Bellot (Seine-et-Marne)

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France

Bellot est une commune française du département de Seine-et-Marne en région Île-de-France. Modèle:Sommaire

Géographie

Localisation

La commune de Bellot est située dans la vallée du Petit Morin.

Fichier:77030-Bellot - Localisation.png
Localisation de la commune de Bellot dans le département de Seine-et-Marne.

Elle fait partie du canton de Coulommiers situé dans l'arrondissement de Provins et est située à environ Modèle:Unité au nord-est de Coulommiers<ref group=Carte>Modèle:Géoportail.</ref>.

Communes limitrophes

Fichier:Map commune FR insee code 77030.png
Carte des communes limitrophes de Bellot.

Modèle:Section communes limitrophes d'article de commune de France

Géologie et relief

L'altitude de la commune varie de Modèle:Unité à Modèle:Unité pour le point le plus haut, le centre du bourg se situant à environ Modèle:Unité d'altitude (mairie)<ref>Modèle:Géoportail Carte IGN classique.</ref>. Elle est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Hydrographie

Réseau hydrographique

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Carte des réseaux hydrographique et routier de Bellot.

Le réseau hydrographique de la commune se compose de trois cours d'eau référencés :

La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de Modèle:Unité<ref name="siges">Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 23 octobre 2018</ref>.

Gestion des cours d'eau

Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du Modèle:Date-, plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie<ref name="GestRiv">Modèle:Lien web.</ref>.

La commune fait partie du SAGE « Petit et Grand Morin », approuvé le Modèle:Date-. Le territoire de ce SAGE comprend les bassins du Petit Morin (Modèle:Unité) et du Grand Morin (Modèle:Unité)<ref name="SAGE-petit-et-grand-morin">Modèle:Lien web.</ref>. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le syndicat Mixte d'Aménagement et de Gestion des Eaux (SMAGE) des 2 Morin, qualifié de « structure porteuse »<ref>site officiel du Syndicat Mixte d'Aménagement et de Gestion des Eaux (SMAGE) des 2 Morin</ref>.

Climat

Modèle:Encadré La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne<ref name=Joly>Modèle:Article.</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre<ref name=Joly/>. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>, où la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Unité pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref> à Modèle:Unité pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Milieux naturels et biodiversité

Réseau Natura 2000

Fichier:77030-Bellot-Natura 2000.png
Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles<ref name="MEDDE-Natura1">Modèle:Lien web.</ref>.

Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats »<ref name=Natura>Modèle:Lien web.</ref> :

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal de Bellot comprend deux ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.</ref>,<ref name=INPN1>Modèle:Lien web.</ref>, « Le Petit Morin » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité du département<ref>Modèle:Lien web.</ref> ; et le « Le Ru de Bellot » (Modèle:Unité)<ref>Modèle:Lien web.</ref> et un ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.</ref>,<ref name=INPN1/>, la « vallée du Petit Morin de Verdelot à la Ferte Sous-Jouarre » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité du département<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Urbanisme

Typologie

Bellot est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire regroupe Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Logement

En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de Modèle:Nombre dont 92,9 % de maisons et 6,9 % d’appartements.

Parmi ces logements, 79,4 % étaient des résidences principales, 11 % des résidences secondaires et 9,6 % des logements vacants. La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 86,5 % contre 10,8 % de locataires et 2,7 % logés gratuitement<ref name="insee">Statistiques officielles de l'Insee.</ref>,<ref group="Note">En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.</ref>.

Lieux-dits et écarts

La commune compte Modèle:Nobr lieux-dits administratifs<ref group="Note">Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...</ref> répertoriés consultables ici<ref>Modèle:Lien web.</ref> (source : le fichier Fantoir) dont Launoy Brûlé, le Grand Doucy, les Crochots, Champmartin.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (78,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (61,2% ), forêts (19,5% ), prairies (9,5% ), zones agricoles hétérogènes (8,2% ), zones urbanisées (1,6 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web.</ref>.

Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Planification

La commune, en 2019, avait engagé l'élaboration d'un plan local d'urbanisme<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Toponymie

Le nom de la localité est mentionné sous les formes Belo en 1112 (Du Plessis, II, Modèle:P..)<ref name="Stein (Henri)">Stein (Henri), Hubert (Jean), Dictionnaire topographique du département de Seine-et-Marne, Paris, 1954, p. 28 [1].</ref> ; Ecclesia de Beloy en 1145 (Cartulaire de Molesme, II, Modèle:P..)<ref name="Stein (Henri)"/> ; Bello en 1325 (Auguste Longnon, II, 260.)<ref name="Stein (Henri)"/> ; Bellot en Brie en 1549 (Archives nationales, Y 95, fol. 60.)<ref name="Stein (Henri)"/>. Au cours de la Révolution française, la commune porte le nom de Bellot-la-Montagne<ref name="Cassini" />.

Il s'agit d'une formation toponymique gallo-romane ou médiévale, dont l'élément Bel- représente peut-être une variante du bas latin betullus<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>, qui a abouti à l'ancien français boul « bouleau ». Ce terme est issu du latin vulgaire betullus (latin classique betulla) d'origine gauloise. La forme de 1145 semble indiquer que la terminaison -ot représente en fait le suffixe -ETU désignant, entre autres, un ensemble d'arbres appartenant à la même espèce (cf. -ETA > -aie : chênaie, hêtraie, etc.). D'où le sens global de « lieux plantés de bouleaux »<ref>Marianne Mulon, Noms de lieux d’Île-de-France, Bonneton, Paris, 1997 Modèle:ISBN.</ref>.

Remarque : il n'est cependant pas certain que Bel- représente effectivement cet élément, il peut s'agir également d'un ancien Berl- désignant précisément la berle, d'où Berlei, Berloi comme Bellay (Maine-et-Loire, Berlai Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle)

Histoire

L’histoire écrite de Bellot commence au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, sous le règne de Louis VI le Gros. En 1112, l’évêque de Meaux, [[Liste des évêques de Meaux|Manassès Modèle:1er]], donne aux religieux de Molesmes le produit de la dime de Bellot mais laisse sa part au curé du lieu.

En 1172, les actes de Champagne mentionnent un certain Roger de Bellou, qui semble être le seigneur du lieu. Bellot dépend alors de la seigneurie de La Ferté-Gaucher, qui fait partie du Comté de Campagne et de Brie.

En 1509, la comtesse de Vendôme, dame de la Ferté-Aucol (qui deviendra plus tard la Ferté-sous-Jouarre), Chamigny et Bellot, assiste par procuration à la coutume de Meaux.

En 1620, le seigneur de Bellot est Louis de Clèdre, cavalier et conseiller du roi. En 1698, sans doute via son épouse Louise le Maistre, le fief de Bellot passe sous l’autorité de Gilles Le Maistre. En 1732, Gilles Le Maistre vend sa seigneurie de Bellot à René de Maupéou (seigneur de Sablonnières). Sa famille conservera Bellot jusqu’à la révolution. À noter que la terre de Culoison (l’un des hameaux actuels de Bellot) constitue un fief indépendant, propriété de deux seigneurs en 1676 (Pierre du Gourdel et Charles du Buisson). Par son union avec Catherine du Gourdel, Jean-Baptiste du Buisson devient seul seigneur de Culoison en 1705. La seigneurie passe en 1724 à Messire de l’Épine, écuyer gendarme de la garde du Roi.

Jusqu’à la révolution, l’influence et l’utilité de l’Église sont considérables. En vertu de l’Ordonnance de Villers-Cotterêts (1539), elle tient les registres d’état civil en français, dispense l’éducation et perçoit tout ou partie de la dîme. (voir l’Église et la vie paroissiale).

La révolution abolit les privilèges et les droits féodaux. La dénomination du département de « Seine-et-Marne » est préférée à celle de « Brie-Et-Gâtinais » (trop proche du passé féodal). Modèle:Référence nécessaire.

Politique et administration

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu

Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Équipements et services

Eau et assainissement

L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au Modèle:Date-, mais la loi Ferrand-Fesneau du Modèle:Date- a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au Modèle:Date-<ref name="EauAss">Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Assainissement des eaux usées

En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Bellot est assurée par la communauté de communes des Deux Morin pour la collecte, le transport et la dépollution<ref name=EaufranceCom>Modèle:Lien web.</ref>,<ref name=EaufranceCol>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel<ref name="ANC-Info">Modèle:Lien web.</ref>. Le Syndicat mixte d'assainissement du Nord-Est (SIANE) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations<ref name=EaufranceCom/>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Eau potable

En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le syndicat de l'Eau de l'Est seine-et-marnais (S2E77) qui gère le service en régie<ref name=EaufranceCom/>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Population et société

Démographie

Modèle:Population de France/introduction

Modèle:Population de France/tableau

Modèle:Population de France/graphique

Sports

  • Piscine découverte.

Économie

Revenus de la population et fiscalité

En 2018, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de Modèle:Nombre, représentant Modèle:Nombre et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 22 090 euros<ref>Statistiques officielles de l'Insee, section «Revenus et pauvreté des ménages en 2018», consultée le 12 août 2021.</ref>.

Emploi

En 2018 , le nombre total d’emplois dans la zone était de Modèle:Nombre, occupant Modèle:Nombre résidants. Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 71 % contre un taux de chômage de 7,4 %. Les 21,7 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 8,2 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 7,2 % de retraités ou préretraités et 6,3 % pour les autres inactifs<ref>Statistiques officielles de l'Insee, section «Population active, emploi et chômage au sens du recensement en 2018», consultée le 12 août 2021.</ref>.

Secteurs d'activité

Entreprises et commerces

En 2019, le nombre d’unités légales et d’établissements (activités marchandes hors agriculture) par secteur d'activité était de Modèle:Nobr dont Modèle:Nobr dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, Modèle:Nobr dans la construction, Modèle:Nobr dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, Modèle:Nobr dans l’Information et communication, Modèle:Nobr dans les activités financières et d'assurance, Modèle:Nobr dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, Modèle:Nobr dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et Modèle:Nobr étaient relatifs aux autres activités de services<ref>Statistiques officielles de l'Insee, section «Démographie des entreprises en 2019», consultée le 12 août 2021.</ref>.

En 2020, Modèle:Nobr ont été créées sur le territoire de la commune, dont Modèle:Nobr individuelles.

Au Modèle:Date-, la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping<ref>Statistiques officielles de l'Insee, section «Tourisme en 2021», consultée le 12 août 2021.</ref>.

Agriculture

Bellot est dans la petite région agricole dénommée la « Brie laitière » (anciennement Brie des étangs), une partie de la Brie à l'est de Coulommiers<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web.</ref>. En 2010, l'orientation technico-économiqueModèle:Note de l'agriculture sur la commune est la polyculture et le polyélevage<ref name="AgriGéné"/>.

Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de Modèle:Unité par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 20 en 1988 à 7 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de Modèle:Unité en 1988 à Modèle:Unité en 2010<ref name="AgriGéné"/>. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Bellot, observées sur une période de Modèle:Unité :

Évolution de l’agriculture à Bellot entre 1988 et 2010.
1988 2000 2010
Dimension économique<ref name="AgriGéné">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.</ref>
Nombre d’exploitations (u) 20 8 7
Travail (UTA) 28 13 10
Surface agricole utilisée (ha) 926 647 556
Cultures<ref name="Expl">Modèle:Lien web.</ref>
Terres labourables (ha) 800 546 429
Céréales (ha) 526 368 s
dont blé tendre (ha) 318 227 163
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 67 45 40
Tournesol (ha) s
Colza et navette (ha) 20 s s
Élevage<ref name="AgriGéné"/>
Cheptel (UGBTA<ref group=Note>L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).</ref>) 490 287 314

Culture locale et patrimoine

Fichier:Bellot - Église Saint-Loup 1.jpg
L'église Saint-Loup-de-Troyes.

Lieux et monuments

  • Manoir dit château de Bellot Modèle:S mini-, Modèle:S mini- et Modèle:S mini-. À noter que le château dit de Bellot se trouve au Fourcheret, donc sur le territoire de la commune de Villeneuve-sur-Bellot. Cette particularité vient du fait que ce château a été construit par le seigneur de Bellot sur le fief de Nacelles qui lui appartenait et qui se trouvait en totalité sur la rive droite du Petit Morin, comprenant la majeure partie du hameau du Fourcheret dépendant de la paroisse de Villeneuve-sur-Bellot. Comme il existait alors un château (aujourd’hui disparu) à Villeneuve-sur-Bellot et qu’il n’y en avait pas à Bellot, cette nouvelle construction a pris le nom de "Château de Bellot", qu’elle possède encore. Source : Terrier de Bellot de 1758 (archives notariales de Villeneuve-sur-Bellot et archives de Seine-et-Marne).
  • Église Saint-Loup-de-Troyes, inscrite au titre des Monuments historiques depuis le Modèle:Date-<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.

Personnalités liées à la commune

  • Robert Lapoujade (1921-1993), peintre, écrivain et réalisateur, a vécu à Saincy (hameau de Bellot) où il est mort.
  • Jacques Ambroise Potel (1765-1859), un grand serviteur de Bellot :
    Né à Bellot le 10 novembre 1765, Jacques-Ambroise Potel est le fils de Louise Gautier et de Jacques Potel, cultivateur. Suivant l’exemple de son père, il est maire de Bellot pendant 44 ans. Conscient de l’importance des voies de communication pour le développement de la commune, Bellot lui doit d’être un carrefour entre les routes de la vallée du petit Morin et du plateau. Il obtient notamment :
La commune ne disposant que de très peu de ressources propres, les emprunts consentis pour développer le réseau routier retarderont la construction de l’école du Bourg qui ne commencera qu’en 1865. Jacques-Ambroise Potel n'en verra pas la concrétisation et s’éteindra le 13 juillet 1859 à l’âge de 84 ans.Modèle:Référence nécessaire

Héraldique

Modèle:Blason commune

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Liens

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes

Modèle:Références

  • Cartes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références nombreuses

Modèle:Palette Modèle:Portail