Adolph Zukor
Modèle:Infobox Cinéma (personnalité)
Adolph Zukor est un producteur de cinéma d'origine hongroise, né le Modèle:Date de naissance<ref name="Bio Dic American Bus Lead 1699">{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Biographical Dictionary of American Business Leaders, Modèle:P..</ref> et mort le Modèle:Date de décès<ref name="Bio Dic American Bus Lead 1699"/> à l'âge de Modèle:Nobr.
Il fait partie de ces hommes qui ont contribué à la légende hollywoodienne. Il est l'un des cofondateurs de la Paramount Pictures avec Jesse L. Lasky.
Il se retire en 1959 nommé président honoraire et il le restera jusqu'à sa mort.
Biographie
Enfance
Adolph Zukor naît en 1873 à Ricse en Hongrie d'un père épicier et d'une mère fille de rabbin<ref name="pub jam tort 35">Le public n'a jamais tort, Modèle:P..</ref>. En plus de tenir son épicerie qu'il a monté de ses mains, son père cultive des champs voisins pour subvenir un peu mieux aux besoins de sa famille<ref name="pub jam tort 35"/>. Ce dernier meurt un an après la naissance d'Adolph après s'être rompu une veine en soulevant une charge trop lourde<ref name="pub jam tort 35"/>. Sa mère se retrouve seule avec le petit garçon et son frère plus âgé de deux ans. Ayant une santé fragile, elle ne peut assurer le travail qu'accomplissait son mari et décide de se remarier peu de temps après<ref name="pub jam tort 35"/>. Elle meurt finalement sept ans plus tard, Adolph a huit ans<ref name="pub jam tort 35"/>. Lui et son frère partent vivre dans un village voisin, chez le frère de leur mère qui est rabbin<ref name="pub jam tort 36">Le public n'a jamais tort, Modèle:P..</ref>.
Contrairement à son frère qui est brillant, Adolph est un élève moyen qui ne ressent aucune vocation particulière. À douze ans, il est placé en apprentissage dans une étude d'un hameau à quinze kilomètres de Ricse afin de devenir clerc de notaire<ref name="pub jam tort 36"/>. Il s'attèle sans rechigner au travail qui lui est soumis jusqu'à la fin de sa formation qui lui permettra d'être promu clerc. Cette perspective de carrière à deux dollars par mois ne l'enthousiasme pas<ref name="pub jam tort 37">Le public n'a jamais tort, Modèle:P..</ref>. Une autre idée germe dans sa tête. Dans le village où il vit, des lettres écrites par des immigrés aux États-Unis passent de mains en mains. Leur lecture ainsi que celle de livres sur l'Amérique, lui laisse présager un avenir plus reluisant que ce qui semble l'attendre en Hongrie<ref name="pub jam tort 37"/>. À quatorze ans sa décision de partir aux États-Unis est prise mais le prix du voyage semble compromettre son souhait<ref name="pub jam tort 37"/>.
En 1888, Adolph Zukor finit sa formation et décide d'écrire une lettre au curateur de la fondation d'orphelins dont il dépend<ref name="pub jam tort 37"/>. En effet malgré la vie difficile en Hongrie, les orphelins bénéficient d'une rente prélevée sur la succession des parents décédés et mise de côté à leur profit<ref name="pub jam tort 36"/>. Dans cette lettre, le jeune homme supplie de lui accorder les fonds nécessaires pour rejoindre ce pays qui le fait rêver<ref name="pub jam tort 37"/>. Sa requête est finalement acceptée et l'argent qui doit lui revenir est confié à son frère qui suit des cours à l'université de Berlin. Adolph se voit remettre simplement un billet de train pour rejoindre son frère en Allemagne et un peu d'argent de poche<ref name="pub jam tort 38">Le public n'a jamais tort, Modèle:P..</ref>. Une fois sur place, son frère lui achète un billet pour un navire et change le reste de l'argent en monnaie américaine. Les quarante dollars restant sont alors cousus dans son gilet pour éviter qu'ils lui soient volés ou qu'il ne les perde<ref name="pub jam tort 38"/>.
Le rêve américain
C'est au cours de cette même année 1888 qu'Adolph Zukor pose le pied sur le sol des États-Unis<ref name="Fab hist Para 7-1">La Fabuleuse histoire de la Paramount, Modèle:P., première colonne.</ref>. Il a quinze ans quand il débarque à Castle Garden avec tous les immigrés venant d'Europe<ref name="pub jam tort 38"/>. Avant de partir il avait pris soin de noter l'adresse d'amis de ses parents déjà installés à New York qui l'accueillent à bras ouverts<ref name="pub jam tort 39">Le public n'a jamais tort, Modèle:P..</ref>.
Quelques jours après son arrivée, Adolph Zukor travaille dans un magasin de tapisserie d'ameublement à deux dollars la semaine. Peu de temps après, il rencontre une de ses connaissances de Hongrie. Le frère de ce jeune garçon procure à Adolph un emploi d'apprenti dans un magasin de fourrure où il est payé deux fois plus<ref name="pub jam tort 39"/>. Le jeune garçon s'acclimate parfaitement à sa nouvelle vie qu'il partage avec d'autres garçons de son âge avec le même parcours. Ayant toujours eu l'habitude de faire l'école du soir en Hongrie, il en fait de même aux États-Unis en s'inscrivant afin de se perfectionner dans son nouveau métier<ref name="pub jam tort 39"/>. En quelques années, il maîtrise parfaitement le négoce de la fourrure et part à Chicago pour lancer son propre commerce<ref name="Fab hist Para 7-1"/>. À dix-neuf ans, il « roule sur l'or »<ref name="pub jam tort 40">Le public n'a jamais tort, Modèle:P..</ref>.
Par l'intermédiaire d'un de ses collaborateurs, Morris Kohn, Adolph Zukor fait la connaissance de Lottie Kaufman<ref>Le public n'a jamais tort, Modèle:P..</ref>, une jeune femme née également dans une région rurale de Hongrie<ref name="pub jam tort 42">Le public n'a jamais tort, Modèle:P..</ref>. Ils se marient le Modèle:Date<ref name="pub jam tort 42"/>. À la même période Zukor et Kohn s'associent en créant la manufacture de fourrures Kohn & Company<ref name="pub jam tort 42"/>. En 1900, la manufacture se délocalise pour New York, au coin de la Modèle:111e et la Septième Avenue, près de chez un fourreur dont Kohn avait fait la connaissance lors d'un de ses voyages d'affaires, Marcus Loew. C'est le début d'une grande amitié entre Zukor et Loew<ref name="pub jam tort 42"/>.
Son entrée dans le divertissement
[[Fichier:NYC 14th Street looking west 12 2005.jpg|thumb|left|La [[14e rue|Modèle:14e]] de New York, où Zukor et ses associés s'implantent.]]
Deux ans après son retour à New York<ref name="pub jam tort 42"/>, Adolph Zukor songe à diversifier ses activités en se penchant sur une nouveauté de l'époque appelée « Penny Arcade » dont le principe est de visionner un court film pour un penny<ref name="Fab hist Para 7-1"/>. Il fait alors la connaissance de Mitchell Mark, propriétaire d'un de ces établissements et s'associe avec lui afin d'ouvrir sa première arcade. En 1903, après un investissement de Modèle:Unité<ref name="pub jam tort 44">Le public n'a jamais tort, Modèle:P..</ref>, Zukor, Kohn et Mitchell inaugurent l'Automatic Vaudeville Company sur la [[14e rue|Modèle:14e]]<ref name="Fab hist Para 7-1"/>, marquant le début d'une conquête. Dans le local sont installés plus d'une centaine d'appareils dont 60 % sont des phonographes car même avec des kinétoscopes en possession, il est encore compliqué de se procurer une quantité suffisante de films pour les mettre en avant<ref name="pub jam tort 44"/>. Des machines à bonbons ainsi que des équipements sportifs (comme un punching ball) et un stand de tir sont également installées pour attirer et diversifier les clients qui n'ont qu'a débourser un penny pour n'importe quelle de ces activités<ref name="pub jam tort 44"/>. Cette entreprise est un vrai succès, rapportant entre quatre cents et sept cents dollars par jour<ref name="pub jam tort 45">Le public n'a jamais tort, Modèle:P..</ref>. À la fin de l'année 1903, Zukor et Kohn se débarrassent de leur affaire de fourrure afin de se concentrer pleinement sur leur nouvelle activité et mettent en place avec leurs autres associés des succursales à Newark, Philadelphie et Boston<ref name="pub jam tort 45"/>. Forts du succès de leurs « Nickelodeons », les associés font aménager le premier étage de leur Arcade de la Modèle:14e en salle de cinéma, le Crystal Hall<ref name="pub jam tort 45"/>.
En 1905, Zukor est un homme de spectacle à plein temps. Pour faire fructifier son « commerce », il met en place des formules permettant de diversifier ses spectacles tels que les Hale's Scenic Tours<ref>Les spectateurs sont installés dans une reconstitution de train avec des sièges se balançant pendant la projection de films de voyages réalisés par George C. Hale.</ref> ou l'Humanova<ref>Des acteurs sont cachés derrière l'écran et disent le dialogue du film projeté en temps réel.</ref> le tout entrecoupé d'entractes avec chanteurs. Plus le temps passe et moins en moins de monde se déplace pour assister à ces projections. Cette baisse de fréquentation est principalement due au fait que très peu de films sont fabriqués pour l'usage que Zukor en fait et que les gens se lassent de voir continuellement les mêmes productions<ref>Le public n'a jamais tort, Modèle:P..</ref>. Pour retrouver le succès, ces projections sont transformés en véritable spectacles de music-hall visant un public familial<ref name="Fab hist Para 7-2">La Fabuleuse histoire de la Paramount, Modèle:P., seconde colonne.</ref>.
Fort de leur nouveau succès, Zukor et ses associés s'unissent à Marcus Loew qui s'est imposé dans le music-hall après avoir également souffert du manque de perspective du cinéma. Ensemble, ils créent en 1910 la Loew's Consolidated Enterprises avec Loew en tant que président, Zukor assurant le rôle de trésorier et Nicholas Schenck remplissant le rôle de secrétaire. En 1912, ils contrôlent une importante chaîne de théâtres dont l'American Music Hall situé sur la [[42e rue|Modèle:42e]]<ref name="Fab hist Para 7-2"/>.
Malgré cette réussite, Adolph Zukor aspire à mieux. Dans sa tête trotte l'idée de films plus long que ceux réalisés à ce moment<ref>Le public n'a jamais tort, Modèle:P..</ref> et qui sont arbitrairement limités à une ou deux bobines par la Motion Picture Patents Company, le consortium contrôlant l'industrie naissante du cinéma<ref name="Fab hist Para 7-2"/>.
Le cinéma
Lors d'une conversation, il apprend d'Edwin S. Porter que Louis Mercanton, un réalisateur français veut réaliser un film en quatre bobines mais, que faute d'argent, le projet est sur le point d'être retardé<ref name="pub jam tort 66">Le public n'a jamais tort, Modèle:P..</ref>. Zukor voit alors en cette situation l'opportunité d'assouvir son obsession de long métrage et prend contact avec l'agent américain de Mercanton<ref name="pub jam tort 66"/>. Après négociation<ref name="pub jam tort 66"/> et la vente de ses parts de la société de Loew<ref>Le public n'a jamais tort, Modèle:P..</ref>, Zukor acquiert les droits de distribution du film pour les États-Unis pour Modèle:Unité et avance l'argent nécessaire pour la reprise du tournage<ref>Le public n'a jamais tort, Modèle:P..</ref>.
Le film terminé, se pose le problème de le diffuser. Adolph Zukor entre en contact avec Daniel Frohman, un producteur et propriétaire de théâtres de Broadway<ref name="Fab hist Para 8-1">La Fabuleuse histoire de la Paramount, Modèle:P., première colonne.</ref>,<ref name="pub jam tort 71">Le public n'a jamais tort, Modèle:P..</ref> afin de lui proposer d'organiser une projection de La Reine Élisabeth avec Sarah Bernhardt en vedette. Bernardt est l'actrice la plus célèbre du moment et la perspective de présenter un film avec elle persuade Frohman d'organiser une avant-première dans son Lyceum Theatre<ref name="Fab hist Para 8-1"/>. Le film rencontre un grand succès, amenant au cinéma des spectateurs aisés alors que la classe moyenne en était auparavant la cible<ref name="Fab hist Para 8-1"/>. La réussite commerciale du film marque également un tournant pour les comédiens de l'époque. Avant La Reine Élisabeth, il était indigne pour eux de jouer dans un film, le cinéma étant considéré comme la distraction des incultes<ref name="Fab hist Para 8-1"/> et voué à disparaitre<ref>Le public n'a jamais tort, Modèle:P..</ref>. La présence de Sarah Bernhardt dans un film change la mentalité des comédiens qui estiment désormais que si une star comme elle le fait, pourquoi pas eux<ref name="Fab hist Para 8-1"/> ?
Ce revirement d'opinion vis-à-vis du cinéma alimente un peu plus l'ambition d'Adolph Zukor : faire des films avec de grands acteurs jouant leurs meilleurs rôles théâtraux, comme l'a déjà fait la Comédie-Française<ref name="Fab hist Para 8-1"/>. C'est ainsi que Zukor donne naissance au studio Famous Players in Famous Plays (« Comédiens connus dans des pièces connues »)<ref name="Fab hist Para 8-1"/>. Son équipe est alors composée de Edwin S. Porter en tant que réalisateur en chef et responsable de la photographie, Al Lichtman qui est chargé de vendre le film La Reine Élisabeth à travers le pays, B. P. Schulberg qui est le responsable de la publicité et Albert Kaufman qui prend la fonction de directeur général<ref name="Fab hist Para 8-1"/>.
1913, les premières productions et les premières vedettes
Pour lancer sa nouvelle société, Adolph Zukor décide de faire des versions filmés de deux succès théâtraux : Le Comte de Monte-Cristo et Le Prisonnier de Zenda. Un budget de Modèle:Unité est mis à disposition de Edwin S. Porter et Hugh Ford pour faire Le Prisonnier de Zenda, ce qui représente presque quatre fois le budget d'un film de cette époque<ref name="Fab hist Para 8-1"/>,<ref name="pub jam tort 86">Le public n'a jamais tort, Modèle:P..</ref>. En effet pour convaincre les acteurs de jouer pour le cinéma, le studio leur débourse entre 50 et Modèle:Nobr par semaine selon l'importance des rôles en plus des 1 200 hebdomadaire de James K. Hackett, la vedette du film<ref name="pub jam tort 86"/>. Suivent alors plusieurs productions qui mettent en avant des vedettes de la scène telle que Lillie Langtry ou Minnie Maddern Fiske. Après ses premiers succès, Adolph Zukor oriente ses choix d'acteurs vers de plus jeunes. Il lance alors la carrière cinématographique de John Barrymore, un talent de Broadway de Modèle:Nobr, dans le film An American Citizen de J. Searle Dawley<ref name="Fab hist Para 8-1"/>. Dans cette optique de rajeunir le casting de ses films, Zukor engage une jeune actrice de Modèle:Nobr déjà reconnu dans le métier : Mary Pickford. Le premier film de Pickord pour la Famous Players in Famous Plays est Un bon petit diable mais Zukor, estimant le résultat peu convaincant, choisit de le sortir après les trois films suivants de l'actrice (In the Bishop's Carriage, Caprice et Hearts Adrift)<ref name="Fab hist Para 8-1"/>. Malgré cette manœuvre, les premiers films de Mary Pickford sont des déceptions au box-office. C'est finalement avec le film suivant, Tess au pays des tempêtes, que Pickford devient la star de Zukor<ref name="Fab hist Para 8-2">La Fabuleuse histoire de la Paramount, Modèle:P., seconde colonne.</ref>. Le studio, qui s'appelle désormais Famous Players, compte dans ses rangs un vivier de talents avec Marguerite Clark, Pauline Frederick, Marie Doro, Harold Lockwood ou encore Jack Pickford (le frère de Mary)<ref name="Fab hist Para 8-2"/>.
Naissance de la Paramount
La Famous Players, avec une trentaine de films produit par an<ref name="Fab hist Para 8-2"/>, a fait du long-métrage (allant de quatre à six bobines) la nouvelle norme<ref name="Fab hist Para 9-1">La Fabuleuse histoire de la Paramount, Modèle:P., première colonne.</ref>. Cependant le système de distribution, passant par différents intermédiaires pour chaque région, n'est pas assez rentable pour les producteurs<ref name="Fab hist Para 9-1"/>. C'est ainsi que W. W. Hodkinson propose aux producteurs comme Zukor, Jesse L. Lasky, Oliver Morosco ou Hobart Bosworth, une méthode de distribution nationale géré par sa société, la Paramount Pictures Corporation<ref name="Fab hist Para 9-1"/>. Adolph Zukor, persuadé par la future réussite de ce nouveau système de distribution, parvient à acheter 10 % des parts de cette société, en attendant mieux<ref name="Fab hist Para 9-1"/>.
Le projet de Zukor est de développer son studio afin d'assurer la production et la distribution de ses propres films. Mais son ambition est freinée en 1915 quand un incendie ravage les studios de la Modèle:26e avec ses équipements<ref name="Fab hist Para 9-1"/>, cependant les films inédits du studios sont sauvés grâce à un employé qui les avait stockés dans un coffre-fort supportant de hautes chaleurs<ref>Le public n'a jamais tort, Modèle:P..</ref>. Zukor achète alors une école d'équitation sur la Modèle:56e afin de la transformer en studio et ainsi reprendre rapidement son activité<ref name="Fab hist Para 9-1"/>.
Durant l'été 1916, Jesse L. Lasky et Adolph Zukor décident de s'unir en fusionnant la Jesse L. Lasky Feature Company avec la Famous Players<ref name="Fab hist Para 9-1"/>,<ref name="pub jam tort 188">Le public n'a jamais tort, Modèle:P..</ref> malgré une légère divergence d'opinion entre Zukor et Lasky. En effet, Zukor met l'accent sur les vedettes qui jouent dans ses films car il pense que le public se déplace pour eux alors que pour Lasky, c'est le scénario qui est le plus important<ref name="pub jam tort 188"/>. La fusion se fait de manière équitable, chacun obtenant une part égale de la nouvelle société. La Famous Players-Lasky Corporation est née, Adolph Zukor prenant le fauteuil de président et Jesse L. Lasky<ref name="Fab hist Para 9-1"/>,<ref name="pub jam tort 188"/>.
Voulant tout contrôler, Adolph Zukor commence alors sa manœuvre pour prendre le contrôle de la Modèle:Langue. Avec le soutien d'Otto Kahn, un « mécène » de Wall Street, il réussit à convaincre les associés de Hodkinson de vendre leurs parts de la société de distribution à la Modèle:Langue. W.W. Hodkinson, n'étant plus l'homme fort de sa propre société, cède également ses parts<ref name="Fab hist Para 9-1"/>.
Filmographie
La filmographie est issue de IMDb<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Filmographie en tant que producteur sur IMDb.</ref>.
Films muets
Films parlants
Notes et références
Annexes
Sources
Sauf mention contraire, les sources sont en français.
Bibliographie
- Anna Gálli, « Ces Hongrois qui ont fait Hollywood », Courrier international no 1569, Courrier international S.A., Paris , Modèle:Date, Modèle:Page, Modèle:ISSN, (article original paru dans Index.hu, Budapest, le Modèle:Date).