Vermand

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Modèle:Infobox Commune de France

Vermand est une commune française située dans le département de l'Aisne, en région Hauts-de-France.

Ses habitants sont appelés les Vermandois.

Modèle:Sommaire

Géographie

Localisation

Modèle:Encadré texte

Vermand est un bourg picard, qui fut au haut Moyen Âge la capitale du Vermandois, auquel il a donné son nom.

Il est situé à Modèle:Unité au nord-ouest de Saint-Quentin, Modèle:Unité au sud-est de Péronne et à Modèle:Unité au sud de Cambrai, et est traversé par l'ancienne route nationale 29 (actuelle RD 1029), qui contourne le secteur urbanisé de la commune.

En 2019, la localité est desservie par les autocars du réseau inter-urbain Trans'80, chaque jour de la semaine, sauf le dimanche et les jours fériés (ligne Modèle:N°, Péronne - Roisel - Saint-Quentin)<ref>Modèle:Lien web).</ref>.

Communes limitrophes

Modèle:Communes limitrophes

Hydrographie

La commune est drainée par les multiples bras de l'Omignon, un affluent en rive droite du fleuve côtier picard la Somme, ainsi que par ses étangs et zones humides. Modèle:Article connexe

Urbanisme

Typologie

Vermand est une commune rurale<ref group=Note>Selon le zonage publié en décembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Quentin, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (84,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (81,8 %), forêts (7,8 %), zones urbanisées (6,7 %), eaux continentales<ref group="Note">Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.</ref> (3,1 %), zones agricoles hétérogènes (0,6 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>.

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

La première mention connue de Vermand remonte à 1131 sous la forme Virmandi<ref>Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Librairie Guénégaud, Paris, 1989, page 489.</ref>.

Ce nom provient de celui de la tribu gauloise des Viromanduens dont l'oppidum de Vermand était très certainement le chef-lieu avant la conquête romaine. Remplacée par Augusta Viromanduorum, c'est-à-dire l'Auguste des Viromanduens (actuelle Saint-Quentin), fondée au Ier siècle et nommée ainsi en l'honneur d'Auguste, premier empereur romain. Vermand redevient probablement la capitale pour un moment au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, à la suite de la ruine de Saint-Quentin. C'est la période où le nom initial de la civitas est remplacé par celui du peuple (c.f. Lutecia des Parisii > Paris). On ignore l'ancien nom que devait porter Vermand avant la substitution.

Fichier:Camp de Vermand légionnaires 35045.jpg
Frise avec légionnaires du camp de Vermand, 1877, dessin de Édouard Fleury.

Les Viromanduens ont également laissé leur nom au Vermandois et à Vermandovillers dans la Somme, ainsi qu'à Villemandeur dans le Loiret<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

On reconnait dans le nom des Viromandui les termes gaulois viro et mandus. Ce dernier signifie cheval, poney, mais le premier a deux sens différents : homme ou vrai<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Les Viromandui sont donc soit les hommes-chevaux (les Centaures), soit les vrais-chevaux. Le premier sens semble plus vraisemblable pour le nom d'un peuple, d'autant que le thème des chevaux à tête humaine est très fréquent chez les Celtes (notamment sur les monnaies de l'ouest de la Gaule)<ref>Modèle:Ouvrage</ref>, avec une référence guerrière très probable.

Histoire

Antiquité

Fichier:Vermand oppidum (panneau informatif) 1.jpg
Panneau informatif présentant l'oppidum.

À l'époque de la conquête romaine, les Gaulois de la région se nommaient les Viromandui qui appartenaient au groupe des Belgae, les Belges. Ceux-ci étaient issus d'une vague d'immigration celte du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle avant notre ère et étaient principalement installés dans le Nord de la Gaule. César signale la combativité et la bravoure des Belges. Il affronte la coalition des Nerviens (Bavay - Hainaut), Atrebates et Viromanduens près de la rivière Sabis (localisation discutée), au cours d'une bataille difficile où les Romains finirent par l'emporter.

L'oppidum de Vermand est le seul qui soit connu pour les Viromanduens. Sur le panneau informatif ci-contre, les quelques marches visibles en arrière-plan et le pignon de la maison derrière le talus permettent une estimation de sa hauteur. Il semble probable qu'il constituait leur place forte principale. En tout cas, c'était vraisemblablement le chef-lieu de ce peuple dans les années qui suivirent la conquête, jusqu'à la fondation d'un nouveau chef-lieu à Saint-Quentin : Augusta Viromanduorum.

Ce changement n'empêcha pas le développement à Vermand d'un vicus gallo-romaine prospère, centre d'une importante production de poterie<ref>Photographie aérienne du quartier antique du Calvaire</ref>. Un grand ensemble religieux comprenant plusieurs temples a été révélé par les prospections aériennes à Marteville.

Au Bas-Empire, à la fin du Modèle:S mini- ou au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, il semble que Vermand soit redevenue le chef-lieu des Viromandui, en raison de la ruine d'Augusta<ref>Modèle:Article.</ref>. C'est ce qui explique son nom qui signifie « chez les Viromandui » (formé sur le nom du peuple, à l'ablatif pluriel, à sens locatif, cas de la langue indo-européenne qui survivait encore dans le latin). À cette époque, beaucoup de chefs-lieux changèrent de nom : ils prirent celui du peuple dont ils étaient la ville principale. Il est donc probable que les premiers évêques du Vermandois résidaient dans cette ville avant le transfert du siège épiscopal à Noyon au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.

Modèle:Article connexe

Moyen Âge

Fichier:Vermand-Eglise10.jpg
L'église en 1869.
Dessin de Joachim Malézieux (1851-1906).

Le sort de Vermand durant l'époque mérovingienne n'est pas établi avec certitude : restait-elle la capitale du Vermandois, ou Saint-Quentin, qui bénéficiait du pèlerinage sur le tombeau de son célèbre martyr, l'avait-elle déjà supplantée ? Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, la situation s'éclaire : les comtes de Vermandois résident à Saint-Quentin et Vermand a perdu toute importance. Ce n'est plus qu'un village.

Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, une communauté religieuse est installée par l'évêque de Noyon ; au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, elle devient l'abbaye de Vermand, de l'ordre des Prémontrés, qui sera supprimée à la Révolution.

La seigneurie était partagée principalement entre les évêques de Noyon et les comtes de Vermandois (puis le roi de France, qui la céda en 1291 au chapitre de Saint-Quentin).

Autrefois, il existait un pèlerinage à saint Blaise pour les maux de gorge.

Époque moderne

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}}

}}, les Espagnols envahirent le Nord de la France. Le Vermandois connut une période d'instabilité avec le passages des armées françaises et espagnoles.

Carte de Cassini

Fichier:Vermand Cassini1.jpg
Carte de Cassini du secteur vers 1750.


La carte de Cassini ci-dessus montre qu'au milieu du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, Vermand était une paroisse située sur la rive droite de l'Omignon.
Des étangs ont été aménagés sur la rivière grâce a des barrages pour permettre la pêche. L'ancien moulin à eau, siège actuel du musée, était en activité à l'époque dans le bas du village.
L'abbaye des moines bénédictins, fondée au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle et qui fut détruite à la Révolution française, est représentée sur la carte.
Les trois hameaux de la commune, Villecholes, Bihécourt et Soyécourt (Soyaucourt) figurent sur cette carte ainsi que trois moulins à vent en bois aujourd'hui disparus.
La route pavée venant de Saint-Quentin s'arrêtait alors au niveau de l'abbaye. Elle fut prolongée par la suite au nord du village pour rejoindre celle allant vers Amiens.

Époque contemporaine

Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, arrivée du chemin de fer

De 1880 à 1970, Vermand comptait deux gares ; celle de Bihécourt, qui est de nos jours une habitation, et celle située rue de la Gare dans le hameau de Marteville et qui est aujourd'hui à l'état d'abandon. Elles étaient situées sur la ligne de chemin de fer de Vélu-Bertincourt à Saint-Quentin, qu'on dénommait en picard « 'ch'tiot Vélu », qui appartenait à la Compagnie des Chemins de fer du Nord. Ouverte en 1880, cette ligne a fonctionné jusqu'au Modèle:Date- pour le trafic voyageurs et au Modèle:Date- pour le fret.

À une époque où le chemin de fer était le seul moyen collectif rapide de déplacement, cette gare était très utilisée par les habitants pour se rendre à Roisel ou Saint-Quentin et servait aussi au transport de marchandises, notamment des betteraves jusqu'à la râperie de Montigny. Modèle:Article détaillé

La guerre de 1914-1918

Le Modèle:Date-, moins d'un mois après la déclaration de guerre, Vermand voit l’arrivée des premiers Allemands<ref>Modèle:Lien web</ref> après la retraite de l'armée française. Un grand nombre de Vermandois fuient devant l’ennemi, mais reviennent chez eux quelques jours plus tard.

Pendant 30 mois, le village se trouve en arrière du front allemand qui est stabilisé à une vingtaine de kilomètres à l'ouest, vers Péronne. Pendant cette période, les habitants connaissent la dure loi des occupants. Vermand est classé « zone des armées », une kommandantur s'installe en novembre 1914. Des milliers d'Allemands passeront ou s'installeront à Vermand, logeant chez l'habitant ou dans les édifices publics. Métaux, cuivres, argenterie, matelas, armes, céréales, animaux, tout est réquisitionné par l'occupant. Des arrêtés de la kommandantur obligent, à date fixe, sous la responsabilité du maire et du conseil municipal, la population à fournir sous peine de sanctions : blé, œufs, lait, viande, légumes, destinés à nourrir les soldats du front. La commune doit verser Modèle:Unité tous les trois mois comme impôt de guerre. Toutes les personnes valides devaient effectuer des travaux agricoles ou d'entretien. Voici des extraits d'un arrêté de la kommandantur d'Holnon valable pour 25 communes de la région : « Holnon le 22 juillet 1915. Tous les ouvriers et les femmes et les enfants de quinze ans sont obligés de faire travaux des champs tous les jours aussi dimanche de quatre heures du matin jusque huit heures du soir… Après la récolte les fainéants seront emprisonnés six mois. Les femmes fainéantes seront exilées à Holnon pour travailler. Après la récolte, les femmes seront emprisonnées six mois… Les enfants fainéants seront punis de coups de bâton. De plus le commandant réserve de punir les ouvriers fainéants de vingt coups de bâton tous les jours… Les ouvriers de la commune Vendelles sont punis sévèrement<ref>Modèle:Article.</ref> ».

En février 1917, le général Hindenburg décide de créer une ligne défense à l'arrière du front ; lors du retrait des troupes allemandes, tous les villages devaient être détruits pour ne pas servir d'abris aux troupes franco-anglaises. Le 15 février, les habitants furent conduits à la gare de Vermand, installés dans des wagons à bestiaux, emmenés à Saint-Quentin et dispersés dans des lieux occupés, jusqu'en Belgique. En mars 1917, avant le retrait des troupes allemandes sur la ligne Hindenburg, le long du canal de Saint-Quentin, toutes les maisons sont pillées et incendiées, le village est détruit. L'église, la mairie, les écoles et toutes les habitations sont dynamités et les arbres sciés à 1 m de hauteur Modèle:Article connexe

Le village est pris le Modèle:Date- par les troupes britanniques<ref>Modèle:Article.</ref>, mais par la suite, il change plusieurs fois de camp : ce n'est que le Modèle:Date- que Vermand est définitivement libérée par les Britanniques<ref>Modèle:Article.</ref>.

Entre-deux-guerres

Le village est considéré comme détruit à la fin de la guerre<ref name="CSRD">Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.</ref>. Après l'Armistice, nombre d'habitants ne reviennent pas s'installer à Vermand, mais, grâce aux indemnités pour dommages de guerre, commencent une nouvelle vie en d'autres lieux. Pour les autres commence une longue période de plus de dix ans de reconstruction des habitations (maisons provisoires), des fermes, des bâtiments publics, des routes. De Modèle:Unité en 1911, Vermand n'en comptait plus que 988 en 1921.

Le Modèle:Date-, vu les souffrances endurées par la population pendant les trois années d'occupation et les dégâts aux constructions, la commune se voit décerner la Croix de guerre 1914-1918<ref>Journal officiel du 23 octobre 1920, Modèle:P..</ref>..

Sur le monument aux morts sont inscrits les noms des 36 soldats de Vermand morts pour la France et de 7 civils<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Modèle:Article connexe

Politique et administration

Rattachements administratifs et électoraux

Rattachements administratifs

La commune se trouve dans l'arrondissement de Saint-Quentin du département de l'Aisne<ref name="meta">Modèle:Lien web.</ref>.

Elle était depuis 1790 le chef-lieu du canton de Vermand<ref name="Cassini"/>. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Saint-Quentin-1<ref name="meta"/> Modèle:Article détaillé Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de l'Aisne<ref name="Rattachements-elect">Modèle:Lien web.</ref>. Modèle:Article détaillé

Intercommunalité

Vermand est membre de la communauté de communes du Pays du Vermandois, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1993 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Il est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux<ref>Modèle:Lien web</ref>

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Politique de développement durable

Une association de jardins ouvriers permet depuis l'après-guerre aux habitants de disposer de parcelles à cultiver<ref>Modèle:Article.</ref>.

La commune a offert en 2019 aux habitants des poules, leur permettant de réduire l'importance des déchets alimentaires et de disposer d’œufs frais<ref>Modèle:Article.</ref>.

Population et société

Démographie

Modèle:Article connexe

Modèle:Population de France/section

Enseignement

Modèle:... Les enfants de la commune sont scolarisés au sein d'un regroupement pédagogique concentré qui regroupe 8 communes (Vermand, Attilly, Le Verguier, Jeancourt, Vendelles, Maissemy, Pontru, Pontruet) dans une école située à Vermand et dotée en 2020-2021 de dix classes de la maternelle au CM2<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref> ainsi qu'une cantine<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Ils continuent leur scolarité au collège Marcel-Pagnol, construit au début des années 1970, qui accueille en 2019-2020 Modèle:Unité et qui est en rénovation en 2020-2021<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref>.

Pour les tout petits, l'intercommunalité a mis en place en 2018 un espace multi-accueil, la Grenouille Verte, qui accueille des enfants de deux mois et demis à trois ans<ref>Modèle:Article.</ref>.

Culture

Modèle:... La commune dispose notamment dune médiathèque<ref>Modèle:Article.</ref> et d'une école de musique intercommunale<ref>Modèle:Article.</ref>.

Sports

Modèle:... A Vermand se trouvent notamment une école de football, un judo-club<ref>Modèle:Article.</ref>, un club cycliste<ref>Modèle:Article.</ref> et un centre équestre<ref>Modèle:Article.</ref>.

Un city-stade a été aménagé en 2019 près de la structure petite enfance La Grenouille Verte et de la salle des fêtes municipale<ref>Modèle:Article.</ref>.

Économie

Modèle:... Un marché fermier organisé par la communauté de communes du Pays du Vermandois se tient à Vermand une fois par mois, le vendredi après-midi de mai à octobre<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref>.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Site néolithique

Site archéologique, Groupe de Villeneuve-Saint-Germain, Néolithique ancien<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Atelier de taille de bifaces acheuléens ;

Camp romain

Camp romain classé monument historique en 1840<ref>https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/merimee/PA00115969</ref>, Oppidum des Viromanduens, propriété de la commune : enceinte de type éperon barré, protégée par une levée de terre datant de l'âge du fer réoccupé pendant l'Empire romain (visitable). Modèle:Article détaillé

Autres sites gallo-romains

  • Ville romaine, ateliers de potiers ;
  • Ancienne voie romaine dite chaussée Brunehaut ;
  • Quartier culturel de Marteville : plusieurs temples et nombreux bâtiments ;
  • Plusieurs cimetières du Bas-Empire (plus de 800 tombes fouillées), avec riche sépulture d'un chef d'auxiliaires germaniques [1] (fin {{#switch: - début
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   Modèle:S mini-{{#ifeq: - début|-| – | - début }}Modèle:S mini- siècle

}}).

Musée du Vermandois

Le Musée du Vermandois dans l'ancien moulin dont les origines remontent au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref>Modèle:Article.</ref>. Collections :

  • collections de minéralogie, de paléontologie et de préhistoire ;
  • collection archéologique avec les objets mis au jour dans une nécropole datant de la fin du IVe siècle sur le territoire de Marteville et de Vermand ;
  • collection d'art religieux : avec des habits sacerdotaux, des objets de culte et de piété : baptême, communion solennelle, autel...
  • collection d'uniformes de soldats, officiers et civils, de 1870 à nos jours ;
  • reconstitution de métiers d'antan : ateliers du maréchal-ferrant, du menuisier, du forgeron...

Église Sainte-Marguerite

Église Sainte-Marguerite, reconstruite après la Première Guerre mondiale<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle contient des fonts baptismaux du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref>Photographie des fonts baptismaux</ref> ainsi que des vitraux de Paul Charavel<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref>.

Autres monuments religieux

Monuments aux morts et cimetières militaires

  • Monument aux morts de 1870.
  • Monument aux morts de 1914-1918 et 1939-1945.
  • Monument des guerres d'Algérie 1952-1962.
  • Petit carré militaire français au cimetière communal.
  • Vermand Communal Cemetery, le carré militaire britannique entretenu par la Commonwealth War Graves Commission, avec les tombes de plus de quarante soldats britanniques.

Personnalités liées à la commune

Modèle:...

Héraldique

Modèle:Article connexe Modèle:Blason commune

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes

Modèle:Références

Cartes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références nombreuses

Modèle:Palette

Modèle:Portail