Coulommiers (Seine-et-Marne)
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France
Coulommiers (prononcé Modèle:MSAPI) <templatestyles src="Prononciation/styles.css" />{{#invoke:Prononciation|prononciation}}est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.
Au recensement de Modèle:Population de France/dernière année, la commune comptait Modèle:Nombre. Modèle:Sommaire
Géographie
Localisation
Localisé au cœur de la Brie et sur les bords du Grand Morin, Coulommiers est située à Modèle:Unité à l'est de Paris, à Modèle:Unité de l'autoroute A4 et de la ville nouvelle de Marne-la-Vallée (Disneyland Paris, Val d'Europe) et à Modèle:Unité de l'autoroute A5.
Communes limitrophes
Modèle:Section communes limitrophes d'article de commune de France
Hydrographie
Le système hydrographique de la commune se compose de huit cours d'eau référencés :
- la rivière le Grand Morin, longue de Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre.</ref>, affluent en rive gauche de la Marne, ainsi que :
- un bras<ref name="nature">Nature en attente de mise à jour.</ref> de Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre.</ref> ;
- un bras<ref name="nature"/> de Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre.</ref> ;
- un bras<ref name="nature"/> de Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre.</ref> ;
- la Fausse Rivière, canal de Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre.</ref>, affluent du Grand Morin ;
- le ru d'Orgeval ou rivière des Avenelles, long de Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre.</ref>, affluent du Grand Morin ;
- le ru du Rognon, long de Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre.</ref>, affluent de l'Orgeval, ainsi que :
- un bras<ref name="nature"/> de Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre.</ref>.
- le ru du Rognon, long de Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre.</ref>, affluent de l'Orgeval, ainsi que :
La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de Modèle:Unité<ref name="siges">Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 14 décembre 2018.</ref>.
Milieux naturels et biodiversité
Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Urbanisme
Typologie
Coulommiers est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Coulommiers, une agglomération intra-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est ville-centre<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire regroupe Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Lieux-dits et écarts
La commune compte Modèle:Nobr lieux-dits administratifs<ref group="Note">Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...</ref> répertoriés consultables ici<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Des anciens hameaux notables font désormais partie de Coulommiers, tels que Pontmoulin, devenu la rue de Pontmoulin ; le Theil, quartier proche de la ville haute et qui est souvent confondu à tort avec celle-ci ; Triangle et Vaux.
Le hameau de Belle Croix, qui est situé à l'entrée de la ville de Coulommiers, appartient à la commune de Mouroux.
Logement
En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de Modèle:Nombre dont 35,2 % de maisons et 63,3 % d’appartements.
Parmi ces logements, 88,2 % étaient des résidences principales, 1,7 % des résidences secondaires et 10,1 % des logements vacants.
La part des ménages propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 39,1 % contre 58,9 % de locataires<ref name="insee">Statistiques officielles de l'Insee.</ref>, dont 30,5 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)<ref group="Note">Voir la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).</ref> et 2 % logés gratuitement.
Occupation des sols simplifiée
Le territoire de la commune se compose en 2017 de 45,35 % d'espaces agricoles, forestiers et naturels, 18,32 % d'espaces ouverts artificialisés et 36,32 % d'espaces construits artificialisés<ref name="iau-idf">Modèle:PdfFiche communale d'occupation des sols en 2017 (comparaison avec 2012) sur le site cartoviz.iau-idf.fr</ref>.
Voies de communication et transports
Réseau routier
La ville est traversée par la route départementale 934 (ancienne route nationale 34) de Paris à Esternay ; elle est desservie par les lignes urbaines A et B (ex-Coul'Bus) et interurbaines 01 et 17 du réseau de bus Brie et 2 Morin.
Réseau ferré
Coulommiers dispose d'une gare SNCF. Celle-ci est le terminus actuel de la ligne du Transilien P (Paris → Coulommiers-Meaux-Provins). Avant, cette ligne allait jusqu’à La Ferté-Gaucher, mais faute de fréquentation, le reste du trajet se fait par bus. Historiquement le premier accès au train dans la commune date du Modèle:Date-<ref name="briard">Modèle:Article.</ref>. À partir du second trimestre 2013, de nouvelles rames reliant Paris à Coulommiers ont été inaugurées sur le réseau<ref>Modèle:Article.</ref>.
Toponymie
La ville devrait son nom au latin Modèle:Langue (Modèle:Citation)<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Les Romains lui auraient donné le nom de Modèle:Langue, signifiant Modèle:Citation. Le nom de la ville a donné celui du coulommiers, fromage de Brie qu'elle produit traditionnellement.
Histoire
D'origine gallo-romaine<ref name="atome77">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="histoff" />, Coulommiers fut réunie près de dix fois au domaine royal. Son histoire est aussi étonnante que mouvementée. Ses antiques remparts et son château furent reconstruits par Clovis ; en 1612, Catherine de Gonzague y fit édifier un palais. Ernest Dessaint, Maire de Coulommiers<ref>Modèle:Lien web.</ref> (1923) expliquait en ces mots : Modèle:Citation<ref name="seineetmarne">Modèle:Lien web.</ref>. Les uns, tels le docteur Pascal, dans son ouvrage intitulé Histoire de Seine-et-Marne, Achille Viré et Anatole Dauvergne, dans leurs études sur la ville, lui refusent une origine antérieure à la conquête de la Gaule par Jules César. Les autres, au contraire, Michelin, Histoire du département de Seine-et-Marne, et Martial Cordier, Histoire manuscrite de Coulommiers, prétendent qu'elle existait lors du passage de César et de ses légions en Brie, et Cordier affirme même que son nom lui fut donné par les troupes du conquérant qui, de passage ici, dénommèrent Castrum Columbarium (château colombier), une tour garnie de nids de pigeons, d'où par la suite, Colombarius, Collomiers et Coulommiers<ref name="histoff" />,<ref name="seineetmarne" />.
Martial Cordier qui, en sa qualité d'archiviste feudiste du comte de Montesquiou-Fezenzac, dernier seigneur de la ville, eut en sa possession des documents qui furent détruits ou dispersés lors de la Révolution, admet l'hypothèse d'une enceinte construite sous l'empereur Antonin. Il étaye son opinion, sur une inscription gravée sur un grès de démolition de la porte qui clôturait la partie sud à l'époque, ou simple bourgade enclose dans l'île formée par le Grand Morin et le brasset des Religieuses, Coulommiers n'était encore qu'aux premiers temps de son enfance. C. M. V. I. dont voici la traduction : Antonius Imperator Romanorum edificavit 906, édifiée par Antonin, empereur des Romains en 906, date qui part de la fondation de Rome et correspond ainsi à l'an 155 de l'ère chrétienne<ref name="seineetmarne" />.
La seconde clôture, qui serait due à Clovis, est tout aussi problématique. D'ailleurs, jusqu'à sa possession par les comtes de Champagne et de Brie en 920, une obscurité complète s'étend sur le passé de la cité<ref name="histoire">Modèle:Lien web.</ref>. À dater de cette époque, au contraire, l'histoire enregistre les modifications successives qu'elle a subies et qui par apports successifs, l'ont faite, à travers les siècles, devenir la coquette sous-préfecture seine-et-marnaise qu'elle resta jusqu'en 1926. Thibault ler, en 1080, la dota d'un prieuré qui eut son heure de célébrité puisque des Juvénal des Ursins en furent les prieurs, et qui eut surtout pour heureux résultat d'étendre vers l'est la ville naissante. Ce prieuré occupait toute la partie dite du Montcel, emplacement où se trouvent aujourd'hui le palais de justice, la gendarmerie, l'ex-sous-préfecture et la place Beaurepaire. Un siècle plus tard, en 1172, Thibault II étendait à son tour les limites de son domaine dans la partie sud en faisant creuser un canal qui fut appelé le brasset des Tanneurs, du nom des ouvriers qui installèrent leur industrie sur ses rives. Cette industrie devait prendre ici une extension considérable et constituer pendant près de sept siècles la seule richesse commerciale du pays. Il y est dit notamment : Modèle:Citation<ref name="seineetmarne" />.
Les bienfaits d'une tranquillité relative et l'indéniable prospérité dont elle profita durant sa possession par les comtes de Champagne et de Brie furent malheureusement annihilés par la guerre de Cent Ans, au cours de laquelle elle fut prise et reprise par les Anglais<ref name="seineetmarne" />,<ref name="histoire" />.
La succession féodale de Coulommiers devient erratique aux XIVe et XVe siècles, mais les seigneurs de Coulommiers, s'ils ne sont pas le roi lui-même lors des nombreuses réunions à la Couronne, descendent très souvent du mariage de Jeanne de Champagne-Navarre avec Philippe IV le Bel : notamment les Navarre-Evreux et leurs descendants les Armagnac-Nemours (en tant que ducs de Nemours, duché auquel Coulommiers est alors rattaché) ; les Foix-Lautrec ; les Nevers<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>,<ref>Charles III le Noble, roi de Navarre, comte d'Evreux et duc de Nemours, a pour fille aînée la reine Blanche Ire{{#if:| }} de Navarre (d'où les Navarre-comtes de Foix), et pour filles cadettes : Béatrice de Navarre — grand-mère de Jacques d'Armagnac-Nemours — et Isabelle de Navarre, grand-mère de René d'Alençon, dont la fille Françoise d'Alençon, duchesse de Vendôme, est la grand-mère d'Henri IV mais aussi de Charles de Bourbon-Soissons et d'Henriette de Clèves-Nevers. Cette dernière est la mère de notre dame de Coulommiers, Catherine duchesse d'Orléans-Longueville. Quant à Odet de Foix-Lautrec, il est le gendre de Jean d'Albret et de Charlotte de Bourgogne comtesse de Rethel, cette dernière étant issue — comme tous les Bourgogne de la Maison de Valois,par la duchesse de Bourgogne Marguerite — du roi Philippe V, fils de Philippe le Bel et de Jeanne de Champagne-Navarre.</ref>. À la mort de son mari, tué d'un coup d'arquebuse en entrant dans Doullens, le Modèle:Date-, la duchesse de Longueville (Catherine, dame de Coulommiers, issue des Nevers-Clèves-Gonzague) entreprit la construction du château dont nous voyons encore les ruines et dont il subsiste les deux pavillons de gardes précédant le pont-levis. En 1654-63, son fils le duc Henri II de Longueville est duc de Coulommiers. Après la dernière des Orléans-Longueville, Marie de Nemours (petite-fille de Catherine de Nevers et fille du duc Henri II), la succession passe, par son cousin Louis-Henri de Bourbon-Soissons (non issu de Catherine de Nevers, mais descendant des Navarre-Evreux), aux d'Albert de Luynes. En 1777, Marie-Charles-Louis duc de Luynes vendit Coulommiers aux Montesquiou-Fezensac, déjà maîtres de Mauperthuis depuis le début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle (Pierre de Montesquiou, père d'Anne-Pierre), et de Touquin en 1773.
Durant la campagne de France en 1814, la ville fut occupée par les troupes russes.
Lors de la guerre franco-allemande de 1870, la ville est occupée par les Allemands.
Le 4 septembre 1914, durant la Première Guerre mondiale, l'armée britannique, alors en retraite, abandonne la ville, qui est occupée le lendemain par les troupes allemandes qui la pillent et en repartent le 7 septembre, chassées par ces mêmes Anglais.
Le Modèle:Date-, l'arrondissement de Coulommiers est supprimé à la suite du décret Poincaré. Coulommiers devint chef-lieu d'arrondissement sans avoir été préalablement chef-lieu de district<ref name="seineetmarne" />.
La ville est occupée par les Allemands en 1940 mais la résistance seine-et-marnaise s’organise en réseaux, comme notamment le réseau « Hector » de l’hôpital de Coulommiers, auquel participe le médecin Joseph Brau ou encore celui de Pierre Georges dit le colonel Fabien<ref>Modèle:Lien web</ref>. Coulommiers est libérée le 27 août 1944 par l'armée américaine du général Patton ; une place de la ville où se situe un monument aux morts des deux Guerres mondiales est d'ailleurs nommée place du 27-Août en souvenir de cet événement.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune, qui était chef-lieu de l'arrondissement de Coulommiers de 1801 à 1926, fait partie depuis lors de l'arrondissement de Meaux du département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France<ref name="Cassini"/>. Pour l'élection des députés, elle dépend depuis 1986 de la cinquième circonscription de Seine-et-Marne.
Elle était depuis 1793 le chef-lieu du canton de Coulommiers<ref name="Cassini"/>. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune en devient le bureau centralisateur.
Intercommunalité
Coulommiers était le siège de la communauté de communes de la Brie des Templiers créée en 1999.
Conformément aux prévisions du schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) de 2012, cette intercommunalité fusionne avec la communauté de communes Avenir et développement du secteur des Trois Rivières pour former le Modèle:Date- une première communauté de communes du Pays de Coulommiers.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de Modèle:Unité (et Modèle:Unité en zone de montagnes), cette intercommunalité fusionne avec la communauté de communes de la Brie des moulins pour former le Modèle:Date- une nouvelle communauté de communes du Pays de Coulommiers. Cette dernière fusionne à son tour le Modèle:Date- avec la communauté de communes du Pays fertois, pour former la communauté d'agglomération Coulommiers Pays de Brie. La ville reste le siège de ces intercommunalités.
Tendances politiques et résultats
Politique locale
En 1992, la démission du maire Robert Elvert fut suivie de celle d'une vingtaine de colistiers. Cela entraîna des élections municipales anticipées qui furent remportées par la liste conduite par Guy Drut le Modèle:Date-Modèle:Refnec.
L'élection de Franck Riester comme député en juin 2017 entraine sa démission de sa fonction de maire en juillet 2017. Ginette Motot, jusqu’alors première adjointe, est élue maire de Coulommiers le Modèle:Date-<ref name="LP11072017"/>.
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluFin
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu
Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Jumelages
En 2011, le Modèle:40e du jumelage entre Titisee-Neustadt et Coulommiers a été organisé par les clubs de tennis des deux communes. Des échanges culturels, sportifs et linguistiques ont lieu avec ses trois jumeaux. Les délégations se retrouvent annuellement à l’occasion de manifestations telles que la Foire internationale aux fromages et aux vins de Coulommiers, le carnaval de Titisee-Neustadt, ou encore la fête de la Saint-Fiacre.
Population et société
Démographie
Évolution démographique
Modèle:Population de France/section
Le Schéma de cohérence territoriale (SCOT) prévoit que, d'ici 2034, la population columérienne passe à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 36,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,6 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 26,7 % la même année, alors qu'il est de 19,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait Modèle:Unité pour Modèle:Unité, soit un taux de 54,18 % de femmes, largement supérieur au taux départemental (51,31 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Modèle:Pyramide des âges communes de France
Santé
Coulommiers possède deux sites hospitaliers intégrés au Grand Hôpital de l'Est Francilien: le centre hospitalier René-Arbeltier et le site Abel-Leblanc<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Enseignement
La commune de Coulommiers dépend de l'académie de Créteil et dispose de divers centres d'éducation : Les centres d'éducation publics incluent les collèges Hippolyte-Rémy et Madame-De-La-Fayette et le Campus de Coulommiers regroupant les lycées Georges-Cormier (enseignement professionnel) et Jules-Ferry (enseignement général). Les autres centres d'éducation incluent l'ensemble d'écoles et collège Sainte-Foy (institution catholique privée), l'antenne STAPS de l'université Paris-Est Marne-la-Vallée et l'IFSI de Coulommiers.
Sports
Coulommiers dispose d'un parc des sports comprenant des gymnases, une piste d'athlétisme, des terrains de football, de rugby, de handball, de basket-ball et de tennis, ainsi qu'un centre nautique.
Le gymnase des Capucins, installé au centre du Parc des Sports, accueille les rencontres du Coulommiers Brie Basket, club formateur d'Andrew Albicy, évoluant en Nationale 2 en 2013-2014. Il reçoit aussi quelques rencontres délocalisées du CS Meaux Handibasket.
Lieux de culte
Coulommiers possède deux églises catholiques, une mosquée, un temple protestant et une salle du royaume des témoins de Jéhovah.
Marchés
Foire internationale aux fromages et aux vins, en 1967, Pierre Aubert, alors Président de l'U.C.I.E. et du Comité des Foires et Expositions, eut l'idée de fêter le millénaire du fromage de Brie. La date retenue fut le Modèle:Date-<ref name="foirebriard" />. Le succès est tel que plus de Modèle:Unité sont présents chaque année, avec en moyenne Modèle:Unité. Cette foire est très célèbre dans la région. Des personnalités comme Bernadette Chirac, ou Gilbert Montagné y ont participé. La Foire internationale aux fromages et aux vins de Coulommiers a lieu chaque année aux Rameaux, une semaine avant Pâques. La foire de la Saint Fiacre rassemble horticulteurs, vignerons et amis du terroir briard début septembre. C'est l'occasion pour la statue du saint patron des horticulteurs de parader dans les rues de la ville, après une messe en plein air<ref name="foirebriard" />.
Le marché de Noël a lieu en décembre, dans la Grange aux Dîmes, de la commanderie des Templiers<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Foire internationale
Créée à l'initiative de Pierre Aubert (alors président du comité des foires et expositions) et de Pierre Jacotin dans le cadre des célébrations du millénaire des fromages de Brie, elle réunit quatre exposants et la confrérie du Beaujolais lors de sa première édition en 1967<ref name="foirebriard">Modèle:Lien web.</ref>. Celle-ci se tient sur le parvis du théâtre municipal à partir du Modèle:Date- et se clôture par un Modèle:Citation entre le brie et le beaujolais, sous les auspices du préfet de Seine-et-Marne de l'époque, Jean Verdier, le tout aux accents de la Modèle:Citation composée pour l'occasion par Paulette Lauxerrois et Étienne Lorin<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
Le nombre d'exposants croît au fil des ans, passant de sept en 1968 à vingt en 1970 et près d'une centaine en 1972. Devant l'ampleur prise par la manifestation, la foire est transportée de la place de l'hôtel de ville à l'avenue Gambetta (sous la halle aux fromages), puis au foirail de la Sucrerie à partir de 1989<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Après ces modestes débuts de 1967, ce ne sont pas moins de Modèle:Unité qui sont attendus autour des quelque Modèle:Unité présents lors de l'édition 2010<ref name="ffv">Modèle:Lien web.</ref>.
Médias
- Le Pays Briard, bi-hebdomadaire du groupe Publihebdos paraissant le mardi et le vendredi.
Télécommunications
En 2008, la ville de Coulommiers et les communes environnantes (Mouroux, Boissy-le-Châtel, Aulnoy, Chailly-en-Brie, Faremoutiers, Pommeuse, Giremoutiers, Saint-Germain-sous-Doue entre autres) ont été choisies pour être les premières à passer au tout numérique pour la diffusion de la télévision hertzienne. Depuis le Modèle:Date-, l'émetteur de Mouroux, site des Parrichets, diffuse la TNT. L'extinction du signal analogique a eu lieu le Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La ville est la première de France à abandonner la diffusion analogique au profit de la seule diffusion numérique<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Énergies
En 1979-1980 a été réalisée à Coulommiers la première opération de chauffage par géothermie d'un quartier déjà existant, le quartier des Templiers qui comportait une cité HLM, deux lycées, quatre écoles communales et un hôpital. Le tiers des habitants de la ville est chauffé par ce mode d'énergie puisée dans une nappe située à Modèle:Unité de profondeur. En 1980, cette opération a valu au maire de Coulommiers, André Gailing, président du Syndicat de Géothermie, le Prix européen de l'environnement remis par la présidente du Parlement européen à Cervia (Italie).
Économie
Revenus de la population et fiscalité
Le nombre de ménages fiscaux en 2016 était de Modèle:Nombre (dont 48 % imposés) représentant Modèle:Nombre et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de Modèle:Euro<ref name="insee" />.
Emploi
En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de Modèle:Nombre, occupant Modèle:Nombre résidants. Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 61,6 % contre un taux de chômage de 11,2 %. Les 27,2 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 9,9 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 6,5 % de retraités ou préretraités et 10,9 % pour les autres inactifs<ref>Statistiques officielles de l'Insee, section «Population active, emploi et chômage au sens du recensement en 2017», consultée le 22 mars 2021.</ref>.
Secteurs d'activité
Entreprises et commerces
En 2018, le nombre d'établissements actifs était de Modèle:Nombre dont Modèle:Nobr dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, Modèle:Nobr dans la construction, Modèle:Nobr dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, Modèle:Nobr dans l’Information et communication, Modèle:Nobr dans les activités financières et d'assurance, Modèle:Nobr dans les activités immobilières, Modèle:Nobr dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, Modèle:Nobr dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et Modèle:Nobr étaient relatifs aux autres activités de services<ref>Statistiques officielles de l'Insee, section «Démographie des entreprises en 2019», consultée le 22 mars 2021.</ref>.
En 2019, Modèle:Nobr ont été créées sur le territoire de la commune, dont Modèle:Nobr individuelles.
Au Modèle:Date-, la commune disposait de Modèle:Nobr d’hôtels dans un établissement et ne possédait aucun terrain de camping<ref>Statistiques officielles de l'Insee, section «Tourisme en 2021», consultée le 22 mars 2021.</ref>.
Le marché a lieu chaque mercredi et dimanche matin. La ville dispose d'un service public complet grâce notamment à l'hôpital de Coulommiers, situé en trois parties : l'ancien hôpital en centre-ville spécialisé en gériatrie, le Modèle:Citation hôpital René-Arbeltier en ville-haute et l'annexe Modèle:Citation proche du nouvel hôpital.
La ville inclut aussi une agence Pôle emploi (fusion de l'ANPE et de l'ASSEDIC), un centre de tri régional de La Poste, un centre de sécurité sociale, un palais de justice (tribunal d'instance), plusieurs huissiers et notaires, un centre des impôts, un cadastre, une gendarmerie nationale, une caserne principale de sapeur-pompiers, une permanence de la CAF, une DDE, un commissariat de police nationale, un commissariat de police municipale, un centre du Trésor public, des agences France Télécom et EDF, une gare SNCFModèle:Etc.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Patrimoine religieux
L'église Saint-Denys-Sainte-Foy, de style néo-roman, est située au départ de l'avenue de Rebais. Construite d'après les plans de l'architecte Ernest Brunet, elle fut consacrée par l'évêque de Meaux le 16 juillet 1911. Sa construction fut décidée par la municipalité afin de remplacer l'ancienne église Saint-Denys, un édifice roman datant du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle qui, mal entretenu, menaçait de s'effondrer : devenue dangereuse, cette dernière fut d'ailleurs démolie en 1968. La nouvelle église est construite sur un plan en forme de croix latine, comprenant une nef d'une longueur de Modèle:Unité pour une largeur de Modèle:Unité entre les colonnes du vaisseau principal, lequel est bordé de collatéraux. De larges baies en plein cintre sont ornées de vitraux, compositions modernes dans lesquelles sont insérés des fragments des vitraux de l'ancienne église Saint-Denys. Une tour-lanterne couvre la croisée du transept : sa hauteur s'élève à Modèle:Unité. La façade de l'église est dominée par un clocher trapu surmonté par une flèche octogonale en pierre. La croix qui se trouve à son sommet atteint la hauteur de Modèle:Unité. Le clocher abrite un bourdon de Modèle:Unité baptisé Modèle:Citation : celui-ci fut transféré de l'ancienne église Saint-Denys en 1911.
Si la première pierre de l'église des Capucins fut posée le 19 avril 1617 en présence de Catherine de Gonzague, duchesse de Longueville, sa consécration n'intervint que le 13 juillet 1625. Elle se compose d'une nef unique voûtée en lattes revêtues de plâtre, et est éclairée de chaque côté par quatre fenêtres cintrées, tandis qu'un oculus s'ouvre à l'ouest. La longueur totale du sanctuaire est de Modèle:Unité, la hauteur sous voûte atteint les Modèle:Unité. Une grotte artificielle, ou chapelle basse, est célèbre pour ses sculptures représentant des coquillages. L'ancienne église Notre-Dame des Anges<ref>Modèle:Lien web.</ref>, dans le parc des Capucins, abrite désormais les collections archéologiques du musée municipal de Coulommiers.
La commanderie des Templiers, fut construite à partir de 1173, à la suite d'une donation du comte Henri palatin de Troyes. Endommagée durant la période révolutionnaire, vendue comme bien national en 1791, elle est transformée en exploitation agricole par son propriétaire d'alors, le fermier Pierre Josse. Elle gardera cette affectation pendant plus d'un siècle et demi, sous le nom de « Ferme de l'Hôpital » en référence aux Hospitaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem. Sauvée de la démolition en 1966 par les multiples pétitions contre le maire de l'époque Modèle:M. Daniel Tourneur préférant raser la commanderie pour construire des HLM, une campagne de restauration en fait désormais l'un des sites templiers les mieux conservés du nord de la France. On peut y voir une grange aux dîmes, un colombier, le logis du Commandeur, la chapelle Sainte-Anne, la salle du chapitre et la cave, ainsi qu'un jardin d'inspiration médiévale d'une surface de Modèle:Unité. Le site est classé Monument historique depuis 1994. La commanderie de Bibartaut était située à proximité.
Le temple de l'Église réformée, rue Patras, a été construit en 1966.
Patrimoine civil
Le parc des Capucins est le plus célèbre jardin public de la ville. Parc fleuri parmi les plus beaux d'Île-de-France<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Le château fort joua un rôle important au cours des guerres de Cent Ans et de religions<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Le château fut reconstruit au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle par Catherine de Gonzague, duchesse de Longueville. Le contrat de maçonnerie pour la reconstruction du château avait été signé le 3 janvier 1613 suivant les dessins de Salomon de Brosse<ref>Jean Marot, Recueil des plans, profils et élévations des [sic] plusieurs palais, chasteaux, églises, sépultures, grotes et hostels bâtis dans Paris et aux environs par les meilleurs architectes du royaume desseignez, mesurés et gravez par Jean Marot, vues 30, 31, 32 et 33 (Voir).</ref>,<ref>Jean-Marie Pérouse de Montclos, Le guide du patrimoine Île-de-France, Modèle:P., Hachette, Paris, 1992 Modèle:ISBN.</ref> et détruit au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle par le duc de Luynes. Seuls demeurent les pavillons des gardes construits suivant les plans de François Mansart et une partie de l'aile du château. Dans le parc, la chapelle des Capucins (à l'intérieur de l'église Notre-Dame-des-Anges), construite en même temps que le château, peut-être par Charles du Ry qui est cité dans les comptes de construction du couvent, abrite le Musée municipal où sont exposées des collections historiques, archéologiques et des œuvres d'art. Il abrite les vestiges du château de Catherine de Gonzagues, ainsi que des plans d'eau autour des anciennes douves et quelques essences rares. Il fut sévèrement touché durant les tempêtes de 1999<ref name="histoff">Modèle:Lien web.</ref>.
Le théâtre à l'italienne, conçu au début du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, est dû aux architectes parisiens Charles Duval et Camille Robida (1880-1938). Il possède une façade monumentale en pierre de taille, percée d'une verrière et surmontée d'un fronton d'inspiration baroque. La date de 1904 est gravée au fronton. Le théâtre conserve toujours sa machinerie d'origine. Il est inscrit monument historique depuis 1994<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
Le nom de la Halle aux fromages résulte des marchés qui s'y déroulaient et qui étaient principalement destinés aux fromages de la Brie dont le Coulommiers. La construction de ce bâtiment fut décidée par la municipalité le 24 juin 1887. En 1960, une campagne de restauration la dota de murs en béton, afin de prémunir les exposants contre le vent et le froid. En 1999, il fut décidé de supprimer cette adjonction très critiquée, et de redonner à la halle son allure d'origine.
L'ancienne prison, représentative du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, fut construite à partir de 1851, sur les plans de l'architecte du département de Seine-et-Marne Ernest Mangeon<ref>Ville de Coulommiers : L'histoire de l'ancienne prison</ref>. Elle a été construite sur le site de l'ancien prieuré Sainte-Foy qui avait été fondé au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle<ref>Modèle:Chapitre</ref>. Sa structure s'inspire des prisons de Meaux et de Fontainebleau dus au même architecte. La prison s'établit sur cinq niveaux, comptant trente-trois cellules individuelles, dont trois cachots de punition. Utilisée comme lieu d'internement des Résistants par l'occupant durant la Seconde Guerre mondiale, elle servit ensuite de maison d'arrêt jusqu'en 1958, puis de maison de correction jusqu'en 1969. Désaffectés, les bâtiments furent ensuite utilisés pour le tournage de plusieurs films et téléfilms, avant que le ministère de la Justice ne décide de la vente de l'ensemble en 1978. La ville fit valoir son droit de préemption et acquit l'ancienne prison pour la somme de 180 000 francs. Située au cœur de la ville et isolée sur une île délimitée par le brasset des Religieuses et le Grand Morin, elle est depuis peu aménagée en bibliothèque municipale.
Située près du Palais de Justice, la maison Valentin de Boulogne est la maison natale du peintre Valentin de Boulogne (1591-1634), célèbre au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle pour la qualité de ses clairs-obscurs et ses scènes de la vie quotidienne. Le jardin de la maison du Bailli Huvier est un jardin d'agrément datant de 1750 dont Jean-Antoine Huvier du Mée, dernier bailli de Coulommiers, est le commanditaire.
Monuments disparus
Au cours de son histoire, la ville a perdu par destruction un certain nombre de monuments du Patrimoine. Aucune destruction n'a été le fait des guerres mondiales.
- La caserne Beaurepaire, à l'emplacement des immeubles de l'actuelle gendarmerie
- L'église Saint-Denys, démolie en 1968.
- Le couvent Sainte-Foy, démoli à la Révolution.
- La halle aux veaux, qui se trouvait sur l'actuelle place du 27-Août.
- Le château de la duchesse de Longueville, démonté avant son achèvement.
- La statue de Nicolas-Joseph Beaurepaire (1740 - 1792), due à Maximilien Louis Bourgeois (1839 - 1901) a disparu lors la Seconde Guerre mondiale. Une autre, du même artiste est présente à Angers, sur le pont de Verdun.
Personnalités liées à la commune
- Françoise Pidoux (1582-1640), née à Coulommiers, mère du fabuliste français Jean de La Fontaine ;
- Nicolas-Joseph Beaurepaire (1740-1792), colonel, héros de la Révolution française dont le nom est gravé, parmi ceux des Modèle:Unité, sous l'Arc de Triomphe de l'Étoile. Sa statue à Coulommiers a disparu lors la Seconde Guerre mondiale ;
- Hector Japuis (1815-1880), né à Coulommiers, imprimeur sur étoffes à la Manufacture Japuis, puis maire de Claye-Souilly;
- René Arbeltier (1897-1979), médecin, député (1936-1958) socialiste SFIO puis PSU, résistant, maire à la Libération de la France, initiateur de la loi créant les médecins hospitaliers à temps plein ;
- André Dhôtel (1900-1991), écrivain, prix Femina en 1955 pour Le Pays où l'on n'arrive jamais fut professeur de philosophie au lycée Jules-Ferry de Coulommiers (1943-1961) ;
- Bertrand Flornoy (1910-1980), maire de Coulommiers, député UNR (1964-1978), explorateur ayant effectué de nombreuses recherches dans les sources de l'Amazone et publications sur le peuple inca, président de la Société des explorateurs français ;
- Yvette Troispoux (1914-2007), née à Coulommiers, photographe ;
- Renée Doria (1921-2021), soprano colorature française, morte à Coulommiers<ref name=FMusique>« Renée Doria, grande soprano colorature française, est morte », France Musique, 9 mars 2021.</ref> ;
- Louis de Funès (1914-1983) y a passé une partie de sa scolarité<ref>Modèle:Lien web.</ref> ;
- Philippe Bouvard (né en 1929 dans la commune), journaliste, humoriste, présentateur de radio et de télévision, écrivain, auteur de théâtre et dialoguiste au cinéma<ref>Jacques Lafitte et Stephen Taylor, Who's Who, J. Lafitte, 2003, Modèle:P..</ref> ;
- André Roussimoff (1946-1993), dit « André The Giant », ancien catcheur de la World Wrestling Federation, né dans la commune<ref>Modèle:Lien web.</ref> ;
- Guy Drut (né en 1950), champion olympique du Modèle:Nobr, député RPR puis UMP (1988-2007), maire de Coulommiers (1992-2008), ministre de la jeunesse et des Sports ;
- Luc Besson (né en 1959), réalisateur, producteur et scénariste français, ancien élève au lycée Jules-Ferry de Coulommiers<ref>Modèle:Lien web.</ref> ;
- Benjamin Tranié (né en 1989), humoriste et chroniqueur radio.
Coulommiers dans les arts et la culture
Cinématographie
Coulommiers a servi de lieu de tournage à :
- 1960 : Le Capitan de André Hunebelle<ref>Commanderie des Templiers.</ref>
- 1982 : On n'est pas sorti de l'auberge de Max Pécas
- 1988 : Une affaire de femmes de Claude Chabrol<ref name="D" />
- 1995 : Les Misérables de Claude Lelouch<ref name="D">tourné, en partie, dans l'ancienne prison.</ref>
- 2000 : Victoire ou la Douleur des femmes de Nadine Trintignant (Téléfilm)
- 2005 : L'Empire des loups de Chris Nahon<ref name="D" />
- 2009 : Eden à l'ouest de Costa-Gavras<ref>Au lycée Jules Ferry, dans les toilettes des garçons du bâtiment B.</ref>
- 2012 : Adieu Berthe de Bruno Podalydès
Coulommiers a servi de référence à :
Héraldique
Voir aussi
Bibliographie
- Modèle:Ouvrage
- Hervé Baptiste, La Commanderie des Templiers de Coulommiers, vies et résurrection, Éd. Lefèvre 2000. 300 p. (en vente à la commanderie ou par correspondance).
- Ernest Dessaint, Histoire de Coulommiers, Éd. Res Universis, 1989, fac-similé de l'édition restaurée de 1908
- Ernest Dessaint, Coulommiers pendant la révolution, Antoine-Louis Le Roy de Montflobert dit "Dix-Août", 190 p. 1939.
- Chanoine A. Vernon, La Petite Vendée briarde ou Coulommiers sous la Terreur, Imprimerie Ernest Dessaint, 195 p. 1931.
- Yves Richard, Denis Sarazin-Charpentier, Alain Peyrefitte (préface), La révolution à Coulommiers et dans sa région, 166 p. Ed. Amatteis.
- Paulette Lauxerrois, Coulommiers, souvenirs perdus et retrouvés, Éd. Horvath, 1982, Modèle:ISBN
- Didier Moreau, Notice Historique sur l'Hostel-Dieu de Coulommiers, BOD 2020, Modèle:ISBN
- Paule Samson Finidori, Essai Historique et Topographique sur la ville de Coulommiers en Brie, BOD 2019, Modèle:ISBN
- Didier Moreau, Ponts et Passerelles de Coulommiers, BOD 2019, Modèle:ISBN
- Paule Samson Finidori - Didier Moreau, Mémoire sur la ville de Coulommiers, BOD 2020, Modèle:ISBN
- Didier Moreau, La Justice et la Maison d'Arrêt de Coulommiers, BOD 2021, Modèle:ISBN