Rebais

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Modèle:Infobox Commune de France

Rebais est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France. Modèle:Sommaire

Géographie

Localisation

Fichier:77385-Rebais - Localisation.png
Localisation de la commune de Rebais dans le département de Seine-et-Marne.

Rebais est situé dans l'Est du bassin parisien, dans la partie de la Brie historiquement connue sous le nom de Brie champenoise. La commune se situe environ à mi-distance entre Paris (Modèle:Unité) et Reims (Modèle:Unité). Le site de la commune est composé en partie de la plaine de Brie, notamment le hameau de La Boyère.

Communes limitrophes

Six communes sont limitrophes de Rebais<ref name=cartesfrance>Modèle:Lien web.</ref>.

Géologie et relief

L'altitude de la commune varie de Modèle:Unité à Modèle:Unité pour le point le plus haut, le centre du bourg se situant à environ Modèle:Unité d'altitude (mairie)<ref>Modèle:Géoportail Carte IGN classique.</ref>. Elle est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Climat

Modèle:Encadré La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne<ref name=Joly>Modèle:Article.</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre<ref name=Joly/>. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>, où la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Unité pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref> à Modèle:Unité pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Hydrographie

Réseau hydrographique

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Carte des réseaux hydrographique et routier de Rebais.

Le réseau hydrographique de la commune se compose de quatre cours d'eau référencés :

La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de Modèle:Unité<ref name="siges">Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 11 octobre 2018</ref>.

Gestion des cours d'eau

Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du Modèle:Date-, plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie<ref name="GestRiv">Modèle:Lien web.</ref>.

La commune fait partie du SAGE « Petit et Grand Morin », approuvé le Modèle:Date-. Le territoire de ce SAGE comprend les bassins du Petit Morin (Modèle:Unité) et du Grand Morin (Modèle:Unité)<ref name="SAGE-petit-et-grand-morin">Modèle:Lien web.</ref>. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le syndicat mixte d'aménagement et de gestion des Eaux (SMAGE) des 2 Morin, qualifié de « structure porteuse »<ref>site officiel du Syndicat Mixte d'aménagement et de gestion des Eaux (SMAGE) des 2 Morin</ref>.

Milieux naturels et biodiversité

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Urbanisme

Typologie

Rebais est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Rebais, une unité urbaine monocommunale<ref>Modèle:Lien web.</ref> de Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, constituant une ville isolée<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire regroupe Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Lieux-dits et écarts

La commune compte Modèle:Nobr lieux-dits administratifs<ref group="Note">Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...</ref> répertoriés consultables ici<ref>Modèle:Lien web.</ref> dont la Boyère (source : le fichier Fantoir).

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (90 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (85,5% ), zones urbanisées (12,3% ), prairies (2,2 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web.</ref>.

Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Planification

La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme en révision. Un plan local d'urbanisme intercommunal couvrant le territoire de la communauté de communes des Deux Morin, prescrit le 28 juin 2018, était en élaboration<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme<ref group= Carte name="Géoport">Modèle:Lien web.</ref>.

Logement

En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de Modèle:Nobr dont 69,6 % de maisons et 30 % d'appartements.

Parmi ces logements, 86,9 % étaient des résidences principales, 2,8 % des résidences secondaires et 10,3 % des logements vacants<ref group="Note">En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.</ref>.

La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait t à 60 % contre 36,5 % de locataires<ref>Statistiques officielles de l'Insee, section Logement consulté le 17 mai 2020</ref> dont, 17,9 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)<ref group="Note">Voir la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).</ref> et, 3,5 % logés gratuitement.

Voies de communication et transports

Transports

La commune est desservie par les lignes du réseau de bus Brie et 2 Morin :

La gare SNCF la plus proche est la Gare de La Ferté-Gaucher, desservie par les trains du réseau Transilien Paris-Est (ligne P), située à Modèle:Unité, (Modèle:Unité).

Toponymie

Rebais est attesté précocement sous les formes Resbacis en 635<ref name="Dauzat">Modèle:Ouvrage</ref>, C. Resbaci en 637<ref name="Paul Bailly">Paul Bailly, Toponymie en Seine-et-Marne, 1989, p. 9, Modèle:ISBN.</ref>, Resbacus en 642<ref name="Ernest Nègre">Ernest Nègre, Toponymie générale de la France. 2. Formations non-romanes…, Volume 2, Librairie Droz 1991. Modèle:P. (lire en ligne) [1]</ref>.

Il appartient à toute une série de noms de lieux du nord de la France issus d'un hydronyme et composés avec les éléments germaniques raus « roseau », qui a donné l'ancien français ros(diminutif rosel > roseau), et *baki « ruisseau »<ref name="Gysseling">Maurits Gysseling, Toponymisch Woordenboek van België, Nederland, Luxemburg, Noord-Frankrijk en West-Duitsland (vóór 1226), 1960, Modèle:P. - 199 (lire en ligne) [2]</ref>,<ref name="Beaurepaire">Modèle:Ouvrage</ref> (cf. allemand Bach « ruisseau »), d'où le sens global de « ru, ruisseau aux roseaux », sans doute surnom de l'actuel ru de Raboireau<ref name="Paul Bailly"/> et qui peut représenter le diminutif fortement altéré *Rebaisel de Rebais<ref name="Ernest Nègre"/>.

Homonymie étymologique avec le ru de Rebais (Ponthierry, même département), Rebais aux Bottereaux (Eure, sans forme ancienne), Rebaix (Belgique, Rosbais Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), Rebets (Seine-Maritime, Rosbacium 854) ; Rebecq (Belgique, Rosbacem 877) ; Robecq (Pas-de-Calais, Rosbeccam 1104) ; Roubaix (Nord, de Rosbays 1122) ; Rohrbach (Moselle, Rorback 1150)Modèle:Etc.<ref name="Gysseling"/>,<ref name="Dauzat"/>,<ref name="Beaurepaire"/>.

Remarque : Albert Dauzat a identifié dans l'élément Ros- / Res- de ce type toponymique récurrent, le germanique hros « cheval »<ref name="Dauzat"/> (allemand Roß « cheval »<ref name="Dauzat"/>, anglais horse « cheval », français rosse « mauvais cheval »), mais cette suggestion n'a pas été reprise par les autres toponymistes pour des raisons sémantiques essentiellement, en effet que signifieraient exactement les nombreux « ruisseau au cheval » ou « ruisseau du cheval » ? Ernest Nègre, pour sa part, doute de l’évolution (H)ros- > Res- (non validée par les formes anciennes), c'est pourquoi il propose sans trop de conviction un mot germanique parent de l'allemand rieseln « ruisseler » et bach « ruisseau », d'où le sens de « ruisseau qui ruisselle »<ref name="Ernest Nègre"/>, sans tenir compte du fait que bach soit du moyen haut allemand (allemand Bach), langue jamais parlée dans la région, et non pas du « germanique ».

Histoire

Dans les années 630, Dadon (saint Ouen) fonde le monastère de Rebais, sur les terres de chasse du roi Modèle:Monarque-, près d'un torrent nommé Resbac. Il en confie la charge à Saint Aile (ou saint Agile), fils d'Arnoald, membre de la cour de Modèle:Monarque. La ville devient alors le siège de l'abbaye Saint-Pierre de Resbacum. Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, l'abbaye est reconstruite par les mauristes et accueille une école de cadets du Royaume.

Personnage marquant de l'histoire de Rebais, saint Aile (Agilus) naît en Franche-Comté entre 583 et 585 dans une famille de la haute aristocratie franque installée à Port-sur-Saône. Vers 594, son père Agnoald, conseiller du roi Modèle:Monarque, et sa mère Deutérie l'envoient au célèbre monastère de Luxeuil, près de Besançon. Fondée à la fin de l'année 593 par le moine irlandais saint Colomban, cette abbaye est alors un modèle de ferveur chrétienne organisé autour de la prière, de la mortification et de l'étude des Saintes Écritures<ref name=histoireoff>Modèle:Lien web.</ref>. Sa formation terminée, saint Aile commence à parcourir les routes de Gaule aux côtés d'Eustaise, disciple de Colomban et futur abbé de Luxeuil. Il participe alors à l'important travail d'évangélisation mené dans le Jura, en Bavière et en Brie. Il est ainsi présent lorsque Eustaise guérit miraculeusement la cécité de sainte Fare avant de fonder pour elle le monastère de Faremoutiers, vers 620.

Revenu à Luxeuil, saint Aile est appelé en 628 pour être évêque de Langres, charge qu'il refuse. En 635, il est invité à prendre la tête de l'abbaye de Jérusalem-en-Brie (Saint-Pierre de Rebais), que saint Ouen est en train d'édifier sur les bords d'une rivière appelée Resbac. Natif du Soissonais, saint Ouen et son frère Adon avaient été bénis dans leur enfance par saint Colomban alors qu'ils séjournaient à Ussy-sur-Marne. C'est donc naturellement que, après avoir occupé des postes importants à la cour de Dagobert, ils avaient choisi de se consacrer à la vie religieuse. Adon assiste ainsi saint Ouen dans la fondation de l'abbaye de Rebais avant d'installer l'abbaye Notre-Dame à Jouarre, vers 637. Quant à saint Ouen, il devient archevêque de Rouen en 640<ref name=histoireoff/>.

Saint Aile arrive à Rebais en 636, accompagné d'une douzaine de frères de Luxeuil. Il est officiellement reconnu abbé du monastère l'année suivante, à l'occasion d'un concile réunissant les évêques des Gaules à Clichy. Très actif dans l'organisation de la vie du jeune monastère, saint Aile aime aussi à s'isoler régulièrement à quelques distances de sa communauté. C'est au cours de l'une de ses retraites que, pris par la soif, il touche la terre de son bâton, faisant jaillir une source miraculeuse<ref name=histoireoff/>.

À la mort du saint, vers 650, ce lieu devient un centre de pèlerinage pour les moines de Rebais qui décident d'y édifier un prieuré et une chapelle qui resteront en activité jusqu'à la Révolution française. En 1792, les bâtiments de l'abbaye Saint-Pierre et du prieuré dédié à saint Aile sont déclarés biens nationaux et vendus comme tels. Tombant en ruines le prieuré est racheté au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle par un prêtre de Meaux qui le transforme en orphelinat. Faisant reconstruire les bâtiments et la chapelle, il met également en valeur la source miraculeuse autour de laquelle chaque année, le premier dimanche de septembre, une messe est célébrée en l'honneur de saint Aile dont la fête se plaçait le Modèle:Date- avant d'être décalée au Modèle:Date-<ref name=histoireoff/>. Les bâtiments de l'orphelinat abritent désormais une maison de retraite départementale. Modèle:Article détaillé

Il reste actuellement de nombreuses traces témoignant de l'attrait suscité par saint Aile. Ainsi, l'église Saint-Jean-Baptiste de Rebais, la seule des trois églises de l'abbaye à avoir survécu, conserve les reliques du saint, une bannière processionnelle (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle) à son effigie et une belle statue de bois polychrome réalisée au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. De même, ce sanctuaire abrite le Modèle:Citation sculpture commémorative du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle représentant le saint avec sa crosse d'abbé et un livre<ref name=histoireoff/>. Il est à noter que cette église de Rebais possède une sœur jumelle en Saône-et-Loire, où était vénéré saint Philibert, ancien abbé de Rebais<ref>Modèle:Article.</ref>.

Politique et administration

Fichier:Maire de Rebais.JPG
La mairie de Rebais.

Rattachements administratifs et électoraux

La commune est située dans le département de Seine-et-Marne, mais a été rattaché successivement à trois arrondissements :

La commune était depuis la Révolution française le chef-lieu du canton de Rebais. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton de Coulommiers<ref name="Cassini2"/>.

Intercommunalité

La commune était membre de la communauté de communes de la Brie des Morin, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2011, et auquel elle avait transféré un certain nombre de ses compétences dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de Modèle:Unité (et Modèle:Unité en zone de montagnes), cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le Modèle:Date- la communauté de communes des Deux Morin dont Rebais est désormais membre.

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu

Modèle:Élu

Modèle:Élu

Modèle:Élu

Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Jumelages

La ville est jumelée avec Modèle:Jumelage même si un lien amical existait depuis 1960 entre les deux communes, via la famille Dierickx<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Lien web.</ref>. Le jumelage des communes de Rebais et de Lierde a été officialisé le Modèle:Date-<ref name=jum>Modèle:Lien web.</ref>.

Équipements et services

Eau et assainissement

L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au Modèle:Date-, mais la loi Ferrand-Fesneau du Modèle:Date- a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au Modèle:Date-<ref name="EauAss">Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Assainissement des eaux usées

En 2020, la commune de Rebais gère le service d’assainissement collectif (collecte, transport et dépollution) en régie directe, c’est-à-dire avec ses propres personnels<ref name=EaufranceCom>Modèle:Lien web.</ref>.

L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel<ref name="ANC-Info">Modèle:Lien web.</ref>. Le Syndicat mixte d'assainissement du Nord-Est (SIANE) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations<ref name=EaufranceCom/>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Eau potable

En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le syndicat de l'Eau de l'Est seine-et-marnais (S2E77) qui gère le service en régie<ref name=EaufranceCom/>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Population et société

Démographie

Modèle:Population de France/section

Enseignement

Fichier:Ecole maternelle Rebais.JPG
École maternelle.

La ville dispose d'une école maternelle, d'une école primaire (école primaire Docteur-Farny, construite entre 1884 et 1886) ainsi que d'un collège, l'établissement Jacques-Prévert, construit en 1977.

Sports

Fichier:Ecole Docteur-Farny Rebais.JPG
École primaire Docteur-Farny.

La ville dispose d'équipement sportifs de bon niveau, notamment deux terrains de football en plein air (l'un en sable, l'autre en herbe), deux terrains de basket en plein air, un mini-golf, un gymnase construit en 1984, un dojo et un terrain de pétanque. Ces installations ont favorisé la présence de nombreux clubs sportifs :

  • C.S.R : Club Sportif Resbaciens
    • Section foot
    • Section gymnastique
    • Section pétanque
    • Section yoga
    • Section natation
  • A.S.R : Association Sportifs Resbaciens
    • Section boxe française
  • Autres association sportives
    • Musculation du canton de Rebais
    • Club de judo.

Personnalités liées à la commune

Économie

Revenus de la population et fiscalité

En 2018, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de Modèle:Nombre (dont 46 % imposés), représentant Modèle:Nombre et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 20 560 euros<ref>Statistiques officielles de l'Insee, section «Revenus et pauvreté des ménages en 2018», consultée le 27 mai 2021.</ref>.

Emploi

En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de Modèle:Nombre, occupant Modèle:Nombre résidants. Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 67,9 % contre un taux de chômage de 10,1 %. Les 22,1 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 9,9 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 6,1 % de retraités ou préretraités et 6,1 % pour les autres inactifs<ref>Statistiques officielles de l'Insee, section «Population active, emploi et chômage au sens du recensement en 2017», consultée le 28 mai 2021.</ref>.

Secteurs d'activité

Entreprises et commerces

En 2019, le nombre d’unités légales et d’établissements (activités marchandes hors agriculture. ) par secteur d'activité était de Modèle:Nobr dont Modèle:Nobr dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, Modèle:Nobr dans la construction, Modèle:Nobr dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, Modèle:Nobr dans l’Information et communication, Modèle:Nobr dans les activités financières et d'assurance, Modèle:Nobr dans les activités immobilières, Modèle:Nobr dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, Modèle:Nobr dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et Modèle:Nobr étaient relatifs aux autres activités de services<ref>Statistiques officielles de l'Insee, section «Démographie des entreprises en 2019», consultée le 28 mai 2021.</ref>.

En 2020, Modèle:Nobr ont été créées sur le territoire de la commune, dont Modèle:Nobr individuelles.

Au Modèle:Date-, la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping<ref>Statistiques officielles de l'Insee, section «Tourisme en 2021», consultée le 28 mai 2021.</ref>.

Agriculture

Rebais est dans la petite région agricole dénommée la « Brie laitière » (anciennement Brie des étangs), une partie de la Brie à l'est de Coulommiers<ref group=Carte>Modèle:PdfModèle:Lien web.</ref>. En 2010, l'orientation technico-économiqueModèle:Note de l'agriculture sur la commune est la polyculture et le polyélevage<ref name="AgriGéné">Modèle:Lien web.</ref>.

Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de Modèle:Unité par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 14 en 1988 à 9 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de Modèle:Unité en 1988 à Modèle:Unité en 2010<ref name="AgriGéné"/>. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Rebais, observées sur une période de Modèle:Unité :

Évolution de l’agriculture à Rebais entre 1988 et 2010.
1988 2000 2010
Dimension économique<ref name="AgriGéné"/>,<ref group=Note>L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.</ref>
Nombre d’exploitations (u) 14 9 9
Travail (UTA) 36 22 21
Surface agricole utilisée (ha) 963 1 011 977
Cultures<ref name="Expl">Modèle:Lien web.</ref>
Terres labourables (ha) 877 982 955
Céréales (ha) 533 662 632
dont blé tendre (ha) 452 412 393
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 43 162 153
Tournesol (ha) 43 s s
Colza et navette (ha) s 24 s
Élevage<ref name="AgriGéné"/>
Cheptel (UGBTA<ref group=Note>L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).</ref>) 31 8 9

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Personnalités liées à la commune

Modèle:…

Héraldique

Modèle:Blason-ville-fr

Voir aussi

Bibliographie

Modèle:…

Articles connexes

Modèle:Autres projets

Liens externes

Modèle:Liens

Notes et références

Notes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références

Cartes

Modèle:Références

Modèle:Palette Communes de Seine-et-Marne Modèle:Portail