Arrentières
Modèle:Infobox Commune de France
Arrentières est une commune française située dans le département de l'Aube, en région Grand Est.
Comptant plus de Modèle:Nombre en 1861, cette commune a vu son nombre d'habitants diminuer régulièrement pour se stabiliser aux Modèle:Nobr au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.
Le château d'Arrentières, construit au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, est partiellement inscrit à l'inventaire des monuments historiques ; quant à l'église paroissiale, elle contient une dizaine d'objets classés à cet inventaire. Modèle:Sommaire
Géographie
Localisation
Arrentières est un village de la Côte des Bar situé entre les communes de Montier-en-l'Isle et de Engente. À vol d'oiseau, la commune est située à Modèle:Unité au nord-est de Bar-sur-Aube, à Modèle:Unité de Chaumont et à Modèle:Unité de Troyes<ref name="Orthodromie"/>.
Communes limitrophes
La commune est limitrophe de neuf communes : Modèle:Communes limitrophes
Les grandes villes les plus proches d'Arrentières hors Paris sont Reims (Modèle:Unité) et Dijon (Modèle:Unité)<ref name="Orthodromie"> Modèle:Lien web.</ref>.
Géologie et relief
La superficie de la commune est de Modèle:Unité ; son altitude varie entre 183 et Modèle:Unité<ref>Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, Modèle:Lire en ligne.</ref>.
La commune se situe à la confluence de la Bresse et du ruisseau des Cuvelots, au cœur du plateau calcaire. Son finage augmente de façon importante du sud au nord : Modèle:Unité dans la vallée et Modèle:Unité près de la ferme de Vernonfays<ref name="LD">Laurent Denajar, L'Aube, Modèle:Nobr de Carte archéologique de la Gaule, Les Éditions de la MSH, 2005, Modèle:ISBN, Modèle:P., Modèle:Lire en ligne.</ref>.
Hydrographie
Arrentières est un point de confluence où se rejoignent la Bresse, un affluent de l'Aube d'une longueur totale de Modèle:Unité, et le ruisseau des Cuvelots<ref name="LD"/>,<ref>Modèle:Sandre.</ref>.
Jadis, les rivières du Barois actionnaient de nombreux moulins<ref>Patrick Dupré (auteur) et Didier Guy (photographe), La côte des Bar et Montgueux : champagne et patrimoine, Modèle:Lire en ligne.</ref>.
Climat
Tout comme le reste de la région Champagne, le village se situe dans un climat « tempéré océanique humide » (Cfb) d'après la Classification de Köppen. Les vents sont généralement issus de l’ouest et du sud-ouest.
La station météorologique la plus proche est dans la commune de Barberey-Saint-Sulpice (celle de l’aéroport de Troyes - Barberey). Le climat de Arrentières reste équivalent par rapport à Troyes, le chef-lieu de l’Aube ; elle sert donc de référence pour les données climatiques du tableau ci-dessous :
Voies de communication et transports
Arrentières est traversée par les routes départementale 73 et 102. Cette première route permet de relier la commune de Bar-sur-Aube à celle de Doulevant-le-Château. D'autre part, la voie reliant Bar-sur-Aube à Vignory passe par le sud de la Ferme de la Tuilerie<ref name="LD"/>.
Urbanisme
Typologie
Arrentières est une commune rurale<ref group=Note>Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bar-sur-Aube, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (60 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (61,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (42,3 %), forêts (35,6 %), cultures permanentes (12,4 %), zones agricoles hétérogènes (3 %), zones urbanisées (2,5 %), prairies (2,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,9 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Logement
En 2009, le nombre total de logements dans la commune était de 137, alors qu'il était de 117 en 1999<ref group="I">LOG T1M - Évolution du nombre de logements par catégorie.</ref>.
Parmi ces logements, 68,8 % étaient des résidences principales, 20,8 % des résidences secondaires et 10,4 % des logements vacants. Ces logements étaient en totalité des maisons individuelles<ref group="I" name="LOG T2">LOG T2 - Catégories et types de logements.</ref>.
La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 86,3 %, en très légère hausse par rapport à 1999 (85,3 %)<ref group="I">LOG T7 - Résidences principales selon le statut d'occupation.</ref>.
Projets d'aménagements
Les projets d'aménagements sont administrés par la communauté de communes de la Région de Bar-sur-Aube. L'ensemble des Modèle:Nombre de ce territoire collaborent afin de mettre en œuvre un projet commun de développement et d’aménagement de l’espace pour chaque ville et village<ref> Modèle:Lien web.</ref>.
Première commune à avoir imaginé d'installer des candélabres de couleur rouge dans ses rues, Arrentières est Modèle:Incise l'une des premières petites communes à s'équiper d'une station d'épuration. Un projet innovant de chauffage collectif à alimentation bois pour l'ensemble des habitations a été imaginé mais non mise en œuvre, compte tenu du manque de financement. Après la réfection des routes durant trois années, de l'éclairage public, du réseau d'eau et de l'église (retable refait à neuf) en 2010, la commune lance la rénovation de la salle des fêtes ainsi que celle des murs des deux lavoirs<ref> Modèle:Lien web.</ref>.
Toponymie
Les noms suivants sont attestés : Arrentières (ou Arenterium / Arenthières<ref name="Delattre"/> en 1147), Arentières en 1793 et Arentière en 1801<ref name="Cassini"/>. Il s'agit d'une formation dialectale provenant de l'adjectif arremier signifiant Modèle:Citation<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
Histoire
Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, les seigneurs du village sont la commanderie de Thors, dont l'origine remonte aux templiers. Durant cette même époque, il existe a Arrentières un prieur de l'ordre de Citeaux. Celui-ci est transféré durant la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle à Chaumont<ref name="Delattre"/>.
Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Jean d'Arrentières est désigné bailli royal et sert le comte de Bar. En 1371, il fait arrêter la comtesse Yolande de Bar sur ordre de Charles V et la tient captive<ref name="LePF"/>.
En 1789, le village dépendait de l'intendance et de la généralité de Châlons, de l'élection de Bar-sur-Aube et du bailliage de Chaumont et de la prévôté de Bar.
Orimont
Ferme, bois et colline, en partie sur Voigny et prieuré de femmes.
En 1262, le nom est écrit Ourmont, et Aurimont en 1609.
La ferme d'Orimont, située au sud-est du territoire d'Arrentières, est mentionnée en 1148<ref name="Delattre">Modèle:Ouvrage.</ref>.
Prieuré fondé par l'évêque Geoffroy de Laroche, de Langres, il dépendait de l'abbaye de Poligny<ref>Arch. dép. Haute-Marne, fonds Laloy, f505.</ref>. 51 ans plus tard, une bulle du pape Honorius III rattache le prieuré à l'abbaye de Montier-la-Celle tout en laissant l'ancienne abbesse comme supérieure du prieuré. En 1502, il est cité comme étant en ruine, ravagé par les guerres. Le 7 février 1694, Louis Armand de Simiane de Gordes acceptait le transfert du prieuré dans la maison de Chaumont-le-Bois. La chapelle à Orimont devant être détruite pour en élever une nouvelle à Chaumont. Le prieuré est supprimé en 1740 et ses biens fondus à ceux de Poligny.
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Au second tour de l'élection présidentielle de 2002, 76,32% des suffrages ont été exprimés pour Jacques Chirac (RPR), 23,68% pour Jean-Marie Le Pen (FN)<ref> Modèle:Lien web.</ref>.
Au second tour de l'élection présidentielle de 2007, 81,18 % des suffrages se sont exprimés pour Nicolas Sarkozy (UMP), 18,82 % pour Ségolène Royal (PS), avec un taux de participation de 86,63 %<ref> Modèle:Lien web</ref>.
Au second tour de l'élection présidentielle de 2012, 78,57 % des suffrages se sont exprimés pour Nicolas Sarkozy (UMP), 21,43 % pour François Hollande (PS), avec un taux de participation de 93,90 %<ref> Modèle:Lien web.</ref>.
Administration municipale
Le nombre d'habitants de la commune étant compris entre 100 et 500, le nombre de membres du conseil municipal est de 11<ref>Modèle:Légifrance.</ref>.
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Instances judiciaires et administratives
Arrentières relève du tribunal d'instance de Troyes, du tribunal de grande instance de Troyes, de la Cour d'appel de Reims, du tribunal pour enfants de Troyes, du conseil de prud'hommes de Troyes, du tribunal de commerce de Troyes, du tribunal administratif de Châlons-en-Champagne et de la cour administrative d'appel de Nancy<ref> Modèle:Lien web.</ref>.
Politique environnementale
La collecte, la valorisation et l'élimination des déchets sont assurés par la communauté de communes de la Région de Bar-sur-Aube<ref> Modèle:Lien web.</ref>.
Finances locales
De 2008 à 2013, la gestion municipale a permis de maintenir la capacité d'autofinancement nette du remboursement en capital des emprunts à un taux par habitant meilleur que dans les communes de même type<ref> Modèle:Lien web.</ref> :
Année | Dans la commune | Moyenne de la strate<ref group="Note">Pour cette commune, la strate représente l'ensemble des communes
communes de moins de Modèle:Nombre appartenant à un groupement fiscalisé.</ref> |
---|---|---|
2008 | Modèle:Unité | Modèle:Unité |
2009 | Modèle:Unité | Modèle:Unité |
2010 | Modèle:Unité | Modèle:Unité |
2011 | Modèle:Unité | Modèle:Unité |
2012 | Modèle:Unité | Modèle:Unité |
Jumelages
Au 2 mars 2014, Arrentières n'est jumelée avec aucune commune<ref> Modèle:Lien web.</ref>.
Population et société
Démographie
Évolution démographie
Modèle:Population de France/section
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 29 %, soit en dessous de la moyenne départementale (35,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 36,5 % la même année, alors qu'il est de 27,7 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait Modèle:Nobr pour Modèle:Nobr, soit un taux de 53,52 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,59 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Modèle:Pyramide des âges communes de France
Enseignement
Arrentières est située dans l'académie de Reims.
La commune administrait une école élémentaire (cycle 1) regroupant une classe de Modèle:Nombre en 2012-2013<ref> Modèle:Lien web.</ref>. Cette classe a été fermée avant la rentrée 2013-2014, la commune intégrant le regroupement pédagogique intercommunal (RPI) « Syndicat mixte Bresse Œillet »<ref name="CCRB"> Modèle:Lien web.</ref>.
L'école maternelle la plus proche est située à Colombé-la-Fosse et depuis la rentrée 2013-2014, au sein du regroupement, l'école élémentaire est située à Colombé-le-Sec<ref> Modèle:Lien web.</ref>. Pour l'enseignement secondaire, les élèves vont à la cité Gaston-Bachelard de Bar-sur-Aube<ref name="CCRB"/>.
Les difficultés d'organisation des classes au sein du regroupement pédagogique intercommunal ont fait la une du quotidien L'Est-Éclair début 2014<ref> Modèle:Lien web.</ref>.
Manifestations culturelles et festivités
La « Route du champagne en fête », manifestation d'envergure qui dure deux jours, se déroulera à Arrentières les 30 et 31 juillet en 2016
<ref name="LePF">Le Petit Futé Champagne-Ardenne, édition 2009, Modèle:ISBN, Modèle:Lire en ligne.</ref>.
Santé
Il n'y a ni médecin ni infirmier exerçant une activité à Arrentières. Les plus proches, ainsi que le centre hospitalier, sont localisés à Bar-sur-Aube.
Sports
La commune dispose d'un terrain de football<ref name="CCRB"/>. Le Modèle:1er mai 2013, pour la deuxième année, l'Étoile cycliste baralbine organisait la course cycliste « Prix d'Arrentières »<ref> Modèle:Lien web.</ref>,<ref> Modèle:Lien web.</ref>.
Médias
Le quotidien régional L'Est-Éclair assure la publication des informations locales à la commune<ref> Modèle:Lien web.</ref>. Il existe également La Revue agricole de l'Aube, hebdomadaire d'informations agricoles, viticoles et rurales.
La commune ne dispose pas de nœud de raccordement ADSL installé dans cette commune, ni de connexion à un réseau de fibre optique. Les lignes téléphoniques sont raccordées à des équipements situés à Bar-sur-Aube et Ville-sur-Terre<ref> Modèle:Lien web.</ref>.
Cultes
Seul le culte catholique est célébré à Arrentières. La commune est l'une des onze communes regroupées dans la paroisse « de Bar-sur-Aube », l'une des neuf paroisses de l'espace pastoral « Côtes des Bar » au sein du diocèse de Troyes, le lieu de culte est l'église paroissiale Saint-Jacques-le-Majeur<ref> Modèle:Lien web.</ref>.
Cette église à trois nefs dédiée à saint Jacques-le-Majeur, date du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Son clocher est inspiré de celui de l'église Saint-Pierre de Bar-sur-Aube<ref>Marguerite Beau, Essai sur l'architecture religieuse de la Champagne méridionale auboise hors Troyes, 1991.</ref>.
Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2011, le revenu fiscal médian par ménage était de Modèle:Euro, ce qui plaçait Arrentières au 6 411e rang parmi les Modèle:Nombre de plus de Modèle:Nombre en métropole<ref> Modèle:Lien web.</ref>.
En 2009, 30,8 % des foyers fiscaux n'étaient pas imposables<ref group="I">REV T1 - Impôts sur le revenu des foyers fiscaux.</ref>.
Emploi
En 2009, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à Modèle:Nombre, parmi lesquelles on comptait 76,9 % d'actifs dont 67,9 % ayant un emploi et 9 % de chômeurs<ref group="I">EMP T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité.</ref>.
On comptait Modèle:Nombre dans la zone d'emploi, contre 59 en 1999. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone d'emploi étant de 93, l'indicateur de concentration d'emploi<ref group="Note">L'indicateur de concentration d'emploi est égal au nombre d'emplois dans la zone pour 100 actifs ayant un emploi résidant dans la zone, selon la définition de l'Insee.</ref> est de 53,9 %, ce qui signifie que la zone d'emploi offre à peine plus d'un emploi pour deux habitants actifs<ref group="I">EMP T5 - Emploi et activité.</ref>.
Entreprises et commerces
Au 31 décembre 2010, Arrentières comptait Modèle:Nombre : 48 dans l’agriculture-sylviculture-pêche, 1 dans l'industrie, aucun dans la construction, 10 dans le commerce-transports-services divers et 3 étaient relatifs au secteur administratif<ref group="I" name="CEN T1">CEN T1 - Établissements actifs par secteur d'activité au 31 décembre 2010.</ref>.
En 2011, aucune entreprise n'a été créée à Arrentières<ref group="I">DEN T1 - Créations d'entreprises par secteur d'activité en 2011.</ref>.
Bien que la commune ne comptait que Modèle:Nombre au dernier recensement de Modèle:Population de France/dernière année Infobox, on y dénombre pas moins de huit producteurs de champagne<ref> Modèle:Lien web.</ref>, la commune comptant Modèle:Unité en champagne (AOC)<ref> Modèle:Lien web.</ref>.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Monuments remarquables
La commune compte un monument inscrit partiellement à l'inventaire des monuments historiques<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref> et aucun lieu ou monument répertoriés à l'inventaire général du patrimoine culturel<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>. Par ailleurs, elle compte Modèle:Nombre classés à l'inventaire des monuments historiques<ref>Modèle:Base Palissy.</ref> et Modèle:Nombre répertoriés à l'inventaire général du patrimoine culturel<ref>Modèle:Base Palissy.</ref>.
Le château d'Arrentières a été construit au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Les logis et les tours ont été reconstruits en grande partie à la fin du Moyen Âge. Le bâtiment est partiellement<ref group="Note">Le fossé, les courtines, les salles souterraines bordant la courtine sud, la tour-pigeonnier, les façades, les toitures du corps de logis ainsi que la tour est sont classés monuments historiques.</ref> inscrit depuis le Modèle:Nobr<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
Autres lieux et monuments
L'église d'Arrentières renferme dix objets classés à l'inventaire des monuments historiques :
- statue de la Vierge à l'Enfant, datée du Modèle:4e du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, inscrite depuis le Modèle:Nobr<ref>Modèle:Base Palissy.</ref> ;
- statuette de saint Jacques, datée du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, inscrite depuis le Modèle:Nobr<ref>Modèle:Base Palissy.</ref> ;
- statue de la Vierge à l'Enfant, datée du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, inscrite depuis le Modèle:Nobr<ref>Modèle:Base Palissy.</ref> ;
- statuette de saint Jacques, datée du Modèle:2e du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, inscrite depuis le Modèle:Nobr<ref>Modèle:Base Palissy.</ref> ;
- croix d'autel, datée du Modèle:2e du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, inscrite depuis le Modèle:Nobr<ref>Modèle:Base Palissy.</ref> ;
- statuette de saint Roch (disparue), datée du Modèle:2e du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, inscrite depuis le Modèle:Nobr<ref>Modèle:Base Palissy.</ref> ;
- retable, tabernacle et gradin du maître-autel, datés du Modèle:2e du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, dus au sculpteur Jean-Baptiste Bouchardon, inscrits depuis le Modèle:Nobr<ref>Modèle:Base Palissy.</ref> ; le retable a été réalisé après l’exécution du grand retable à colonnes et à baldaquin de Bar-sur-Aube<ref>
Modèle:Lien web.</ref> ;
- statue d'un saint évêque, datée du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, inscrite depuis le 14 mai 1975<ref>Modèle:Base Palissy.</ref> ;
- dalle funéraire de Jean de La Barre, datée du Modèle:2e du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, inscrite depuis le 27 décembre 1913<ref>Modèle:Base Palissy.</ref> ;
- dalle funéraire de Hugues Gradey, datée du Modèle:3e du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, inscrite depuis le 27 décembre 1913<ref>Modèle:Base Palissy.</ref>.
Héraldique
Voir aussi
Bibliographie
- Modèle:OuvrageModèle:Commentaire biblio
- Laurent Denajar, L'Aube, Modèle:Nobr de Carte archéologique de la Gaule, Les Éditions de la MSH, 2005, Modèle:ISBN, chapitre consacré à Arrentières, Modèle:Lire en ligne
Articles connexes
Liens externes
- Arrentières, sur le site de la Communauté de communes de la Région de Bar-sur-Aube
Notes et références
Notes
Cartes
Références
Insee
- Dossier relatif à la commune, Modèle:Lire en ligne
Autres sources
Modèle:Palette Communauté de communes de la Région de Bar-sur-Aube Modèle:Portail