Allassac

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Modèle:Infobox Commune de France

Allassac est une commune française située dans le département de la Corrèze en région Nouvelle-Aquitaine. Modèle:Sommaire

Géographie

Modèle:Cartes interactive et OpenStreetMap/Corrèze

Généralités

Modèle:Section déroulante début Modèle:Cartes interactive et OpenStreetMap/Corrèze Modèle:Section déroulante fin

Fichier:Garavet (1).JPG
La digue et l'ancien moulin sur la Vézère à Garavet.

Située dans le bassin de Brive, la commune d'Allassac est irriguée par trois cours d'eau principaux : la Vézère, son affluent la Loyre, et le Clan, un sous-affluent de la Corrèze.

La ville d'Allassac est implantée au croisement des routes départementales 9, 25, 34 et 134. Elle est desservie en gare d'Allassac par la ligne des Aubrais - Orléans à Montauban-Ville-Bourbon. Elle est située, en distances orthodromiques, six kilomètres à l'est d'Objat et douze kilomètres au nord-nord-ouest de Brive-la-Gaillarde.

La commune est également desservie par les routes départementales 57, 148 et 901.

À quatre kilomètres au sud-est, l'autoroute A20 permet par l'échangeur Modèle:N° d'arriver directement à Allassac.

La commune d'Allassac est limitrophe de dix communes. Modèle:Carte communes limitrophes

Modèle:Communes limitrophes

Fichier:Panorama Allassac Corrèze.jpg
Place Allègre.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000<ref name=Joly/>

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 4,9 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 7,8 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitationModèle:Note : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,4 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,2 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Brive », sur la commune de Brive-la-Gaillarde, mise en service en 1987<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Urbanisme

Typologie

Allassac est une commune rurale<ref group=Note>Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine d'Allassac, une agglomération intra-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, dont elle est ville-centre<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Brive-la-Gaillarde, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (79,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (50,5 %), prairies (22 %), forêts (16 %), zones urbanisées (7,9 %), cultures permanentes (1,9 %), terres arables (1,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,2 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>.

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Transports en commun

Transport routier

Modèle:Ligne de transport en commun/Début Modèle:Ligne de transport en commun Modèle:Ligne de transport en commun/Fin

Transport ferroviaire

Modèle:Ligne de transport en commun/Début Modèle:Ligne de transport en commun Modèle:Ligne de transport en commun/Fin

Lieux-dits, hameaux et écarts

Abattoirs, Bardoux, la Barrière-de-la-Borie, la Barrière de Saint-Laurent, la Bessière, la Blondinerie, Bois-Communal, le Bois-du-Roi, Bois-la-Pleuge, la Borde, les Borderies, le Bos-Delpy, le Bouchailloux, Bridal, Brochat, le Buffalou, les Caneaus, les Carrières, la Chapelle, la Chartroulle, les Chartrous, Chaves-de-Brochas, le Cheyral, Chez-Gauthier, Chez-le-Forgeron, Colombier, la Côte, la Côte-Reynie, la Crois-des-Masredons, Croix-Saint-Joseph, les Escures-de-Gorsas, les Escures-de-la-Chapelle, l'Escurotte, Etang-de-la-Roche, Eyzac, la Faurie, les Fosses, Fouysse, Freygemouche, les Galubes, Garatins, Garavet, les Gardelles, Gau, Gauch, le Gaucher, la Geneste, Giriges, Gorsas, les Gouttes, Grande-Fontaine, les Granetties, Lacombe, Lacomborne, Lajugie, Laprade, Lascaux, Lasteyrie, Laugerie, Laujour, Laval, Lavergne, Maison-Bounie, Maison-Dumas, Maison-Garde, Maison-Meyer, Maison-Soudrie, Mas-Redon, la Meyranie, Montaural, les Mosredons, Moulin-de-Bridal, le Moulin-du-Verdier-Bas, Petit-Garavet, la Pialeporcherie, la Pialeporchie, Pic-de-Corsat, les Pierres-Blanches, la Pissotte, les Placeaux, la Pleuge, Pont-Salomon, le Poulverel, les Prades, Pradel, la Prise-d'Eau, le Puy, Puy-de-Brochat, le Puy-l'Epine, les Rebières-Blanches, la Reygnie, le Roc, la Roche, le Saillant, le Saillant-Vieux, Saint-Laurent, la Sudrie, le Temple, Usines-Chaux, Le Verdier, Verdier-Bas, Verdier-Haut, Vinzelas, Virolles, Virols.

Le Saillant

En latin aqua saliens qui désignait une eau bondissante. Ce nom évoque des rapides et une cascade dans une gorge profonde. Il est appelé ad illo Salente en 904.

Risques naturels et technologiques

Le territoire de la commune d'Allassac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Risques naturels

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Vézère, la Loyre et le Clan. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1993, 1994, 1999, 2001, 2010, 2016 et 2021<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques (PPR) inondation « Vézère », approuvé le Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Fichier:19005-Allassac-argile.jpg
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Allassac.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 62 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (26,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Unité dénombrés sur la commune en 2019, 1 379 sont en aléa moyen ou fort, soit 75 %, à comparer aux 36 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune<ref name="ECS">Modèle:Lien web</ref>.

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2011, 2018, 2019 et 2020, par des mouvements de terrain en 1999 et 2014 et par des glissements de terrain en 1993 et 1994<ref name=Géorisques/>.

Risques technologiques

La commune est en outre située en aval du barrage de Monceaux la Virolle, un ouvrage de classe AModèle:Note situé dans la Corrèze et disposant d'une retenue de Modèle:Unité de mètres cubes<ref>Modèle:Lien web</ref>. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque rupture de barrage.</ref>.

Risque particulier

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune d'Allassac est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Toponymie

Allassac serait dérivé du mot gallo-romain Alaciacus (le domaine d’Alacius). Une première mention de la forme Allassac est transcrite dans le testament d'Aredius (saint Yrieix). Il s'est appelé Alaciaco en 947.

Ses habitants sont appelés les Allassacois.

Le village est identifié sous le nom d’Alassac sur le Grand atlas du royaume de France établi par Johannes Blaeu au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle puis sur la carte de Cassini, représentant la France entre 1756 et 1789. On trouve ensuite Allassat, au début de la Révolution française avant l'apparition définitive du nom actuel en 1801.

En occitan, la commune se nomme Alaçac.

Histoire

Déjà au Mésolithique, le site de la Roche était habité, comme en témoignent les racloirs, et pointes lithiques retrouvés sur les lieux.

Antiquité

Occupée par les Romains, Allassac possède déjà plusieurs carrières d'ardoise qui permettront le développement rapide de la ville.

Moyen Âge

En 572, saint Yrieix et sa mère font don d'une exploitation agricole et de forges à Allassac, qui faisait alors partie du pays d'Yssandon. À la période carolingienne existe déjà un ensemble fortifié abritant une église et une habitation appartenant aux abbés de Limoges, ainsi qu'une habitation seigneuriale.

En 864 on transporta à Allassac les reliques des saints Innocents pour les protéger des envahisseurs normands.

Au Moyen Âge, Allassac devient une seigneurie de l'abbaye de Saint-Martial de Limoges. Elle est ensuite une co-seigneurie appartenant entre autres à la famille Roffignac surnommée « premiers chrétiens du Limousin ».

Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, la ville se dote d'une deuxième enceinte avec 17 tours, 8 portes et 6 châteaux. L'évêque lutte pour garder son territoire.

Temps modernes

Les {{#switch: e

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}}

}} sont propices à l'expansion grâce aux carrières d'ardoise et aux salaisons, malgré plusieurs sièges. En 1569, Henri d’Anjou y passe quelques jours avec ses armées. En 1580, Allassac est la quatrième ville du Bas Limousin (la Corrèze actuelle). Les maisons nobles à tourelles se multiplient.

En 1790, Allassac est brièvement chef-lieu de canton avant de céder la place à Donzenac en 1801<ref name=Cassini/>. Dans les premières années de la Révolution française, la commune de Saint-Laurent fusionne avec Allassac<ref name=Cassini/>.

Époque contemporaine

Fichier:Allassac carrières.jpg
Le chantier Pestourie-Mury des carrières d'Allassac.

En 1870 la population est de Modèle:Unité et, depuis plus d'un siècle, l'exploitation de l'ardoise est une industrie importante. Le paysan est aussi ardoisier, mais le phylloxera mettra fin à cette double économie. Le paysan devra alors se tourner vers la culture fruitière et celle du tabac tout en développant les exploitations de l'ardoise, les débouchés s'effectuant vers la région parisienne grâce au train.

Le 15 décembre 1908 en fin d'après-midi, le train omnibus Modèle:N°742 de Brive à Limoges, au départ de la gare d'Allassac, est percuté par le train de marchandises Modèle:N°2320 dans le tunnel de Pouch, causant la mort de Modèle:Unité.

Gerhard Leo prisonnier dans un train bloqué en gare d'Allassac, à la suite du sabotage de résistants, réussit à s'échapper en juin 1944. Son libérateur le lieutenant Michel sera pendu à Uzerche, sous les ordres du général Heinz Lammerding.

Le Modèle:Date-, à la suite d'un violent orage, la commune subit de graves inondations et coulées de boue en provenance des hauteurs, notamment à cause du ruisseau de la Grande Fontaine<ref>Une expo sur la catastrophe du 1er août 1963, La Montagne, 5 décembre 2013, consulté le 16 décembre 2019.</ref>.

Politique et administration

Intercommunalité

Allassac adhère à la communauté d'agglomération du Bassin de Brive<ref> Modèle:Lien web.</ref>.

Tendances politiques et résultats

Modèle:Article connexe Modèle:…

Liste des maires

Fichier:Allassac mairie.jpg
La mairie en 2017.

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel |- |colspan="5" align="center" bgcolor="#f3fff3" | Modèle:Boîte déroulante/début Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluFinModèle:Boîte déroulante/fin Modèle:ÉluFin

Instances judiciaires et administratives

Allassac relève du tribunal d'instance de Brive-la-Gaillarde, du tribunal de grande instance de Brive-la-Gaillarde, de la cour d'appel de Limoges, du tribunal pour enfants de Brive-la-Gaillarde, du conseil de prud'hommes de Brive-la-Gaillarde, du tribunal de commerce de Brive-la-Gaillarde, du tribunal administratif de Limoges et de la cour administrative d'appel de Bordeaux<ref> Modèle:Lien web.</ref>.

La commune accueille la brigade de proximité de la circonscription de gendarmerie, une recette-perception des impôts et un bureau de poste.

Jumelages

Fichier:Allassac jumelage.jpg
Panneau de jumelage avec Lehrberg.

Modèle:Jumelage

Politique environnementale

Dans son palmarès 2022, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune<ref>Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris consulté le Modèle:Date-.</ref>.

Population et société

Démographie

Modèle:Article connexe


Modèle:Population de France/section

Sports

Volley-ball : 3 équipes inscrites en UFOLEP (mixte).

Football : depuis 1940, le Club sportif allassacois.

Cultes

Culte catholique

La paroisse catholique d'Allassac fait partie de l'ensemble paroissial d'Allassac, Estivaux et Saint-Viance dans le doyenné de moyenne Vézère et du bassin de Brive (Diocèse de Tulle).

Économie

Revenus de la population et fiscalité

Modèle:...

Emploi

Modèle:...

Entreprises et commerces

Modèle:...

Secteur primaire

Agriculture

L'arboriculture se développe sur la commune, en particulier la pomme du Limousin (AOP), la pêche, la prune ou le kiwi.

Un vignoble « les Coteaux du Saillant-Vézère » vient d’être replanté sur 17 hectares sur un sol schisteux. Allassac était célèbre jusqu'à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle pour ses vignes, d'où la cave viticole du Saillant ; les cépage choisis sont chenin, sauvignon gris, chardonnay, merlot et cabernet franc.

L'élevage concerne les veaux de race limousine élevés sous la mère.

Gastronomie

Fichier:Fromage tomme des ardoisiers.jpg
Tomme des ardoisiers

La tomme des ardoisiers est une spécialité locale, fromage fermier au lait cru de vache fabriqué à la Prade<ref>La Prade</ref>.

Activités extractives

Allassac abrite une ardoisière remise en activité.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Lieux
Monuments
  • Vestiges du château de la Motte Roffignac {{#switch: XV
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}}<ref>Château de la Motte Roffignac, sur le site de la mairie d'Allassac</ref>.

  • La tour César, {{#switch: XIV
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}}, d'une hauteur de Modèle:Unité, seul vestige de l'enceinte fortifiée, inscrite aux monuments historiques en 1949<ref>Modèle:Base Mérimée, consultée le 11 juin 2011.</ref>. Elle est faite d'ardoise et de gneiss. Les mâchicoulis furent rajoutés au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. C'est une des rares tours rondes du Moyen Âge en Limousin.

  • Le manoir des Tours, {{#switch: XVI
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}}, inscrit aux monuments historiques en 1993<ref>Modèle:Base Mérimée, consultée le 11 juin 2011.</ref>, abrite les bureaux du Pays d'art et d'histoire Vézère Ardoise<ref>Modèle:Lien web</ref>.

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}}

}}, classée monument historique en 1914<ref>Modèle:Base Mérimée, consultée le 11 juin 2011.</ref>. Le clocher fut fortifié au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle lors de la guerre de Cent Ans. Elle possède un remarquable mobilier baroque composé de trois retables et d'une chaire ; ces œuvres auraient été réalisées par les frères Duhamel autour de l'an 1680. Le retable central (1679) est dédié au « Cœur sacré de Jésus ». Le fait qu'il présente sur une face le Christ montrant son Cœur Sacré le rend exceptionnel, cette dévotion n'étant activée que quatre ans avant la création du retable, à la suite de l'apparition du Christ à Marguerite-Marie Alacoque à Paray le Monial en 1675.

  • La chapelle Saint-Nicolas de Tolentine, construite en 1894, au village de Brochat.
  • La robuste chapelle Sainte-Marguerite, bâtie en grès rouge, du {{#switch: e
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}}, au village de la Chapelle.

  • La chapelle Saint-Ferréol, {{#switch: e
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}}, partie intégrante du cimetière, au village de la Chartroulle.

  • La chapelle Saint-Roch, {{#switch: e
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}}, au village de Gauch.

  • La minuscule chapelle Saint-Laurent, {{#switch: e
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}}

}}, au village de Saint-Laurent, avec son portail qui ouvre directement sur le cimetière.

Patrimoine culturel

Allassac, comme nombre de communes alentour, fait partie du Pays de Vézère-Ardoise bénéficiant, depuis 2001, du label pays d'art et d'histoire<ref> Modèle:Lien web.</ref>.

Personnalités liées à la commune

Héraldique

Modèle:Blason commune

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Bibliographie

  • Jean-Louis Lascaux, Allassac en Bas-Limousin un pays... une histoire, Allassac, 2006 Modèle:ISBN
  • Chanoine Blaise-Adolphe Marche, Le Passé glorieux d'Allassac et de ses cinq annexes, Brive, 1909 ; Paris, 2004

Articles connexes

Modèle:Colonnes

Liens externes

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes

Modèle:Références

  • Cartes

Modèle:Références

Références

Insee

Modèle:Références

Autres sources

Modèle:Références

Modèle:Palette Modèle:Portail