Cervières (Hautes-Alpes)
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France
Cervières (en provençal alpin Cervèira [saʁˈvɛjro]) est une commune française située dans le département des Hautes-Alpes, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Géographie
Localisation
Cervières est située à Modèle:Unité de Briançon sur la route des Grandes Alpes au pied du col d'Izoard (2 364 m) et en dessous de la plaine d'altitude du Bourget.
Géologie et relief
Le village est situé à Modèle:Unité d'altitude, au pied de hautes montagnes marquant la limite entre le Briançonnais et le Queyras (pic de Rochebrune, Modèle:Unité). Plusieurs curiosités sont situées sur le territoire de la commune :
- la plaine du Bourget, dans la haute vallée de la Cerveyrette, constitue un exemple rare de marécage d'altitude (à environ Modèle:Unité d'altitude) qui était d'une très grande richesse biologique avant la construction de la route et le recalibrage de certains affluents de la Cerveyrette ;
- le mont Chenaillet est une curiosité géologique mondialement connue, vestige de l'ancien océan alpin formé il y a environ 155 millions d'années, après la dislocation de la Pangée. Cet océan ouvert entre le jurassique supérieur et le crétacé inférieur a depuis lors disparu victime la convergence entre les plaques lithosphériques européenne et africaine (Italie). L'ophiolite du Chenaillet est un site dont la nature même fait encore débat dans la communauté scientifique. Le mont Chenaillet est à cheval entre les communes de Cervières et de Montgenèvre ;
- la vallée des Fonts forme sur une dizaine de kilomètres de longueur un paradis du vélo de la randonnée et du ski de fond. Constituée de schistes lustrés, elle témoigne de la subduction de l'ancien océan alpin (prisme d'accrétion) ;
- plateau du Lasseron (réserve de chamois) ; dans l'ancienne marge continentale passive piémontaise ;
- col d'Izoard.
- Crête des Dormillouses, sur plusieurs kilomètres, à la frontière italienne, jusqu'à l'altitude de 2900 mètres<ref>La crête de Dormillouse (2908m)</ref>
Hydrographie et les eaux souterraines
Cours d'eau sur la commune ou à son aval<ref>Cours d'eau sur la commune ou à son aval</ref> :
- Lac des Cordes<ref>Lac des Cordes - Vallée des Fonts de Cervières</ref>,
- Lac Gimont dans le massif des Cerces,
- Lac Noir dans le massif des Cerces,
- rivière de la Cerveyrette où subsiste une espèce endémique de truite fario.
- torrents de pierre rouge, de la tirière, de saint-claude, du villard, de péas, du col d'izoard,
- ruisseaux du blétonnet, de la grande combe, de cabot,
- ravins des chalmettes, des coutiers, du rousset, de la côte belle, d'izoard, du col d'izoard, de l'aigue belle, mioillon, de comaire, des rouilles, de la grande maye, du randon
Assainissement intercommunal<ref>Plans du zonage d'assainissement par commune</ref> du briançonnais<ref>zonage d'assainissement intercommunal du briançonnais</ref>.
Climat
Climat classé Dfb dans la classification de Köppen et Geiger<ref>Table climatique</ref>.
Voies de communications et transports
Voies routières
- Accès : à partir de Briançon, prendre la RD 902 en direction des gorges de la Cerveyrette.
Transports en commun
Transport en Provence-Alpes-Côte d'Azur
- Les transports régionaux du réseau Zou !.
- Les navettes blanches de l'Aéroport Marseille Provence ou de la Gare TGV d'Aix-en-Provence vers les stations de ski des Alpes du Sud<ref>Les navettes blanches</ref>.
Urbanisme
Typologie
Cervières est une commune rurale<ref group=Note>Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Briançon, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).
Type d’occupation | Pourcentage | Superficie (en hectares) |
---|---|---|
Prairies et autres surfaces toujours en herbe | 2,6 % | 290 |
Surfaces essentiellement agricoles interrompues par des espaces naturels importants | 0,4 % | 40 |
Forêts de conifères | 20,1 % | 2214 |
Pelouses et pâturages naturels | 24,8 % | 2736 |
Landes et broussailles | 1,2 % | 132 |
Forêt et végétation arbustive en mutation | 0,3 % | 30 |
Roches nues | 26,8 % | 2952 |
Végétation clairsemée | 23,3 % | 2566 |
Marais intérieurs | 0,7 % | 73 |
Source : Corine Land Cover<ref>Modèle:Lien web.</ref> |
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous la forme Cerveria en 1148<ref>Sur le cartulaire Ulciensis ecclesiam chartarium.</ref>,<ref>Stéphane Gendron - 2003 - Les noms des lieux en France: essai de toponymie - Page 236.</ref>.
Cervèira en occitan haut-alpin<ref>Cervières (en occitan alpin Cervèira)</ref>.
Cervières dérive de cervier (adj. : propre au cerf). Ce toponyme pourrait désigner une partie de la forêt fréquentée par les cerfs.
Histoire
L'existence du village de Cervières est attestée depuis le Haut Moyen Âge. À l'origine, il était initialement installé sur les hauteurs, peut-être en raison des inondations. Du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, les habitants se rapprochèrent de la Cerveyrette à cause du manque d'eau<ref>Histoire de Cervières</ref>. Les plus anciennes maisons que l'on peut encore observer datent du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle.
Le village appartint, entre le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et la Révolution française (création des départements), au territoire de la République des Escartons (dans le Haut Dauphiné) qui regroupait une douzaine de localités autour de Briançon et d'Oulx (commune située actuellement dans le Piémont italien). Cette République des Escartons bénéficiait de privilèges fiscaux et d'une autonomie administrative vis-à-vis des Royaumes de France et de Piémont.
Seconde Guerre mondiale
L'église Saint-Michel, datant du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, domine d'environ Modèle:Unité les habitations. Son clocher carré en pierre, encadré de quatre clochetons, est représentatif du style lombard, sur le modèle de la cathédrale d'Embrun. Le village, situé avant la Seconde Guerre mondiale sur la rive gauche de la Cerveyrette, fut en grande partie détruit par les bombes incendiaires lancées depuis les crêtes par les Allemands, lors des combats de la Libération du Briançonnais (août - septembre 1944). Les maisons à pan de bois et les stocks de fourrages alimentèrent le feu qui détruisit Modèle:Unité des habitations.
Inondations des années 1950
Le village actuel a été reconstruit dans les années 1950 sur la rive droite du torrent, dans une disposition le préservant de l'incendie : les maisons sont toutes séparées et bâties sur un plan parallèle aux courbes de niveau. En 1957, une trentaine d'anciennes maisons furent encore anéanties par une inondation. Aujourd'hui subsistent encore le long de la rivière quelques maisons à pans de bois.
Résistance au projet SuperCervières
Dès 1961, des projets de station de ski alpin ont été imaginés sur la Haute Vallée de la Cerveyrette<ref name=autop/>. Dans le cadre du Plan neige, de 1967 à 1969, dans cette optique, un groupe financier belge veut déjà acheter les terres de la haute vallée à des prix dérisoires, ce que les Cerveyrins refusent, malgré des pressions politiques<ref name=autop/>.
En décembre 1969, l'Association pour l'étude et la sauvegarde de la vallée de Cervières (A.E.S.C.)<ref>Site de l'Association AESC</ref>, toujours active Modèle:Nombre plus tard<ref>L'AESC et Mountain Wilderness pour la préservation du site du col d'Izoard l'hiver [1]</ref>, édite un journal, La Paparelle et formule des contre-propositions, dans lesquelles la protection de la nature et sa mise en valeur ne paraissent plus incompatibles. La commune est alors une des premières, avec Orgosolo en Sardaigne, à participer à la la révolte non-violente des agriculteurs pour leurs terres, dans les années 1970, sur le mode de la désobéissance civile.
Au même moment, un projet de station de sports d'hiver nommée SuperCervières, située au niveau de la plaine du Bourget (Modèle:Unité) et destinée à être reliée au domaine de Montgenèvre, est lancé. Il prévoit l'expropriation de 1 150 hectares de terrains privés et de 5 350 hectares de terrains communaux, c'est-à-dire plus de la moitié de la commune, qui compte 11 000 hectares, avec le départ forcé de 22 agriculteurs, qui élèvent un millier de moutons en plus troupeaux de vaches<ref name=telerama>Modèle:Article.</ref> et s'y opposent<ref>Paris-Match de septembre 1972</ref>. Une pétition nationale réunit 19 000 signatures et 500 lettres recommandées à la préfecture par des personnalités, parmi lesquelles le vulcanologue Haroun Tazieff<ref name=autop>Autopsie de Super-Cervières (extrait de la Paparelle n°11 - juin 2015)</ref>, sur fond de nombreux articles de journaux et de reportage télévisé<ref name=telerama/>.
En 1977, le projet avorta sous la pression des élus locaux, parmi lesquels les deux maires successifs, Raymond Faure-Brac<ref>"LE MAIRE DE CERVIÈRES ET LE PROJET DE STATION" dans Le Monde du 22 novembre 1972 [2]</ref> et André Gatineau. C'est l'une des rares vallées des Alpes encore préservées des équipements lourds, qui s'est ouverte au tourisme d'hiver via la voie plus légère du ski de fond.
Politique et administration
Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Budget et fiscalité 2017
En 2017, le budget de la commune était constitué ainsi<ref>Les comptes de la commune</ref> :
- total des produits de fonctionnement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant ;
- total des ressources d'investissement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant ;
- total des emplois d'investissement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant ;
- endettement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d'habitation : 2,62 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 7,74 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 32,88 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2015 : médiane en 2015 du revenu disponible, par unité de consommation : Modèle:Unité<ref>Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet</ref>.
Population et société
Démographie
Évolution démographique
Les habitants sont les Cerveyrains.
Modèle:Population de France/section
Enseignement
Établissements d'enseignements<ref>Établissements d'enseignements</ref> :
- Écoles maternelles et primaires à Montgenèvre, Briançon<ref>École maternelle et élémentaire</ref>,
- Collèges à Briançon,
- Lycées à Briançon.
Santé
Professionnels et établissements de santé<ref>Professionnels et établissements de santé</ref> :
- Médecins à Briançon, Montgenèvre,
- Pharmacie à Briançon, Montgenèvre,
- Hôpitaux à Briançon. Le développement du climatisme a permis à Briançon de devenir « Ville-Santé » de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) en 2010 et ville adhérente du Programme national nutrition santé (PNNS) en 2011<ref>Santé à Briançon</ref>. Dans cet élan, la ville a signé en 2012 un contrat local de santé avec l'Agence régionale de santé<ref>Contrat local de santé</ref>.
Cultes
- Culte catholique, Diocèse de Gap et d'Embrun<ref>Diocèse de Gap et d'Embrun</ref>.
Économie
Centrale hydroélectrique
En aval du village, la centrale est exploitée en SEM, la commune détenant 50.1% des parts, EDSB, Énergie Développement Services du Briançonnais 49.9%.
Sa puissance est de 3400KW/h.
Agriculture
- L’agropastoralisme<ref>Les patrimoines de l'agropastoralisme dans les Hautes-Alpes</ref>.
- Fermes de la reconstruction<ref>Cervières - Fermes de la reconstruction</ref>.
Tourisme
- Le village est une station de ski de fond, avec d'une part des pistes au hameau du Laus, avec l'itinéraire de montée au col d'Izoard, et d'autre part dans la plaine des Fonts, reliant les différents hameaux d'alpage. Au total, Modèle:Unité de pistes<ref>Cervières-Izoard</ref>.
- Le refuge Napoléon<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>, construit en 1858, un peu avant l'arrivée au col d'Izoard.
- Maisons d'hôtes, gîtes.
Commerces
- Restaurant Bistrot de pays Hôtel d'Izoard<ref>La charte Bistrot de Pays Bistrot de Pays</ref>,<ref>Fédération nationale des bistrots de pays</ref>.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Patrimoine religieux :
- Église Saint-Michel du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, construite par l'architecte Rémy Fatin, également auteur de l'église de Névache. Un bas-côté a été ajouté côté nord au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>,<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>. Les cloches sont de 1689<ref>Modèle:Base Palissy cloche de l'église Saint-Michel</ref>, 1848<ref>Modèle:Base Palissy cloche cloche N°1 de l'église Saint-Michel</ref> et 1903<ref>Modèle:Base Palissy cloche cloche N°2 de l'église Saint-Michel</ref>.
- Église paroissiale Saint-Michel-et-Saint-Mammès<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>, construite en 1819 près du village.
- Église Saint-François-d'Assise<ref name="OPR">Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Église Saint François d'Assise de Cervières</ref>.
- Chapelles :
- Chapelles d'alpage : la vallée du Bourget, sur Modèle:Unité autour du pic de Rochebrune, conserve la quasi-totalité de ses 9 chapelles d'alpage, dont la restauration est entreprise.
- Chapelle Saint-Claude<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.
- chapelle Saint-Jean-Baptiste<ref>.Modèle:Base Mérimée</ref> et la maison ferme<ref>Modèle:Base Mérimée</ref> au lieu-dit Le Laus.
- Chapelle Sainte-Elisabeth<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.
- Chapelle Saint-Roch<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.
- Chapelle Notre-Dame-des-Neiges<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.
- Chapelle Saint-Pierre<ref>Modèle:Base Mérimée</ref> et ses 2 cloches de 1520<ref>Modèle:Base Palissy cloche (N°1) Chapelle Saint-Pierre</ref>,<ref>Modèle:Base Palissy cloche (N°2) Chapelle Saint-Pierre</ref>.
- Chapelle Sainte-Madeleine<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.
- Chapelle Sainte-Luce<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.
- Chapelle Saint-Gervais et Saint-Protais<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.
- Monument aux morts<ref>[hhttps://monumentsmorts.univ-lille.fr/monument/23875/cervieres-presdeleglise/ Monument aux morts]</ref> : Conflits commémorés : Guerres 1914-1918 et 1939-1945.
Autres lieux et patrimoines :
- Hôtel de ville<ref>Modèle:Base Mérimée</ref> et son cadran solaire<ref>Au pied de l'Izoard...</ref>.
- Fortifications : la vallée de Cervières fait partie du vaste système fortifié du Briançonnais, élaboré à partir de la fin du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle jusqu'aux années 1930. La commune possède des ouvrages des années 1880 (Modèle:Lien<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>, blockhaus de la Lauzette<ref>Modèle:Base Mérimée</ref> et mur des Aittes<ref>Modèle:Base Mérimée</ref> un mur de protection construit au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle) ainsi que des ouvrages de type Maginot (ouvrages du Gondran E et des Aittes). Ces fortifications ont permis de repousser l'assaut italien en juin 1940.
- Téléphérique militaire de Terre Rouge ou des Gondran se trouvant sur les communes de Cervières et de Briançon<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.
- Un cadran solaire daté de 1839, attribué à Giovanni Francesco Zarbula<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>, célèbre cadranier piémontais du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle (la dernière photo en bas à droite).
- 104 chalets d'alpage, dont les chalets de Lachau, des Fraches, de Cabot, de Prafauchier, des Chalps et des Fonts (à Modèle:Unité d'altitude).
- Maisons du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle : Cervières et ses différents hameaux présentent de très nombreux autres exemples bien conservés des maisons et des chalets d'alpage construits au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.
- Maison Faure Vincent Dubois, maison paysanne du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref>Maison Faure Vincent Dubois</ref>.
-
L'église Saint-Michel dominant le village.
-
L’église Saint-Michel-et-Saint-Mammès, près du bourg.
-
Le refuge Napoléon sur la route des Grandes Alpes.
-
Chapelle Saint-Jean-Baptiste et maison-ferme au lieu-dit le Laus.
-
Chapelle Saint-Gervais-et-Saint-Protais du Blétonnet
Personnalités liées à la commune
- Gilbert Faure, a participé aux Jeux olympiques de ski de fond en 1972.
- André Gatineau, polytechnicien français, navigateur d'Air France, qui a été secrétaire général de l'Union des navigants de ligne CGC, puis maire du village de Cervières de 1974 à 1977.
Héraldique
Cinéma
Belle et Sébastien
Cervières fut l'un des lieux du tournage du film Belle et Sébastien 3 : Le Dernier Chapitre, réalisé par Clovis Cornillac et sorti en 2017.
Voir aussi
Bibliographie
- Église paroissiale Saint-Michel de Cervières, sur la Base Patrimages
- Visite-découverte du village de Cervières en compagnie des guides-conférenciers du service du Patrimoine de Briançon
- Un 11 novembre 1918 à Cervières
- Cervières, berceau d’humanité
- Fonds documentaire, par l'Association d'Etude et de Sauvegarde de la vallée de la Cerveyrette
- Les églises et édifices religieux recensés par l'Observatoire du patrimoine religieux (OPR) à Cervières
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
Articles connexes
Liens externes
- Modèle:Site officiel
- Modèle:Autorité
- Modèle:Dictionnaires
- Modèle:Bases
- Cervières sur le site de l'Institut géographique national
- Photo aérienne de la commune
- Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA]
- Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Inventaire et protections réglementaires de l'environnement des communes