Économie de La Réunion

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}

Modèle:Infobox Économie Entre 1993 et 2007, La Réunion est de loin la région française qui a connu la croissance économique la plus rapide. Le taux de croissance moyen de son économie a été de 5 % par an pendant cette période. Le PIB des Réunionnais reste néanmoins inférieur à celui de la métropole, notamment du fait de son isolement par rapport à la France métropolitaine et de son renfermement économique (qui l'a quand même sauvé de la crise de 2008).

Histoire

Ère du café

Premières escales

Modèle:À compléter

Mise en culture du café

Modèle:Loupe Modèle:À compléter

Premières crises du café et développement des épices

Modèle:Loupe Modèle:À compléter

Révolution cannière

Révolution française et « mise en sucre »

Modèle:Loupe Modèle:À compléter

Révolution industrielle

Modèle:Loupe Modèle:À compléter

Abolition définitive de l'esclavage

Modèle:Loupe Modèle:À compléter

Crises et sursaut

Crises monétaires

Modèle:À compléter

Travaux et longue stagnation

Modèle:À compléter

Boom de la départementalisation

Modèle:Loupe Modèle:À compléter

Secteurs productifs

Secteur primaire

Agriculture

Modèle:Loupe

La canne à sucre
Fichier:Canne-a-sucre.jpg
Récolte de la canne à sucre

Longtemps, l’économie de La Réunion n'a été basée que sur la filière de la canne à sucre depuis le début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, période à laquelle elle a supplanté la culture du café. Elle est à l'origine du développement des grands groupes industriels réunionnais comme Bourbon ou Quartier Français.

Aujourd’hui, entre 26 et 30 milliers d'hectares sont occupés par cette culture, qui procure encore plus de Modèle:Nombre directs et indirects. La poussée de l’urbanisation est l’une des plus importantes menaces qui pèse sur la filière canne à la Réunion. Une autre menace grave est la diminution en cours des subventions nationales et européennes au secteur.

En 2004, en tout cas, deux millions de tonnes de canne ont été récoltées. Elles permettent de produire Modèle:Unité de sucre. De nombreux produits secondaires sont valorisés. La bagasse sert à la production d'énergie thermique (13,3 % de l’électricité de l’île). Les Modèle:Unité de mélasse produites chaque année pourraient quant à elles servir à obtenir Modèle:Unité de bioéthanol, à terme.

Autres cultures de l'île

Parmi les autres cultures relativement développées sur l'île, on citera celles de l'ananas, du géranium ou de la vanille, vanille dont l'île fut jadis le premier producteur au monde, grâce à la découverte d'Edmond Albius. Aujourd'hui, on relance la production de café ("Bourbon pointu", café de haut de gamme).

Modèle:Référence nécessaire

Fichier:Plantation-litchis.jpg
Plantation de litchis

Élevage

Modèle:Loupe Modèle:À compléter

Pêche et aquaculture

Modèle:Loupe Modèle:À compléter

  • La pêche est un secteur en plein développement, du fait de l'exploitation par les armements réunionnais des ressources halieutiques des Terres australes et antarctiques françaises, loin au sud de l'île. La légine et la langouste sont les principaux produits pêchés dans cette zone.

Secteur secondaire

Modèle:Loupe

Industrie sucrière

Modèle:Loupe Modèle:À compléter

Autres industries agroalimentaires

Modèle:À compléter

Autres industries et construction

Modèle:Loupe Modèle:À compléter

Secteur tertiaire

Modèle:Loupe

Tourisme

Modèle:Loupe

Le tourisme, l’informatique et plus généralement l’ensemble du secteur tertiaire dominent le tissu économique local et fournissent le plus grand nombre d’emplois.

En 2004, l'île a accueilli 430 000 touristes extérieurs. La clientèle se distingue par l'importance du nombre de touristes affinitaires, c'est-à-dire venus pour voir de la famille ou des amis résidant sur place.

Autres services

Modèle:À compléter

Fonctionnement économique

Infrastructures

Énergie

Modèle:Loupe Modèle:À compléter

Transport

Modèle:Loupe Modèle:À compléter

Eau et agriculture

Afin de répondre principalement aux besoins agricoles, 4 grands périmètres hydro-agricoles ont été mis en place à l'échelle du département afin de distribuer de l'eau brute (non-chlorée). Le plus emblématique est l'Irrigation du Littoral Ouest dont les études et travaux ont duré plus de 30 ans<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Technologies de l'information et de la communication

Modèle:Loupe Fortement soutenue par l'Europe et la Région, la filière TIC est importante, pesant sur la création d’emplois (Modèle:Nombre en 2006) et de richesse (1,065 milliard d’euros de chiffre d’affaires hors France Télécom en 2006). Force est cependant de constater l’impossibilité de mettre en place un projet de structuration sous forme de « pôle » (excellence, compétitivité….) et les difficultés de la filière TIC à atteindre les marchés internationaux et à développer des produits à l’exportation.

Les points faibles :

  • Faible nombre de salariés comparativement à d’autres régions de France
  • TPE atomisées avec peu de relations inter-entreprises d'où de faibles capacités d’investissement des entreprises de la filière.
  • Rareté de projets d’envergure pouvant être des locomotives pour la filière
  • Relations ténues entre le secteur TIC et les autres secteurs économiques de la Réunion (agro-alimentaire ou énergie par exemple)
  • Relations faibles entre les laboratoires de R&D universitaires et les entreprises (comme souvent en France)

Les points forts:

  • une forte réactivité des entreprises locales qui mettent à profit leur petite taille et la maîtrise du marché local réunionnais pour développer des innovations basées sur des technologies ou sur des services
  • les opportunités de partenariat avec les îles voisines (Maurice, Madagascar), sous réserve d’atteindre une taille critique et de dégager des moyens d’investissements suffisants pour soutenir une telle politique.
  • Le haut niveau de formation des réunionnais
  • La qualité des services TIC de base (accès internet, téléphonie…) par rapport aux pays voisins ou à la métropole (hors grandes villes).

Les aides à la filière TIC sont détaillées sur Site de la Direction TIC de la Région Réunion. La filière a fait l'objet de monographies téléchargeables sur Site de la Direction TIC de la Région Réunion

Entreprises et capacités de production

Entreprises

Modèle:Loupe Modèle:À compléter

Secteur bancaire

Modèle:Loupe Modèle:À compléter

Investissement

Modèle:À compléter

Main d'œuvre et consommation

Emploi

Modèle:À compléter

Commerce et consommation

Commerce intérieur

Modèle:Loupe Modèle:À compléter

Consommation

Modèle:À compléter

Les ménages réunionnais ont dépensé près de 7 milliards d'euros en 2004, contre 3,8 milliards en 1993. Cette hausse est à mettre sur le compte de la forte croissance des revenus et des prestations sociales : le SMIC a augmenté plus vite qu'en métropole, par exemple. Le salaire minimum était inférieur de 20 % au taux national, de même que les prestations sociales, jusqu'en 1995. À cette date, le smic a été aligné. Elle s'explique aussi par le développement des emprunts : l'encours des crédits à la consommation est passé de 450 millions d'euros en 1995 à 1,3 milliard d'euros en 2004.

L'augmentation des dépenses s'accompagne d'une réaffectation. La part des dépenses alimentaires dans le budget des ménages a diminué au profit de celles des dépenses de logement, entre autres éléments, notamment l'automobile plus souvent personnalisée qu'en métropole.

L’octroi de mer régional est de 2,5 % et 2 % sont affectés aux communes, mais TVA est inférieure de 11 points à celle de la métropole.

Enjeux

Emploi et formation

Éducation et formation initiale

Modèle:Loupe Modèle:À compléter

Formation

Modèle:Loupe Modèle:À compléter

Diversification et ouverture

Questions agricoles

Modèle:À compléter

Commerce extérieur

Modèle:Loupe Modèle:À compléter

Durabilité

Gestion de l'espace

Modèle:À compléter

Énergies renouvelables

Modèle:Loupe Modèle:À compléter

Prospective

Modèle:À compléter

Compléments

  • La Réunion a le taux de RMistes le plus important de France avec 20 % de la population relevant du RMI (source Sénat 2002). En 2004, le nombre de bénéficiaires dépasse les 76 000. Modèle:Nombre en vivent, soit plus du quart de la population totale.

Malgré tout, les inégalités sociales diminuent grâce aux diverses aides et au rythme de progression de l’économie soutenu.

La production électrique, 2,2 milliards de kWh, est assurée à 39,6 % par des sources renouvelables : 26,3 % hydrauliques, 13,3 % bagasses de canne à sucre (source EDF).

Références

<references />

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Articles connexes

Liens externes

Bibliographie complémentaire


Modèle:Palette Modèle:Portail