Vézelise
Modèle:Infobox Commune de France
Vézelise est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle, en Lorraine, dans la région administrative Grand Est.
Géographie
Localisation
Vézelise se situe à une petite trentaine de kilomètres au sud de Nancy, au cœur du pays du Saintois dont le village est par ailleurs la capitale. Son surnom de « pot de chambre de la Lorraine »<ref>Modèle:Ouvrage.</ref> vient de la présence, au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, de tanneries qui exhalaient des mauvaises odeurs<ref>Vézelise : les traces d’un passé prospère, Jean-Christophe VINCENT, l'Est Républicain 25/08/2015, consulté le 07/03/2021</ref>Modèle:;<ref>Savez-vous quelle commune était surnommée "le pot de chambre de la Lorraine" ? L'ESt Républicain, 22/11/2020, consulté le 07/03/2021</ref>.
Géologie et relief
Vézelise est située dans un creux, à l'endroit du confluent du Brénon et de l'Uvry.
Hydrographie et les eaux souterraines
Hydrogéologie et climatologie : Système d’information pour la gestion des eaux souterraines du bassin Rhin-Meuse :
- Territoire communal : Occupation du sol (Corinne Land Cover); Cours d'eau (BD Carthage),
- Géologie : Carte géologique; Coupes géologiques et techniques,
- Hydrogéologie : Masses d'eau souterraine; BD Lisa; Cartes piézométriques.
Cours d'eau traversant la commune :
- Le Brenon<ref>Le Brenon</ref>.
- Ruisseau d'Uvry<ref>Ruisseau d'Uvry</ref>.
- Ruisseau de la Tuilotte<ref>Ruisseau de la Tuilotte</ref>.
Sismicité
Commune située dans une zone 1 de sismicité très faible<ref>Informations sur les risques naturels et technologiques</ref>.
Modèle:Section communes limitrophes d'article de commune de France
Urbanisme
Typologie
Vézelise est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (84,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (43,5 %), prairies (31,7 %), zones urbanisées (10,2 %), zones agricoles hétérogènes (7,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5 %), forêts (2,4 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Toponymie
Nom de personne romain Visellius et suffix -ensem (domaine)<ref>Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Genève, 1990, n° 10103, p. 617.</ref>.
Histoire
Moyen Âge
La première trace écrite de Vézelise date de 960, dans laquelle est mentionnée son église. Un siècle plus tard, en 1071, Vézelise devient la capitale du comté de Vaudémont et à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, elle se dote de remparts (qui seront plus tard détruits) ce qui fait d'elle une véritable petite place forte. De nombreuses guerres éclatent entre le comté de Vaudémont et le duché de Lorraine. En 1439, Vézelise est assiégé par les Lorrains : Modèle:Citation<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
En 1473, le mariage du comte de Vaudémont Modèle:Souverain3 et de la fille du duc René d'Anjou, Yolande, réconcilie les deux camps et le comté de Vaudémont est alors rattaché au duché de Lorraine. Malgré cette réunification, la ville garde les coutumes propres à l'ancien comté de Vaudémont jusqu'en 1723, date où le duc Léopold décide d'appliquer la coutume lorraine à Vézelise.
Époques moderne et contemporaine
Elle fut chef-lieu de district de 1790 à 1795.
Vézelise est surtout connue pour sa bière qui a été introduite pour la première fois en 1863 par Antoni Moreau (né en 1837 à Battigny et mort en 1903) et qui a été exportée dans toute la France et dans tout l'Empire colonial français grâce à la ligne de chemin de fer Nancy-Vézelise-Mirecourt. La production de bière, qui est montée. jusqu'à Modèle:Unité par an, est arrêtée depuis 1971. Antoni Moreau, est considéré comme un des pères de la brasserie française<ref>Le grand livre de la bière en Lorraine, Philippe Voluer, Ed. Pl. Stanislas</ref>, et connu comme un des fondateurs de l'école de brasserie de Nancy, organisme qui deviendra l'IFBM.
Politique et administration
Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Population et société
Démographie
Évolution démographique
Modèle:Population de France/section
Enseignement
Établissements d'enseignements<ref>Établissements d'enseignements</ref> :
- Écoles maternelles et primaire Marie-Marvingt.
- Collège Robert-Géant.
- Lycées à Pont-Saint-Vincent, Villers-lès-Nancy, Mirecourt, Vandœuvre-lès-Nancy.
Santé
Professionnels et établissements de santé<ref>Professionnels et établissements de santé</ref> :
- Médecins à Vézelise, Tantonville, Voinémont, Haroué, Pulligny.
- Pharmacies à Vézelise, Haroué, Pulligny, Diarville, Flavigny-sur-Moselle.
- Hôpitaux à Neuves-Maisons, Charmes, Vandoeuvre-lès-Nancy, Mirecourt.
Cultes
- Culte catholique, Paroisse Notre Dame en Saintois<ref>Paroisse Notre Dame en Saintois</ref>, Diocèse de Nancy et Toul.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Édifices civils
- Château dit le Fief de Bellefontaine, actuellement gendarmerie érigé en 1595 en faveur probablement de François Alix, fils de Thierry Alix dont la maison avait été anoblie en 1554 par Charles III de Lorraine. C'était un petit château flanqué de tours aux angles, entouré de murs et pourvu d'une belle fontaine qui a donné son nom au fief ; la propriété fut vendue au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle à un sieur J.-P. Lette qui en fit un dépôt de diligences ; la ville l'acquit en 1905, démolit la demeure et fit construire la gendarmerie actuelle.
- Fortifications et château ruiné pendant la guerre de Trente Ans et fortifications rasées<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>. De l'ancien édifice, démantelé en 1636 sur l'ordre de Richelieu, il ne reste rien de visible ; seul son emplacement est connu avec certitude : l'ensemble s'inscrivait dans un triangle formé par le confluent du Brénon et de l'Uvry ; la façade principale correspondant à la base de ce triangle donnait sur l'actuelle place de l'Hôtel-de-Ville. La porte sur le Brénon, la tour le Comte, le château ; le donjon ; la tour du chien avec un toit en poivrière ; la tour des Sarrasins avec un toit en poivrière également, derrière la tour le Comte ; la tour Nyberte, crénelée ; la porte Saint-Côme sur l'Uvry ; l'église mère de Vézelise au Haut du Plain ; la tour Gabion, crénelée ; la tour Malconeste ; la porte Notre-Dame.
- Gare de Vézelise, construite en 1872 par la Compagnie des chemins de fer de Nancy à Vézelise, puis exploitée par la Compagnie des chemins de fer de l'Est<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>
- Les halles de bois datant du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle (mais leur existence première remonte au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle), construites par Nicolas La Hière sous l'ordre du duc Charles III ; elles furent endommagées lors d'un bombardement le Modèle:Date-, mais remises en leur état d'origine. Les halles, la mairie et le tribunal dit auditoire sont classés au titre des monuments historiques par arrêté du Modèle:Date-<ref name=Halles>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
- La maison du bailliage, de style Renaissance, ancien palais de justice datant de 1561 sous Charles III, aujourd'hui annexe de la mairie, appelé « Palais de justice » en raison de la devise gravée au-dessus de sa porte d'entrée : Modèle:Langue (« la loi est plus forte que le pouvoir »). Elle est classée au titre des monuments historiques par arrêté du Modèle:Date-<ref name=Baillage>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
- L'hôtel du Bailli (ou hôtel de Tavagny ou hôtel de Bassompierre)<ref>Modèle:Base PalissyTableau : l'hôtel de Tavagny à Vézelise</ref>, construit en 1546 par François de Tavagny, est inscrit sur l'inventaire supplémentaire des monuments historiques par arrêté du Modèle:Date-<ref name=Tavagny>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
- Relais de poste, gendarmerie, actuellement maison particulière. La brigade de Vézelise est créée en 1699 ; elle occupera l'ancien relais de poste jusqu'en 1903.
- Hôpital Saint-Charles, hospice, maison de retraite Saint-Charles. Il y avait à Vézelise une bâtisse qui servait d'hôpital, sise devant le portail de l'église. Sa capacité d'accueil étant devenue insuffisante, on décida en Modèle:Date- d'acquérir un terrain à l'intention d'y construire un nouveau bâtiment, qui - curieusement - s'éleva à l'intérieur des fortifications de la ville, près de la porte Notre-Dame.
- Statue du Pot de chambre, située en façade du restaurant « L'hôtel de Lorraine ».
- Moulin de Vézelise<ref>Modèle:Base PalissyTableau : le Moulin de Vézelise</ref>.
-
Le clocher tors de l'église Saints-Côme-et-Damien. -
Portail de l'église. -
Les halles de 1599. -
Les halles, vue intérieure.
Édifices religieux
- Église Saints-Côme-et-Damien, de style gothique, date des Modèle:S mini et Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle (elle fut consacrée le Modèle:Date-). Haute de 70 mètres, elle possède de beaux vitraux du début du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle et un orgue remarquable, construit en 1775 par Küttinger, l'un des meilleurs facteurs lorrains de l'époque. L'église a aussi un clocher tors et un portail en bois sculpté du Modèle:S mini, financé par le duc Antoine. Elle fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le Modèle:Date<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
- Parmi les vitraux anciens<ref>Modèle:Base Mémoire</ref>,<ref>Modèle:Base Mémoire</ref>,<ref>Modèle:Base Mémoire</ref>, l'un d'eux représente Saint-Nicolas dans la posture traditionnelle avec le cuveau et les enfants. Toutefois, Il est imberbe, contrairement aux représentations modernes du saint. Plusieurs vitraux anciens de la même époque représentent aussi Saint-Nicolas sans barbe<ref>Modèle:Base PalissyVerrières : Scènes du Nouveau Testament, Saint Nicolas, Sainte Barbe, Duc René et le cardinal Nicolas-François (Le)</ref>.
- Orgue de tribune de Kuttinger Georges<ref>Modèle:Base PalissyOrgue de tribune : buffet d'orgue</ref>,<ref>Modèle:Base PalissyOrgue de tribune : partie instrumentale de l'orgue</ref>,<ref>Inventaire de l'orgue</ref>.
- Statue Saint Sébastien<ref>Modèle:Base PalissyStatue : Saint Sébastien</ref>.
- Couvent des capucins, actuellement exploitation agricole. Le sieur de Malvoisin, seigneur d'Hammeville, trésorier du duc de Lorraine, avait demandé par testament que l'on édifiât un couvent après sa mort, qui advint en 1583, pour le repos de son âme ; cette volonté fut réalisée en 1632, La ville offrant le terrain.
- Les capucins œuvrèrent à Vézelise jusqu'à la Révolution. Bien qu'ayant tous choisi de poursuivre leur vie communautaire, les huit frères d'alors furent dispersés. Le couvent fut vendu comme bien national à la famille Collin de Barisien qui le loua pour exploitation, puis le revendit, en 1822 à dom Fréchard, bénédictin de Moyenmoutier-Senones, pour servir de maison-mère aux Frères de la Doctrine Chrétienne, congrégation qu'il venait de fonder. Les frères y créèrent un collège. Après 1830, la congrégation fut dispersée. Elle reprit corps en 1837, étant alors transférée à Sion sous la direction de Léopold Baillard. Après la révocation de ce dernier et de ses frères en 1848, le noviciat fut ramené à Vézelise. En 1860-1862, l'abbé Gondrexon fit construire la chapelle ; le collège prospéra jusqu'en 1868. La propriété fut alors vendue à une communauté de cisterciennes chassées de Suisse par le Kulturkampf et qui l'occupèrent jusqu'en 1906. En 1901, elles furent mises en demeure de quitter leur couvent. Les bâtiments furent convertis après 1909 en exploitation agricole. La chapelle néo-gothique fut incendiée lors d'un bombardement en 1940<ref>Modèle:Base Palissy Tableau : Vézelise après les bombardements de 1940</ref>. Il n'en reste que trois arches ogivales et la base du chevet.
- Couvent de minimes, actuellement hôtel fondé par Didier Virion en 1614 et construit en 1619 ; il abritait une communauté de qui s'occupait de pauvres gens ; la révolution dispersa les religieux et le bâtiment fut vendu comme bien national.
- Couvent de chanoinesses régulières de Saint-Augustin, couvent de sœurs de la congrégation. Didier Virion, résidant à Madrid puis à Rome, manifesta le désir de fonder un couvent de chanoinesses de Saint-Augustin à Vézelise ; le conseil de ville proposa un terrain au Haut du Plain ; quatre religieuses arrivèrent le Modèle:Date-. La maison du Haut du Plain devint vite insuffisante ; les sœurs connurent les épreuves de la guerre, et, leur maison s'étant partiellement effondrée, elles obtinrent de se loger dans un reste de bâtiment provenant du château "ci-devant démoli". À la fin de 1717, une crue subite catastrophique ravagea la ville et l'édifice situé au confluent du Brénon et de l'Uvry. En 1763, un arrêt du Conseil d'état de Lorraine prescrivit une information devant l'évêque de Toul pour la suppression du couvent ; une prolongation fut accordée et le maintien obtenu finalement en 1767. L'inventaire révolutionnaire eut lieu le Modèle:Date- ; les sœurs furent expulsées et les dernières quittèrent le couvent le Modèle:Date-. Il fut occupé par la gendarmerie et était dans un état lamentable quand les religieuses y revinrent en 1822 ; elles restèrent jusqu'en 1852, date à laquelle elles partirent à Lunéville dans la maison dite « le Ménil ». Les bâtiments de Vézelise furent vendus en cinq lots.
- Chapelle Saint-Charles, rue Notre-Dame (maison de retraite).
Randonnées
Deux circuits pédestres de onze et treize kilomètres démarrent à Vézelise<ref>Circuits pédestres</ref>.
Le premier (balisage jaune), passe par le bois de Serres, Houdreville, La traversée du Brénon, Omelmont et la gare de Vézelise. Durée estimée : 2 heures 45.
Le second (balisage rouge) conduit à Ognéville, Étreval, le Brénon et Vroncourt. Durée estimée : 3 heures 15.
Ils sont praticables en VTT.
Les départs peuvent se faire sur le parking du supermarché, route de Mirecourt.
Foire aux célibataires
Une foire aux célibataires avait lieu à Vézelise (en tous cas jusqu'en 1974) <ref>La foire aux célibataires de Vézelise</ref>
Personnalités liées à la commune
- Claude Ballot, argentier de l'évêque de Metz, fut anobli le Modèle:Date-. Sa fille Elizabeth se maria avec Denys Cossu seigneur d'Arincourt. Le fils Jacques était lieutenant de bailli de l'évêché de Metz.
- Jean-Baptiste Salle (né dans la commune en 1759), député du tiers état de Nancy aux États généraux de 1789 et membre Girondin de la Convention en 1792.
- Dominique François Xavier Félix (né en 1763 à Vézelise, mort en 1839), général des armées de la République et de l'Empire.
- Sébastien Bottin (1764-1853), statisticien français, qui développa le premier l'usage des annuaires, descendant d'une famille de Vézelise.
- Nicolas Deleau (1797-1862), médecin chirurgien né à Vézelise, précurseur dans le traitement des maladies de l'oreille.
- Élisabeth Rétiffe (Rose Rétif) (1834-1882), née à Vézelise, cartonnière, militante socialiste, communarde, condamnée à mort, déportée en Guyane<ref>Modèle:Lien web.</ref>, décédée à Saint Laurent du Maroni.
- Modèle:Référence nécessaire
- Hans J. Kullock, musicien, pédagogue et journaliste né en 1947 en République démocratique allemande, fondateur et directeur du MAI, réside dans la commune jusqu'à son décès en 2021<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- Antoni Moreau (1837-1903) et ses fils Louis et Félix, brasseurs à Vézelise dès 1863<ref>Antoni Moreau Brasseur</ref>.
- Maurice Constantin Perrin, chirurgien, né à Vézelise en 1826, mort en 1889<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>
- Joël Huguenin installe une fonderie d'art en 1978<ref>La fonderie d'art Huguenin</ref>.
- Marcel Astorg (1878-1957), artiste peintre et marchand de meubles<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
- Modèle:Référence nécessaire
- François René Cailloux dit Pouget (né en 1767 à Haroué, mort le Modèle:Date- à Vézelise), général des armées de la République et de l'Empire.
Héraldique
Voir aussi
Bibliographie
- Modèle:Lien web
- Livres de Bernard Perrin : Histoire méconnue du canton de Vézelise, tomes I & II, imprimerie Christmann.
- Ouvrage de Guy Gauthier : Le Saintois entre fermes et clochers, 2012.
- Les Randonneurs du Saintois par Simone et Michel Dormagen : Guide de visite - Vézelise 54330, 32p, janvier 2018.
- Modèle:Ouvrage
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie
- Vézelise sur le site de l'Insee
- {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région