Fort de Breendonk

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Modèle:Infobox Structure militaire

Le Modèle:Terme défini ou fort de Breendonck<ref group="note" name="notenome">Breendonck était l'orthographe utilisée durant la Seconde Guerre mondiale. En 1977, la section néerlandophone de Breendonk adopte l'orthographe Breendonk<ref name="siteofficiel"/>, l'ancienne orthographe Breendonck reste cependant parfois encore utilisée en français<ref name="le soir"/>. </ref>,<ref name="la libre">Modèle:Article</ref>,<ref name="le soir">Modèle:Article</ref>, situé dans la commune de Willebroeck, non loin de la localité homonyme qui elle se trouve dans la commune de Puers-Saint-Amand, à une vingtaine de kilomètres au sud d’Anvers, a servi de centre de détention (Modèle:Lang) dans un premier temps puis de camp de transit (Durchgangslager) durant la Seconde Guerre mondiale. Avec le camp de rassemblement de Malines, ils sont les deux seuls camps utilisés par les nazis en Belgique.

Préservé après le conflit, le site est aujourd’hui un important lieu de mémoire, visité par de nombreux groupes scolaires.

Situation

Le fort se trouve à la limite des communes de Willebroeck et de Puers-Saint-Amand. Le fort se trouvant sur la première mais le village de Breendonk sur la seconde<ref name = "le monde"> Modèle:Article</ref>.

Construction

Modèle:Article détaillé

Le fort de Breendonk fait partie de ligne fortifiée Anvers-Namur, avec les forts de Liezele et de Walem.

Sa construction est décidée en 1906<ref name="fortiffBE_par1">Fortiff.be, P. Nefors, Fort de Breendonk, Modèle:§ : « Historique, avant l’occupation allemande ».</ref>. Alors qu'initialement il devait porter le nom de « Fort de Willebroeck »<ref name="siteofficiel">Modèle:Lienweb</ref>, une circulaire du ministre de la Guerre Cousebant d'Alkemade du Modèle:Date le fait entrer dans l'histoire comme « Fort de Breendonck »<ref name="Breendonk-P.N.">Modèle:Ouvrage</ref>,<ref name="siteofficiel"/>. Les travaux débutent en 1909<ref name=AtelierRefl>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Atelier de réflexion, {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} O. Van der Wilt (conservateur du Mémorial national du fort de Breendonk), Le projet pédagogique du Mémorial national du Fort de Breendonk, Modèle:P..</ref> sur le lieu-dit Schalkland, pour se terminer à l’approche de la Première Guerre mondiale<ref name="fortiffBE_par1" />. Dès son achèvement, il est dépassé par des fortifications plus élaborées.

Première Guerre mondiale

Lors de l’invasion de la Belgique par l’Allemagne, le fort est bombardé le Modèle:Date : il ne peut riposter, les pièces d’artillerie allemandes étant hors de portée de tir<ref name="BreendonkBE_Fort_HistAv20091940">voir Breendonk.be, Le Fort, L’histoire du fort avant le Modèle:Date-, Le siège de 1914 et l’entre-deux-guerres.</ref>. Il capitule le Modèle:Date.

Il est utilisé comme lieu de garnison par l’armée allemande jusqu’à la retraite.

1918-1940

Le fort sert notamment comme caserne de l’armée belge<ref name="BreendonkBE_Fort_HistAv20091940" /> et est choisi pour abriter le Grand Quartier général<ref name="BreendonkBE_Fort_HistAv20091940" />, en cas d’invasion, la région d’Anvers étant considérée comme un réduit national<ref name="fortiffBE_par1" />.

En Modèle:Date, le [[Léopold III (roi des Belges)|roi Modèle:Nobr]] y reçoit les officiers de liaison français et britannique<ref name="FortBreendonk_HistFort_p10">C. Pahaut et F. Maerten (Démocratie ou Barbarie), Le Fort de Breendonk, le camp de la terreur nazie en Belgique pendant la seconde guerre mondiale, dossier pédagogique, Modèle:P..</ref>, lors de l’invasion de la Belgique par l’Allemagne. Les membres du Grand Quartier Général et les officiers de liaison étrangers évacuent le fort devant l’avance allemande et suivent la retraite de l’armée belge en liaison avec les franco-britanniques jusqu’à la reddition belge. À partir de l’occupation allemande, le fort devient un camp de concentration<ref name="FortBreendonk_HistFort_p10" />, le seul implanté par les nazis sur le territoire belge<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Le camp de transit : 1940-1944

Modèle:Article général

Commandement du camp

Centre d’internement et de transit

Fichier:Fort Breendonk entrance (DSCF0597).jpg
L’entrée du fort.

Modèle:Citation bloc

Dès la fin des combats, la Modèle:Lang utilise le fort comme camp de concentration : le Modèle:Date<ref name="LaLibre_PourGarderMemoire">Modèle:Article.</ref>,<ref name="RebellesSilencieux_p49">Selon d’autres sources ce serait le 20 octobre 1940 ; voir Marion Schreiber, Rebelles silencieux - L’attaque du Modèle:20e pour Auschwitz, éditions Racine, Bruxelles, 2002, Modèle:ISBN.</ref>, sous le commandement du Modèle:Lang Philipp Schmitt, les premiers prisonniers arrivent à Breendonk.

Fichier:Breendonk053.jpg
La cour intérieure du fort.

Durant l’année 1940, ce sont principalement des juifs qui y sont détenus, avant d’être libérés ou transférés vers d’autres camps. Le journaliste Paul M.G. Lévy y fut incarcéré, ainsi que le dessinateur Jacques Ochs qui fut chargé par le commandant du camp de faire des portraits de certains gardiens allemands et qui en profita pour exécuter clandestinement des portraits de prisonniers et des images de sévices qui furent publiées après la guerre. À partir de 1942, les juifs déportés de Belgique sont regroupés à Malines, à la caserne Dossin, centre de transit vers Auschwitz, le fort de Breendonk servant de camp de transit<ref name="Ref_RebellesSilencieux_p49" />… pour un transfert vers le « Sammellager Dossin » (librement traduit par « camp de rassemblement Dossin »)<ref name="LaLibre_BourrBreend_GensOrdi">Modèle:Article.</ref>.

Malgré tout c’est un septième de la population passée par Breendonk que représentent les juifs. Contre toute attente, le niveau de qualification professionnelle de ceux-ci leur font prendre les postes privilégiés<ref name="DossierPedagogique_p19">C. Pahaut et F. Maerten (Démocratie ou Barbarie), Le Fort de Breendonk, le camp de la terreur nazie en Belgique pendant la Seconde Guerre mondiale, dossier pédagogique, Modèle:P..</ref>.

Modèle:Article détaillé

Breendonk sert aussi de centre d’internement pour les contrevenants aux mesures antijuives<ref name="LaLibre_PourGarderMemoire" /> et les « asociaux », au sens nazi du terme. Avec la prolongation du conflit et de l’occupation, des otages et de résistants y sont internés de manière croissante.

De 1940 à 1942, le nombre de prisonniers politiques et de résistants augmente : Breendonk sert de camp de transit, avant la déportation vers d’autres camps, comme Neuengamme ou Ravensbrück<ref name="LeSoir_ApercuHorreur">Modèle:Article.</ref>.

Centre de torture et d’exécution

Fichier:Breendonk046.jpg
La potence.

Modèle:Citation bloc

Le Modèle:Lang comptera au moins Modèle:Unité jusqu’en Modèle:Date<ref name="LeSoir_BreendonkMemorialGardeSonNom">Modèle:Article.</ref> Modèle:Unité ne survivront pas à la guerre et aux maltraitances de Breendonk ou des autres camps par lesquels ils passeront. Au fort de Breendonk, ce seront près de Modèle:Unité qui seront exécutés<ref name="AtelierRefl" />.

Fichier:Breendonk040.jpg
Vue latérale du « bunker ».

Avant d’être transférés vers d’autres camps, les résistants sont interrogés, maltraités et torturés dans le « bunker » ; un ancien magasin à poudre reconverti en salle de supplices mise en place en 1942<ref name="FortBreendonk_HistFort_p22">C. Pahaut et F. Maerten (Démocratie ou Barbarie), Le Fort de Breendonk, le camp de la terreur nazie en Belgique pendant la Seconde Guerre mondiale, dossier pédagogique, Modèle:P..</ref>.

Modèle:Citation bloc

L’entrée du camp s’ouvre sur l’ancien corps de garde abritant la Wehrmacht officiant pour la surveillance extérieure du fort. Il donne sur l’entrée du fort, voutée et sombre.

Modèle:Citation bloc

Vient comme autre endroit principal la cantine des SS avec au-dessus du mur principal la devise de la SS : « Mon honneur s’appelle fidélité ». Parfois cette cantine sert de tribunal d’exception<ref name="FortBreendonk_CantSS_p13">C. Pahaut et F. Maerten (Démocratie ou Barbarie), Le Fort de Breendonk, le camp de la terreur nazie en Belgique pendant la Seconde Guerre mondiale, dossier pédagogique, Modèle:P..</ref>.

Fichier:Breendonk006.jpg
La cantine des SS.

Il y est bien entendu préparé le repas des gardes, mais aussi « celui » des prisonniers.

Modèle:Citation bloc

Fichier:Breendonk031.jpg
Une cellule d’isolement.

À cette maigre pitance se rajoute le travail forcé amaigrissant encore les prisonniers pour les rendre faméliques : pousser des chariots, casser les pierres, porter des sacs de ciment… Un travail lourd ; mais aussi pour quelques autres « privilégiés » de travaux plus légers comme pour les tailleurs, les menuisiers ou infirmiers. C’est de cette manière qu’ont été débarrassés les Modèle:Unité de terre recouvrant en grande partie le fort : à grands coups de fouet sur les prisonniers ; destinés uniquement à briser physiquement et préalablement ceux que l’on soumettrait aux interrogatoires poussés ou s’ils l’ont déjà été dans l’attente d’un transfert vers d’autres destinations aux noms sordides.

Dès les moments de tortures dans le « bunker » passés, le détenu est déporté, sans autre justice ou forme de procès vers d’autres camps ; enfonçant le supplicié dans les méandres de la mort à petit feu. Il y a aussi les exécutions, par balles ou pendaison, autorisées par des simulacres de jugement ou par répressions ; elles seront au nombre de 187<ref name="AtelierRefl" /> ; elles se font dans un enclos à l’arrière de la bâtisse.

Fichier:Breendonk075.JPG
Les sanitaires.

À l’intérieur d’une autre aile du bâtiment les quelques cachots et cellules. Ce ne sont que quelques enclos de plus dans lesquels il est impossible de se mouvoir et dans lesquels il n’y a pas de lumière. Ces « cages » sont destinées aux prisonniers mis au secret ou les punis.

Enfin, la place d’appel, lieu de rassemblement mais aussi sur laquelle donnent les latrines, les douches et l’entrée des chambrées.

Modèle:Citation bloc

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Instruments de torture dans le « bunker ».

Que l’on parle tellement de Breendonk pour les tortures<ref name="LeSoir_HistGrandResistant">Modèle:Article.</ref> par rapport aux autres camps est normal ; le nombre de gardiens est particulièrement élevé : 1 pour Modèle:Nombre. Il est impossible dès lors de passer inaperçu. De plus, le « bunker » est présent pour faire parler les récalcitrants. Parfois des mesures spéciales pour les prisonniers sont mises en place : Modèle:Début citation Breendonk, le 20 août 1941

Ordre de surveillance spéciale : pour le détenu 169

  1. Le détenu doit être continuellement maintenu sous surveillance et enchaîné.
  2. Il ne peut être conduit aux latrines qu’accompagné de deux sentinelles.
  3. En cas de tentative de fuite, il ne peut en aucun cas être fait usage d’une arme. Le détenu doit être maintenu sous contrôle par la force physique.
  4. Il est formellement interdit de s’entretenir avec le détenu. Toute déclaration de sa part doit être rapportée au Modèle:Lang.
  5. Lors des sorties nécessaires, le détenu aura la tête recouverte d’un sac.
  6. Lors de la relève, la garde devra prendre connaissance quotidiennement de ces consignes.

Modèle:Lang Schmitt|C. Pahaut et F. Maerten (Démocratie ou Barbarie)<ref name="DossierPedagogique_note" /> Modèle:Fin citation

Mais un autre facteur entre en jeu sur le point psychologique : les gardes allemands sont assistés par des SS de l’[[Algemeene-SS Vlaanderen|Modèle:Lang]]<ref name="LaLibre_BourrBreend_GensOrdi" /> : « des Belges pour surveiller d’autres Belges »<ref name="DossierPedagogique_p16">C. Pahaut et F. Maerten (Démocratie ou Barbarie), Le Fort de Breendonk, le camp de la terreur nazie en Belgique pendant la Seconde Guerre mondiale, dossier pédagogique, Modèle:P..</ref>. Ceux-ci se montrent cruels ; indignant<ref name="Ref_RebellesSilencieux_p49">voir Marion Schreiber, Rebelles silencieux — L'attaque du Modèle:20e pour Auschwitz, Modèle:P., éditions Racine, Bruxelles, 2002 Modèle:ISBN.</ref> les gardiens extérieurs de l’armée régulière qui prennent quelquefois la défense des prisonniers<ref name="DossierPedagogique_p15">C. Pahaut et F. Maerten (Démocratie ou Barbarie), Le Fort de Breendonk, le camp de la terreur nazie en Belgique pendant la Seconde Guerre mondiale, dossier pédagogique, Modèle:P..</ref>.

En 1944, pour vider le fort, a lieu un transfert de prisonniers vers le camp de concentration de Bois-le-Duc aux Pays-Bas (en néerlandais :Modèle:Langue)[pas clair].

Le 30 août 1944, un dernier convoi de prisonniers encore présents a été envoyé en Allemagne<ref> Modèle:Lien web</ref>.

Fin août 1944, le commandant du camp Karl Schönwetter prend la fuite en Autriche et se rendra aux Alliés en 1944.

Le 25 novembre 1949, le premier commandant du camp, Philipp Schmitt, arrêté aux Pays-Bas, est jugé et condamné à mort par le Conseil de guerre d'Anvers, tribunal militaire. Il sera le dernier condamné à mort exécuté en Belgique.

Prison pour inciviques

Modèle:…

Peu de temps après la Libération, le fort est utilisé pour détenir les collaborateurs et les inciviques<ref name="BreendonkBE_Fort_BreenII">voir Breendonk.be, Le Fort, Le Fort à partir du Modèle:Date-, Modèle:Nobr.</ref>,<ref name=AtelierRefl/>. Il est renommé Modèle:Nobr. C’est la résistance elle-même qui y enferme ceux-ci (principalement flamands<ref name=AtelierRefl/>) ; certaines exactions<ref name="BreendonkBE_Fort_BreenII" />,<ref name="LeSoir_LiberationFratricide"> Modèle:Article.</ref> sont toutefois commises pendant la courte période jusqu’à l’évacuation du fort (les « prisonniers » sont transférés à la caserne Dossin).

Camp d’internement

Modèle:… Après la période « Modèle:Nobr », le fort devient un centre d’internement officiel de l’État belge. Cette nouvelle période dans la vie du camp prendra fin en 1947, lorsque celui-ci sera classé au titre de Mémoire du patrimoine national.

De nos jours : un mémorial

Fichier:Breendonk001.jpg
Statue en mémoire.

Modèle:Citation bloc Le Modèle:Date, le fort de Breendonk est devenu le mémorial belge sur le système concentrationnaire nazi<ref name="LeSoir_BreendonkMemorialGardeSonNom" />. Il accueille entre Modèle:Unité/2 chaque année. Le « camp de Breendonk » est aujourd’hui l’un des vestiges les mieux conservés de la Seconde Guerre mondiale<ref name="LaLibre_PlongeeHorrNazie">voir An. H., Breendonk, une plongée dans l’horreur nazie, LaLibre.be.</ref>.

Dans les premières années du Mémorial, ce sont les anciens prisonniers qui sont légalement les gérants de celui-ci<ref name="AtelierRefl" />. Ce sont aussi sur ces années que le Fort enregistre le plus haut taux de visite (jusqu’à Modèle:Unité le visitant annuellement)<ref name="AtelierRefl" />,<ref name="LaLibre_PlongeeHorrNazie" />.

Modèle:Citation bloc

Avec les moyens qui lui sont octroyés, le fort tente de faire pour un mieux dans la conservation de la mémoire. Quelques haut-parleurs sont installés et en 1975 un musée s’ouvre dans l’ancien « revier ». Cependant il n’y a pas de but scientifique et le « revier » sert de lieu de stockage de tout ce que l’on peut trouver sur ce bout d’histoire très noire<ref name="LeSoir_RenovationBreendonk">Modèle:Article.</ref>.

Ce manque fait diminuer fortement le nombre de visite et le désintérêt porté au fort de Breendonk est grand. Les chiffres de l’année du Modèle:50e le prouvent : seulement Modèle:Unité sont enregistrées.

Il est vrai que le public diminue, mais le type de visiteur change. Il s’oriente vers un public scolaire, avec un véritable but. C’est dans ce cadre que naît un projet de rénovation du fort mais aussi un but scientifique. Le fort a deux missions :

  • « Veiller à la conservation perpétuelle des constructions et ouvrages »<ref name="AtelierRefl" /> ;
  • « prendre toutes les mesures utiles pour que le souvenir du Fort de Breendonk ainsi que des événements qui s’y sont déroulés demeure vivant dans l’esprit de la Nation, stimule son esprit civique et favorise l’éducation patriotique de la jeunesse »<ref name="AtelierRefl" />,<ref name="LeSoir_UnDecretPourLaMemoire">Modèle:Article.</ref>.

Sous la présidence de Roger Coekelbergs et avec l'aide financ!ère du Ministère de la Défense et le soutien actif du ministre André Flahaut , une rénovation importante est entreprise à partir de l'an 2000. Un espace unique avec l’utilisation initiale est créé. Sont donc reconstitués des cellules, des baraquements, le bunkerModèle:Etc. Sont aussi rajoutés de nombreuses photographies, témoignages écrits ou oraux, des vidéos explicatives au fil des couloirs.

Outre ces améliorations, les groupes scolaires ont l’obligation de prendre un guide formé par le Mémorial ; la rénovation permet de se laisser guider par un audiophone.

Des séminaires, des expositions permanentes et temporaires sont régulièrement réalisés dans différentes pièces de la bâtisse. Ils sont destinés aux professeurs, aux historiens mais aussi au public averti.

Liste des personnes exécutées

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Galerie de photos

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Notes et références

Références

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Notes

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Annexes

Modèle:Autres projets

Bibliographie

Articles connexes

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Liens externes

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