Ardentes
Modèle:Voir homonyme Modèle:Infobox Commune de France
Modèle:Terme défini<templatestyles src="Prononciation/styles.css" />{{#invoke:Prononciation|prononciation}} est une commune française située dans le département de l'Indre, en région Centre-Val de Loire.
Géographie
Localisation
Ardentes est située dans l'est<ref name="Lion 1906">Modèle:Lien web.</ref> du département de l'Indre et est constituée de deux villages, Ardentes, qui constitue la majeure partie et où se trouvent les administrations, et Clavières.
Les communes limitrophes<ref name="Lion 1906"/> sont : Sassierges-Saint-Germain (Modèle:Unité), Étrechet (Modèle:Unité), Mâron (Modèle:Unité), Jeu-les-Bois (Modèle:Unité), Le Poinçonnet (Modèle:Unité) et Mers-sur-Indre (Modèle:Unité).
Les services préfectoraux<ref name="Lion 1906"/> sont situés à Châteauroux (Modèle:Unité), La Châtre (Modèle:Unité), Issoudun (Modèle:Unité) et Le Blanc (Modèle:Unité).
<mapframe zoom=11 latitude=46.7430555556 longitude =1.83166666667 height=280 width=500 align=center text="Localisation de la commune d'Ardentes"> {"type": "ExternalData", "service": "geoline", "ids": "Q211643", "properties": { "fill": "#fc3", "stroke": "#ac6600" }} </mapframe>
Lieux-dits, hameaux et écarts
Les hameaux et lieux-dits de la commune sont : Clavières, les Loges de Dressais, le Breuil, Villebommiers, Dressais, la Cueille, Bellat, le Plessis, Sanguille, la Boisfarderie et Buxerolle<ref name="Géoportail">Modèle:Géoportail.</ref>.
Géologie et relief
Hydrographie
Le territoire communal est arrosé par la rivière Indre<ref name="Géoportail"/>.
-
Le pont-écluse de Clavières en 2008.
Climat
Modèle:Tableau Climat de l'Indre Modèle:Article détaillé
Paysages
Elle est située dans la région naturelle du Boischaut Sud.
Milieux naturels et biodiversité
Urbanisme
Typologie
Ardentes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine d'Ardentes, une unité urbaine monocommunale<ref>Modèle:Lien web.</ref> de Modèle:Unité en 2017, constituant une ville isolée<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Châteauroux dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en Modèle:Date-, celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Zonages d'études
La commune se situe dans l'unité urbaine d’Ardentes, dans l’aire urbaine de Châteauroux, dans la zone d’emploi de Châteauroux et dans le bassin de vie de Châteauroux<ref name="Insee 2">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
Logement
Le tableau ci-dessous présente le détail du secteur des logements<ref name="Insee ct">Modèle:Lien web.</ref> de la commune :
Date du relevé | 2013 | 2015 |
---|---|---|
Nombre total de logements | 1 925 | 1 994 |
Résidences principales | 86,2 % | 86,3 % |
Résidences secondaires | 5,2 % | 4,4 % |
Logements vacants | 8,6 % | 9,4 % |
Part des ménages propriétaires de leur résidence principale | 76,3 % | 75,4 % |
Planification de l'aménagement
Projets d'aménagement
Voies de communication et transports
Voies de communication
Le territoire communal est desservi par les routes départementales : 12, 12C, 12D, 14, 19, 41, 102, 105 et 943<ref name="ViaMichelin">Modèle:Lien web.</ref>.
-
Le panneau d'entrée d'agglomération de Clavières en 2013.
Transports
La gare ferroviaire la plus proche est la gare de Châteauroux<ref name="ViaMichelin"/>, à Modèle:Unité.
Ardentes est desservie par la ligne 15 du réseau de bus Horizon<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
L'aéroport le plus proche est l'aéroport de Châteauroux-Centre<ref name="ViaMichelin"/>, à Modèle:Unité.
Énergie
Risques naturels et technologiques
La commune est classée en zone de sismicité 2, correspondant à une sismicité faible<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Qualité de l'environnement
Risques majeurs
Le territoire de la commune d'Ardentes est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Indre. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2003 et 2016<ref>Modèle:Lien web, partie 1 - chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>.
Pour anticiper une remontée des risques de feux de forêt et de végétation vers le nord de la France en lien avec le dérèglement climatique, les services de l’État en région Centre-Val de Loire (DREAL, DRAAF, DDT) avec les SDIS ont réalisé en 2021 un atlas régional du risque de feux de forêt, permettant d’améliorer la connaissance sur les massifs les plus exposés. La commune, étant pour partie dans les massifs de Châteauroux et d'Ardentes, est classée au niveau de risque 4, sur une échelle qui en comporte quatre (1 étant le niveau maximal)<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels<ref>Modèle:Lien web, partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.</ref>.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 99,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (84,7 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Unité dénombrés sur la commune en 2019, 1794 sont en aléa moyen ou fort, soit 98 %, à comparer aux 86 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1998, 2011, 2016, 2018 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999<ref name=Géorisques/>.
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à Modèle:Unité, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque transport de matières dangereuses.</ref>.
Toponymie
Durant la Révolution française, pour suivre le décret de la Convention du Modèle:Date- (25 vendémiaire) 1793 (an II) invitant les communes ayant des noms pouvant rappeler les souvenirs de la royauté, de la féodalité ou des superstitions, à les remplacer par d'autres dénominations, la commune de Saint-Martin-d’Ardentes change de nom pour Ardentes-les-Bois<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Ardentes fut créée par les Romains sous le nom d'Alerta et figure sous ce nom sur la table de Peutinger<ref>Modèle:Article.</ref>.
Ses habitants sont appelés les Ardentais<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Histoire
Préhistoire
Antiquité
Ardentes existait déjà à l'époque romaine et s'étendait sur les deux parties de l'Indre sous les noms d'« Alerta » et d'« Aléréa ». Elle est mentionnée sur la table de Peutinger sous le nom d'« Alerta » puisque Ardentes était située sur la voie romaine menant d’Argentomagus (Argenton-sur-Creuse) à Avaricum (Bourges).
Moyen Âge
La paroisse d'Ardentes dépendait de l'abbaye de Déols.
On sait l'existence d'une place forte aujourd'hui disparue dans le bourg Saint-Martin au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.
Temps modernes
De 1666 à 1874, des forges firent la richesse de la ville, elles étaient concentrées à « Clavières » mais s'étendaient depuis le lieu-dit « Forge-Haute » à Ardentes, jusqu'au lieu-dit « La Forge de l'Isle » au Poinçonnet. Les restes de ses constructions permettant de dévier l'eau et de faire barrage sont encore visibles dans ces trois lieux.
Révolution française et Empire
Ardentes, jusqu'en 1839, était en fait deux communes séparées par l'Indre qui sont maintenant des quartiers : Saint-Martin et Saint-Vincent qui correspondaient à deux paroisses : Saint-Martin-d’Ardentes au sud de la rivière Indre et Saint-Vincent-d’Ardentes au Nord.
Époque contemporaine
Depuis la Seconde Guerre mondiale jusqu'en 2012, Ardentes comptait un terrain militaire situé à « Forge-haute ».
Politique et administration
Découpage territorial
Ardentes<ref name="Insee 2"/> est membre :
- de la communauté d’agglomération Châteauroux Métropole ;
- du canton d'Ardentes ;
- de l'arrondissement de Châteauroux ;
- de la deuxième circonscription de l'Indre.
Administration municipale
Tendances politiques et résultats
Modèle:Résultats élections communes françaises
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin
Instances de démocratie participative
Finances communales
Jumelages
Aucun jumelage n'existe à Ardentes.
Équipements et services publics
Eau et déchets
Espaces publics
Enseignement
La commune dépend de la circonscription académique de La Châtre.
-
L'école maternelle publique Antoine-Fée en 2013.
Postes et télécommunications
Ardentes compte un bureau de poste<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Santé
- une pharmacie
- un orthophoniste
- un médecin
- sept infirmières
- un dentiste
- deux prothésistes
- trois masseurs et kinésithérapeutes
- une sage-femme
- un hypnothérapeute
- une maison de santé pluridisciplinaire.
L'hôpital le plus proche est celui de Châteauroux.
La commune est équipée de 4 défibrillateurs cardiaques.
Justice, sécurité, secours et défense
- Gendarmerie nationale<ref>Modèle:Lien web.</ref>
- Centre de secours<ref>Modèle:Lien web.</ref>
- Centre d'entretien et d'exploitation des routes du conseil départemental de l'Indre<ref>Modèle:Lien web.</ref>
Population et société
Démographie
Modèle:Population de France/section
Manifestations culturelles et festivités
Tous les ans, depuis 1534, le premier week-end de septembre se tient la fête de Saint-Leu.
Sports
Le territoire communal est traversé par le sentier de grande randonnée 46<ref name="Géoportail"/>.
La commune compte 20 associations sportives et dispose comme infrastructures :
- gymnase Grands-Buissons ;
- gymnase Aléréa ;
- un stade ;
- un dojo ;
- un terrain de tennis ;
- une piscine ;
- un parcours de santé ;
- un terrain de pétanque.
Médias
La commune est couverte par les médias suivants : La Nouvelle République du Centre-Ouest, Le Berry républicain, L'Écho - La Marseillaise, La Bouinotte, Le Petit Berrichon, L'Écho du Berry, France 3 Centre-Val de Loire, Berry Issoudun Première, Vibration, Forum, France Bleu Berry et RCF en Berry.
Cultes
Culte catholique
La commune d'Ardentes dépend de l'archidiocèse de Bourges, du doyenné de Châteauroux et de la paroisse de Saint-Vincent. Les lieux de culte sont les églises Saint-Vincent et Saint-Martin<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Économie
Revenus de la population et fiscalité
Le revenu net déclaré moyen par foyer fiscal et le pourcentage de foyers fiscaux imposables sont présentés dans les tableaux ci-dessous<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="Insee ct"/> :
2009 | 2015 | |
---|---|---|
Ardentes | Modèle:Unité | Modèle:Unité |
Indre | Modèle:Unité | Modèle:Unité |
Centre-Val de Loire | Modèle:Unité | Modèle:Unité |
France | Modèle:Unité | Modèle:Unité |
2009 | 2015 | |
---|---|---|
Ardentes | Modèle:Unité | Modèle:Unité |
Indre | Modèle:Unité | Modèle:Unité |
Centre-Val de Loire | Modèle:Unité | Modèle:Unité |
France | Modèle:Unité | Modèle:Unité |
Emploi
Elle fut le siège des forges de Clavières créées en 1666, par les princes de Condé, avec l'aide de financiers bretons. En 1670, les forges sous la direction de Claude Charles François Leblanc de Marnaval sont donc parmi les plus importantes du royaume, avec une activité florissante liée en particulier à celle de la fonderie de canon d'Étrechet<ref>Modèle:Ouvrage.</ref> et le monopole de la fourniture de l'arsenal de Rochefort, mais elles déclinent au long du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, pour fermer en 1874.
Entreprises et commerces
La commune se trouve dans l'aire géographique et dans la zone de production du lait, de fabrication et d'affinage du fromage Valençay<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Tourisme et hébergement
Culture locale et patrimoine
Ville et Pays d'art et d'histoire
Ardentes a obtenu au concours des villes et villages fleuris :
- une fleur en 2008<ref>Modèle:Lien web.</ref>, 2013, 2014, 2015 et 2016.
Lieux et monuments
Château de Clavières
Le château fut construit par Antoine Jugleron et sa femme Catherine de Grobost. D'après un aveu de 1540, la seigneurie consistait en une maison forte, deux tours, le tout entouré de fossés. Une chapelle dédiée à saint Éloi, fut édifiée dans la partie droite du Château. En 1680, le château servait d'habitation pour les fermiers des forges.
Plusieurs fortunes industrielles se succédèrent : Claude Leblanc de Marnaval, Antoine Grétré, la famille Grenouillet. Grétré l'acheta comme bien national et le revendit en 1826 à Aubertot, un autre maître de forges. En 1876, la propriété est rachetée par Berthier de Grandry, dont la famille la possède toujours. La restauration de l'édifice fut confiée à Alfred Dauvergne qui intervint sur les parties hautes et sur les ouvertures des façades. Bordé sur un côté par l'Indre, le château est entouré d'un parc de platanes centenaires. On y accède par une entrée flanquée de deux pavillons du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Le corps de logis flanqué de tourelles a subi de nombreuses restaurations. La partie qui forme l'angle sud-est la plus ancienne et la plus intéressante, elle date du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref name="Eugène Hubert">Modèle:Ouvrage.</ref>.
Château de Villejovet
Le château de Villejovet est agréablement situé sur un coteau dont le pied est baigné par l'Indre. Son histoire, récente, remonte au milieu du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, période à laquelle M. Armand achète le domaine pour y faire construire une maison bourgeoise. En 1854, M. Bourin, conservateur des hypothèques, y rajoute une tourelle et fait dessiner tout autour un parc. Sa fille, Grillon Desormeaux, le transmet par alliance à la famille de Nègre du Clat. Le moulin au pied du château est mentionné dès le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref name="Eugène Hubert"/>.
Château de Bonnet
Au Sud du village, comprenant une cinquantaine d'habitants, Théodore Patureau, de Châteauroux, avait formé vers 1820, le projet de créer un haras en utilisant certains prés situés sur les bords de l'Indre. C'est dans ce but qu'il fit élever dans l'un de ses prés, appelé depuis pré des Baraques, d'immenses baraquements devant servir d'abri de chevaux. Telles est l'origine de la vieille demeure, couverte de lierre, que le propriétaire construisit à proximité pour surveiller facilement son haras. Quant Patureau eut renoncé à l'élevage de chevaux, il vendit sa propriété, le Modèle:Date-, à Alexandre Grenouillet, maître de forges, demeurant au château de Clavières. À sa mort, Bonnet fut, par sa fille Amélie Grenouillet, apporté en mariage à Louis Morin, avocat à Bourges, qui modifia complètement la disposition des dépendances. Ce sera Raymond Morin qui fera de l'ensemble un château élégant<ref name="Eugène Hubert"/>.
Église Saint-Martin
L'église date des {{#switch: e
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| Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles
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}}. Elle est rattachée à l’abbaye de Déols en 1117, de style roman comme cette dernière, son architecture est influencée par l’art bourguignon qui se propage sous l’effet du rayonnement de l’abbaye de Cluny ainsi que par l'architecture saintongeaise.
-
L'église Saint-Martin en 2015.
Église Saint-Vincent
L'église date du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Elle a été presque entièrement refaite au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Le clocher est du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Seules les deux petites têtes de lions dans le chœur datent de l'époque romane.
-
L'église Saint-Vincent en 2013.
==== Forges {{#switch: e
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}} ==== Les forges ont été créées en 1670 sur la volonté des Princes de Condé. Elles furent pendant plus d'un siècle l'un des plus grands complexes sidérurgiques de France. Elles fabriquèrent des fers renommés jusqu'à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle à destination essentiellement de la marine. Grâce à la réserve de bois de la forêt domaniale de Châteauroux, au minerai de fer du sol berrichon et à la présence de l'eau de la rivière Indre, elles créèrent jusqu'à plus de 700 emplois au plus fort de leur activité et firent d'Ardentes une ville d'industrie du fer, avant de s'orienter vers le bois.
Le nom des lieux-dits en lisière de la forêt de Châteauroux et toujours en usage de nos jours provient de l’appellation « loges » données aux huttes de planches et de terre servant d’habitations aux ouvriers.
Le minerai utilisé par les forges venait de Diors, Sainte-Fauste. Le charbon de bois quant à lui était fabriqué dans les charbonnières des forêts de Châteauroux et de Bommiers dont l’usage leur était réservé.
Aujourd’hui, il ne reste pratiquement plus rien des bâtiments qui connurent tant d’activité. À la « Forge Basse », la retenue d’eau de Clavières conserve encore ses « pelles » immortalisées par les peintres. « La Forge Haute » a gardé son ancienne boulangerie, dont le four restauré est quelquefois utilisé lors des festivités, ainsi que les vestiges des anciens logements des ouvriers et des murs de pierres construits pour domestiquer la rivière et produire de l’énergie hydraulique.
Autres
- Atelier des Gachons
- Monument aux morts
-
L'atelier des Gachons en 2013.
-
Le monument aux morts en 2013.
Patrimoine culturel
- Médiathèque
- Agora (salle des fêtes)
- Maison des associations (13 associations culturelles)
Personnalités liées à la commune
- Étienne Grétré de Champilliers (1748-1803), maîtres des forges au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.
- Jean-Louis Leveille (1787-1871).
- Antoine Laurent Apollinaire Fée (1789-1874), botaniste, né à Ardentes.
- Stanislas Limousin (1831-1887), inventeur des cachets et de l'ampoule hypodermique injectable.
- Eugène Hubert (1866-1940), archiviste paléographe, a vécu à Ardentes.
- Jacques des Gachons (1868-1945), écrivain.
- André des Gachons (1871-1951), peintre.
- Louis-Didier des Gachons (1875-1951), inventeur, il imagine le principe de la lithographie en couleurs.
- Joseph Fleuret (1886-1976).
- Richard Dufour (1888-1959), statuaire, y est né.
- Marcel Cartier (1895-1965), député de la Drôme, né à Ardentes.
- Jean Hubert (1902-1994), archiviste médiéviste.
- Georges Lubin (1904-2000), historien de la littérature, spécialiste de la correspondance de George Sand.
- Paul Pesson (1911-1989), entomologiste, né à Ardentes.
Héraldique, logotype et devise
logo Ardentes | Logotype de la commune d'Ardentes : Modèle:… |
Voir aussi
Bibliographie
Articles connexes
Liens externes
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