) # 1996: 2 071 s. points:(267,69)(267,71) # 1997: 1 672 s. points:(276,40)(276,42) # 1998: 720 s. points:(339,31)(339,33) # 2005: 396 s. points:(348,27)(348,29) # 2006: 264 s. points:(357,29)(357,31) # 2007: 320 s. points:(384,29)(384,31) # 2010: 332 s. points:(393,34)(393,36) # 2011: 502 s. points:(402,68)(402,70) # 2012: 1 643 s. points:(411,45)(411,47) # 2013: 859 s.
- échelle de temps: le graphe commence à 1972 = 42 px, ensuite chaque année fait 9 px jusqu'à 2016 = 42+3x44 = 174 px
- échelle du nombre de spectateurs : le graphe va de 20px à 229px, donc 0 hab. = 20px et 1 habitant fait 209/7000 = 0.029857 pixel
- et donc l'ordonnée (nombre de spectateurs) des points est y = 20 + nb(habitants) x 0.029857
- Courbe réalisée avec l'aide du modèle modèle:Générateur de code de courbe d'affluence
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Notes et références
Notes
Références issues du livre Dictionnaire historique des clubs de football français
Références issues de la plaquette Stade Athlétique Spinalien - Saison 92-93
Références issues du livre La gloire du football lorrain
Autres références
Voir aussi
Bibliographie
Liens externes
Modèle:Autres projets Modèle:Liens
- La fiche du club sur le site footballenfrance.fr
- Site des supporters consacré à l'histoire et à l'actualité du club
- La fiche du club sur le site les-sports.info
- Modèle:Lien web
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