Yvoire

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Modèle:Méta bandeau de note Modèle:Infobox Commune de France

Yvoire (Ivouère en arpitan) est une commune française située dans le département de la Haute-Savoie, dans le canton de Sciez en région Auvergne-Rhône-Alpes.

La commune appartient à la communauté d'agglomération de Thonon-les-Bains. Elle a obtenu plusieurs distinctions : plus beaux villages de France, label « ville fleurie » avec « 4 fleurs » dans le cadre du concours des villes et villages fleuris, « Grand prix national du fleurissement » et médaille d'argent du concours européen du fleurissement. Modèle:Sommaire

Géographie

Fichier:Yvoire. Panorama depuis le port. 2015-06-21.JPG
Panorama depuis le port.

Localisation

Yvoire se trouve en Haute-Savoie dans l'arrondissement de Thonon-les-Bains, sur les rives du lac Léman, à Modèle:Nobr d'Annemasse et de la sortie de l'autoroute.

Yvoire est limitrophe d'Excenevex (à l'est) et de Nernier et Messery à l'ouest.

Géologie et relief

Modèle:…

Hydrographie

Modèle:…

Climat

La station Météo France la plus proche et représentative d'Yvoire est celle d'Evian-les-bains. Modèle:Climat

Voies de communication et transports

Urbanisme

Typologie

Yvoire est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Messery, une agglomération intra-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, dont elle est une commune de la banlieue<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Genève - Annemasse (partie française), dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de Modèle:Unité ou plus (hors Paris)<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

La commune, bordée par un plan d’eau intérieur d’une superficie supérieure à Modèle:Unité, le Léman, est également une commune littorale au sens de la loi du Modèle:Date-, dite loi littoral<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des Modèle:Nb, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (35,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (47,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (34,3 %), zones urbanisées (30,1 %), terres arables (19,9 %), zones agricoles hétérogènes (15,4 %), eaux continentales<ref group="Note">Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.</ref> (0,3 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>.

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web. Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.</ref>.

Toponymie

La première mention de la paroisse apparaît sous la forme Evyre (Modèle:Latin), dans une bulle papale d'Innocent IV, du Modèle:Date-, attachant l'église à l'abbaye de Filly<ref name="Berger">E. Berger, Registres d'Innocent IV, no 4819.</ref>,<ref name="Suter Y">D'après Modèle:Lien web.</ref>. Certains auteurs ont toutefois voulu faire le lien avec le port militaire Modèle:Latin, mentionné dans un texte romain de la fin de l'Empire, sans toutefois avoir de preuve à ce jour<ref name="HCS p.344 a">Modèle:Harvsp.</ref>. Le compte du bailli de Chablais, châtelain d'Evian, de 1291-1292 donne la graphie Yvery<ref>Archives départementales de la Savoie, SA 15247.</ref>. À partir de 1303, on la retrouve mentionnée sous les graphies médiévales Modèle:Latin<ref name="Suter Y"/> et Akwaria, que l'on peut traduire par « lieu où il y a de l'eau ». On trouve finalement durant le Moyen Âge, la forme « becca d'Evère<ref name="Suter Y"/> » en référence à l'édification du village sur un promontoire<ref name="HCS p.344 a"/>.

Selon le site d'Henry Suter, cette forme ancienne d'Yvoire serait à rapprocher d'Evaire, qui désigne « Terrain humide, ou présence de sources », dérivant de l'ancien français éveux, « humide »<ref name="Suter E">D'après Modèle:Lien web.</ref>.

En francoprovençal ou arpitan savoyard, le nom de la commune s'écrit Évêre et se prononce « Évère » (retranscrit selon la graphie semi-phonétique de Conflans)<ref name="Toponyme">Modèle:OuvrageModèle:Commentaire biblio</ref>.

Histoire

Antiquité

Carte montrant le territoire des Allobroges et mentionnant Casuaria.
Territoire des Allobroges, avec mention de Casuaria.

La rive gauche du lac Léman se trouve en territoire allobroge. Ceux-ci contrôlent l'avant-pays plat, entre le Rhône et les Alpes<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Les Romains interviennent dans la région à partir du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle Modèle:Av JCModèle:Vérification siècle. Des traces Modèle:Incise d'une présence romaine ont été trouvées à Yvoire et ses alentours sans toutefois indiquer une implantation importante contrairement à d'anciens sites voisins (Nernier ou Messery)<ref name="HCS p.344 a"/>. Des auteurs ont tenté de voir dans la mention du port militaire Modèle:Latin dans un texte romain de la fin de l'Empire le site d'Yvoire. Les différentes recherches tendent de lui préférer la ville suisse d'Yverdon<ref name="HCS p.344 a"/>.

À Modèle:Unité du château, présence de la « Pierre de l'Equarroz » (de Modèle:Unité de haut et de Modèle:Dunité), « située sur le promontoire dominant le confluent du Foron et du ruisseau de Chavannex »<ref>Actes du Modèle:24e Congrès à Chambéry (1972). Thème : « La vie culturelle et artistique en Savoie à travers les âges », publiés en 1972.</ref>. Il s'agit du versant est du Mont de Boisy, proche du hameau de Chavannex. Selon la tradition, le lieu attirait les riverains pour y faire des sacrifices à Neptune, Neith ou Niton (voir également Pierres du Niton)<ref>Modèle:Article, Modèle:P. et Tradition et histoire dans la culture populaire. Rencontres autour de l'œuvre de Jean-Michel Guilcher, Grenoble, Centre alpin et rhodanien d'ethnologie, 1990, Modèle:P..</ref>.

La Modèle:Latin (452) décrit l'installation des Burgondes dans la province de Sapaudia<ref name="Duparc">Modèle:Article.</ref>. La présence burgonde est avérée sur le territoire de la commune par la découverte de tombes<ref name="HCS p.344 a"/>, sur le site nommé la nécropole des Combes<ref>Joël Serralongue, Cécile Treffort. « Inhumations secondaires et ossements erratiques de la nécropole des Combes, à Yvoire (Haute-Savoie). Analyse archéologique et questions historiques. », pp.105-118, in Jean-Michel Poisson. Actes de la Modèle:2e Rencontre Rhône-Alpes d'archéologie médiévale, décembre 1994, Lyon, France. Centre interuniversitaire d'histoire et d'archéologie médiévales, Centre rhônalpin de documentation sur le château médiéval, 1995, N°spécial de Pages d'archéologie en Rhône-Alpes Modèle:ISSN.</ref>

Période médiévale

L'emplacement stratégique du promontoire avancé dans les eaux, entre le petit et le grand lac, favorise l'édification d'un château dès le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, centre d'une seigneurie<ref name="HCS p.344 a"/>. Aux nobles d'Yvoire, succède la grande famille seigneuriale de Compey<ref name="HCS p.344 a"/>,<ref name="Blondel">Modèle:Ouvrage.</ref>, vassale des comtes de Genève. En 1289, un Anthelme de Compey, présent au traité de Sciez, est seigneur d'Yvoire et se déclare vassal de la baronne Béatrice de Faucigny<ref name="HCS p.344 a"/>.

L'Modèle:Latin dépend de l'abbaye de Filly, comme l'indique une bulle papale d'Innocent IV, du Modèle:Date-<ref name="Berger"/>,<ref name="HCS p.345 b">Modèle:Harvsp.</ref>.

En 1306, le comte Amédée V de Savoie acquiert auprès des héritiers d'Anthelme de Compey le château et le fait « réaménager, reconstruire et fortifier »<ref name="HCS p.344 a"/>,<ref name="Blondel"/>,<ref name="RML 92">Modèle:Ouvrage.</ref>. L'édifice devient une véritable forteresse à la suite des remaniements de 1307-1308, puis de 1325-1326<ref name="HCS p.344 b">Modèle:Harvsp.</ref>. Les fortifications de la ville, débutées peu auparavant, se poursuivent<ref name="HCS p.344 a"/>,<ref name="RML 92"/>. La place devient un point stratégique pour le comte contre ses voisins le comte de Genève et son allié le baron du Faucigny<ref name="RML 92"/>. L'année suivante il prend d'ailleurs le château voisin de Rovorée et le fait raser<ref name="HCS p.344 a"/>.

Le bourg fortifié est accessible par deux portes créées en 1318<ref name="HCS p.345 a">Modèle:Harvsp.</ref>. Il s'agit de « tours quadrangulaires de 5 m sur 6 », appelées « tour de Nernier » orientée vers l'ouest et « tour de Rovorée », à l'est<ref name="HCS p.345 a"/>. Le port de la ville est également défendu par des aménagements<ref name="HCS p.345 a"/>.

Le comte Édouard de Savoie octroie une charte de franchises à la ville en 1324, reprenant le contenu de la charte de la ville d'Aigle, dans le canton de Vaud<ref name="RML 92"/>,<ref name="HCS p.345 a"/>. En 1339, la seigneurie est rattachée au bailliage de Chablais et Genevois<ref name="RML 92"/>. La seigneurie est inféodée dans la seconde moitié du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle à Antoine de Miolans d'Urtières<ref name="HCS p.347">Modèle:Harvsp.</ref>. Suivront une dizaine d'autres familles à la tête de la seigneurie au cours des trois siècles suivants<ref name="HCS p.347"/>.

Malgré l'annexion du Faucigny par la maison de Savoie, le château et le bourg fortifié gardent une importance stratégique dans le conflit qui continue d'opposer les Savoie aux Genève<ref name="HCS p.345 a"/>.

En 1536, la partie nord du duché de Savoie est annexée par les troupes bernoises protestantes. Yvoire est intégré au nouveau bailliage de Thonon. Le culte protestant se développe dans le bourg en raison de la conversion du seigneur, François de Saint-Jeoire-d'Antioche<ref name="HCS p.345 b"/>. Le vieux château est brûlé<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Période moderne

Modèle:...

En 1615, la seigneurie passe à la famille Bouvier, originaire du Bugey, toujours propriétaire du château de nos jours<ref name="HCS p.347"/>. En 1772, la seigneurie est érigée en baronnie<ref name="HCS p.347"/>.

Période contemporaine

Modèle:...

Dès la fin de la Seconde Guerre mondiale, l'agriculture et la pêche laissent place progressivement au tourisme.

Le village d'Yvoire a fêté ses Modèle:Nobr en 2006.

Politique et administration

Tendances politiques et résultats

Modèle:Article connexe

Divisions administratives et électorales

Situation administrative

La commune d'Yvoire, au lendemain de l'annexion de la Savoie à la France de 1860, intègre le canton de Douvaine<ref name="Cassini"/> et l'arrondissement de Thonon-les-Bains.

La commune est membre, avec vingt-quatre autres, de la communauté d'agglomération de Thonon les Bains.

Circonscriptions électorales

Depuis la réforme territoriale de 2014, la commune appartient au canton de Sciez qui regroupe Modèle:Nobr<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Yvoire relève de l'arrondissement de Thonon-les-Bains et de la cinquième circonscription de la Haute-Savoie, dont la députée est Marion Lenne (LREM) depuis les élections de 2017.

Administration municipale

Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 500 et 1 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 15<ref>Modèle:Légifrance.</ref>.

Liste des maires

Fichier:Yvoire-mairie.jpg
La mairie.

Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Population et société

Démographie

Ses habitants sont appelés les Yvoiriens<ref name="sabaudia">Modèle:Lien web.</ref>.

Modèle:Population de France/section

Enseignement

Modèle:…

Manifestations culturelles et festivités

Plusieurs animations ponctuelles ainsi que des artistes de rue s'installent dans le village pour la période estivale :

  • mai : parade vénitienne (l'association Rêveries Vénitiennes offre un spectacle d'élégance et de magie au sein du bourg médiéval durant tout un weekend) ;
  • juin : fête de la Musique ;
  • juillet : Yvoire Jazz Festival; Harley Days;
  • 14 juillet : fête du sauvetage ;
  • octobre : fête de l'âne et marché bio (pour terminer la saison, l'office de tourisme en collaboration avec les associations locales, organise la fête des Ânes.

Santé

Modèle:…

Sports

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Médias

Radios et télévisions

La commune est couverte par des antennes locales de radios dont France Bleu Pays de Savoie, ODS Radio, Radio Chablais… Enfin, la chaîne de télévision locale TV8 Mont-Blanc diffuse des émissions sur les pays de Savoie. Régulièrement l'émission La Place du village expose la vie locale. France 3 et sa station régionale France 3 Alpes, peuvent parfois relater les faits de vie de la commune.

Presse et magazines

La presse écrite locale est représentée par des titres comme Le Dauphiné libéré, L'Essor savoyard, Le Messager - édition Chablais, le Courrier savoyard.

Cultes

Modèle:…

Économie

La principale activité économique de la commune est liée à l'artisanat local et aux activités touristiques : croisière à bord de la navette solaire, traversées et croisières avec la CGN (ligne entre Nyon et Yvoire), chemin des Vaudois (à la découverte de Nernier, petit village de pêcheurs).

Tourisme

Yvoire est l'une des Modèle:Nobr classées « commune touristique » du département<ref name="Commune touristique">Modèle:Lien web. Modèle:Pdf « Liste des communes ou regroupement bénéficiant de la dénomination de commune touristique ou de groupement de communes touristiques ».</ref>. Elle est adhérente de l’association « Les Plus Beaux Villages de France »<ref name="PBVdF">Modèle:Lien web.</ref>, depuis 1982<ref>Modèle:Article.</ref>.

En 2014, la capacité d'accueil de la commune, estimée par l'organisme Savoie Mont Blanc, est de Modèle:Nobr répartis dans Modèle:NobrModèle:Note. Les hébergements se répartissent comme suit : Modèle:Nobr ; Modèle:Nobr et deux établissements d'hôtellerie de plein air<ref name="SMB 2014"/>.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

La commune compte deux monuments répertoriés à l'inventaire des monuments historiques<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref> et un lieu répertorié à l'inventaire général du patrimoine culturel<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>. Par ailleurs, elle ne compte aucun objet répertorié à l'inventaire des monuments historiques<ref>Modèle:Base Palissy.</ref> ni à l'inventaire général du patrimoine culturel<ref>Modèle:Base Palissy.</ref>.

Lieux et monuments remarquables

Fichier:Yvoire. Ancienne porte de Nernier, vue de l'intérieur. 2015-06-21.JPG
Porte de Nernier, vue de l'intérieur du bourg ancien.
Fichier:Yvoire. Ancienne porte de Rovorée, vue de l'extérieur. 2015-06-21.JPG
Porte de Rovorée, vue de l'extérieur du bourg ancien.

La porte de Genève également nommée « porte de Nernier », est datée {{#switch: e

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}}

}}. Elle est « classée » depuis le Modèle:Date-<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.

La porte de Thonon également nommée « porte de Rovorée », est datée du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Elle est « classée » depuis le Modèle:Date-<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.

Le labyrinthe Jardin des Cinq Sens est situé au cœur du village. Créé en 1988 à la place de l'ancien potager du château, il a été restauré selon l'art des jardins clos du château du Moyen Âge. Le jardin est classé Jardin remarquable de France. Il s'étend sur Modèle:Unité et est organisé autour d'un cloître végétal avec plantes médicinales et aromatiques, fontaines, volières, roses anciennes et arbres fruitiers palissés.

Autres lieux et monuments

Au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, le château-fort d'Yvoire est construit, sur une pointe dominant le lac Léman, par le Comte Amédée V de Savoie, sur l'emplacement d'une ancienne place forte. Il est entouré d'un bourg fortifié destiné à commander le passage entre Genève et l'Italie par la haute vallée du Rhône. Sa position stratégique permet de surveiller la navigation entre le petit lac et le grand lac du Léman. Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, le château est incendié et les remparts dévastés au cours du conflit opposant les Bernois, les Genevois et les Français au duc de Savoie. Le château n'est que partiellement relevé de ses ruines. Au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, le château d'Yvoire est restauré par la famille savoisienne Bouvier d'Yvoire qui l'occupe depuis le milieu du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle (le château ne se visite pas). Un jardin botanique dénommé Jardin des cinq sens est aménagé à l'intention des touristes, à proximité du château<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

La Châtaignière-Rovorée, domaine départemental d'art et de culture, est une maison de maître édifiée au début du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle par des soyeux lyonnais. Elle est située en plein cœur du domaine de Rovorée, espace naturel sensible cogéré par le Conservatoire du littoral et le conseil départemental de la Haute-Savoie. Chaque année, de juin à octobre, une exposition temporaire sur le patrimoine alpin y est présentée. En 2015, « Pourpoint, mantel et chaperon... Se vêtir à la cour de Savoie (1300-1450) ».

Le château de Rovorée est un château savoyard<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

L'église paroissiale est dédiée à saint Pancrace<ref name="HCS p.345 b"/> et porteuse d'un passé chargé d'histoire. Elle a été transformée à plusieurs reprises. Le clocher actuel est un clocher à bulbe, typique de l'architecture religieuse savoyarde et piémontaise<ref name="HCS p.345 b"/>. Il a été construit entre 1856<ref name="HCS p.345 b"/>. Au départ, il était recouvert d'écailles en fer étamé. Au fil du temps, le clocher a rouillé ; il est maintenant recouvert d'acier inoxydable ; la flèche et le coq à son faîte sont recouverts d'or.

Classements

Fichier:Yvoire. Une rue fleurie. 2015-06-21.JPG
Ruelle fleurie du bourg médiéval.

Village médiéval fortifié situé sur les rives du lac Léman, adhérente de l'association des plus beaux villages de France<ref name="PBVdF"/>, c'est l'une des destinations touristiques les plus prisées du Chablais français.

Le village est récompensé chaque année depuis 1959 dans le cadre du concours des villes et villages fleuris. En 2014, il bénéficie du label « ville fleurie » avec « 4 fleurs »<ref name=vilfleur2014>Modèle:Lien web.</ref> depuis 1959.

Au fil des années, il figure parmi les lauréats aux concours nationaux de fleurissement (1992, 1995, 1998, 2001, 2007). Yvoire est aussi classée au « Grand prix national du fleurissement » depuis 1995 et a reçu la médaille d'argent à l'édition de 2002 du concours européen du fleurissement.

Yvoire et la philatélie

La Poste française a émis le Modèle:Date- un timbre de Modèle:Unité dessiné par l'illustrateur Louis Briat, d'après une photo de l'office du tourisme<ref>http://www.wnsstamps.ch/fr/stamps/FR020.06 La fiche du timbre.</ref>.

Personnalités liées à la commune

Héraldique

Modèle:Blason-ville-fr

Voir aussi

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Autres projets Modèle:Liens

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes

Modèle:Références

  • Cartes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références

Modèle:Palette Modèle:Portail