Épalinges
Modèle:Infobox Commune de Suisse
Épalinges ({{#ifeq:1|0|/e.pa.lɛ̃ʒ/|[[Alphabet phonétique international|Modèle:Nobr]]}} <templatestyles src="Prononciation/styles.css" />{{#invoke:Prononciation|prononciation}}) est une commune suisse du canton de Vaud, située dans le district de Lausanne. Elle fait partie du nord de l’agglomération lausannoise.
Géographie
Situation
Le territoire d'Épalinges s'étend sur Modèle:Superficie suisseModèle:Référence superficie suisse. Lors du relevé de Modèle:Période relevé superficie suisse, les surfaces d'habitations et d'infrastructures représentaient Modèle:Utilisation sol suisse de sa superficie, les surfaces agricoles Modèle:Utilisation sol suisse, les surfaces boisées Modèle:Utilisation sol suisse et les surfaces improductives Modèle:Utilisation sol suisseModèle:Référence superficie suisse par domaine.
Transports
Modèle:Section à sourcer La commune est desservie par de nombreuses lignes de bus du réseau des Transports publics de la région lausannoise, mais également par la ligne M2 du métro de Lausanne. La plupart des lignes de bus transitent par le terminus du métro, la station Croisettes. Ainsi les lignes 45, 46, 62 et 64 traversent la commune.
La route principale 1 (H1), ici la route de Berne, Genève - Lausanne - Épalinges - Berne - Zurich - Winterthour - Saint-Gall traverse la commune. La sortie 10 Vennes de l'autoroute A9 Vallorbe - Lausanne - Brigue dessert la commune.
Histoire
Modèle:Section à sourcer Épalinges s'est créée, vraisemblablement au début du dernier millénaire, par des défrichements successifs sur la forêt du Jorat. La première trace écrite d’Épalinges remonte au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle.
L'une des particularités de la ville est d'être presque entièrement enclavée dans la commune de Lausanne. La question du rattachement de la commune à Lausanne a d’ailleurs été un sujet de discussions, notamment au cours des années 1940. Après plusieurs débats au sein du Conseil, la question est définitivement tranchée le Modèle:Date par un refus massif.
Toponymie
Le nom de la commune, qui se prononce Modèle:MSAPI, dérive d'un surnom de personne latin, Modèle:Latin ou Modèle:Latin, avec le suffixe latin -anicu<ref name=":1">Modèle:Toponymes.ch</ref>.
Sa première occurrence écrite date de 1182, sous la forme de Modèle:Latin<ref name=":1" />.
La commune se nomme Palindzou<ref name=":12">Modèle:Ouvrage</ref> Modèle:MSAPI<ref name=":1" /> en patois vaudois
Son ancien nom allemand est Modèle:Allemand<ref name=":1" />.
Population
Gentilé et surnom
Les habitants de la commune se nomment les Palinzards (ou les Palindzards)<ref name=":0">Modèle:Ouvrage.</ref>.
Ils sont surnommés les Bêgou<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref> (lè Bègo en patois vaudois, soit les Jars)<ref name=":0" />.
Démographie
Évolution de la population
Modèle:Section démographie commune suisse
Pyramide des âges
Modèle:Section pyramide des âges commune suisse
Politique
Liste des syndics d'Épalinges
- ?-1913 : Louis Favrat.
- 1914-1929 : Charles Favrat.
- 1930-1945 : Oscar Diserens, Parti libéral.
- 1946-1950 : Charles Béboux.
- 1950-1964 : Fernand Favrat, Parti radical-démocratique (PRD).
- 1965-1981 : Paul-André Collet, PRD.
- 1982-1989 : Francis Michon, PRD.
- 1990-1993 : Jacqueline Pittet, Parti socialiste (PS).
- 1994-2011 : Yvan Tardy, PRD.
- 2011-2021 : Maurice Mischler, Les Verts.
- Actuellement : Alain Monod, Parti libéral-radical (PLR).
Culture et patrimoine
Sites et monuments
- L’église des Croisettes, inaugurée le Modèle:Date, a été construite sur les plans de l'architecte David Edelstein, soit Perret-Gentil, originaire de Valangin. Le financement a été apporté par la commune de Lausanne, à qui cet édifice appartient toujours. Le campanile a été remplacé en 1913 lors d'une grande restauration qui a touché toute la partie occidentale de l'édifice<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Située un peu à l’écart du centre du village, l'église est située sur un terrain de près de Modèle:Unité déclaré non constructible et acheté par la commune au début des années 1950<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle figure sur la liste des biens culturels d'importance régionale.
- Dès 1976, Épalinges a accueilli l’Institut suisse de recherche expérimentale sur le cancer (ISREC), une fondation privée à but non lucratif fondée en 1964. Les groupes de recherche de l'Institut ont été intégrés en 2008 à la Faculté des Sciences de la vie de l'École polytechnique fédérale de Lausanne.
- Épalinges accueille le Département de biochimie de l'Université de Lausanne (UNIL)<ref>Faculté de biologie et de médecine – Department of Biochemistry (page consultée le 17 septembre 2011).</ref>, une partie du Centre Ludwig de l'Université de Lausanne pour la recherche sur le cancer<ref>Faculté de biologie et de médecine – Ludwig Center for Cancer Research of the UNIL (page consultée le 17 septembre 2011).</ref>, le Biopôle<ref>Biopôle – Contact (page consultée le 17 septembre 2011).</ref> et le Laboratoire suisse d'analyse du dopage.
Personnalités
- Raymond Burki, dessinateur humoristique né le Modèle:Date- à Épalinges.
- Jean-Louis David, coiffeur et entrepreneur français, y a vécu de 2002 à 2019.
- Ingvar Kamprad, fondateur d'Ikea, y a vécu de 1976 à 2014<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
- Henri Rieben, professeur honoraire de l'UNIL et président de la Fondation Jean Monnet, né le Modèle:Date- à Épalinges, il y vécut toute sa vie.
- Georges Simenon, écrivain belge, y a vécu de 1964 à 1972<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
Voir aussi
Bibliographie
- Heidi Viredaz-Bader et Francis Michon, Épalinges : 100 ans d’histoire en photographies, 2005.
Liens externes
Modèle:Autres projets Modèle:Liens