Aubure

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Modèle:Infobox Commune de France

Aubure (en allemand Altweier) est une commune française de moyenne montagne située dans la circonscription administrative du Haut-Rhin et, depuis le Modèle:Date-, dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est. Elle fait partie du massif des Vosges.

Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace. Modèle:Sommaire

Géographie

Situation

Fichier:Aubure 039.JPG
Vue sur le centre du village en hiver.

Aubure, située à plus de Modèle:Unité d'altitude, est la plus haute commune du département du Haut-Rhin et se trouve entre les villages de Sainte-Marie-aux-Mines, Fréland et Ribeauvillé. La commune fait partie du canton de Sainte-Marie-aux-Mines et de l'arrondissement de Colmar-Ribeauvillé. Le village est situé sur un plateau en forme de cuvette dominant la plaine d'Alsace avec vers l'est le village de Ribeauvillé, vers le sud Fréland, Lapoutroie, Orbey, Kaysersberg… et vers le nord Sainte-Marie-aux-Mines. La commune compte actuellement Modèle:Population de France/dernière pop habitants.

C'est une des 188 communes du parc naturel régional des Ballons des Vosges<ref>Liste des 188 communes adhérentes au parc naturel régional des ballons des Vosges, Modèle:3e Charte 2012 - 2024</ref>.

Fréland Modèle:Unité, Sainte-Marie-aux-Mines Modèle:Unité, Sainte-Croix-aux-Mines Modèle:Unité, Lapoutroie Modèle:Unité, Kaysersberg Modèle:Unité, Riquewihr Modèle:Unité, Lièpvre Modèle:Unité, Orbey Modèle:Unité, Ribeauvillé Modèle:Unité, Ammerschwihr Modèle:Unité, Rombach-le-Franc Modèle:Unité.

Communes limitrophes

Modèle:Communes limitrophes

Lieux-dits et écarts

Modèle:Colonnes

Cours d'eau

  • Le Strengbach<ref>Le Strengbach s'appelait autrefois Weissenbach</ref> ;
  • le Muesbach.

Urbanisme

Typologie

Aubure est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Colmar, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (64,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (64,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (64,9 %), zones agricoles hétérogènes (27,2 %), zones urbanisées (7,9 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous la forme Altvillare avant le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle ; In Alburiis en 1265 (chronique de Richer de Senones) ; Altpur en 1300 (charte de l'abbaye de Pairis) ; Altpur en 1328 ; Alpurtal en 1441 ; Altweyer 1581 ; Altenwir 1710 ; Aubure en 1775.

En allemand : Altwihr<ref>Georges Stoffel, Dictionnaire topographique du département du Haut-Rhin, 1868</ref>, Altweyer<ref>Géographie Universelle traduite de l'Allemand de Mr. Büsching, tome 4, contenant la France (première partie), Strasbourg, Bauer & Cie, 1770</ref>, Altweier (1871-1918).

La commune se nomme Àltwihr en alsacien<ref>Villes et villages du Haut-Rhin sur Le Dictionnaire alsacien</ref>.

Histoire

Les débuts du village

Aubure appartient d'abord à la seigneurie de Riquewihr. Le village est mentionné en 1217. Le village passe ensuite aux comtes de Horbourg, puis il est racheté par les comtes de Wurtemberg en 1324. Un document de l'abbaye de Pairis de l'année 1328 signale qu'Altpur est chargé de lui payer des redevances. Le village est aussi mentionné en 1472 dans l'Urbaire de Riquewihr. Un mayer administre le village. Un autre urbaire de 1522 indique qu'il n'existe pas d'église à Aubure et que les habitants allaient à Saint-Nicolas de Sylo. Vers 1472, la commune comprend 14 fermes qui appartiennent en fief au seigneur de Riquewihr, qui s'est adjoint un bailli charger de recouvrer les impôts payés le plus souvent en nature.

La Réforme

La Réforme est introduite dès 1536 par Georges de Wurtemberg, et le premier temple protestant est construit en 1556. Il était situé à l'endroit où se trouve aujourd'hui la maison Berthel. En 1624, il n'y a plus qu'un seul catholique qui réside à Aubure.

La guerre de Trente Ans

En 1635, la communauté d'Aubure est décimée par la peste et subit une destruction presque totale. Détruit pendant la guerre de Trente Ans, l'immigration d'une population welsch, de langue romane et de religion catholique est vivement encouragée par le roi de France, Louis XIV. Les rares fermiers encore en vie engagent des valets et des domestiques originaires de Fréland, de Lapoutroie et d'Orbey qui parlent le welche. Mais avec les mariages mixtes entre alsaciens et welches, le bilinguisme s'installe peu à peu. En 1685, le gouvernement français fit fermer l'église aux protestants qui fut rendue en 1685 aux catholiques.

La seigneurie d'Aubure passe à Anne de Montbéliard

En 1686, le duc Georges de Montbéliard donna la seigneurie d'Aubure à sa fille Anne qui la posséda jusqu'à sa mort en 1723. Cette succession donna lieu à un procès entre la nièce de cette dernière et le duc de Wurtemberg; la sentence ne fut prononcée qu'en 1759, à l'avantage de la maison de Wurtemberg qui le conserva jusqu'en 1789.

Le consistoire de Riquewihr s'implante à Aubure

En 1827, le consistoire de Riquewihr décida de nommer un pasteur à Aubure qui est en même temps instituteur. C'est dans une maison datant de 1731 que furent aménagés l'école et le presbytère. En 1828, le temple protestant fut ajouté à ce bâtiment, l'ensemble recouvrant alors une seule et même toiture surmontée d'un campanile. À partir de 1891, les protestants disposeront de leur propre cimetière et un nouveau presbytère fut élevé en 1895.

La Seconde Guerre mondiale

La commune a été décorée, le 11 novembre 1948, de la croix de guerre 1939-1945<ref>Communes décorées de la Croix de guerre 1939 - 1945 </ref>. Modèle:...

Vie économique

Un village essentiellement agricole

Fichier:86 - AUBURE (Cure d'air, alt. 800 m.) - Bethel.jpg
Aubure. Carte postale ancienne.
Modèle:Petit.

Ce village de montagne vit essentiellement de l'agriculture et à partir du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle de l'agriculture et du tissage à domicile pour le compte des industriels de Sainte-Marie-aux-Mines. Son climat est propice à l'installation de sanatorium. Depuis la fin du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, le tourisme vert se développe avec succès. La situation d'Aubure a privilégié dès la fin du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle l'installation de résidences secondaires. Il existe actuellement à Aubure un grand centre de cure (le Muesberg) étant situé sur les terres qui sont communes avec Ribeauvillé, bien que situées tout près d'Aubure.

Le territoire de la commune comprend de vastes étendues de forêts communales qui représentent une importante source de revenus pour les habitants d'Aubure. Aubure se divise aujourd'hui en deux parties, celle du bas est habitée par des protestants au dialecte alsacien, celle du haut par des catholiques au patois vosgien français.

Aubure dispose de différents commerces locaux qui assurent le ravitaillement de la population et des vacanciers. Il existait un camping communal, mais c'est un gîte à présent, des chambres d'hôtes, des appartements meublés, un gîte d'étape ainsi que des restaurants et tables d'hôtes. Deux gîtes équestres complètent la panoplie des différents accueils.

Sanatorium

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Maison de repos de Salem à Aubure.
Fichier:Aubure-Affiche.jpg
« Aubure, les charmes du repos et de la guérison ».

À l'ouest d'Aubure s'élève le Sanatorium Salem appartenant à la Sécurité sociale de Strasbourg qui sert surtout de maison de convalescence et de rééducation fonctionnelle. Dans le bas du village est situé un autre établissement de rééducation, au lieu-dit du Muesberg (banc de Ribeauvillé). Ces deux établissements font vivre une grande partie de la population. L'établissement de cure du Salem est en réalité situé sur le banc communal de Fréland, au lieu-dit « Pierreusegoutte », à une altitude de Modèle:Unité, à Modèle:Unité du village d'Aubure.

Le site a été sélectionné en 1889 pour son air pur et vivifiant, et sa protection des vents. Au début de son existence, l'établissement porte le nom de Sanatorium d'Urbach-Fréland, près d'Aubure. Le chemin d'accès se fait par le col de Fréland (Modèle:Unité d'altitude), à la sortie d'Aubure. Les travaux ont débuté en août 1889 sous la direction de deux architectes strasbourgeois, Brion et Beminger. Les bâtiments sont financés en partie par un prêt hypothécaire accordé par l'« Actiengesellschaft für Boden und Communal Kredit » (Crédit foncier d'Alsace et de Lorraine). Des investisseurs privés soutiennent financièrement le projet.

Le 18 février 1893, les bâtiments sont acquis par les diaconesses de Strasbourg de confession protestante, qui leur sert de lieu de vacances et de cure jusqu'en août 1914. En 1903, le Sanatorium est rebaptisé Sanatorium Salem. En 1920, le sanatorium est racheté par la Caisse d'Assurance des Employés, une des caisses d'assurances sociales de l'époque. Depuis, le sanatorium change plusieurs fois de propriétaires et subit des transformations modifiant sensiblement son aspect extérieur et intérieur. La maison de repos et de rééducation de Salem a fermé ses portes en 2011. Le bâtiment sera vendu.

Lieu de détente

Aubure est entourée de forêts de sapins et de pins et possède de vastes prairies qui se prêtent à toutes sortes de balades à pied, à VTT ou à cheval. Des sentiers balisés par le Club vosgien permettent aux randonneurs de se rendre d'un lieu à un autre sans se perdre. Ils peuvent notamment encore découvrir des fermes de montagne perpétuant la tradition pastorale. En hiver, sa situation exceptionnelle de moyenne montagne bien ensoleillée en fait un lieu privilégié apprécié par ceux qui pratiquent le ski de fond ou la raquette hors des sentiers battus.

Population

Sur les 413 habitants installés à Aubure, environ un sur quatre a moins de 20 ans. Le troisième âge est peu représenté, à peine 15 % ont plus de 60 ans. Six habitants sont des étrangers. Les deux centres médicaux rééducatifs situés à proximité du village emploient environ 60 % de la population active. Le chômage est peu élevé, à peine 4 %, à comparer aux 8,7 % de la moyenne départementale.

Héraldique

Modèle:Article connexe

Modèle:Blason-ville-fr

Trois coupeaux verts représentent les trois vallées de Sainte-Marie-aux-Mines, de Lapoutroie, et de Ribeauvillé, au centre desquelles se trouve Aubure. Le coq de bruyère est un animal qui était autrefois fréquent dans la région, mais qui aujourd'hui est en voie d'extinction.

Politique et administration

Budget et fiscalité 2014

En 2014, le budget de la commune était constitué ainsi<ref>Les comptes de la commune</ref> :

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 17,87 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 12,06 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 52,25 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 50,60 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 20,12 %.

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin

Jumelages

Aubure est jumelée avec :

</ref>

Démographie

Modèle:Population de France/section

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Chevaux
Chevaux et chemin du bien être.
Fichier:Aubure-20130818-00150.jpg
Arc en ciel à Aubure.
Fichier:Aubure-20160709-01118.jpg
Forêt et digitales.

Patrimoine religieux

Église Saint Jacques-le-Majeur
Fichier:Aubure 017.JPG
Église catholique Saint Jacques-le-Majeur d'Aubure.

Modèle:Article détaillé L'église catholique Saint-Jean-le-Majeur abrite un remarquable autel du deuxième quart du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle qui proviendrait, selon la tradition, de l'abbaye de Pairis, située dans la commune d'Orbey. Présentant un décor sculpté d'une grande qualité, il est fort probable qu'il n'ait pas été commandé pour cette modeste église. La décoration sculptée en relief sur le devant d'autel s'inspire d'une œuvre gravée par Hans Collaert, actif à Anvers au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, qui se serait lui-même inspiré de Michel-Ange. Dès 1686, un texte introduit officiellement le Simultaneum, c'est-à-dire le partage obligatoire de l'église entre les confessions catholiques et protestantes. La première église catholique est construite vers 1720. Le chœur et la sacristie sud datent du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, la nef, la sacristie nord et une partie du clocher de 1813, tandis que l'autre partie date de 1859. Le bâtiment actuel est du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. La paroisse dépend du doyenné de Sainte-Marie-aux-Mines tout au long du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, puis de celui de Lapoutroie à partir de 1986<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>,<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.

Temple protestant (1828)
Fichier:Aubure 026.JPG
Le temple protestant d'Aubure.
Fichier:Aubure 027.JPG
L'intérieur du temple protestant d'Aubure.
Fichier:Aubure 011.JPG
Statue de la Vierge sur la colline d'Aubure.

En 1686, Louis XIV fit fermer le temple aux protestants, mais la religion ne disparut pas pour autant. Après cent quarante et une années d'inexistence forcée, la paroisse protestante d'Aubure se reconstitue officiellement en 1827. Calvinistes et protestants se réunissent en une seule communauté. La construction d'un temple est immédiatement entreprise. Il est consacré le 5 novembre 1828. Par son volume, cet édifice est proche d'une ferme de type vosgienne à laquelle on aurait ajouté un clocher. Il est d'ailleurs accolé à une maison datée de 1731<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>,<ref>Temple protestant</ref>.

Statue de la Vierge dominant le village

La statue de la Vierge se trouve sur une hauteur dominant le village d'Aubure. Elle a été construite sur un terrain appartenant à Jean Baptiste Parmentier qui a offert les terrains à la paroisse catholique. La statue a été érigée à l'occasion du Modèle:250e de la fondation de l'église. L'inauguration a eu lieu en 1938 en présence de toute la population d'Aubure et du maire Saturnin Raffner et du curé de la paroisse, André Kloetzler<ref>La statue de la Vierge</ref>.

Lors des travaux de rénovation de la statue en 1999, on a découvert par hasard un document à l'intérieur d'une bouteille qui se trouvait emmuré dans le socle de la statue. Sur ce document on trouve la signature des paroissiens qui ont contribué par leurs dons à l'édification de ce monument ainsi que les noms du maire, du curé et des membres du conseil municipal. Ce document est actuellement exposé à l'intérieur de l'église catholique du village.

Bilstein d'Aubure

Il s'agit d'un château en ruine, à Modèle:Unité d'altitude situé sur un rocher appelé Schlossberg, entre le col Haut de Ribeauvillé et la vallée de Sainte-Marie-aux-Mines près de la route Modèle:Nobr. Il a été construit au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle et fut la propriété de la Maison de Lorraine. Il passe ensuite au commencement du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle aux comtes de Horbourg et par héritage en 1324 aux comtes de Wurtemberg<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>. Assiégé sans succès en 1547, il fut pris en 1636 par les Impériaux commandés par le comte Schlick et détruit. Pour distinguer ce château de celui d'Urbeis (Bas-Rhin) qui porte le même nom, on lui a accolé le nom de château de Bilstein d'Aubure qui fut entièrement détruit en 1636, bien qu'il ne fasse pas partie du ban d'Aubure, mais de celui de Riquewihr<ref>Le Bilstein Alsacien</ref>,<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Les restes actuels du donjon carré et des tronçons du mur d'enceinte : la tour est accessible, cependant il faut prendre quelques précautions<ref>Château de Bilstein d’Aubure</ref>,<ref>Photos du Château de Bilstein-Aubure</ref>,<ref>Au pays des châteaux-forts, p.18</ref>,<ref>Château de Bilstein (près de Ribeauvillé)</ref>.

Patrimoine civil

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Personnalités liées à la commune

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Pour approfondir

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Autres projets

Notes et références

Notes

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Cartes

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Références

Modèle:Références

Modèle:Palette CC Pays de Ribeauvillé Modèle:Portail