Élisabeth Báthory

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}

Modèle:Infobox Biographie2 Élisabeth Báthory de Ecséd (Báthory Erzsébet en hongrois, Alžbeta Bátoriová-Nádasdiová en slovaque) est une comtesse hongroise de la famille princière des Báthory, née le Modèle:Date de naissance<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Eric Hickey, Modèle:Lang, sage publication, 2003, Modèle:P..</ref>,<ref> Michel Mourre, Mourre : Dictionnaire encyclopédique d'histoire, Paris, Larousse, 1997, Modèle:P..</ref> et morte le Modèle:Date de décès. Les accusations d'un pasteur luthérien, et de nombreux témoignages à charge, font d'elle l'une des plus célèbres meurtrières de l’histoire hongroise et slovaque : la « dame sanglante de Csejte (Čachtice) », du nom du château près de Trenčín (dans la Hongrie royale, aujourd’hui une partie de la Slovaquie), où elle vécut la plus grande partie de sa vie.

Après la mort de son mari, quatre complices supposés et elle sont accusés de sévices et de meurtres de filles et de jeunes femmes, dont le nombre reste incertain. Les chefs d'accusation sont cependant parfois discutés par les historiens, du fait qu'il n'existe pas de preuve en dehors de témoignages obtenus sous la contrainte et la torture. Sa condition noble lui évite un procès et l'exécution mais en 1610, elle est emprisonnée dans le château de Čachtice, où elle restera jusqu'à sa mort.

Le cas de Báthory a inspiré de nombreuses histoires et légendes, selon lesquelles elle se serait baignée dans le sang de ses victimes pour garder sa jeunesse Modèle:Incise. Si ces légendes sont largement mises en doute par les historiens modernes, elles persistent malgré tout dans les croyances populaires.

Biographie

Jeunesse et origines

Fichier:Az ecsedi tó és régi vára.jpg
Ecsed, le lac et le vieux château.

Élisabeth Báthory naît dans une propriété familiale à Nyírbátor, dans le royaume de Hongrie, le Modèle:Date. Elle passe son enfance au château d'Ecsed.

Son père est György Báthory, un membre de la branche Ecsed de la famille Báthory, favorable aux Habsbourg. C'est l'un des frères d'André Báthory, gouverneur de la Transylvanie de 1552 à 1553 pour le compte des Habsbourg. Par sa mère Anna, issue de la branche Somlyó de la famille Báthory, elle est la nièce d'Étienne Báthory, prince de Transylvanie, qui deviendra roi de Pologne.

Mariage

Dès l'âge de onze ans, Élisabeth est promise en mariage à Ferenc Nádasdy<ref name="Hickey">{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Eric Hickey, Modèle:Lang, Modèle:Op. cit., Modèle:P..</ref> et confiée à sa future belle-mère, Orsolya Nádasdy, née Kanizsay de Kanizsa, laquelle la prépare à son devoir d'épouse et de mère.

Elle emménage au château de Sárvár. Là, elle aurait eu une amourette avec un paysan et aurait accouché d'une fille, morte à la naissanceModèle:Refsou. En 1575, à l’âge de quinze ans, elle se marie avec Nádasdy, à Vranov nad Topľou<ref name="Hickey" />.

Fichier:Slovakia Cachtice hrad 2.JPG
Ruines du château de Čachtice.
Fichier:Ferenc Nadasdy I.jpg
Modèle:Noble.

Ferenc lui offre comme cadeau de mariage le château de Čachtice, situé dans les Carpates, près de Trenčín, entouré d’un village et de champs. Nádasdy l'a acheté à l’empereur [[Rodolphe II (empereur des Romains)|Modèle:Noble- du Saint Empire]], ce qui en fait une propriété de la famille.

En 1578, Nádasdy devient commandant en chef des troupes hongroises, qu’il mène durant la guerre contre l'Empire ottoman<ref>Modèle:Harvsp.</ref>. C'est, comme la plupart de ses homologues du temps, un homme courageux et cruel. Pendant les absences de son mari, Élisabeth Báthory gère leurs affaires<ref name="Craft-p38">Modèle:Harvsp.</ref>.

Pendant les dix premières années de leur mariage, Élisabeth n'a pas d'enfant. En 1585, une fille, Anna, naît. Une autre fille, Orsolya, et un fils, Andras, suivent, mais tous les deux meurent en bas âge. Élisabeth donnera encore naissance à Katarina et à Pál, ce dernier étant né en 1598.

Durant la « Longue Guerre » contre les Ottomans (15931606), elle est chargée de la défense des propriétés de son mari<ref name="Erzsfaq">{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Langue.</ref>. La menace est sérieuse : le village de Čachtice a été pillé par les Turcs en 1599<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Cachtice.</ref>, et Sárvár, situé près de la frontière qui sépare la Hongrie royale et la Hongrie ottomane, est en plus grand danger encore.

Élisabeth est une femme cultivée, sachant lire et écrire en hongrois, allemand, slovaque, roumain, grec et latin<ref name="Erzsfaq" />. D’après les lettres qu’elle a laissées, on connaît plusieurs cas où elle intervient en faveur de nécessiteux, notamment une femme dont le mari avait été capturé par les Turcs, ainsi qu'une autre dont la fille avait été violée et mise enceinte<ref name="Craft-p38" />.

Son mari meurt en 1604, à l’âge de quarante-huit ans. Son décès pourrait être lié à une blessure reçue au combat mais, selon d’Modèle:Lesquelles, il aurait été assassiné par une prostituée, ou bien par le général Giorgio Basta, un condottiere italien au service des Habsbourg, combattant contre les Báthory en Transylvanie.

Arrestation

Enquête

Entre 1602 et 1604, le pasteur luthérien István Magyari vient dénoncer publiquement à la cour de Vienne des atrocités qui, selon la rumeur, auraient été commises par Élisabeth Báthory<ref>Farin, Heroine des Grauens, Modèle:P..</ref>.

Les autorités mettent un certain temps avant de répondre aux plaintes de Magyari. Finalement, en 1610, l'empereur [[Matthias Ier de Habsbourg|Modèle:Noble- du Saint-Empire]] charge György Thurzó, palatin de Hongrie<ref>Une sorte d'équivalent de premier ministre et de juge suprême.</ref>, de l'enquête. En Modèle:Date-, Thurzó demande à deux notaires de rassembler des preuves<ref>Lettres du Modèle:Date- de Thurzó aux deux hommes, reproduites dans Farin, Heroine des Grauens, Modèle:P..</ref>.

Avant même d’avoir obtenu des résultats<ref>Le Modèle:Date, András de Keresztú envoie trente-quatre témoignages à Thurzó. Le Modèle:Date, Mózes Cziráky en envoie dix-huit.</ref>, Thurzó commence à négocier avec le fils d’Élisabeth et ses deux beaux-fils. Un procès et une exécution auraient causé un scandale public et jeté la disgrâce sur une famille noble et influente ; la fortune d’Élisabeth Modèle:Incise aurait été saisie par la couronne. Thurzó se résout à assigner la comtesse à résidence<ref>Une lettre du Modèle:Date du beau fils d’Élisabeth Zrínyi à Thurzó fait mention de l’accord négocié plus tôt. Voir Farin, Heroine des Grauens, Modèle:P..</ref>.

Accusations

On dénombre plus de Modèle:Nobr collectés en 1610 et 1611. Les rapports du procès comprennent les témoignages des quatre accusés, ainsi que ceux de treize autres témoins, notamment le « castellan »<ref>Le gouverneur du château.</ref>, et le reste du personnel du château de Sárvár.

Ses premières victimes seraient de jeunes paysannes de la région, attirées à Čachtice par des offres de travail bien payées pour être servantes au château. Plus tard, elle aurait commencé à tuer des filles de la petite noblesse, envoyées chez elle par leurs parents pour y apprendre l’étiquette. Des rapts semblent aussi avoir été pratiqués.

La description de tortures mises en évidence durant le procès sont souvent fondées sur le ouï-dire. Parmi les atrocités décrites on cite notamment :

  • de longs passages à tabac, entraînant souvent la mort ;
  • des brûlures et autres mutilations des mains, parfois aussi sur le visage et les parties génitales ;
  • des morsures atteignant des parties de peau du visage, des bras et du corps ;
  • une exposition au froid entraînant la mort ;
  • une mise à mort par dénutrition.

L’utilisation d’aiguilles sera aussi mentionnée au procès par les collaborateurs. Certains témoins mentionnent des proches qui seraient morts au château. D’autres rapportent des traces de torture sur des cadavres ; certains étaient enterrés au cimetière, d’autres dans des lieux divers.

Selon les déclarations des accusés, Élisabeth Báthory aurait torturé et tué ses victimes non seulement à Čachtice, mais également dans ses propriétés à Bécko, Sárvár, Deutschkreutz, Bratislava, Vienne et même sur le chemin entre ces différents lieux.

En plus des accusés, plusieurs personnes sont mentionnées comme ayant fourni des jeunes filles à Élisabeth Báthory. Le nom d'Anna Darvulia est ainsi cité : c'était sans doute une femme des environs, dont la rumeur dit qu’elle aurait joué un rôle important dans le déclenchement des agissements sadiques d'Élisabeth Báthory. Elle serait cependant morte avant cette dernière.

Le nombre total de jeunes filles torturées et tuées par Báthory selon l'accusation reste inconnu, bien qu’on en mentionne une centaine entre les années 1585 et 1610. Les estimations diffèrent grandement. Szentes et Fickó en rapportent respectivement 36 et 37 au cours de leur période de service. Les accusés estiment le nombre à une cinquantaine ou plus. Le personnel du château de Sárvár évalue le nombre de corps retirés du château à 100, peut-être même 200. Un témoin au tribunal évoquera un carnet, dans lequel un total de Modèle:Unité aurait été consigné par Báthory elle-même. Ce carnet n’a été mentionné nulle part ailleurs et n’a jamais été découvert ; cependant, ce nombre fait partie de la légende entourant Báthory.

Tous ces chefs d'accusation sont pris avec prudence par les historiens<ref name="Molnàr">Miklós Molnàr, Histoire de la Hongrie, Paris, Librairie académique Perrin, 2004, Modèle:P..</ref> car, comme le souligne la BBC, Modèle:Citation<ref>Modèle:Citation étrangère Dossiers de la BBC.</ref>. Point que souligne également l'historien Miklós Molnàr, spécialiste de la Hongrie<ref name="Molnàr" /> qui n'exclut pas que toute cette affaire ait été un coup monté pour faire main basse sur la fortune d'Erzsébet Báthory et mettre fin à son pouvoir, les témoins ayant inventé ou exagéré des faits dans le seul but de mettre fin à leur supplice. Par ailleurs, Molnár souligne aussi qu'aucun corps n'a été trouvé et que la comtesse n'a pas eu la possibilité de se défendre contre ces accusations<ref name="Molnàr" />, et il conclut ainsi : Modèle:Citation

Certaines légendes populaires véhiculent également l'idée selon laquelle la comtesse se serait baignée dans le sang de ses victimes pour conserver sa jeunesse. Mais comme le notent des historiens comme Modèle:Lien, Modèle:Lien<ref name="Florescu">Modèle:Lien, Modèle:Lien, À la recherche de Dracula : l'histoire, la légende, le mythe, Robert Laffont, 1973.</ref> et Molnàr<ref name="Molnàr" />, Modèle:Citation et n'est soutenue par aucune preuve, ni aucun témoin<ref>Modèle:Citation étrangère dossiers de la BBC.</ref>. Les essayistes Elizabeth Miller<ref>Modèle:Ouvrage.</ref> et Michel Meurger soulignent la crédulité de certains universitaires exégètes de Dracula face aux inventions romanesques de l'ouvrage de l'écrivaine surréaliste Valentine Penrose, Erzsébeth Bathory : La Comtesse sanglante (Paris, Mercure de France, 1962), Modèle:Citation Ainsi, le professeur angliciste Jean Marigny continue-t-il d'évoquer les Modèle:Citation censément pris par Élisabeth Báthory<ref>Modèle:Ouvrage.</ref> bien que Modèle:Citation, précise Michel Meurger, regrettant que les chercheurs français recourent trop souvent à Penrose plutôt qu'aux études historiques sérieuses d'universitaires hongrois ou allemands<ref name="Meurger 2001" />.

En 1984, l'historien hongrois Modèle:Lien avança une théorie selon laquelle Élisabeth Báthory n'aurait pas commis ces crimes et aurait été victime d’une conspiration<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Lien, Modèle:Lang, Budapest, Modèle:Lang 1984.</ref>. Cette théorie a été cependant rejetée par György Pollák en 1986<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} György Pollák, « Modèle:Lang », dans Modèle:Lang, Budapest, Modèle:Date-, Modèle:P..</ref>. Néanmoins, en 1997, le Mourre, dictionnaire encyclopédique d'histoire, mentionne la thèse de László Nagy et la considère comme possible : Modèle:Citation bloc

Procès

Thurzó se rend à Čachtice le Modèle:Date, et fait arrêter Élisabeth Báthory, ainsi que quatre de ses serviteurs, accusés d’être ses complices. On dit que les hommes de Thurzó auraient trouvé le corps d’une fille morte et celui d'une mourante. Une autre femme est trouvée blessée, d’autres enfermées<ref>Lettre de Thurzó à sa femme, Modèle:Date, publiée dans Farin, Heroine des Grauens, Modèle:P..</ref>.

Tandis que la comtesse est assignée à résidence Modèle:Incise ses complices sont poursuivis. Un procès, préparé à la hâte, se tient le Modèle:Date à Bytča, présidé par le juge de la Cour royale suprême, Theodosious Syrmiensis de Szuló, et vingt juges associés. Élisabeth elle-même ne comparaît pas au procès.

Les accusés au procès sont :

  • Dorottya Szentes, désignée aussi sous le nom de Dorkó,
  • Ilona Jó,
  • Katalin Benická,
  • Le nain János Újváry, Ibis ou Ficzkó.

Dorkó, Ilona et Ficzkó sont reconnus coupables et exécutés. Dorkó et Ilona ont les doigts arrachés, avant d’être jetées au feu, tandis que Ficzkó, dont la culpabilité est jugée moindre en raison de son jeune âge, est décapité avant d’être jeté aux flammes. Un échafaud public est érigé près du château pour montrer que justice a été rendue. Katalin Benická est condamnée à une sentence de prison à vie, car elle a agi uniquement sous la contrainte et l’intimidation des autres, comme l'attestent les témoignages.

Dernières années et mort

Élisabeth, jamais poursuivie au tribunal, reste assignée à résidence dans une seule pièce de son château et ce jusqu’à sa mort.

Le roi [[Matthias Ier de Habsbourg|Modèle:Noble- du Saint-Empire]] incite Thurzó à la traîner en justice. Deux notaires sont envoyés pour collecter de nouveaux témoignages<ref>Modèle:Nobr sont envoyés à Matthias le Modèle:Date par A. of Keresztúr, 12 par M. Cziraky le Modèle:Date.</ref>. Cependant, les lettres échangées entre l’Empereur et le Palatin, entre 1611 et 1613, laissent penser que Thurzó n’était pas enclin à attaquer la comtesse.

Le Modèle:Date, Élisabeth Báthory meurt dans son château. Elle est enterrée à l’église de Čachtice<ref>Farin, Heroine des Grauens, Modèle:P..</ref>.

Elle avait rédigé un testament quelque temps auparavant, léguant deux de ses châteaux à sa fille Katharina, mais Pal étant l'unique héritier mâle, c'est à lui que reviendront tous les biens d'Élisabeth.

Ascendance

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Folklore et culture populaire

Élisabeth Báthory inspirera de nombreuses légendes au cours des {{#switch: e

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}}. Comme évoqué plus haut, le motif le plus récurrent dans les récits la concernant est celui qui la représente se baignant dans le sang de ses victimes, afin de garder beauté et jeunesse. Cette légende est apparue pour la première fois en 1729 sous la plume de Modèle:Lien, un jésuite érudit, dans le livre Modèle:Langue<ref>Dans Modèle:Lang, Fridericum Gall, 1729, Modèle:P., cité par Farin.</ref>, le premier écrit consacré à Báthory. Des historiens modernes comme Modèle:Lien et Modèle:Lien en ont conclu que les théories présentant la vanité comme motif des meurtres d’Élisabeth provenaient essentiellement de stéréotypes liés au rôle social des femmes à l’époque<ref name="Florescu" />. On ne pouvait pas envisager que les femmes soient capables de violence gratuite.

Au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, la thèse de la vanité fut remise en question et le plaisir sadique fut considéré comme un motif plus plausible de ses crimes<ref>Modèle:Lien, « Elisabeth Báthory », dans Hesperus, Prague, Modèle:Date-, Modèle:Vol., no 59, Modèle:P., cité par Farin, Heroine des Grauens, Modèle:P..</ref>. En 1817, les rapports de témoignages, retrouvés en 1765, sont publiés pour la première fois<ref>Hesperus, Prague, Modèle:Date-, Modèle:Vol., no 31, Modèle:P. et Modèle:Date-, Modèle:Vol., no 34, Modèle:P..</ref> prouvant que les histoires de bain de sang n’étaient que légende. Néanmoins, la légende a persisté dans l’imaginaire populaire, au point que certains motifs sont souvent pris pour des faits historiques. Certaines versions de l’histoire visaient clairement à véhiculer une morale dénonçant la vanité féminine, tandis que d’autres visaient à distraire et faire frissonner par le caractère sensationnaliste et macabre. Les croyances autour de la comtesse constituent, de nos jours, des sources d'inspirations importantes dans la culture populaire en musique, dans les films, les livres, les jeux et les jouets. Elle inspirera également de nombreux personnages fictifs d'après l'image macabre façonnée par les légendes.

Cinéma

Littérature, théâtre

Bande dessinée

  • Élisabeth Bathory est l'un des personnages de la bande dessinée Requiem, Chevalier Vampire de Pat Mills et Olivier Ledroit. Dans un monde gouverné par le comte Dracula, où l'être le plus pervers est le plus puissant, elle est la compagne vampire de ce dernier.
  • Elle est l'héroïne d'une bande dessinée pour adultes du dessinateur espagnol Modèle:Lien, parue en espagnol sous forme d'album, en français dans une revue, et en anglais dans la revue Wetcomix en 1999 et sous forme d'album par Eros Comix en 2002 et 2007.
  • Elisabeth Bathory est l'un des personnages dans le manga coréen Modèle:Lang collection de Modèle:Lang publié en France par samji en 2009
  • Élizabeth Bathory est le titre d'une bande dessinée de Pascal Croci, parue en 2009.
  • Georges Pichard est également l'auteur d'une bande dessinée intitulée La Comtesse rouge (encyclopédie de la bande dessinée érotique, édition Rombaldi, 1985) et adaptée du récit éponyme de Sacher Masoch.
  • Cédric Rassat et Emre Orhun retracent le parcours de la comtesse dans la bande dessinée Erzsebet, parue chez Glénat en 2010.
  • Amaury Quétel (scénario et textes) et Lawrence Rasson (dessins) font de même dans la bande dessinée Elizabeth Bathory, Le Temps de l'Éveil, parue en Modèle:Date- aux éditions Juste Pour Lire.
  • Will illustre sa biographie romancée dans une courte histoire de l'Oncle Paul scénarisée par Yann et Conrad pour le Modèle:N° du journal Spirou paru en Modèle:Date, qui sera reprise en Modèle:Date dans le recueil Les Histoires Merveilleuses des Oncles Paul publié par les éditions Vents d'Ouest.
  • Anne-Perrine Couët retrace son histoire dans la bande dessinée Bathory - la comtesse maudite, parue chez Steinkis en 2022.
  • Le dixième chapitre du manga La Rose de Versailles met en scène un avatar français d’Élisabeth Bathory, la comtesse Élisabeth de Montclair, laquelle assassine des jeunes filles et se baigne dans leur sang afin de préserver sa jeunesse.

Musique

Les légendes macabres autour de la comtesse semblent aussi avoir constitué une source d'inspiration importante pour de nombreux groupes de [[Heavy metal|Modèle:Lang]].

Jeux

  • Élisabeth Báthory est représentée dans Modèle:Lnobr rom comme un boss optionnel : « La comtesse » un livre déclenchant la quête raconte une partie de son histoire.
  • Élisabeth Báthory est l'un des personnages récurrents des jeux de société vidéo interactifs Atmosfear.
  • Élisabeth Báthory est également représentée dans Modèle:Lang en Transylvanie.
  • Élisabeth Báthory incarne également un Servant de classe Lancer dans les jeux [[Fate/EXTRA|Modèle:Lang/EXTRA CCC]], Modèle:Lang et de classe Modèle:Lang, Modèle:Lang, Modèle:Lang, Modèle:Lang et Modèle:Lang dans le jeu mobile [[Fate/Grand Order|Modèle:Lang]]<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
  • Elle est évoquée dans [[Mortal Kombat (jeu vidéo, 2011)|Modèle:Lang]] comme la figure historique préférée de Skarlet, personnage née du sang des milliers d'ennemis de Shao Kahn.
  • Élisabeth Báthory représente l'ennemie principale dans Modèle:Lang, jeu sorti sur Mega Drive. Elle y tente de ressusciter Dracula en déclenchant la Première Guerre mondiale.
  • Alcina Dimitrescu (alias Lady Dimitrescu), antagoniste principale du jeu Modèle:Lang, est très fortement inspirée de la comtesse Élisabeth Báthory.
  • Élisabeth Báthory est une Immortelle de classe légendaire dans le jeu sur application mobile Modèle:Lang développé par l’éditeur Modèle:Lang.

Notes et références

Modèle:Traduction/Référence Modèle:Références

Annexes

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

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