Ménéac
Modèle:Infobox Commune de France Ménéac {{#ifeq:1|0|[meneak]|[[Alphabet phonétique international|Modèle:Nobr]]}} est une commune française, située dans le département du Morbihan en région Bretagne.
Géographie
Situation
Ménéac est une commune de l'arrondissement de Pontivy et du canton de Ploërmel. Elle est située dans le centre-Bretagne, en limite des Côtes-d'Armor, à Modèle:Unité de Rennes par la RN 164. Le bourg est situé sur une éminence pierreuse dominant un ensemble faiblement vallonné.
Ménéac est située au cœur du plateau de Rohan (appellation discutable car la topographie est marquée par des collines désordonnées où ne se discerne aucune direction nette, et non par une surface plane), topographie en pente vers le sud<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Ce plateau de Rohan qui s'étend de la baie de Douarnenez à la Sarthe est Modèle:Citation.
Ménéac appartient à une unité paysagère appelée plateau de Pontivy-Loudéac, plus précisément le plateau de l'Yvel qui montre des étendues cultivées (cultures céréalières et fourragères) associées à peu de bocage, à l'état résiduel, avec une végétation s'exprimant le plus souvent sous forme de forêts, boisements ou bosquets<ref name="atlas">Modèle:Lien web.</ref>. La « plaine » de Pontivy est en effet constituée de paysages monotones qui portent, selon le géographe Pierre-Yves Le Rhun<ref>Pierre-Yves Le Rhun, Géographie économique de la Bretagne, Ed. Breiz, 1973</ref>, la marque d'une spéculation prédominante qui a éliminé la polyculture vivrière et l'élevage au profit d'une Modèle:Citation. Dans cette unité, se distingue Ménéac dont les roches magmatiques siliceuses donnent naissance par le processus d'arénisation, à des argiles sableuses, ce qui explique que le plateau de l'Yvel présente les caractères marqués d'un paysage agricole moderne, constitué de grandes parcelles de cultures et ponctué de nombreux bâtiments d'élevage, de stockage et de transformation<ref name="atlas"/>.
L'environnement forestier de la commune de Ménéac comprend des boisements épars essentiellement constitués par des ripisylves. La superficie forestière est inférieure à 30 % de la superficie communale. Les unités forestières sont relativement peu étendues et morcelées à l'image des paysages bocagers qu'elles composent<ref>Étude d'impact Carrières de saint Lubin – Carrière de l'Épine Fort – MENEAC (56), 2016, p. 155</ref>.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Merdrignac », sur la commune de Merdrignac, mise en service en 1998<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Saint-Brieuc », sur la commune de Trémuson, dans le département des Côtes-d'Armor, mise en service en 1985 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Cadre géologique
Menéac est situé dans le domaine centre armoricain, unité géologique du Massif armoricain qui est le résultat de trois chaînes de montagnes successives. Le site géologique du Méné se situe plus précisément dans un vaste bassin sédimentaire au relief peu marqué et aux sols pauvres. Dans ce bassin briovérien, les sédiments issus de l'érosion du segment occidental la chaîne cadomienne se sont accumulés sur plus de Modèle:Unité d'épaisseur et se sont métamorphisés (micaschistes à andalousite<ref>Affleurement qui va de Ménéac à Gausson et qui couvre une large partie des Landes du Méné.</ref> et cornéennes)<ref>Affleurement sur le talus routier de la D792 (à condition d'enlever la terre et l'herbe) des cornéennes à Modèle:Unité après le rond-point à la sortie de Plémet, et des schistes satinés à Modèle:Unité, au niveau du village de Faheleau.</ref>. Ménéac correspond à la partie méridionale du massif de Plémet-Ménéac, pluton granitique qui s'est inséré dans le plateau schisteux en y développant à son contact des auréoles de métamorphisme de contact<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Le monzogranite de Ménéac à biotite et muscovite (daté de l'ordovicien, 468 ± 5 MA) est un granite gris clair à gris-bleu qui forme une hauteur topographique nettement distincte dans le paysage<ref>Modèle:Pdf E. Thomas, A. Carn, avec la collaboration de J.-M. Rivière, Notice explicative de la feuille Saint-Méen-Le-Grand à 1/50 000, éditions du BRGM, 2008, p. 22</ref>.
Urbanisme
Typologie
Ménéac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (92,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (69,5 %), zones agricoles hétérogènes (15,8 %), prairies (7,1 %), forêts (6 %), zones urbanisées (1,6 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Miniac en 1082<ref name="Ernest Nègre">Modèle:Ouvrage.</ref>, Miniaco de Porrehoit en 1130, Meneat en 1149, Miniachum en 1153, Miniac en 1222, Meneac en 1296, Menyac en 1371 et enfin Meneac en 1453 <ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
Il s'agit d'une formation toponymique gauloise ou gallo-romaine en -(i)acum, suffixe à valeur locative à l'origine, ayant pris le sens plus général de « propriété »<ref name="Ernest Nègre"/>.
Le premier élément Men- représente le nom de personne latin (porté par un autochtone) Minius<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>,<ref name="Ernest Nègre"/>. Cet anthroponyme est aussi donné comme gaulois et appartient à toute une série de noms gaulois bien attestés dans des inscriptions Minius, Minnius, Minicus, Minuso, etc. basés sur le thème gaulois minio-, meno- « doux »<ref>Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise. Une approche linguistique du vieux-celtique continental, éditions Errance, Paris, 2003, p. 226 - 227.</ref>. L'explication par le breton Menec, Meneg « lieu pierreux »<ref>Hervé Abalain, Noms de lieux bretons, Gisserot, 2000, Modèle:ISBN, p. 84.</ref> est difficilement compatible avec la nature des formes anciennes, car maen « pierre » en breton est men en ancien breton (cf. gallois maen, cornique mên). Le traitement de la finale -(i)acum > -eac correspond à l'évolution phonétique de ces toponymes en secteur bretonnant, alors qu'on attendrait -(a)y ou -é comme à l’extrème est et au sud de la Bretagne.
D'autres spécialistes ont proposé « mais Ménéac est le rigoureux équivalent phonétique du gallois mynyddog, « montagneux », dérivé de mynydd, en breton KLT menez, en vannetais mané, mené ou miné. Ces trois variantes vannetaises du nom de la montagne, augmentées de la désinence adjective -ac. Est-ce que l'aspect des lieux vérifie cette explication par un nom commun ? Si oui, il serait bien étrange que tous les Minius aient choisi de s'établir sur une hauteur ou un endroit accidenté, et l'explication par un nom de propriétaire (ne l'invente-t-on point parfois pour les besoins de la cause ?) devrait être abandonnée »<ref>François Falc'hun, L'Histoire de la Langue Bretonne d'après la Géographie Linguistique ; Pierre Le Roux, Atlas linguistique de la Basse-Bretagne ; (Problèmes linguistiques. In: Annales de Bretagne. Tome 70, numéro 4, 1963. page 518).</ref>. Il a été montré plus récemment que la thèse sur l'origine anthroponymique du premier élément de très nombreux toponymes en -(i)acum se vérifiait depuis les plus anciennes inscriptions gauloises, car Dubnocaratiaci dans la phrase d(e)ae Rosmertae Dubnocaratiaci, ne pouvait représenter que le nom de personne Dubnocaratius + suffixe -acum<ref>Pierre-Yves Lambert, La langue gauloise : description linguistique, commentaire d'inscriptions choisies, Errance, Paris, 1994 (Collection des Hespérides), p. 39.</ref>.
Homonymie avec deux communes de l'Ille-et-Vilaine : Miniac-Morvan et Miniac-sous-Bécherel.
Histoire
Néolithique
Le territoire de Ménéac est occupé dès le Néolithique comme le prouvent les différents menhirs situés sur la commune, par exemple aux villages de Camblot ou de Bellouan.
Protohistoire et antiquité
Au lieu-dit du Val Bodron, un établissement agricole gaulois a été bâti sur un site déjà occupé durant l'âge du bronze. Cette ferme dédiée à l'activité céréalière a été abandonnée à la fin de la Tène finale, puis partiellement réoccupée jusqu’au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.
Au lieu-dit de l'Épine Fort, un important établissement agricole gaulois a été mise au jour en 2020. Il a été daté du Modèle:-sp-<ref>Modèle:Article.</ref>.
Moyen Âge et Ancien Régime
La paroisse de Ménéac est fondée au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle par des moines venus de l'abbaye du Mont-Saint-Michel. D'abord simple chapellerie de Saint-Yguer en 1638, Ménéac est érigé en trève vers 1668, avec chapelle et cimetière. La paroisse faisait alors partie de l'évêché de Saint-Malo et du prieuré de Saint-Martin de Josselin. L'église romane datant de cette époque fut remplacée au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle par l'église actuelle.
Ménéac comptait plus de trois mille habitants à la fin de l'Ancien Régime. Y vivaient habituellement une quinzaine de prêtres habitués, fils de petits notables de la paroisse, qui attendaient qu'une place de vicaire se libère, vivant de petits bénéfices attachées à des chapelles particulières. La noblesse y était également nombreuse : Les Troussier, les Motte de Kerdreux, les Guého de la Muce, les Lorfeuvre... Certaines familles aux {{#switch: e
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}}, à l'instar des Lorfeuvre, mirent leur noblesse en sommeil. Il y avait plusieurs juridictions seigneuriales, ce qui fait qu'une trentaine de propriétaires aisés et de cadets de noblesse exerçaient des charges de notaires, de greffiers et de procureurs fiscaux.
Révolution française
Le cahier de doléances fut rédigé par le conseil de fabrique le Modèle:Date. Ce cahier présente ses doléances « pour entrer, avec reconnaissance dans les vues de Sa Majesté » [...], soucieux « du moins [que] sa bonne volonté [soit] agréable à son souverain qu'il adore ». Le cahier dénonce les corvées, les chasses, le poids des impôts (en se livrant à une démonstration noircissant le tableau avec une mauvaise foi évidente : ainsi, à titre d'exemple, la dîme est présentée comme prélevant un dixième du revenu alors qu'à Ménéac la dîme ne prélève qu'une gerbe sur trente-six et non une sur dix. De même, le poids de l'impôt est calculé par rapport au « revenu » officiel de la terre, c'est-à-dire un vingtième de la valeur du capital, alors que ce revenu est ce que retire un propriétaire qui loue sa terre et non ce qu'en retire l'exploitant qui la fait valoir directement, l'exploitant en retirant habituellement plus du triple). Le cahier réclame l'équité fiscale, l'exemption du clergé du don gratuit, l'augmentation de la portion congrue, la suppression des abbayes, la diminution du nombre de couvents, la diminution des revenus des prélats. Il souhaite une réforme de la coutume voir une uniformisation des lois. Il demande que la dette soit férifiée et les lois du royaume fixées préalablement au consentement de l'impôt.
En 1791, les prêtres de la paroisse refusèrent de prêter serment à la Constitution civile du clergé. Ils furent soutenus par la population.
Le conseil municipal, présidé par Nicolas Pichot, fut dénoncé à deux reprises au cours de l'hiver 1791-1792 comme contre-révolutionnaire par une poignée de pétitionnaires patriotes, qui n'ont pas réussi à réunir dix signatures car l'immense majorité de la population soutient le conseil et les prêtres réfractaires. Les membres du conseil étaient, d'après les pétitionnaires patriotes, d'anciens procureurs fiscaux et notaires seigneuriaux, proches des anciens seigneurs. Le conseil municipal avait ordonné au prêtre jureur d'enregistrer les baptêmes qu'il n'avait pas célébrés (et qui l'avaient été par des prêtres réfractaires). Comme le prêtre jureur refusa de s'incliner, le conseil décida de lui retirer la tenue des registres paroissiaux. La commune de Ménéac fut alors, pendant quelques semaines, occupée par un détachement de soldats qui se livrèrent à des pillages dont le conseil municipal se plaignit. Au début du mois d'Modèle:Date, le prêtre jureur, isolé et découragé, démissionna. Le conseil municipal décida alors de rappeler les anciens prêtres, insermentés, produisant à l'appui de sa décision une pétition signée par plus de quatre-vingts citoyens. Le directoire du département convoqua à Vannes les membres du conseil pour les sermonner.
Au printemps 1793, des incidents contre-révolutionnaires éclatèrent. Ils furent évoqués à la Convention nationale. Dans les années qui suivirent, la population participa massivement à la chouannerie. En Modèle:Date, le recteur insermenté, l'abbé Le Mée, fut arrêté à la Catredaie chez François Pencolé chez lequel il avait passé la nuit. Il fut déporté à l'Île de Ré où il demeura incarcéré pendant quelques mois.
Le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle
En 1866, une épidémie de variole fit 100 malades et provoqua 42 décès à Ménéac<ref>Docteur Alfred Fouquet, "Compte-rendu des épidémies, des épizooties et des travaux des conseils d'hygiène du Morbihan", Vannes, 1870, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6528773r/f10.image.r=Riantec?rk=21459;2</ref>.
Héraldique
Politique et administration
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin
Démographie
Modèle:Population de France/section
Économie
Lieux et monuments
-
Le menhir de Camblot.
-
Château de la Riaye.
- Chapelle de la Riaye, située au lieu-dit « la Riaye », inscrite monument historique en 1929.
- Manoir du Plessis-Rebours, inscrit monument historique en 2006.
- Groupe de 6 éoliennes à la limite avec Mohon, atteignant Modèle:Unité de haut.
- Groupe de 7 éoliennes sur la route de Brignac.
- Le menhir de Camblot.
- Église Saint-Jean-Baptiste.
Vie culturelle et sportive
Personnalités liées à la commune
- Famille Huchet
- Jean du Plessis de Grenédan, alias « Yves » (20 nov 1890 à Mayenne (53)-Modèle:Date-), ancien combattant de la Première Guerre mondiale, affecté au Modèle:17e GRCA en 1940, prisonnier de guerre puis évadé, créateur d'un réseau de renseignements de la Résistance, « Mort en déportation » le Modèle:Date- à Wittlich, en Allemagne. Il fut conseiller municipal de Ménéac et créateur du syndicat agricole communal regroupant 200 cultivateurs. Un monument à sa mémoire fut érigé à Ménéac sur un menhir.
- François-Fortuné du Plessis-Mauron de Grenédan, député ultra-royaliste, maire de Ménéac (1815-1830)
- Le peintre Pierre Gilles est né à Ménéac le Modèle:Date-.
- Henri Androuët, né le Modèle:Date- au village du Pont-Rio. créateur en 1909 à Paris des fromageries Androuët<ref>[1]</ref>
- L’écrivain Guy Darol, pensionnaire chez les Sœurs des Écoles Chrétiennes de Ménéac, a grandi dans le hameau de La Ville-Jéhan.
Notes et références
Notes
Cartes
Références
Voir aussi
Bibliographie et archives
- Château de Bellouan en Ménéac (seigneuries de la Muce et Chauchix) > Modèle:Souligner, Archives I&V, fonds 55 J, (0,60 ml).