Angel-A
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox V3/Début Modèle:Infobox V3/Image Modèle:Infobox V3/Séparateur Modèle:Infobox V3/Tableau début Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau fin {{#if: |Modèle:Infobox V3/Titre Bloc Modèle:Infobox V3/Navigateur |}} {{#if: |Modèle:Infobox V3/Titre Bloc Modèle:Infobox V3/Navigateur |}} Modèle:Infobox V3/Séparateur
Fichier:Information icon.svg Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution
Angel-A est un film français réalisé par Luc Besson et sorti en 2005.
Il s'agit d'un film plus intimiste et moins centré sur l'action que les précédentes réalisations de Luc besson dans les Modèle:Nobr. Le film est en noir et blanc. L'accueil est mitigé dans la presse et le film ne rencontre pas le succès commercial.
Synopsis
Rien ne réussit à André Moussah, jeune Marocain un peu escroc, croulant sous les dettes. Cette fois, il est au bout du rouleau : ses créanciers, de plus en plus pressants et menaçants, ne lui laissent aucun répit. Sa nationalité américaine qu'il a gagnée à la loterie et le ciel qu'il invective ne lui sont d'aucun secours. Sur le point de se suicider en se jetant du haut du [[Pont Alexandre-III|pont Alexandre-Modèle:III]], à Paris, il est interrompu par une jeune femme, Angela, qui plonge dans l'eau sous ses yeux. N'écoutant que son courage, André se précipite et la sauve. Angela lui déclare alors que, puisqu'il l'a sauvée, elle lui appartient désormais.
Fiche technique
- Titre original : Angel-A
- Réalisation et scénario : Luc Besson
- Musique : Anja Garbarek
- Décors : Jacques Bufnoir
- Costumes : Martine Rapin
- Photographie : Thierry Arbogast
- Montage : Modèle:Lien
- Producteur : Luc Besson
- Effets visuels numérique : BUF (Paris)
- Société de production : EuropaCorp
- Sociétés de distribution : Modèle:FRA-d EuropaCorp Distribution, Modèle:USA-d Modèle:Lang
- Budget : Modèle:Nombre d'euros<ref name="jpbox-office">Modèle:Lien web.</ref>
- Format : noir et blanc - 2,35:1 - Dolby Digital - [[Format 35 mm|Modèle:Unité]]
- Pays d'origine : Modèle:Pays
- Genre : comédie dramatique, fantastique, romance
- Langue originale : français
- Dates de sortie<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Wikidata}}/{{#if:releaseinfo|releaseinfo|reference}} {{#if:||Dates de sortie}} sur l’Modèle:Lang.</ref> :
Distribution
- Jamel Debbouze : André Moussah
- Rie Rasmussen : Angel-A
- Gilbert Melki : Franck
- Serge Riaboukine : Pedro
- Akim Chir : le chef des malfrats
- Eric Balliet : le garde du corps de Franck
- Loïc Pora : le second malfrat
- Vénus Boone : la mère d'Angela
- Jérôme Guesdon : le troisième malfrat
- Michel Bellot : le planton US
- Michel Chesneau : le flic au commissariat
- Olivier Claverie : le secrétaire US
- Solange Milhaud : la femme de Saint-Lazare
- Laurent Jumeaucourt : le dragueur
- Franck-Olivier Bonnet : le dernier client
Production
Genèse et développement
Modèle:... Luc Besson n'avait plus réalisé de film depuis Jeanne d'Arc sorti en 1999. Le projet est dès le départ gardé très secret. Durant le festival de Cannes 2005, Jamel Debbouze évoque le film en déclarant au magazine Première qu'il va tourner Modèle:Citation. Un hiatus assez incomplet, le cinéaste gardant son activité de producteur et de scénariste.
Luc Besson a déclaré en interview avoir commencé à écrire l'histoire environ Modèle:Nombre avant que le projet se concrétise :
Le réalisateur-scénariste a ensuite retrouvé par hasard son ébauche de scénario : Modèle:Citation bloc
Distribution des rôles
Pour le rôle principal, Luc Besson explique : Modèle:Citation.
Comme beaucoup d'éléments du film, le choix de l'actrice principale est resté longtemps secret. Alors que les noms de Sara Forestier, Milla Jovovich, Kate Nauta, Angelina Jolie, Uma Thurman étaient évoqués, c'est finalement la méconnue Rie Rasmussen qui est choisie<ref name="secrets-tournage" />,<ref name="premiere">Modèle:Lien web.</ref>.
Gilbert Melki, qui a été choisi pour incarner Franck, a été surpris que Luc Besson ne lui donne pas le scénario entier. Ce dernier raconte Modèle:Citation<ref name="premiere" />.
Tournage
Le tournage a eu lieu principalement à Paris et a duré neuf semaines<ref name="making-of">Angel-A, Version DVD, Modèle:Lang.</ref>. L'équipe tournait en général très tôt le matin pour conserver un maximum de secret et ne pas être gênée<ref name="making-of" />.
Le tournage a notamment lieu dans ces arrondissements<ref>Ça s'est tourné près de chez vous - Angel-A - FilmFrance.net.</ref> :
- [[1er arrondissement de Paris|Modèle:1er]] : place du Marché-Saint-Honoré, rue de Rivoli
- [[2e arrondissement de Paris|Modèle:2e]] : restaurant Le Grand Colbert
- [[4e arrondissement de Paris|Modèle:4e]] : pont au Double, quai de la Rapée, [[Square Jean-XXIII|square Jean-Modèle:XXIII]]
- [[5e arrondissement de Paris|Modèle:5e]] : pont de la Tournelle, pont de Sully
- [[6e arrondissement de Paris|Modèle:6e]] : pont des Arts
- [[7e arrondissement de Paris|Modèle:7e]] : place de Fontenoy, Port Port, avenue Barbey-d'Aurevilly, avenue Émile-Deschanel
- [[8e arrondissement de Paris|Modèle:8e]] : [[Pont Alexandre-III|pont Alexandre-Modèle:III]]
- [[9e arrondissement de Paris|Modèle:9e]] : [[Place Édouard-VII|place Édouard-Modèle:VII]]
- [[15e arrondissement de Paris|Modèle:15e]] : pont de Bir-Hakeim
- [[16e arrondissement de Paris|Modèle:16e]] : rue Chardin, avenue d'Eylau, rue de l'Alboni, square Alboni, voie Georges-Pompidou
- [[18e arrondissement de Paris|Modèle:18e]] : boulevard de Clichy, place Saint-Pierre, rue du Cardinal-Dubois, square Louise-Michel
-
pont Alexandre-Modèle:III]].
L'équipe n'a pas eu l'autorisation de tourner dans l'ambassade des États-Unis en France dans le [[8e arrondissement de Paris|Modèle:8e]], qui a dû être recréée en studio<ref name="secrets-tournage" />. Certains intérieurs ont été tournés aux studios Éclair d'Épinay-sur-Seine<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Wikidata}}/{{#if:locations|locations|reference}} {{#if:||Filming locations}} sur l’Modèle:Lang.</ref>.
Le film est tourné en noir et blanc, comme son premier long-métrage Le Dernier Combat (1983). Luc Besson explique ce choix : Modèle:Citation<ref name="premiere" />.
La doublure de Jamel Debbouze pour les cascades est le cascadeur français Samy Gharbi, alors au début de sa carrière<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Musique
Modèle:Infobox Musique (œuvre) La musique du film est composée par la Norvégienne Anja Garbarek. C'est alors le premier film de Luc Besson pour lequel Éric Serra n'a pas composé la musique.
- Liste des titres
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- Le corridor
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- André face au miroir
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- Captivante
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Accueil
Critique
Les critiques ont été assez mitigées envers le film. Sur le site Allociné, Angel-A totalise 2,8 pour Modèle:Nombre de presse recensés<ref name="allopresse">Modèle:Lien web.</ref>. Du côté des avis positifs, Jean-Luc Wachtausen écrit dans Le Figaroscope que c'est un film Modèle:Citation avec un Modèle:Citation ainsi qu'un Modèle:Citation pour Jamel Debbouze<ref name="allopresse" />. Julien Elalouf du site aVoir-aLire.com apprécie quant à lui le fait que Modèle:Citation<ref name="allopresse" />. Dans Le Parisien, Thierry Dague écrit que Modèle:Citation et qu'il a Modèle:Citation<ref name="allopresse" />. Ghislain Loustalot de Première regrette quelques Modèle:Citation tout en pensant que Modèle:Citation<ref name="allopresse" />.
Carlos Gomez du Journal du dimanche est lui plus partagé et écrit Modèle:Citation<ref name="allopresse" />. Dans L'Humanité, on peut lire que Angel-A est Modèle:Citation<ref name="allopresse" />. Hervé Aubron des Cahiers du cinéma compare le film au Fabuleux Destin d'Amélie Poulain mais Modèle:Citation<ref name="allopresse" />. Jean-Philippe Tessé du site Chronic'art écrit que le film est Modèle:Citation et se moque du sous-texte du film en le comparant à T'aime de Patrick Sébastien<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Dans Le Monde, Jacques Mandelbaum trouve le film Modèle:Citation et pointe du doigt Modèle:Citation<ref name="allopresse" />. Antoine de Baecque de Libération écrit Modèle:Citation<ref name="Libé">Modèle:Lien web.</ref>. Dans Télérama, Frédéric Strauss pense que Luc Besson Modèle:Citation<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Pour renchérir, plusieurs critiques déclarent que Besson aura détruit deux fois la ville-lumière, la première fois faisant référence au film, très décrié, qui défendait la candidature malheureuse de Paris pour les Jeux olympiques de 2012<ref name="Libé" />.
Sur l'agrégateur américain Modèle:Lang, le film n'obtient que 44 % d'opinions favorables, pour Modèle:Nombre recensées, le site affichant même ce consensus « Les dialogues maladroits et les personnages superficiels échouent à capitaliser sur la photographie captivante et poétique d’Angel-A »<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Plusieurs critiques tentèrent d'analyser le film. Ainsi, le principe dramaturgique du film fait qu'il est comparé au film humaniste La vie est belle de Frank Capra (alors que La Grande Dame d'un jour ressortait en salle le jour même de la sortie d’Angel-A)<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. D'autres critiques, surtout les négatives, comparent l'esthétique du film avec la publicité, un reproche commun pour Besson ainsi que Jean-Jacques Beineix, issu de la même génération parfois associée au cinéma du look.
Modèle:Lang
En France, le film n'a pas un grand succès, ne totalisant que Modèle:Nombre<ref name="jpbox-office" />. Dans le monde, le film rapporte Modèle:Unité, dont Modèle:Unité aux États-Unis<ref name="jpbox-office" />.
Ce que plusieurs médias ont défini comme un échec commercial, l'un des premiers de Besson, ne pénalise cependant pas EuropaCorp, dont la production Modèle:Nobr est un succès<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.