Arleux
Modèle:Infobox Commune de France
Arleux est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France. Modèle:Sommaire
Géographie
Localisation
Arleux est située au cœur de la vallée de la Sensée.
Cette commune du département du Nord est limitrophe de celui du Pas-de-Calais et est traversée par la ligne de Saint-Just-en-Chaussée à Douai.
Communes limitrophes
Géologie et relief
Hydrographie
La commune, située dans la vallée de la Sensée, est marquée par le confluent du canal du Nord et du canal de la Sensée.
Le port fluvial se situe sur le canal du Nord juste avant la jonction de ce dernier avec le canal de la Sensée. Situation intéressante car cela permet aux navigants de se rendre rapidement aux grandes villes de la région Nord-Pas-de-Calais (Arras, Cambrai, Douai, Valenciennes…).
Le sud du territoire communal est constitué de nombreux marais.
Voies de communication et transports
Les villages attenants à Arleux sont :
- Bugnicourt par la D 47
- Cantin par la D 47b
- Gœulzin par la D 65
- Hamel par la D 47
- Palluel par la D 13
- Estrées par la D 135a
Une ligne de chemin de fer reliant Douai et Cambrai passe par la commune d'Arleux et s'arrête en gare d'Arleux.
La commune est également desservie par les lignes 19, 20, 21 et 116 du réseau de transport Évéole.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cambrai-Épinoy », sur la commune d'Épinoy, mise en service en 1954<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref> à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Urbanisme
Typologie
Arleux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine d'Arleux, une agglomération inter-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est ville-centre<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Douai, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (60,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (64,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (58,4 %), zones humides intérieures (17,4 %), zones urbanisées (16,9 %), eaux continentales<ref group="Note">Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.</ref> (3,1 %), zones agricoles hétérogènes (2,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,6 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Toponymie
La localité était dénommée Alloes , Allues, Alleux, dans des titres des {{#switch: XIII
| e | er | = {{#switch: XIII
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}}, en latin, puis Allodium, Arleux-le-Franc au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref name="Statistique">Modèle:Article.</ref>. Anciennement, "alleu" ("allodium" en latin") signifiait terre franche, terre libre de toute redevance.
Histoire
La ville forte d'Arleux, bien que située dans diocèse d'Arras, appartenait à l'évêque de Cambrai<ref name="Statistique"/>.
Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, les sires d'Oisy y obtiennent les droits vicomtiers à tenir en fief de l'évêque. En 1272, Enguerran, sire de Coucy, Oisy et Montmirail vend Arleux au comte de Flandre, qui donne la seigneurie à l'un de ses fils. Celle-ci est achetée en 1337 par le roi de France Philippe VI de Valois. Le Modèle:Date-, Jean , duc de Normandie , fils aîné du roi de France (qui devint roi sous le nom de Jean II le Bon) rend l'hommage féodal à l'évêque de Cambrai, son suzerain pour la seigneurie vicomtière d'Arleux<ref name="Statistique"/>.
Le traité d'Arras de 1435, fait passer Arleux dans la maison de Bourgogne, mais sauf un droit de retrait, moyennant une somme convenue, que le roi se réserva. Le duc de Bourgogne Philippe le Bon donne Arleux à son fils illégitime Antoine, donation confirmée en 1468 par le roi Louis XI. Maximilien de Bourgogne, marquis de la Vère, arrière petit-fils d'Antoine, possède cette seigneurie jusqu'à sa mort, arrivée en 1558, et la laisse à sa sœur Jacqueline, épouse de Jean, sire de Cruninghem. Néanmoins, durant tout ce temps , les rois de France ne cessèrent de critiquer la donation faite par Louis XI, et de prétendre avoir pu valablement exercer le droit de retrait<ref name="Statistique"/>.
Arleux comprenait un château fort dénommé Le Forestel, dont les origines datent du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, et qui était situé à gauche de la chaussée d'Arleux à Paluel ; plusieurs branches de la Sensée et des marais impraticables en faisaient un poste de guerre important<ref name="Statistique"/>.
Le Modèle:Date-, le roi Charles II de Navarre dit "le Mauvais", qui avait été arrêté à Rouen par le roi de France Jean II le Bon, et y était emprisonné, s'en évada le Modèle:Date- avec l'aide des partisans picards et navarrais qui escaladèrent les murailles<ref>Modèle:Harvsp.</ref>,<ref name="Statistique"/>.
Le Forestel a été incendié par les Français de la garnison de Cambrai en 1583, et a été relevé et fortifié en 1645 par les français<ref name="Statistique"/>.
Au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, Philippe de Berghes, de la maison de Berghes-Saint-Winock, est vicomte d'Arleux. Il a pour épouse Marie-Madeleine de Wignacourt, prise pour femme par contrat passé à Douai le Modèle:Date. Du mariage nait à Arleux le Modèle:Date une fille Marie-Anne-Antoinette-Eugénie de Berghes-Saint-Winock. Chanoinesse de l'abbaye de Denain, où seize quartiers de noblesse sont nécessaires pour entrer, elle va se marier avec Jean-Joseph-Louis de Waziers-Wavrin (Maison de Wavrin), seigneur de Rebreuviette et de Montigny-sur-Rocq<ref>Amédée le Boucq de Ternas, Henri Fremaux, Histoire généalogique de la famille de Tenrémonde, originaire de la Flandre-Wallonne, 1268 à 1864, Douai, 1870, p. 62, lire en ligne.</ref>.
Durant la guerre de Succession d'Espagne la place est prise par les Hautes Puissances alliées, le Modèle:Date, et est reprise le 23 du même mois par le maréchal de France de Montesquiou, malgré la belle défense qu'y firent les six cents hommes de garnison. Enfin le maréchal de Villars fit sauter cette forteresse qui, en moins de deux mois, avait donné lieu à quatre combats sanglants<ref name="Statistique"/>.
La ville était fortifiée par des murailles et des tours en grès, qui ont été détruites au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref name="Statistique"/>.
Le Modèle:Date-, le déraillement d'un train en gare d'Arleux fait 24 morts et 60 blessés<ref>Cent ans de vie dans la région, Tome 1 : 1900-1914, éditions la Voix du Nord, 1998, page 41</ref>,<ref>Modèle:Article, {{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/{{{n}}}%7C{{ #if: |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}.</ref>.
- Première Guerre mondiale
Le village est considéré comme détruit à la fin de la guerre<ref name="CSRD">Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.</ref> et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le Modèle:Date-<ref>Journal officiel du 18 septembre 1920, Modèle:P..</ref>. Modèle:Article détaillé
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Le fils d'Auguste Bar, qui porte le même prénom, a été maire d'Aire-sur-la-Lys en 1945 et conseiller général du canton d'Aire-sur-la-Lys de 1931 à 1940. Tous deux sont inhumés au cimetière d'Orchies.
La commune a pour maires au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle Victor Drocourt, par ailleurs conseiller d'arrondissement pour le canton d'Arleux de 1904 à 1919, et Georges Lefebvre, qui occupe cette même fonction de 1919 à 1940.
Émile Beauchamp devient maire à la suite des élections municipales de mars 1971, puis conseiller général du canton d'Arleux à la suite des élections cantonales de septembre 1973. Il meurt en cours de mandat le Modèle:Date.
Il est remplacé en 1995 jusqu'aux nouvelles élections de juin par Ferdinand Binet, qui était également son suppléant aux cantonales. Il meurt peu de temps après, le 12 octobre 1996.
Patrick Masclet, professeur, devient maire à la suite des élections municipales de juin 1995. Il est vice-président de la Communauté d'agglomération du Douaisis jusqu'en 2014, conseiller régional du Nord-Pas-de-Calais de 1998 à 2015 puis sénateur du Nord de 2015 à 2017. Il démissionne de son mandat de maire en février 2017<ref>Modèle:Article.</ref>, et meurt peu de temps après, le Modèle:Date<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref>.
Il est remplacé par Bruno Vandeville, enseignant en mathématiques et vice-président de la communauté d'agglomération du Douaisis depuis 2014, qui est élu maire le 9 mars 2017 avec treize voix pour et huit votes blancs<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref>.
Lors du premier tour des élections municipales le Modèle:Date, vingt-trois sièges sont à pourvoir ; on dénombre Modèle:Unité, dont Modèle:Unité (60,46 %), Modèle:Unité (1,09 %) et Modèle:Unité (97,27 %). La liste Arleux passion commune menée par le conseiller régional Frédéric Nihous recueille Modèle:Unité (24,28 %) contre 660 (46,32) pour la liste Poursuivre ensemble du maire sortant Bruno Vandeville<ref>Modèle:Article.</ref> et 419 (29,40 %) pour la liste L'avenir d'Arleux ensemble de Gilles Coquelle<ref>Modèle:Article.</ref>. Aucun siège n'est pourvu à l'issue du premier tour<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref>. Bruno Vandeville est élu maire pour un second mandat le 3 juillet 2020.
Liste des maires
Modèle:Liste des dirigeants successifs
Démocratie participative
La commune s'est dotée d'un conseil municipal d'enfants en 2013. Les élèves des deux écoles primaires désignent ainsi leurs représentants, pour deux ans, parmi les candidats de CE2 et CM1. La dernière élection a eu lieu en décembre 2017, la prochaine aura lieu en 2019.
Politique environnementale
Jumelages
Population et société
Démographie
Évolution démographique
Modèle:Population de France/section
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 33,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 26,2 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait Modèle:Unité pour Modèle:Unité, soit un taux de 53,17 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,77 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Modèle:Pyramide des âges communes de France
Culture
Manifestations culturelles et festivités
La Foire à l'Ail Fumé a lieu le premier week-end de septembre depuis 1962 et accueille près de Modèle:Unité. La prochaine est prévue les 5 et Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Économie
Arleux a fait de la culture de l'ail, et le fumage de l'ail, des spécialités <ref>Site de la ville</ref>. Cet ail fumé est produit sous IGP. Modèle:Article détaillé
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Saint-Nicolas, église romane du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, partiellement détruit pendant la guerre en 1917et reconstruit en 1920. Son buffet d'orgue date de 1753 et est classé monument historique<ref>[1]</ref>
- En 1870 la Verrerie Delchambre est recensée au pont de la Redoute reprise en 1907 par les Verreries d'Arleux et de Rambouillet dont le siège social était 69 Rue Malesherbes à Paris. En 1925 un générateur d'acétylène est installée. Sur le même site au 670 Rue André Joseph Leglay la Verrerie Vve Guyot et Cie est en activité entre 1883 et 1906 <ref>
Modèle:Ouvrage.</ref>
- Le monument aux morts d'Arleux commémore les soldats et victimes de 6 guerres: 1870, 1895 (Madagascar), 1914-18, 1939-45, Algérie et Indochine. Le monument, une stèle aux poilus combattants et décorés d'une Croix de Guerre, du sculpteur Laoust, porte également une plaquette commémorant 50 ans de libération<ref>[2]</ref>.
-
Ancienne brasserie-malterie Campion Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle
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Église romane d'Arleux Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle
-
le monument aux morts du sculpteur Laoust
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La roue du Moulin d'Arleux Nord
Personnalités liées à la commune
- Nées à Arleux
- Philippe-Antoine Merlin de Douai (1754-1838), homme politique français.
- André-Joseph-Ghislain Le Glay (1785-1863), historien et bibliographe, docteur en médecine.
- Constantin Pecqueur (1801-1887), économiste socialiste.
- Marcel Le Glay (1920-1992), historien français, spécialiste de la Rome antique, né à Arleux.
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- Liées à Arleux
- Jean-Baptiste Camille Corot (1796-1875), peintre, y loue une ferme pendant l'été 1871 et peint les paysages des environs d'Arleux.
- Charles II de Navarre (1332-1387), roi de Navarre incarcéré au château d'Arleux en 1357.
- Deep Forestn groupe formé à Arleux en 1991.
Héraldique
Ces armoiries sont différentes de celles du vicomte d'Arleux, de la maison de Berghes-Saint-Winoc, et qui portait. : D'or au lion de gueules armé et lampassé d'azur<ref name="Statistique"/>.
Les géants
Les géants sont Grin Batiche, créé en 2003, qui représente les anciens producteurs d’ails déambulant dans la campagne, la hotte sur le dos, pour vendre leur production au cri de « À z’ails, à z’aulx ». Depuis ont été créés en 2005 Henriette la Porteuse d'Ail, puis Tiot Jean<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Article</ref>.
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Une Grin' Batiche le tresseur (2003) -
Henriette la Bonch'teuse (2005)
Pour approfondir
Bibliographie
- Modèle:Ouvrage, {{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/{{{n}}}%7C{{ #if: |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}.
- Modèle:Ouvrage.
- Modèle:Ouvrage