Triac-Lautrait
Modèle:Infobox Commune de France
Triac-Lautrait est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).
Ses habitants sont les Trilautins et les Trilautines<ref name=bulletin2019/>.
Géographie
Localisation et accès
Triac-Lautrait est une commune située à Modèle:Unité à l'est de Jarnac et Modèle:Unité à l'ouest d'Angoulême, sur la rive droite de la Charente.
Triac-Lautrait est aussi à Modèle:Unité à l'est d'Hiersac, Modèle:Unité au sud-ouest de Rouillac, Modèle:Unité au nord-ouest de Châteauneuf et Modèle:Unité à l'ouest de Cognac<ref>Distances orthodromiques (de mairie à mairie) prises sous ACME Mapper</ref>.
La commune est limitée, au sud, par la Charente et au nord par l'ancienne route nationale 141 d'Angoulême à Saintes, renumérotée en N 2141<ref name="ign">Carte IGN sous Géoportail</ref> depuis l'ouverture de la déviation de Jarnac en 2006 qui passe plus au nord, maillon de la route Centre-Europe Atlantique. La commune est aussi traversée, d'est en ouest mais plus au sud, par la D 22, route de Châteauneuf à Jarnac longeant la Charente par la rive droite, et qui passe par le bourg de Triac. La D 18 de Bassac à Rouillac limite la commune à l'est. Modèle:Multiple image
Hameaux et lieux-dits
Le bourg de Triac, à six kilomètres est de Jarnac, groupe ses maisons autour de l'église et du château.
Le centre de population le plus important est le gros village de Lautrait, qui s'élève près de l'ancienne route nationale 141. C'est là que se trouvent la mairie et l'école.
Les autres hameaux sont Lantin et la Rente.
Communes limitrophes
Géologie et relief
Le sol de la commune est calcaire et appartient au Purbeckien, ancienne zone lagunaire de la fin du Jurassique, qui s'étendait vers l'ouest dans tout le Pays Bas et riche en gypse. Le Portlandien (Jurassique supérieur) occupe la limite nord de la commune, entre Bourras et Lautrait.
Au sud de la route de Jarnac à Châteauneuf s'étend la vallée de la Charente, dont la zone inondable est couverte par des alluvions du Quaternaire. Des alluvions moins récentes occupent la petite zone de la pyramide du Prince de Condé<ref>Carte du BRGM sous Géoportail</ref>,<ref>Visualisateur Infoterre, site du BRGM</ref>,<ref>Modèle:Pdf Modèle:Lien web</ref>. Modèle:Article connexe
Le relief de la commune est celui d'une vaste plaine d'une altitude moyenne de Modèle:Unité, légèrement inclinée vers la Charente qui borde la commune au sud, plantée de vignobles de cognac.
La vallée de la Charente forme une vaste prairie, qui se prolonge, d'un côté, jusqu'à Bassac et, de l'autre, jusque près de Jarnac.
Le point culminant est à une altitude de Modèle:Unité, situé sur la limite de commune sur l'ancienne route nationale entre Lantin et le Grand Bourras. Le point le plus bas est à Modèle:Unité, situé au bord de la Charente dans la prairie de Triac. Les bourgs de Triac et Lautrait sont à environ Modèle:Unité d'altitude<ref name="ign"/>.
Hydrographie
Réseau hydrographique
La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle est drainée par la Charente, le ruisseau de la Gorre, le ruisseau de l'Etang et par deux petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Géoportail</ref>.
La commune est bordée au sud par la Charente. À l'ouest la commune est limitée par la Belloire, minuscule affluent de la Charente.
On peut trouver quelques fontaines, dont celle de Lautrait qui alimente la Belloire et celle de Triac, sur un autre petit affluent de la Charente qui irrigue le parc du château<ref name="ign"/>.
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Fontaine-lavoir à Triac.
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Réseaux hydrographique et routier de Triac-Lautrait
Gestion des eaux
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de Modèle:Unité, a été approuvé le Modèle:Date-. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente<ref>Modèle:Lien web</ref>. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Climat
Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain. Modèle:Article connexe
Urbanisme
Typologie
Triac-Lautrait est une commune rurale<ref group=Note>Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Jarnac, une agglomération intra-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est une commune de la banlieue<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (90,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (48,9 %), zones agricoles hétérogènes (20 %), terres arables (13,5 %), forêts (9,4 %), zones urbanisées (7,2 %), prairies (1 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Triac-Lautrait est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Risques naturels
La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) Saintes-Cognac-Angoulême, regroupant Modèle:Nobr concernées par un risque de débordement du fleuve Charente (34 en Charente et 12 en Charente-Maritime), un des Modèle:Nobr qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne<ref>Modèle:Lien web</ref>. Les événements antérieurs à 2014 les plus significatifs sont les crues de l'hiver 1779, de 1842, de 1859, du Modèle:Date- du Modèle:Date-, du Modèle:Date-, de mars-avril 1962, du Modèle:Date- et du Modèle:Date-. Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de Modèle:Nobr à Modèle:Nobr), moyen (temps de retour de Modèle:Nobr à Modèle:Nobr) et extrême (temps de retour de l'ordre de Modèle:Unité, qui met en défaut tout système de protection)<ref>Modèle:Lien web</ref>. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1987 et 1999<ref>Modèle:Lien web, partie 1 - chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 96 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Unité dénombrés sur la commune en 2019, 211 sont en aléa moyen ou fort, soit 99 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune<ref name="ECS">Modèle:Lien web</ref>.
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2005 et par des mouvements de terrain en 1999<ref name=Géorisques/>.
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque transport de matières dangereuses.</ref>.
Toponymie
Les formes anciennes sont Triaco en 852<ref>Modèle:Ref-Ang-Cartulaire</ref>, villa Trilliaco en 904<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.
L'origine du nom de Triac remonterait à un nom de personne gallo-romain Trius auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait à Triacum, « domaine de Trius »<ref>Modèle:Dic-Dauzat-1989</ref>,<ref>Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928</ref>. Tri- est un terme de nom propre gaulois<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.
Créée Triac en 1793 à partir du nom de la paroisse, le nom de la commune est devenu Triac-Lautrait en 1932<ref name=Cassini/>.
À la suite d'une consultation citoyenne et de l’organisation d’un scrutin par la municipalité, les habitants de Triac-Lautrait qui n’avaient pas de gentilé ont pu se prononcer fin 2017. Le gentilé Trilautine et Trilautin qu’ils ont choisi vient d’une composition des trois principaux hameaux, Triac, Lautrait et Lantin<ref>Modèle:Article</ref>,<ref name=bulletin2019>Modèle:Lien web</ref>.
Histoire
La commune était autrefois une dépendance de la seigneurie de Lartige, qui elle-même relevait de la châtellenie de Jarnac et Triac, au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, faisait partie de la seigneurie de Jarnac.
On trouve autour de l’église, un ancien prieuré de l'ordre de Saint-Benoît, les fondations du château primitif, un château fort élevé sur la colline qui domine le bourg.
Ce premier château, ainsi qu’une partie de l’église, fut détruit pendant la guerre de Cent Ans.
Dès le Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, la seigneurie de Lartige appartenait à la famille de Lestang. Du nouveau château plus proche du fleuve, il ne reste qu'une des deux tours qui flanquaient le corps de logis après qu'il a été incendié en 1569 par les protestants après la bataille de Jarnac marquant les guerres de religion.
C'est dans la prairie que se déroula la phase principale de la bataille de Jarnac en 1569, et que le prince de Condé, commandant l'armée protestante face au duc d'Anjou (le futur roi Henri III) trouva la mort de façon ignominieuse. Blessé durant le combat, Condé tentait de se rendre lorsqu'il fut assassiné d'un coup de pistolet par Joseph-François de Montesquiou, capitaine des gardes du duc d'Anjou appelés les manteaux rouges. Promené sur une ânesse, son cadavre fut l'objet des quolibets de l'armée catholique avant d'être exposé pendant deux jours sur une table au château de Jarnac<ref>Hélène Germa-Romann, Du "bel mourir" au "bien mourir": le sentiment de la mort chez les gentilshommes français (1515-1643), Droz, 2001, Modèle:P.</ref>.
Au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, par suite d'une alliance, une partie de la seigneurie de Triac passa à la famille Le Musnier, qui, au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, restaura le château. La famille Le Meusnier était originaire d'Angoulême, où elle avait exercé plusieurs charges de judicature ; elle descendait de François Le Meusnier, maire en 1592, 1593 et 1600, qui possédait le fief de Lartige et était président en l'Élection d'Angoulême.
François Le Musnier, sieur de Lartige, mourut en 1605, laissant plusieurs enfants. L'aînée des filles épousa François Lambert, sieur des Andreaux, et lui porta en dot une partie de la seigneurie de Lartige, qui passa ensuite, par mariage du Modèle:Date avec Catherine Lambert, à Samuel Pasquet, écuyer, sieur de Piégut. Le fils de ces derniers, François Pasquet, fut un magistrat du Présidial d'Angoulême, qui se fit appeler Monsieur de Lartige. Il laissa lui-même une fille, Jeanne Pasquet de Lartige, qui épousa Jean Normand, écuyer, sieur de la Tranchade.
Le fils cadet de François Le Musnier, Clément, conserva le château de Triac qui resta dans la famille jusque vers l'année 1768. À cette époque, Louis Le Musnier, lieutenant-général et seigneur de Raix, vendit Triac à messire Abraham Bonniot, chevalier, seigneur de Fleurac, Salignac et autres lieux. Ce dernier fit édifier de 1773 à 1777 un nouveau château, encore plus près de la Charente.
En 1802, le château de Triac fut acquis par monsieur Roy d'Angeac, dont la petite-fille épousa Louis-Joseph de Fereire. Vendu de nouveau en 1871, il changea plusieurs fois de propriétaire depuis cette époque et fut encore incendié en 1877. Racheté par un négociant il a été restauré<ref name=mb>Modèle:Ref-Charente-MB</ref>.
Administration
Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Triac-Lautrait a toujours appartenu au canton de Jarnac et au district devenu arrondissement de Cognac<ref name=Cassini/>.
Fiscalité
La fiscalité en 2007 est d'un taux de 15,67 % sur le bâti, 39,36 % sur le non bâti, et 8,64 % pour la taxe d'habitation.
La communauté de communes de Jarnac prélève la taxe professionnelle au taux 10,26 %.
Démographie
Évolution démographique
Modèle:Population de France/section
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 33,4 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 23,6 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait Modèle:Nobr pour Modèle:Nobr, soit un taux de 51,88 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,41 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Modèle:Pyramide des âges communes de France
Remarques
C'est durant la crise du phylloxéra, à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle que Triac a vu sa population baisser.
Économie
Agriculture
La viticulture occupe une partie importante de l'activité agricole. La commune est classée dans les Fins Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac<ref>Modèle:Lien web</ref>.
La commune comporte aussi des distilleries. Certains producteurs vendent cognac et pineau des Charentes à la propriété.
Commerces
La commune comporte aussi les établissements Tiffon, deux entreprises de travaux viticoles, et quelques artisans (menuisier, pose de stores...).
Équipements, services et vie locale
Enseignement
L'école est un RPI entre Triac-Lautrait et Bassac.
Triac-Lautrait accueille l'école élémentaire et Bassac l'école primaire. L'école communale, Prince-de-Condé, située près de la mairie à Lautrait, comprend une seule classe. Le secteur du collège est Jarnac<ref>Modèle:Lien web</ref>.
La MFR de Triac-Lautrait assure un enseignement agricole avec les classes de Modèle:4e et Modèle:3e en alternance, les BEPA viticulture-œnologie et horticulture, les bac pro horticulture et travaux paysagers et le CAP de fleuriste<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Lieux et monuments
Patrimoine religieux
L'église paroissiale Saint-Romain est située à Triac. Elle est de l'ancien diocèse de Saintes, commune à la paroisse et au prieuré bénédictin du lieu, qui appartenait à l'abbaye de Saint-Cybard d'Angoulême ; elle a été rebâtie au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. En partie détruite par les Anglais, elle a été restaurée au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et sa longueur réduite ; puis ses voûtes se sont écroulées. Elle a été quelque peu réparée en 1898, époque où on lui a appliqué une tribune sur son mur ouest<ref>Modèle:Ref-Ang-Pouillé 1</ref>,<ref>Modèle:Ref-Ang-Pouillé 3</ref>,<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.
Patrimoine civil
La pyramide de Condé a été érigée sur le lieu où [[Louis Ier de Bourbon-Condé|Louis {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }} de Bourbon-Condé]], prince de Condé, trouva la mort pendant la bataille de Jarnac qui vit, le Modèle:Date, la victoire du duc d'Anjou, futur roi Henri III, sur les troupes protestantes<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.
La traduction de la plaque écrite en latin est<ref name=mb/> Modèle:Citation bloc
Le château de Triac a été reconstruit au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle à l'emplacement du château du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle incendié en 1569 par les protestants, restauré et détruit par un nouvel incendie, reconstruit encore plus près de la Charente, terminé en 1777, incendié en 1877 et rebâti à l'identique. Il comporte un parc, des fossés, un vivier, un pigeonnier et des dépendances agricoles<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>. Modèle:Article détaillé
Patrimoine environnemental
Le GR 4 qui va de Royan à Grasse traverse la commune.
Personnalités liées à la commune
- Emmeline Ragot, championne de France 2006 de descente en VTT, réside dans la commune.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes
Références
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Modèle:Site officiel de Triac-Lautrait
- Modèle:Base Mérimée
- Modèle:Base Palissy
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