Alzen

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Modèle:Infobox Commune de France

Alzen est une commune française, située dans le département de l'Ariège en région Occitanie.

Localisée dans le nord du département, la commune fait partie, sur le plan historique et culturel, du Couserans, pays aux racines gasconnes structuré par le cours du Salat (affluent de la Garonne). Incluse dans le parc naturel régional des Pyrénées ariégeoises, la commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Alzen est une commune rurale qui compte Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, après avoir connu un pic de population de Modèle:Unité en 1831. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Foix. Ses habitants sont appelés les Alzenois ou Alzenoises.

Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : la chapelle Sainte-Croix d'Alzen, inscrite en 1995.

Modèle:Sommaire

Géographie

Localisation

Modèle:Encadré texte

La commune d'Alzen se trouve dans le département de l'Ariège, en région Occitanie<ref group=I name=meta>Modèle:Lien web.</ref>.

Elle se situe à Modèle:Unité à vol d'oiseau de Foix<ref>Modèle:Lien web.</ref>, préfecture du département, à Modèle:Unité de Saint-Girons<ref>Modèle:Lien web.</ref>, sous-préfecture, et à Modèle:Unité de La Bastide-de-Sérou<ref> Modèle:Lien web.</ref>, bureau centralisateur du canton du Couserans Est dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales<ref name=meta group=I/>. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Foix<ref name=meta group=I/>.

Les communes les plus proches<ref group=Note>Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.</ref> sont<ref>Modèle:Lien web.</ref> : Montels (Modèle:Unité), Cadarcet (Modèle:Unité), Nescus (Modèle:Unité), Burret (Modèle:Unité), Serres-sur-Arget (Modèle:Unité), La Bastide-de-Sérou (Modèle:Unité), Le Bosc (Modèle:Unité), Montagagne (Modèle:Unité).

Sur le plan historique et culturel, Alzen fait partie du Couserans, pays aux racines gasconnes structuré par le cours du Salat (affluent de la Garonne), que rien ne prédisposait à rejoindre les anciennes dépendances du comté de Foix<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Modèle:Carte communes limitrophes

Modèle:Communes limitrophes

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu<ref>Modèle:Lien web</ref>. À l'ouest du département, le climat océanique, avec ses entrées d’air atlantique, apporte des perturbations qui arrosent les reliefs<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après<ref name=Joly/>.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 3,9 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 4,6 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitation : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,3 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,3 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web.</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cadarcet », sur la commune de Cadarcet, mise en service en 2000<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Saint-Girons », sur la commune de Lorp-Sentaraille, mise en service en 1949 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Milieux naturels et biodiversité

Espaces protégés

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

La commune fait partie du parc naturel régional des Pyrénées ariégeoises, créé en 2009 et d'une superficie de Modèle:Unité, qui s'étend sur Modèle:Unité du département. Ce territoire unit les plus hauts sommets aux frontières de l’Andorre et de l’Espagne (la Pique d’Estats, le Mont Valier, etc) et les plus hautes vallées des avants-monts, jusqu’aux plissements du Plantaurel<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web</ref>.

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.</ref> sont recensées sur la commune<ref name=INPN1>Modèle:Lien web.</ref> : le « massif de l'Arize, versant nord » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité du département<ref>Modèle:Lien web.</ref>, et le « massif de l'Arize, zone d'altitude » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité du département<ref>Modèle:Lien web.</ref> et une ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.</ref>,<ref name=INPN1/> : le « massif de l'Arize » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité du département<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Urbanisme

Typologie

Alzen est une commune rurale<ref group=Note>Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Foix, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (75,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (76 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (73,5 %), prairies (14,5 %), zones agricoles hétérogènes (10,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,8 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 171, alors qu'il était de 160 en 2013 et de 137 en 2008<ref name="LogT2" group="I"/>.

Parmi ces logements, 61,5 % étaient des résidences principales, 31,2 % des résidences secondaires et 7,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 96,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 3,1 % des appartements<ref name="LogT2" group="I">Modèle:Lien web.</ref>.

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Alzen en 2018 en comparaison avec celle de l'Ariège et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (31,2 %) supérieure à celle du département (24,6 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 55,6 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (59,1 % en 2013), contre 66,3 % pour l'Ariège et 57,5 % pour la France entière<ref name="LogT7" group="I">Modèle:Lien web.</ref>.

Le logement à Alzen en 2018.
Typologie Alzen<ref name="LogT2" group="I"/> Ariège<ref name="LogDep" group="I">Modèle:Lien web.</ref> France entière<ref name="LogFr" group="I">Modèle:Lien web.</ref>
Résidences principales (en %) 61,5 65,7 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 31,2 24,6 9,7
Logements vacants (en %) 7,3 9,7 8,2

Risques majeurs

Le territoire de la commune d'Alzen est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque particulier, le risque radon<ref name=DDRM-Liste>Modèle:Lien web, chapitre Liste des risques par commune.</ref>,<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>.

Risques naturels

Fichier:09009-Alzen-argile.png
Zonage de l'aléa retrait-gonflement des argiles sur la commune d'Alzen.

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par crue torrentielle d'un cours d'eau, ou ruissellement d'un versant<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque inondation.</ref>.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des chutes de blocs, soit des glissements de terrains, soit des effondrements liés à des cavités souterraines, soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles. Près de 50 % de la superficie de l’Ariège est concernée par l'aléa retrait-gonflement des argiles, dont la commune d'Alzen<ref name=DDRM-Ind>Modèle:Lien web, chapitre Mouvements de terrain.</ref>. L'inventaire national des cavités souterraines permet par ailleurs de localiser celles situées sur la commune<ref name="ECS">Modèle:Lien web</ref>.

Risque particulier

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune d'Alzen est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif<ref name=DDRM-Radon>Modèle:Lien web, chapitre Risque radon.</ref>.

Toponymie

Attestée sous les formes Alsen en 1068, Alzenh en 1272, Alzenio en 1309, Alzein en 1793, Alzen en 1801Modèle:Refnec.

Histoire

Jusqu'à la Révolution française<ref>Modèle:Ouvrage</ref>, le territoire de la paroisse d'Alzen (Alzein) avec ceux de Montels, de Nescus, de Larbont et de Sentenac-de-Sérou (Sentenac) formaient une enclave du diocèse de Rieux (Rieux-Volvestre) et du Languedoc dans le comté de Foix. Voir cartes de Cassini.

Le territoire, avec le château, fit longtemps partie des possessions du comte de Toulouse. En 1167, Raymond VI, comte de Toulouse, donna cet ensemble en fief à Roger-Bernard Ier comte de Foix. En 1243, l'hommage pour ce fief au comte de Toulouse fut fait par Bernard-Amiel, seigneur de Pailhès. En 1244, l'hommage fut renouvelé par Sans de Rabat à Roger, comte de Foix. Les détails historiques de ce fief disparu sont relatés par R. Rumeau, instituteur, dans sa Notice historique sur les 20 cantons de l'Ariège éditée en 1881<ref name="YPLZQY">Modèle:Ouvrage</ref>. Le Modèle:Date-, Raymond de Durfort, seigneur d'Alzen, accorda une charte de coutumes aux habitants d'Alzen. Le texte latin et sa traduction en français a été publié par R. Rumeau dans un bulletin de la Société Ariégeoise des Sciences, Lettres et Arts (1912, vol. 13, pages 197 à 218)<ref>Modèle:Ouvrage</ref>. Ce seigneur, précurseur de pratiques actuelles, offrait le terrain nécessaire pour construire une maison et tracer un jardin sur les terres libres de son domaine d'Alzen à de nouveaux arrivants (voir la charte précitée, page 199), dans le but évident d'augmenter l'importance démographique de la baronnie d'Alzen.

La consultation du dictionnaire de la noblesse du Languedoc indique « Jean de Pradines, seigneur de Barsa et Saint Esteffe (évêché de Mirepoix, les terres seigneuriales se trouvant dans l'Aude actuelle) mousquetaire, puis capitaine, gouverneur du château par provision du Modèle:Date- »<ref>Modèle:Ouvrage</ref>. Le démembrement du château est donc postérieur à cette date. Son père avait déjà ce titre de gouverneur et en avait rendu hommage à la reine Marguerite de Navarre (même source).

Une note archéologique sur le château et ses fortifications a été réalisée en 2014, illustrée de plans et de photographies<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Le code forestier voté en 1827 (loi du Modèle:Date-) déclenchera dès 1828 de très fortes protestations, puis devant le zèle des gardes forestiers, une vraie révolte connue sous le nom de "Guerre des demoiselles" à laquelle participeront également les habitants d'Alzen. Des ordonnances ministérielles du Modèle:Date- et du Modèle:Date- restaurent le droit de pacage et suppriment, pour l’Ariège, toutes les dispositions du code forestier de 1827. Une amnistie générale est accordée, les condamnés sont libérés et les poursuites judiciaires sont arrêtées. Des évènements sporadiques, repris sous le même vocable de Guerre des demoiselles agiteront encore l'Ariège jusqu'en 1872.

En 1854, l'épidémie de choléra que subit la France fut particulièrement sévère à Alzen (176 décès pour 855 habitants) comme en quelques points du département, tel le canton des Cabannes. Déjà au cours de l'été, une importante sécheresse avait mis à mal les cultures et fragilisé la population<ref>Modèle:Article</ref>.

La commune a perdu 30 habitants, morts pour la France, lors de la guerre 1914-1918 soit environ 5 % de sa population d'alors<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Politique et administration

Découpage territorial

La commune d'Alzen est membre de la communauté de communes Couserans-Pyrénées<ref name="meta2" group=I/>, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le Modèle:Date- dont le siège est à Saint-Lizier. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Saint-Girons, au département de l'Ariège, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Occitanie<ref group=I name="meta2">Modèle:Lien web.</ref>.

Sur le plan électoral, elle dépend du canton du Couserans Est pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015<ref name="meta2" group=I/>, et de la première circonscription de l'Ariège pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986<ref name="Rattachements-elect">Modèle:Lien web.</ref>.

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFinDepuis le Modèle:Date-, Alzen est rattachée à la communauté de communes Couserans - Pyrénées qui regroupe 94 communes et près de Modèle:Nombre.

Population et société

Démographie

Modèle:Population de France/section

Enseignement

Alzen compte une école primaire publique.

Économie

Alzen reçoit le siège du parc naturel régional des Pyrénées ariégeoises.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

  • La chapelle Sainte-Croix d'Alzen date du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, elle a été détruite en 1694 puis reconstruite au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle sur l'emplacement d'un très ancien château fort à vocation purement militaire, déjà totalement démantelé lors de la reconstruction<ref name="YPLZQY" />. Le site offre un beau panorama. Une pierre sculptée représentant une fleur de lys est incorporée au pignon. Sans doute est-ce un remploi de pierre du château dont le vestige le plus visible est le soubassement de la tour, situé quelques mètres derrière la chapelle<ref name="Sites archéologiques de l'Ariège">Modèle:Lien web</ref>. La façade et la toiture sont inscrites à l'inventaire des monuments historiques depuis 1995<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref name="Sites archéologiques de l'Ariège"/>

Vie culturelle et festivités

  • L'écomusée d'Alzen<ref>Modèle:Lien web</ref> présente une ferme traditionnelle qui constitue un modèle d’avenir avec notamment des races locales préservées (vaches castas, brebis castillonnaises..), un jardin avec des légumes rares. Expositions, restaurant et animations.
  • Festib'Alzen<ref>Modèle:Lien web</ref> : festival organisé chaque année en mai ou juin (musiques, danses, etc.) depuis 1996.

Personnalités liées à la commune

Pour approfondir

Bibliographie

Modèle:…

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Autres projets Modèle:Liens

Notes et références

Notes et cartes

Notes

Modèle:Références

Cartes

Modèle:Références Modèle:Références

Références

Site de l'Insee

Modèle:Références

Autres sources

Modèle:Références

Modèle:Portail