Bataille de Bouvines

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}

Modèle:Infobox Conflit militaire La bataille de Bouvines est une bataille qui se déroula le dimanche Modèle:Date- près de Bouvines, dans le comté de Flandre (dans l'actuel département du Nord), en France, et opposant les troupes royales françaises de Philippe Auguste, renforcées par quelques milices communales<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>, le tout constitué d'environ Modèle:Unité combattants, à une coalition constituée de princes et seigneurs flamands, allemands et français renforcés de contingents anglais, équivalant à environ Modèle:Unité combattants, menée par l’empereur du Saint-Empire Modèle:Souverain2<ref name="Duby">Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La victoire est remportée par le roi de France et marque le début du déclin de la prédominance seigneuriale. Jean sans Terre, qui attaquait conjointement depuis la Saintonge, doit accepter le traité de Chinon et se retirer. Le Modèle:Date-, les barons anglais lui imposent la Grande Charte<ref name="Duby" />. Contraint de fuir, Modèle:Souverain- est déposé et remplacé par Modèle:Souverain2<ref name="Duby" />.

Contexte

Modèle:Article détaillé La bataille s’inscrit dans la série de conflits ayant opposé Capétiens et Plantagenêt aux {{#switch: XIII

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}} et plus précisément dans l’affrontement entre le roi de France Philippe Auguste et le roi d’Angleterre Jean sans Terre. En 1202, Philippe Auguste condamne Jean sans Terre à la confiscation de l’ensemble de ses fiefs situés dans le royaume de France pour avoir refusé de donner la justice à l’un de ses vassaux. Philippe s’empare de la Normandie en 1204, puis des terres des pays de la Loire au cours des années suivantes. Après les campagnes victorieuses du roi de France, Jean sans Terre ne contrôle plus qu’une petite portion de territoire autour de l’Aquitaine.

Fichier:Conquetes Philippe Auguste.png
L’évolution du territoire sous Philippe Auguste.

En 1214, le royaume de France est menacé, car Jean sans Terre décide de s’en emparer. Il réussit à monter, contre Philippe Auguste, une vaste coalition avec Renaud de Dammartin, comte de Boulogne, Modèle:Souverain2, comte de Hollande, le fils cadet du roi du Portugal, Ferrand, comte de Flandre, Modèle:Souverain2, duc de Brabant, Modèle:Souverain2, duc de Lorraine, Modèle:Souverain2, duc de Limbourg, et surtout l’empereur romain germanique Modèle:Souverain2. La plupart des seigneurs installés entre l’Escaut et le Rhin se joignent à cette coalition. L’année précédente, alors que Philippe guerroyait déjà contre le comte Ferrand, les Anglais avaient anéanti la flotte française dans le port de Damme (Modèle:Date-). Les coalisés envisagent un plan d’invasion d’envergure, dans lequel les troupes anglaises de Jean sans Terre attaqueraient par La Rochelle et Otton et ses alliés à la tête d’une armée un peu plus nombreuse que celle de Philippe Auguste par le Nord. En Flandre, le roi de France ne contrôle plus que les villes de Douai et de Cassel.

Philippe Auguste charge le prince Louis, futur roi Modèle:Souverain2, de garder la Loire avec une armée de Modèle:Unité. À la nouvelle de la victoire de la Roche-aux-Moines (Modèle:Date-), Philippe décide de prendre l’initiative sur le front nord avec le reste de son armée, avant que les renforts lorrains et allemands ne rejoignent les troupes de l’empereur.

Avant la bataille, une préparation tactique

Otton arrive avec son armée le Modèle:Date- à Nivelle, où il fait sa jonction avec le comte Ferrand et se dirige vers Valenciennes, où il établit son camp. D'après la chronique de l'anonyme de Béthune, frère Guérin serait venu négocier une trève de quinze jours, et aurait, en échange d'argent, détaché les éléments les moins motivés, comme Modèle:Souverain3 et 700 chevaliers. La trêve semble ne pas être respectée<ref name=":0">Modèle:Ouvrage.</ref>.

Le 23 juillet, après avoir convoqué ses vassaux, ses arrière-vassaux et les milices des communes, Philippe Auguste et son armée, forte de Modèle:Nb, autant de sergents à cheval et entre Modèle:Nb<ref>Modèle:Ouvrage in Gérard Sivéry, Philippe Auguste, Modèle:P..</ref>, quittent Péronne pour Douai et plantent l'oriflamme de Saint-Denis à Tournai le 26. Le roi entend couper ses ennemis des renforts en provenance d’Allemagne et tente de surprendre Otton par le Nord-Est.

L’empereur a vent de la manœuvre de Philippe Auguste et se déplace à Mortagne, à quelques lieues de l’armée royale. Après avoir observé l’armée d’Otton à deux lieues de distance, Philippe Auguste propose à ses généraux d’attaquer. Les barons, conscients de leur infériorité numérique, le lui déconseillent ; il décide de se replier sur Lille.

Otton et les siens suivent l’armée française qui se replie le dimanche 27 juillet. L'ost du roi de France doit alors traverser la rivière Marque, ce qui le place dans une position défavorable, il était poursuivi par les chevaliers flamands, qui distancent leurs communesModèle:Incompréhensible. La plus grande partie de l'ost a déjà franchi la rivière au moment de l'attaque, dont Philippe Auguste, qui en est averti, et qui, après une prière, fait demi-tour, et selon l'Anonyme de Béthune, peut engager la bataille dans un ordre meilleur que ses adversaires, qui se retrouvent à combattre l'armée entière plutôt que son arrière-garde. Guillaume le Breton laisse miroiter une organisation géométrique de la bataille avec l'usage des termes de "centre" et d'"ailes", mais cela ressemble à un procédé rhétorique visant à fabriquer une bataille rangée à l'antique, et faire de l'affrontement entre le roi et l'empereur un point central. Sa narration laisse plutôt présager deux parties de la bataille : à la droite du roi, un combat de chevaliers et à gauche des combats sporadiques et confus<ref name=":0" />.

La bataille

Les forces en présence

Si aujourd’hui encore, l’évaluation des forces en présence suscite des controverses Modèle:Incise on sait par Guillaume le Breton, chapelain de Modèle:Souverain- présent à Bouvines, que les lignes de combattants se tenaient sur une ligne de « 2000 pas » <ref>Modèle:Ouvrage.</ref>, ce qui ne laisse pas beaucoup de dégagement et prédispose au corps à corps. Guillaume le Breton ajoute dans sa chronique que Modèle:Citation.

Fichier:Bataille de Bouvines 1.jpg
Position des armées sur le champ de bataille de Bouvines
Armée impériale
À l’extrême droite, appuyés à la Marque les archers anglais (A) et les routiers du Brabant (T) flanquaient les noblesses des deux Lorraines et du Palatinat (L).
Au centre l’infanterie allemande (I) formée de phalanges profondes, hérissées de piques et flanquée par des compagnies formées en coin, puis en deuxième ligne, l’infanterie saxonne (Sa) en réserve. Dans l’intervalle, se tenait Otton entouré de Modèle:Nobr allemands.
À gauche, on trouve les soldats de la Flandre et du Hainaut du comte de Ferrand
Armée royale
L’aile droite du duc de Bourgogne (B) avec des hommes d’armes et des milices paroissiales de Bourgogne, de Champagne et de Picardie couvert par les sergents à cheval du Soissonnais (S).
Le centre se compose de l’infanterie des communes d’Île-de-France et de la Normandie (N), en avant du roi et de ses chevaliers.
L’aile gauche est composée de la gendarmerie bretonne (Br), des milices de Dreux, du Perche, du Ponthieu et du Vimeux (D).
Le pont de Bouvines, unique moyen de retraite à travers les marécages, est gardé par Modèle:Nobr d’armes du roi (R) qui forment la seule réserve des troupes françaises.

Philippe Auguste avait lancé alors un appel aux communes du Nord de la France, afin d’obtenir leur concours.

Dix-sept des trente-neuf communes de l’État capétien répondent à l’appel :

Au total, l’armée royale atteindrait Modèle:Nb.

Armée royale

L’armée royale est divisée en trois batailles :

Cette aile droite est composée des hommes d’armes et des milices paroissiales de Bourgogne, de Champagne et de Picardie et couverte par les sergents à cheval du Soissonnais.

Ce centre se composait de l’infanterie des communes d’Île-de-France et de la Normandie, en avant du roi et de ses chevaliers.

Cette aile gauche est composée de la gendarmerie bretonne<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>, des milices de Dreux, du Perche, du Comté de Ponthieu et du Vimeux. Le pont de Bouvines, unique moyen de retraite à travers les marécages, est gardé par Modèle:Unité du roi qui forment la seule réserve des troupes françaises.

Armée des coalisés

Otton a également divisé son armée en trois groupes :

On y trouve les soldats de la Flandre et du Hainaut.

Au centre, l’infanterie allemande est formée de phalanges profondes, hérissées de piques et flanquée par des compagnies formées en coin, puis en deuxième ligne, l’infanterie saxonne en réserve. Dans l’intervalle, se tenait Otton entouré de Modèle:Nobr allemands.

À l’extrême droite, appuyés à la Marque les archers anglais et les routiers du Brabant flanquaient les noblesses des deux Lorraines<ref>Duc de Lorraine et comte de Bar.</ref> et du Palatinat.

Les événements

[[Fichier:L'armée quittant le champ de bataille de bouvines.jpg|vignette|gauche|L’armée quittant le champ de bataille de Bouvines.
Enluminure des [[Grandes Chroniques de France de Charles V|Grandes Chroniques de France de Modèle:Charles V]], vers 1370-1379. BnF, département des manuscrits, ms. Français 2813, Modèle:Folio.]] Le roi Philippe Auguste, veillant à conserver le soutien de la papauté ainsi qu’à éviter les refus de transgresser un tabou religieux de la part de ses troupes, exclut l’hypothèse d’attaquer un dimanche, jour dédié à Dieu et non à la guerre, mais n’écarte pas l’idée de se défendre<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. C’est ainsi que le roi, en fin stratège, pousse les coalisés à attaquer<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Le premier choc fait s’affronter les forces d’Eudes de Bourgogne et l’aile gauche de l’armée d’Otton, commandée par Ferrand de Flandre.

L’affrontement au centre est en revanche initialement dominé par l’infanterie de l’empereur, avec l’objectif de tuer Philippe Auguste. Une partie des troupes coalisées de l’aile gauche se déporte au centre pour soutenir l’effort de capture du roi de France. Sur l'aile gauche française, l'évêque de Beauvais, Philippe de Dreux brise l'élan des troupes anglo-brabançonne en désarçonnant avec une masse d'armes Guillaume de Longue-Épée<ref>Modèle:Ouvrage</ref>. Au centre Modèle:Souverain3 charge Otton, lance baissée, et le désarçonne. Au même moment Philippe Auguste est à la merci des soldats allemands et ne doit son salut qu’à l’intervention in extremis de ses chevaliers qui abandonnent l’empereur et agitent l’oriflamme pour rassurer les combattants français, et notamment de son chambellan Pierre Tristan<ref>Modèle:Article.</ref> qui lui fait un rempart de son corps.

Mais par contrecoup une faille apparaît sur l’aile gauche des coalisés, ce qui facilite une percée de l’aile droite française, qui, à revers, surprend Ferrand. Les chevaliers chargent vigoureusement et au bout de quelques heures, Ferrand se rend. La capture de Ferrand consacre la déroute du flanc gauche d’Otton.

Au centre et à gauche, les gens d’armes d’Otton s’empilent systématiquement sur les blessés et les morts qui sont en ligne de front, et sur lesquels trébuchent ceux qui essaient de reculer sous la charge des Français. Ceux qui sont à l’arrière ne comprennent pas ce qui se passe devant. Ils commencent à voir des fuyards. C’est le début de la débandade sur une partie du front. Quelques instants plus tard, Otton manque à son tour de se faire tuer par les chevaliers français Guillaume des Barres et Girard La Truie. Il ne doit son salut qu’à sa fuite du champ de bataille, et, au-delà, à sa fuite sous déguisement.

Robert de Dreux est rapidement en difficulté avec son contingent. Ses troupes, d’abord enfoncées par les hommes conduits par Guillaume de Longue-Épée et Renaud de Dammartin, sont obligées de défendre le pont de Bouvines pied à pied. Une fois Guillaume de Longue-Épée capturé, ses soldats anglais prennent la fuite.

Modèle:Souverain- de Montmorency s’empare lui-même de douze bannières ennemies (en souvenir de cet exploit, le blason des Montmorency comportera douze alérions supplémentaires soit seize, au lieu de quatre auparavant<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>). Renaud de Dammartin, le dernier à résister farouchement sur le champ de bataille, finit par se rendre à la vue de la débandade générale de ses alliés.

La victoire de Philippe Auguste est totale, ses pertes en hommes minimes et une bonne partie des seigneurs coalisés est prisonnière.

Fichier:Vitraux Collégiale Saint-Martin de Montmorency n7.jpg
Vitraux de la Collégiale Saint-Martin de Montmorency rendant hommage aux faits d'armes de Mathieu II de Montmorency à Bouvines.

Après la bataille, un bilan très positif pour le roi de France

Modèle:Article détaillé [[Fichier:Prisonniers Bouvines.jpg|vignette|Après la bataille de Bouvines, Philippe Auguste ramène ses prisonniers Ferrand de Portugal, comte de Flandre, et Renaud, comte de Boulogne.
Enluminure des [[Grandes Chroniques de France de Charles V|Grandes Chroniques de France de Modèle:Charles V]], vers 1370-1379. BnF, département des manuscrits, ms. Français 2813, Modèle:Folio.]] Selon Jean Favier, Bouvines est Modèle:Citation<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Pour Philippe Contamine, Modèle:Citation<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Du côté français, la dynastie capétienne sort renforcée tandis que les récentes acquisitions de Philippe Auguste sur Jean sans Terre sont consolidées. Contrairement à Jean sans Terre, Philippe Auguste est désormais l’arbitre incontesté au-dessus de ses barons. Le retour de Philippe Auguste à Paris est triomphal ; les festivités — qui durèrent six jours — seront exploitées par la monarchie pour en faire l’une des premières manifestations de l’unité nationale : Philippe Auguste écrit à l’université de Paris : Modèle:Citation<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Au lendemain de cette bataille, Philippe Auguste fonde, entre Senlis et Mont-l'Évêque, l’abbaye de la Victoire<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>, qui sera intégrée au domaine de l'évêque de Senlis en 1486.

Commémorations

La victoire de Bouvines a pris dans l'imaginaire collectif une signification particulière, un caractère sacré. Elle est présentée comme une sorte de jugement de Dieu entre les deux principaux adversaires, l'empereur et le roi de France, le premier excommunié pour avoir trahi le pape, le second réconcilié avec lui depuis peu. Le tableau d'Horace Vernet est une commande du roi Modèle:Souverain2 pour les salles du Conseil d'Etat au Louvre. Par son sujet, il a trouvé une place de choix dans la galerie des Batailles de Versailles sous Louis-Philippe<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, cette bataille devient le symbole de l'émergence de la nation française et du sentiment national<ref>Modèle:Lien web</ref>. Modèle:Citation explique ainsi l'historien français Bruno Galland<ref>Modèle:Article.</ref>.

Fichier:Le Petit Journal - Philippe-Auguste à Bouvines.jpg
« Philippe-Auguste à Bouvines », illustration publiée dans le supplément illustré du Petit Journal, Modèle:Date-.
Fichier:Bouvines Monument aux morts.jpg
Monument aux morts de Bouvines.

En juillet 1914, une commémoration est organisée<ref>Modèle:Lien web.</ref> pour le Modèle:700e de la bataille. Une souscription est lancée pour ériger un monument mais le déclenchement de la Première Guerre mondiale bloque le projet<ref name="L'Histoire">Modèle:Article.</ref>. La stèle monumentale sert à la fin du conflit de monument aux morts. Un lien est néanmoins fait avec la bataille de Bouvines avec en haut du monument, sous le nom « Bouvines », le rappel des deux années, « 1214 - 1914 ». Y figure aussi une inscription de Paul Bourget : Modèle:Citation<ref name = "L'Histoire"/>.

En 2014, la ville de Bouvines a créé un jeu de son et lumière pour les Modèle:Nobr de la bataille. Le texte a été écrit par Alain Streck et mis en scène par Émilie Tommasi. À cette occasion, le Tour de France 2014 passe par Bouvines, lors de la [[5e étape du Tour de France 2014|Modèle:5e]]<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Le prétendant légitimiste Louis de Bourbon participe à la cérémonie officielle du Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web.</ref>, en présence du prince Axel de Bourbon-Parme, du prince Charles-Emmanuel de Bauffremont-Courtenay et de son épouse, du comte de Beaumont-Beynac et du baron Hervé Pinoteau<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

En 2015, une nouvelle association « Bouvines, l’aventure continue » est créée pour continuer à faire vivre le jeu de son et lumière retraçant la bataille. Le spectacle est reprogrammé pour le début du mois de juillet 2016 toujours écrit par Alain Streck et mis en scène par Manuela Dumortier. Plus d’une centaine de bénévoles présentent sur scène cette bataille historique débutant par le mariage de Jeanne de Flandre et Ferrand en 1212. Dans l’un de ses articles, la presse locale parle du « Puy-du-Fou du Nord »<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Œuvres concernant la bataille

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La bataille de Bouvines par Horace Vernet (1827).

Site classé

L'ensemble formé par le champ de bataille de Bouvines et ses abords, sur le territoire des communes d'Anstaing, Baisieux, Bourghelles, Bouvines, Camphin-en-Pévèle, Chéreng, Cysoing, Fretin, Gruson, Louvil, Sainghin-en-Mélantois et Wannehain est classé parmi les sites du département du Nord<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Annexes

Bibliographie

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Jeux de simulation historique

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« Philippe Auguste à la bataille de Bouvines (1214) », illustration de Henri Grobet, 1902.

Filmographie

  • Un épisode de la série télévisée Points de repères intitulé Bouvines, la France en péril a été diffusé sur Arte le Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Liens externes

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Notes et références

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