Paizay-Naudouin-Embourie

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France

Paizay-Naudouin-Embourie est une commune du Sud-Ouest de la France située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

En 1973, la commune de Paizay-Naudouin s'est associée à celle d'Embourie.

Ses habitants sont les Paizéens et les Paizéennes<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Modèle:Sommaire

Géographie

Localisation et accès

La commune de Paizay-Naudouin-Embourie est une commune du Nord Charente limitrophe des Deux-Sèvres ; elle fait partie du canton de Villefagnan, à Modèle:Unité au nord d'Angoulême.

Le bourg de Paizay-Naudouin, à Modèle:Unité au nord-ouest de Villefagnan, est un bourg important ; celui d'Embourie est situé à Modèle:Unité au nord-ouest de Villefagnan.

Paizé-Naudouin est aussi Modèle:Unité au sud-est de Chef-Boutonne, Modèle:Unité à l'ouest de Ruffec, Modèle:Unité au nord d'Aigre, Modèle:Unité de Niort, Modèle:Unité de Confolens, sa sous-préfecture depuis 2008<ref>Modifications des limites d'arrondissements au 01/01/2008</ref>, et Modèle:Unité de Poitiers<ref>Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper</ref>.

À l'écart des axes importants, la commune est traversée par la D 740, route de Confolens à Niort par Ruffec, Villefagnan et Chef-Boutonne, et qui passe à Embourie. La D 737, route d'Angoulême à Niort par Aigre et Chef-Boutonne, borde la commune à l'ouest ; la D 9, route de Villefagnan à Saint-Jean-d'Angély, longe la commune au sud<ref name="ign">Carte IGN sous Géoportail</ref>.

La gare la plus proche est celle de Ruffec, desservie par des TER et TGV à destination d'Angoulême, Poitiers, Paris et Bordeaux.

Hameaux et lieux-dits

Les hameaux sont assez nombreux dans la commune : Saveille, sur la route de Chef-Boutonne ; Tourteron, sur la route de Theil-Rabier ; Bramefan, près de Tourteron ; les Allards, dans le sud-ouest ; les Deffends, près du bourg-centre; Planchard, sur le ruisseau de la Fredière ; Rollaire dans le nord ; Breuil-Tizon et Rondeau, dans l'extrême sud, etc., ainsi que le Peux, qui appartient à la commune d'Embourie, et se trouve au sud du bourg.

Communes limitrophes

Modèle:Communes limitrophes

Géologie et relief

Géologiquement, la commune est dans le calcaire du Jurassique du Bassin aquitain, comme tout le Nord-Charente. L'Oxfordien occupe plus particulièrement la surface communale (Jurassique supérieur). Des alluvions récentes du Quaternaire occupent les vallées, principalement à l'ouest<ref>Carte du BRGM sous Géoportail</ref>,<ref>Visualisateur Infoterre, site du BRGM</ref>,<ref>Modèle:Pdf Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Pdf Modèle:Lien web</ref>. Modèle:Article connexe

Le nord de la commune est plus accidenté que la partie sud-ouest et l'on y rencontre des collines dont l'altitude dépasse Modèle:Unité. Le point culminant est à une altitude de Modèle:Unité, situé sur la limite orientale à l'est d'Embourie. Le point le plus bas est à Modèle:Unité, situé le long de l'Aume en limite sud. Le bourg de Paizay-Naudouin est à Modèle:Unité d'altitude<ref name="ign"/>.

Hydrographie

Réseau hydrographique

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Paizay-Naudouin-Embourie.

La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle est drainée par l'Aume, le ruisseau de Saveille, le ruisseau des Fontaines de Frédière et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Géoportail</ref>.

La commune de Paizay-Naudouin-Embourie est une des rares du canton de Villefagnan à avoir de l'eau. Elle est arrosée par l'Aume, affluent de la Charente, qui la sépare d'abord du département des Deux-Sèvres et qui en parcourt ensuite le sud-ouest, et par plusieurs affluents de cette rivière, dont l'un traverse le bourg de Paizay-Naudouin et qui prend sa source au nord aux fontaines de Villeneuve et alimenté par la Font Egline. On trouve aussi le ruisseau de Saveille au nord-ouest.

Au sud, à la Garenne de Breuil Tison, une bassine servant à l'irrigation a été construite<ref name="ign"/>.

Gestion des eaux

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de Modèle:Unité, a été approuvé le Modèle:Date-. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente<ref>Modèle:Lien web</ref>. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Climat

Comme dans une grande partie du département, le climat est océanique aquitain, légèrement dégradé au nord du département. Modèle:Article connexe

Urbanisme

Typologie

Paizay-Naudouin-Embourie est une commune rurale<ref group=Note>Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (96,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (83,8 %), zones agricoles hétérogènes (11,3 %), zones urbanisées (2 %), prairies (1,7 %), forêts (1,2 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

Le territoire de la commune de Paizay-Naudouin-Embourie est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Risques naturels

Fichier:16253-Paizay-Naudouin-Embourie-argile.jpg
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Paizay-Naudouin-Embourie.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 81,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Unité dénombrés sur la commune en 2019, 239 sont en aléa moyen ou fort, soit 93 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune<ref name="ECS">Modèle:Lien web</ref>.

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999<ref name=Géorisques/>.

Risques technologiques

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque transport de matières dangereuses.</ref>.

Toponymie

Paizé-Naudouin

Les formes anciennes sont Noduis en 1110<ref>Bulletin de la Société archéologique et historique de la Charente, 1864, p.334</ref>, Paizai feudum (fief) en 1242, Payzaco, Peizay au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle<ref>Modèle:Ref-Ang-Livre des fiefs</ref>, Paysaco en 1326, Paysaio, P. le Nodoyn vers le Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle<ref>Modèle:Ref-Ang-Pouillé 3</ref>.

L'origine du nom de Paizay remonterait à un nom de personne gallo-romain Pasius auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait à Pasiacum, « domaine de Pasius ». Celle de Naudouin remonterait à un nom de personne germanique Audowin avec particule nobiliaire En ou de possession (in Audowino [villa])<ref>Modèle:Dic-Dauzat-1989</ref>,<ref>Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928</ref>.

Paizé-Naudouin est au nord de la limite des noms en -ac (dans le Sud de la France) et des noms en , -ay ou -y (dans le Nord), qui traverse la France d'ouest en est et le nord-ouest du département de la Charente entre Rouillac/Montigné et Bernac/Londigny<ref name=ign/>.

La commune a été créée en 1793 sous le nom de Paisais, elle est devenue Pesay-Naudouin en 1801, puis Paizay-Naudouin et en 1973 Paizay-Naudouin-Embourie après avoir été associée à la commune d'Embourie<ref name="Cassini"/>.

Embourie

Modèle:Article détaillé

Histoire

Embourie

Le site d'Embourie a été occupé du {{#switch: er

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}} par une importante villa gallo-romaine, au lieu-dit les Châteliers. Modèle:Article connexe

Paizay-Naudouin

Au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle le château de Saveille était la propriété de la famille de La Rochefaton, ancienne famille poitevine connue depuis Guy, seigneur de La Rochefaton, qui vivait vers la fin du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. Ce château était passé entre les mains de la famille de La Rochefaton par le mariage, en 1411, de Thibaut de La Rochefaton, chevalier, avec Jeanne, dame de Montalembert et de Saveille. Il appartenait encore à la maison de La Rochefaton en 1585, lorsqu'il fut pris et saccagé par l'armée du roi de Navarre, le futur Henri IV.

Après la famille de La Rochefaton, la terre de Saveille est passée par mariage à une autre famille. En effet, Jeanne de La Rochefaton, fille de Jean, seigneur de Saveille, et de Jeanne d'Albin de Valsergues, épousa, vers 1600, Armand Nompar de Caumont, duc de La Force, pair et maréchal de France, et lui porta en dot la terre de Saveille. À son tour, une de leurs filles, Charlotte de Caumont La Force, hérita de Saveille et porta cette terre à son époux Henri de La Tour d'Auvergne, vicomte de Turenne, maréchal de France. C'était le grand Turenne et Saveille compte ainsi, parmi ses divers possesseurs, un des plus illustres parmi nos hommes de guerre.

Vers la fin du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, la terre de Saveille passa par succession dans la maison de Prévost, puis, par le mariage de Marie Suzanne Prévost-Sansac de Touchimbert avec Henri de Bourdeille, comte de Matha, elle devint la propriété de cette dernière famille.

Quelques autres fiefs moins importants sont à signaler dans la commune de Paizay-Naudouin : au hameau de Tourteron se voient encore les restes d'un grand logis du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, flanqué de grosses tours rondes. C'était, à la même époque, la possession d'une famille Marcirion, qui aurait été originaire de l'échevinage de Poitiers. Le Modèle:Date, Jacques de Chevreuse épousa Jeannette de Marcirion, fille de Louis, et fit entrer le domaine de Tourteron dans sa famille, qui le posséda jusqu'à la Révolution. Le dernier représentant de cette famille, Louis de Chevreuse, vivait au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle et ne paraît pas s'être marié. Le logis, acquis récemment par un privé, vient d'être restauré en 2009.

Près du hameau de Planchard, qui se trouve sur le territoire de la commune d'Empuré, est un logis qui porte le même nom, mais qui appartenait à la paroisse de Paizay-Naudouin. Au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, c'était également une possession de la famille de Chevreuse. En 1764, Antoine Alexandre de Chevreuse, écuyer, seigneur de Tourteron et de Planchard, épousait Marie de Massougnes des Fontaines.

Enfin, entre Saveille et Tourteron se trouvait le fief de Bramefan: au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, ce fief appartenait à Louis Hérard, écuyer, dont la veuve, Jeanne de Parthenay, épousait en deuxièmes noces, vers 1580, Antoine Corgnol, seigneur de Tessé. Le fief de Bramefan était encore aux mains des Hérard, à l'époque de la maintenue de 1666, où Charles Hérard fut reconnu noble.

Pendant la première moitié du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, la commune était desservie par la ligne de Ruffec à Niort, et elle y possédait une gare située près du bourg<ref name=mb>Modèle:Ref-Charente-MB</ref>.

La commune de Paizay-Naudouin a été associée à celle d'Embourie en 1973<ref name="Cassini"/>.

Administration

Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Maire délégué d'Embourie : Didier Allain

Démographie

Évolution démographique

Modèle:Population de France/section

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 25,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 42,2 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait Modèle:Nobr pour Modèle:Nobr, soit un taux de 51,38 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,41 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Modèle:Pyramide des âges communes de France

Embourie

{{#invoke:Démographie|demographie}}

Embourie est restée une commune associée, et le recensement en 2007 fait état de 76 habitants<ref>Modèle:Xls Insee : recensement 2007 : fiche de synthèse Excel, onglet Communes associées.</ref>.

Économie

Modèle:...

Équipements, services et vie locale

Enseignement

L'école primaire publique avec une classe de maternelle et deux classes d'élémentaire est à Paizay-Naudouin et regroupe les enfants de Paizay-Naudouin-Embourie, Theil-Rabier et Longré.

Le collège est à Villefagnan<ref>Modèle:Lien web</ref> et il existe un circuit de bus.

Autres équipements et services

Modèle:...

Lieux et monuments

Patrimoine religieux

Fichier:Embourie1.7.JPG
L'église d'Embourie.

Patrimoine civil

La villa gallo-romaine des Châteliers

  • Le site archéologique de la villa gallo-romaine des Châteliers, à Embourie, est formé de substructions gallo-romaines des {{#switch: er
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}}

}}.

Connu depuis le début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, le site antique des Châteliers a fait l’objet de campagnes de fouilles régulières depuis 1968. Celles-ci ont partiellement mis au jour l'espace résidentiel d’une exploitation agricole. Une vaste villa en pierre a remplacé les premiers bâtiments en bois et torchis, au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. L’adoption de ce matériau témoigne de l’assimilation et de la maîtrise des savoir-faire romains.

Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, les activités quotidiennes, artisanales et agricoles se côtoient dans un même espace richement décoré de peintures murales aux thèmes variés comme la chasse, le théâtre…

La villa des Châteliers, propriété privée, est en accès libre toute l'année. Le site, qui domine le pays environnant, est classé monument historique depuis 1983<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>. En 2008, le site a fêté ses 40 ans de fouilles archéologiques<ref>Modèle:Lien brisé</ref>.

Le château de Saveille

Le château de Saveille, situé au nord du bourg de Payzé-Naudouin, est une vaste construction rectangulaire des {{#switch: e

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}}, entourée de fossés d'eaux-vives et flanquées aux angles de tours et tourelles en encorbellement, coiffées en poivrières. À part une reprise assez malheureuse du commencement du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, tout l'ensemble porte la marque des deux époques où il a été construit, avec des croisées et lucarnes à meneaux de la dernière période ogivale ou des fenêtres à pilastres sculptés de la Renaissance. C'est un des plus jolis châteaux de la région ; c'est également un des plus importants au point de vue historique<ref name=mb/>,<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>. Modèle:Article détaillé

Autre patrimoine

La commune est également riche d'un ensemble de patrimoine bâti.

Personnalités liées à la commune

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes

Modèle:Références

  • Cartes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Palette Modèle:Portail