Bouvines

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Modèle:Infobox Commune de France

Bouvines est une commune française, située dans le département du Nord en région Hauts-de-France. Elle fait partie de la Métropole européenne de Lille et forme, avec quatre autres communes, une petite agglomération, l'unité urbaine de Cysoing, qui appartient à l'aire urbaine de Lille.

Bouvines est connue pour la bataille de Bouvines, qui a eu lieu en 1214.

Géographie

Localisation

Bouvines est située au sud-est de Lille, sur la rive droite de la Marque et sur la voie romaine d'Arras à Tournai. Bouvines est à quelques kilomètres dans la plaine au sud-est du parc scientifique de la Haute Borne et de la Cité scientifique (Université Lille I).

Modèle:Multiple image

Communes limitrophes

Modèle:Communes limitrophes

Hydrographie

Bouvines est traversée par la Marque à son ouest. Modèle:...

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000<ref name=Joly/>

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 3,2 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 2,4 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitationModèle:Note : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,3 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,4 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lille-Lesquin », sur la commune de Lesquin, mise en service en 1944<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref> à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Voies de communication et transports

Bouvines compte deux arrêts d'autobus qui vont vers Mouchin et Villeneuve-d'Ascq et qui servent aussi d'arrêts de ramassage scolaire. Bouvines est desservie par une gare qui se situe à l'entrée de Cysoing (les TER vont à Orchies et à Lille-Flandres).

Urbanisme

Typologie

Bouvines est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Cysoing, une agglomération intra-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est une commune de la banlieue<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française) dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en Modèle:Date-, celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de Modèle:Unité ou plus (hors Paris)<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (77,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (77,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (58,8 %), prairies (19 %), zones urbanisées (18,8 %), forêts (3,4 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

Attestée sous la forme Bovines en 1164.

Modèle:Refnec

Bovingen en flamand<ref>http://www.roepstem.net/vlaanderen.html#inhoud</ref>.

Histoire

Temps anciens

La découverte d'un cimetière mérovingien atteste l'ancienneté de l'occupation du site. Il semble en particulier que très tôt un pont y ait été édifié pour traverser la Marque. L'origine du nom n'est pas établie : il pourrait venir soit du flamand bouvino, qui signifie terre cultivée, soit du gallo-romain. Un diplôme de 899 de Charles le Chauve mentionne par ailleurs un lieu appelé Bovingole tandis que la charte du comte de Flandre en 1002 fait état de Villa bovinas.

Selon le géologue M. Meugy (1850), la tourbe était autrefois exploitées dans une partie de la vallée de la Marque (près du lit mineur où on la trouvait sur une épaisseur pouvant atteindre 6 m.) ; Bouvines, Ennevelin et Cysoing, avant que l'exploitation en soit interdite en raison explique-t-il Modèle:Citation dus à une exploitation désordonnée et faite sans surveillance<ref name="Meugy1852">Essai de géologie pratique sur la Flandre française, par M. Meugy, membre résident, in Mémoires de la Société royale des sciences, de l'agriculture et des arts de Lille ; imprimerie L. Danel, 1852 (Livre numérique Google : [1]) ; voir p 80, chapitre "Vallée de la Marque")</ref>.

Bataille de Bouvines

Fichier:Bataille de Bouvines 1.jpg
Position des armées sur le champ de bataille de Bouvines.

Modèle:Article détaillé Le Modèle:Date-, le roi de France Philippe Auguste y remporte la bataille de Bouvines sur une coalition formée du comte de Flandre Ferrand de Portugal et de l'Empereur Otton IV de Brunswick.

Les forces en présence :

  • Une coalition montée et payée par Jean sans Terre (absent de la bataille). Autour de 24 000 hommes, dont 2 000 chevaliers.
  • L'ost français de Philippe Auguste , Robert de Dreux, duc Eudes de Bourgogne. Environ 20 000 hommes, dont 1 500 chevaliers.

La stratégie des coalisés était d'encercler et mettre en tenaille les forces royales françaises mais la stratégie menée par Jean sans Terre va échouer, car l'espionnage bat son plein. Prévenue d'une éventuelle attaque sur deux fronts, une des parties de l'armée française dirigée par le futur roi Louis VIII écrase les troupes anglaises à la bataille de la Roche-aux-Moines (le Modèle:Date-), grâce notamment à la résistance héroïque de la forteresse commandée par Guillaume des Roches. Jean sans Terre rentre alors en Angleterre et laisse un nombre important de machines de guerre. Il est fort probable que la destinée de la bataille de Bouvines se soit joué ici à La Roche-aux-Moines. Jean sans Terre ne se retrouve plus qu'avec une seule partie de ses alliés : celle de Otton IV de Brunswick.

Les forces coalisées regroupent une grande partie des forces basées à Valenciennes, dirigées notamment par Otton IV de Brunswick. Ce dernier veut rapidement éliminer le roi de France. Les forces françaises trouvent une brèche sur le flanc gauche ennemi et prennent à revers les troupes flamandes, le choc est violent et donne l'avantage aux forces françaises. Otton IV fuit la bataille qui était perdue.

Cette bataille, remportée par une armée essentiellement composée de miliciens des villes françaises contre une armée de nobles et de féodaux spécialistes de la guerre, a été décrite entre autres par Georges Duby comme un des événements fondateurs et constitutifs de la nation française et du sentiment d'appartenance à la France, au moins pour les habitants du Bassin parisien. Si l'on en croit les sources, cette victoire a été chaudement fêtée par le peuple, réuni autour du roi, ce qui a contribué à son prestige. C'est peut-être là le début du mythe populaire du bon roi, qui ne s'effondre qu'avec la Révolution.

Un musée situé à Mons-en-Pévèle, appelé la salle des batailles, valorise cet événement et celui de Mons-en-Pévèle survenu 80 ans plus tard<ref>Modèle:Article.</ref>.

En 2014, les commémorations officielles ont lieu en présence du prince Louis de Bourbon, héritier du roi Philippe Auguste, du prince Axel de Bourbon-Parme, du prince et de la princesse de Bauffremont, du comte de Beaumont-Beynac et du baron Pinoteau<ref>http://www.lavoixdunord.fr/region/800-ans-apres-pourquoi-il-ne-faut-pas-oublier-la-ia0b0n2294341</ref>.

Période moderne

Avant la Révolution française, Bouvines était le siège de plusieurs seigneuries. L'un d'elles, celle de Layens, est détenue au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle par la famille Bonnier. Plusieurs descendants sont retrouvés après la Révolution française, portant soit le nom de Bonnier de Layens soit le nom de Bonnier.

François Joseph Bonnier (1719-1771), seigneur de Layens, est le fils de Jacques Bonnier, négociant, bourgeois de Lille, et de Catherine Le Sage. Il nait à Lille en mai 1719 (baptisé le Modèle:Date), devient bourgeois de Lille le Modèle:Date, syndic des Frères mineurs récollets, et meurt le Modèle:Date. Il épouse à Lille le Modèle:Date Marie Joseph Henriette Mienson (1713-1772) fille de Joseph Alexandre et de Marie Joseph Gabriel. Née à Lille en juillet 1713 (baptisée le Modèle:Date), elle meurt le Modèle:Date. Le couple est inhumé dans la chapelle des Frères mineurs de Lille<ref name=":132">Modèle:Article.</ref>.

Louis François Joseph Bonnier (1728-1793), frère de François Joseph, succède à ce dernier dans la possession de la seigneurie. Il est l'avant-dernier seigneur du fief (la Révolution française supprime les titres de noblesse). Il nait à Lille en novembre 1722 (baptisé le Modèle:Date), devient conseiller du roi, est créé trésorier de France au bureau des finances de la généralité de Lille le 3 mars ou mai 1748 et le reste jusqu'au Modèle:Date, obtient le titre de trésorier de France honoraire, est également bourgeois de Lille le Modèle:Date et meurt le Modèle:Date. Il épouse à Lille son arrière-petite-cousine Marie Claire Victoire Joseph Bonnier (1735-1810), fille de Martin Ignace, bourgeois de Lille, conseiller du roi, trésorier des assenes (institution financière), grand juge et directeur de la juridiction consulaire, et de la chambre de commerce, et de Marie Claire Joseph Monnart. Sa femme nait à Lille en février 1735 (baptisée le Modèle:Date) et meurt à Lille le Modèle:Date<ref name=":1322">Modèle:Article.</ref>. Le couple a cinq enfants dont :

Édouard André Isidore Bonnier (1761-1839), fils de Louis François Joseph Bonnier et de Marie Claire Victoire Joseph Bonnier, nait à Lille en avril 1761 (baptisé le Modèle:Date). Négociant, il est nommé conseiller municipal de Lille par décret impérial du Modèle:Date. Il devient ensuite adjoint au maire de Lille du Modèle:Date au Modèle:Date et meurt à Lille le Modèle:Date, à 78 ans. Il épouse à Lille le Modèle:Date Félicité Ernestine de Faucompret, sœur de Justine Caroline, femme de son frère Benjamin. L'épouse nait à Lille en janvier 1772 (baptisée le Modèle:Date<ref name=":1323">Modèle:Article.</ref>. Le couple a eu onze enfants.

Isidore Bonnier de Layens (1792-1877) (le nom Bonnier de Layens est autorisé par décret du Modèle:Date), fils d'Édouard André Isidore, est un artiste peintre. Prénommé Isidore Ernest Joseph, il nait à Lille le Modèle:Date. Il est adjoint au conservateur du musée de peinture de Lille, Louis-Narcisse Jacops, marquis d'Aigremont en 1820, puis conservateur du musée à la mort du marquis d'Aigremont en 1828 jusqu'en 1842. Il meurt à Paris le Modèle:Date, à l'âge de 84 ans. Il épouse à Lille le Modèle:Date Émélie Françoise Sophie Reynaert (1798-1876), fille de Jean François et de Sophie Félicité Mathon. Née à Lille le Modèle:Date, elle meurt à Paris le Modèle:Date, à 78 ans<ref name=":1324">Modèle:Article.</ref>.

Édouard Louis Bonnier (1808-1877), fils d'Édouard André Isidore, nait à Lille le Modèle:Date. Après des études au collège Rollin (Collège-lycée Jacques-Decour), il présente une licence de droit en 1830, passe docteur en droit en 1832. Nommé en 1839 professeur suppléant à la faculté de droit de Paris, il devient professeur titulaire de la chaire double de législation pénale et de procédure civile et criminelle. Il est décoré de la Légion d'honneur en août 1858 et meurt à Paris le Modèle:Date. Il épouse en 1844 Elzéarine Ortolan, fille de Joseph Ortolan et de Camille Defrêne de Montonnerre. Édouard Louis Bonnier a eu deux enfants qui se sont tous les deux distingués : Elzéar Bonnier-Ortolan, avocat, poète et dramaturge et Gaston Bonnier, botaniste qui, entre autres, a écrit un ouvrage avec son cousin Georges de Layens , botaniste et apiculteur<ref name=":13">Modèle:Article.</ref>.

À côté de la seigneurie de Layens, existait également celle d'Avrincourt détenue en dernier ressort par la famille Baillieu. Augustin Martin Joseph Baillieu d'Avrincourt (1753-1799), chevalier, est seigneur d'Avrincourt sur Bouvines. Né en décembre 1453, il est le fils de Charles Baillieu (de Valenciennes) et de demoiselle Denyse. Il est créé trésorier de France le Modèle:Date, installé le 10 avril suivant. Il exerce encore la fonction en 1790 lors de l'abolition des bureaux des finances, et meurt le Modèle:Date. Il a épousé Bernardine Alexandrine, Rosalie Le Gillon de Montjoie, sœur d'un trésorier de France, morte le Modèle:Date, à 92 ans. Un de leurs enfants, militaires va être chevalier de la Légion d'honneur<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

Période contemporaine

Entre 1896 et 1932, la ligne de chemin de fer de Saint-Amand à Hellemmes de Modèle:Unité dessert la commune.

Politique et administration

Situation administrative

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Bouvines dans son canton et son arrondissement.

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Tendance politique

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Administration municipale

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Liste des maires

Maire de1802 à 1807 : P. F. J. Deffontaine<ref>Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 273, lire en ligne.</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin

Instances judiciaires et administratives

La commune relève du tribunal d'instance de Lille, du tribunal de grande instance de Lille, de la cour d'appel de Douai, du tribunal pour enfants de Lille, du tribunal de commerce de Tourcoing, du tribunal administratif de Lille et de la cour administrative d'appel de Douai.

La commune se trouve dans la circonscription de gendarmerie de la brigade autonome de Cysoing.

Politique environnementale

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Jumelages

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Population et société

Démographie

Évolution démographique

Modèle:Population de France/section

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 31,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 27,3 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait Modèle:Nobr pour Modèle:Nobr, soit un taux de 52,94 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,77 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Modèle:Pyramide des âges communes de France

Santé

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Enseignement

Bouvines fait partie de l'académie de Lille. Modèle:...

Sports

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Média

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Cultes

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Économie

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Culture et patrimoine

Lieux et monuments

  • L'église Saint-Pierre, de style gothique du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, construite entre 1880 et 1885 selon les directives du maire Félix Dehau, inscrite à l'inventaire des monuments historiques depuis 1981 et ses 21 vitraux réalisés entre 1887 et 1906, classés monuments historiques<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref> retraçant la bataille de Bouvines<ref>cf. Le guide culturel "Bouvines, l'église et la bataille" par J.L. Pelon et M. Chopin (APAD 2008) disponible en mairie de Bouvines</ref>.

Modèle:Article détaillé

  • La fontaine Saint-Pierre où se serait reposé Philippe Auguste avant la bataille.
  • L'obélisque commémoratif de la bataille de Bouvines, érigé en 1865 par la commission historique du Nord.
  • La cense de la Courte, ancienne ferme de l'abbaye de Saint-Amand.
  • Le monastère des Dominicaines, ancienne demeure de la famille de Félix Dehau construite en 1868.

Personnalités liées à la commune

Site classé

L'ensemble formé par le champ de bataille de Bouvines et ses abords, sur le territoire des communes d'Anstaing, Baisieux, Bourghelles, Bouvines, Camphin-en-Pévèle, Chéreng, Cysoing, Fretin, Gruson, Louvil, Sainghin-en-Mélantois et Wannehain est classé parmi les sites du département du Nord<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Héraldique

Modèle:Blason-ville-fr

Pour approfondir

Bibliographie

Modèle:…

  • Ouvrage collectif, Bouvines 1214-2014, un lieu de mémoire, Philippe Marchand et Françoise Verrier, 2014.

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Autres projets

Notes et références

Notes

Modèle:Références

Cartes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références

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