Charles Estienne
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Charles Estienne [ʃaʁl etjɛn], né en 1504 à Paris et mort en 1564, est un médecin, imprimeur et écrivain français. Il est aussi connu sous le nom latin de Carolus Stephanus.
Biographie
Débuts
Il appartient à la grande famille des imprimeurs du même nom (troisième fils de Henri Estienne), et était le beau-fils de Simon de Colines. Il fut élevé dans la connaissance des belles-lettres et des langues anciennes. Il travailla un peu dans l'atelier puis étudia la médecine à Paris auprès de Jacobus Sylvius en même temps que Vésale.
Carrière médicale
Avant de devenir lui-même imprimeur, il s'était consacré aux langues anciennes puis à la médecine, comme Rabelais. Lazare Baïf lui confia l'éducation de son fils et, à ce titre, l'emmena dans ses ambassades en Allemagne et en Italie, pour qu'il pût continuer ses soins à son élève. À Venise, Estienne se lia d'amitié avec Paul Manuce, qui parle de lui, dans quelques-unes de ses lettres, en des termes très honorables.
Il s'engagea dans la publication d'une anatomie illustrée avec son ami Estienne de la Rivière, chirurgien et graveur, qui commença la gravure des bois dès 1530.
En 1542, il devient docteur Régent de la Faculté de médecine de Paris et exerce la médecine jusqu’en 1550. On lui doit plusieurs découvertes anatomiques importantes. En ostéologie, il découvre les trous nourriciers des os dont il comprend le rôle physiologique. En neurologie, il décrit le trijumeau, le nerf phrénique et la chaîne sympathique du pneumogastrique. Il est le premier, en 1539, à mentionner les valves veineuses du foie dans son livre De Dissectione Partium Corporis Humani Libri Tres (qui paraît en 1545); en 1751, Albrecht von Haller (1708-1777) le surnomme d'ailleurs « premier auteur des valves » (primus valvularum auctor), mais les veines du foie sont difficiles à observer, et l'histoire retiendra un autre nom pour la découverte de ces valves, Girolamo Fabrizi d'Acquapendente (1537-1619).
Activités d'imprimeur
En 1550, à la suite de la fuite de son frère Robert Estienne à Genève, il doit reprendre la direction de l’imprimerie familiale et signe son malheur. En se basant sur les manuscrits de la bibliothèque du roi, il publie en 1551 la première édition du texte grec de l'historien Appien, en caractères Garamond<ref name="COLL79">Modèle:Harvsp</ref>. Draud s'est trompé en citant un Traité de Plutarque sorti de ses presses en 1544. Charles Estienne reçoit le titre d'imprimeur du roi, dans une lettre patente du Modèle:Date.
Condamné en 1557 dans l'affaire des "Grecs du roi"<ref>Le vol des Grecs du Roi, Garamond, site du Ministère de la Culture, 2011. </ref>, ses biens sont saisis à plusieurs reprises en 1561, 1562 et 1563. Il meurt ruiné en 1564. Sa fille Nicole Estienne renonce conjointement avec son mari Jean Liébault, à sa succession<ref>Philippe Renouard, Documents sur les imprimeurs, libraires, cartiers, graveurs..., ayant exercé à Paris, de 1450 à 1600, Champion, Paris, 1901, p. 91-94.</ref>.
Selon Michel Maittaire, la beauté des éditions publiées par Charles Estienne n'a jamais été surpassée : il aurait égalé, par son érudition, les plus savants imprimeurs, et il en est peu qui aient publié plus d'ouvrages que lui en un aussi court espace de temps.
Dans une lettre à Scaliger, Jean Maumont décrit Charles Estienne comme un homme avare et emporté, jaloux de ses confrères et même de ses neveux, qu'il cherchait à desservir dans toutes les occasions.
Œuvres et publications
Charles Estienne est l'auteur de plusieurs dictionnaires et de nombreux autres ouvrages<ref>Voir la liste complète dans les Mémoires de Niceron, t. 36.</ref>
Principales publications en latin
- De vasculis libellus, adulescentulorum causa ex Baysio decerptus. Addita vulgari Latinarum vocum interpretatione, Paris : Charles Estienne, 1536. (Édition de 1543 en ligne)
- De re vestiaria libellus, ex Bayfio excerptus: addita vulgaris linguae interpretatione, in adulescentulorum gratiam atque utilitatem. Lyon : (Melchior & Gaspar Trechsel), 1536, Paris, 1555, Modèle:In-8o<ref>Voir : Lazare Baïf</ref> (Édition de 1536 en ligne)
- Seminarium, et Plantarium fructiferarum praesertim arborum quae post hortos conseri solent, Denuo auctum & locupletatum. Huic accessit alter libellus de conserendis arboribus in seminario: deque iis in plantarium transserendis atque inserendis, 1536 ; Paris : Roberti Stephani, 1540. (Édition de 1540 en ligne)
- Vinetum, in quo varia vitium, vuarum, vinorum, antiqua ([Reprod.]), Éditeur : F. Stephanum (Parisiis), 1537, [1 microfilm ; 35 mm], {{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k52173z%7C{{ #if: bpt6k52173z |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}.
- Arbustum, fonticulus, spinetum ([Reprod.]), apud Franciscum Stephanum (Parisiis), 1538, [1 microfilm ; 35 mm],{{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k52177b%7C{{ #if: bpt6k52177b |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}.
- De re hortensi libellus, vulgaria herbarum, florum, ac fructicum. qui in hortis conseri solent, nomina Latinis vocibus effere docens ex probatis autoribus. In puerorum gratium atq(ue) utilitatem, Estienne, 1539 ; Paris : Robert Estienne 1543 ; Paris : Rob. Stephani, 1545 (Édition de 1539 en ligne)
- De nutrimentis, ad baillyum, Robert Estienne, 1550 (en ligne)
- Dictionarium propriorum nominum, Paris, 1544 (Édition de 1550 en ligne)
- Dictionarium historicum, geographicum ac poeticum : omnia gentium, hominum, locorum, fluminum, ac montium antiqua recentioramque ad sacras ac prophanas historias, poætarumque fabulas intelligendas necessaria, vocabula, bono ordine complectens. Nunc demum ultra praecedentes impressiones, studiosorum aliquot opera & locupletius & nitidius redditum, 1553 ; Parisiis : apud Ioannem Macaeum, 1572
- Publié pour la première fois en 1553, il devient immensément populaire durant un siècle<ref name="COLL79" /> et connaîtra plusieurs éditions successives, notamment celle de 1579 à Lyon apud Herculem Gallum. Dans cette même année, l'ouvrage est imprimé par Stoer à Genève sans pour autant que soit indiqué le nom de l'auteur<ref>Lugduni : Apvd Lvdovicvm Cloqvemin, 1581. Il est réimprimé à Paris : Thomas Blazium, 1608 ; Francfort : Wechel, 1621.</ref>. Une édition de 1590 est disponible en ligne.
- Cet ouvrage sera traduit en 1643 par D. de Juigné-Broissinière et réédité sous son nom, sous le titre Dictionnaire théologique, historique, poétique, cosmographique et chronologique. Il jouira d'une popularité immédiate, avec huit éditions en l'espace de 36 ans<ref>Modèle:Harvsp</ref>.
- De Latinis et Graecis nominibus arborum, fruticum, herbarum, piscium & auium liber, ex Aristotele, Theophrasto, Dioscoride, Galeno, Athenao, Oppiano..., Paris, 1544 ([Reprod.]) {{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k541634%7C{{ #if: bpt6k541634 |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}, 1547 , 1554. (Édition de 1547 en ligne)
- Dictionarium latino-grœcum, Paris, 1554, in-4° Modèle:Commentaire biblio
- Dictionarium latino-gallicum, Paris, in-folio 1552 Modèle:Commentaire biblio
- Praedium rusticum, In Quo Cuiusuis Soli vel Culti vel Inculti Platarum Vocabula ac Descriptiones, Earumque Conseredarum atque Excolendarum Instrumenta suo Ordine Describuntur, Paris, 1554 (en ligne) Modèle:Commentaire biblio
- Thesaurus Ciceronis, Paris, 1556, in-folio Modèle:Commentaire biblio
- Dictionarium historico-geographico-poeticum, Genève, in-4° (En ligne : éditions de 1590 (numérisation e-rara) et de 1633)Modèle:Commentaire biblio
- Lexicon historicum, geographicum, poeticum. Hanc postremam editionem Fed. Morellus. ita recensuit ac recognovit. Parisiis, apud Joannem Libert, 1644 (en ligne)
Principales publications en français
- La Dissection des parties du Corps humain divisée en trois livres, Paris : Simon de Colines, 1546, traduction française de De Dissectione partium corporis humani (1545), Texte intégral. Modèle:Commentaire biblio
- Abrégé de l'Histoire des vicomtes et ducs de Milan, extrait en partie de Paul Jove, 1552, in-4° Modèle:Commentaire biblio
- La guide des chemins de France, revu et augmenté; Les fleuves de France, Paris, 1552 , {{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k102662d%7C{{ #if: bpt6k102662d |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}
- La guide des chemins de France : reveue et augmentée ; Les fleuves de France : aussi augmentez par Charles Estienne..., Paris, 1552, Modèle:In-8o. Modèle:Commentaire biblio
- Paradoxes, ce sont propos contre la commune opinion: debatuz, en forme de declamations forenses: pour exerciter les jeunes esprits, en causes difficiles, Paris : Charles Estienne, 1553. (Édition de 1555 en ligne) Modèle:Commentaire biblio
- L'Agriculture et maison rustique de M. Charles Estienne Docteur en Médecine, Plus un bref recueil de la Chasse & de la Fauconnerie, Paris, Jaques du Puis, 1564.
- Cet ouvrage en français de 370 pages en 6 parties, comporte une épitre dédicatoire de Charles Estienne datée du Modèle:Date- à Thomas de Brageloigne, Conseiller du Roi et Lieutenant criminel de la Prévôté et Viconté de Paris.
- Charles Estienne ne la présente pas comme une traduction du Praedium rusticum, mais, dans sa dédicace, indique que le traité devait s'appeler Agriculture Française et maison rustique, qu'il s'affranchit des auteurs anciens et ne traite pas de la culture sous le climat italien. Il se revendique comme auteur propre de l'ouvrage en tant que témoin oculaire et praticien lui-même de l'agriculture en France : « Or j'ai nommé le traité qu'en ai fait l'Agriculture Française et maison rustique, parce que je ne passe en quoi que ce soit sur les pays transmarins, n'y transmontains, et partant ne me sers aucunement des écrits de ceux qui en ont fait mention au temps passé.. Ai été contraint de rustiquer souventes fois, et familièrement converser avec toutes sortes de gens rustiques, comme avec laboureurs, vignerons, chartiers, bouviers, âniers, muletiers, bergers, jardiniers, pêcheurs, chasseurs, oiseleurs, fauconniers, à fin que je ne connusse les choses assurément et que je ne fusse scripteur des choses ouïes ou louées, comme font plusieurs de notre temps, mais plutôt auteur oculaire et praticien de notre agriculture Française et maison rustique. »
- Jean Liébault, son gendre, le republie à partir de 1566 avec des ajouts successifs en y adjoignant son nom. Les éditions de 1566, 1567, 1570 et 1572 comportent une dédicace à Antoine de Crussol, Duc d'Uzès. Les éditions de 1578, 1583 et ultérieures, une dédicace à Jacques de Crussol, Duc d'Uzès.
- Cette version amendée par Jean Liébault, sera réimprimée à de nombreuses reprises, notamment en 1629 par Franciscus Pelocarum, et traduite en italien par Hercule Cato, Venise, in-4° ; en allemand, par Melchior Sebitz, Strasbourg, 1592, in-fol. ; en anglais, par Gervais Marckam, et en flamand. Il s'en fit de nombreuses éditions<ref>Paris : chez Jacques du Puys, 1564, in-4°, 155 f. ; Paris : chez Jacques du Puys, 1572, 252 p. [Gallica] ; Paris : chez Jacques du Puys, 1578 [Gallica] ; 1583 et 1586, in-4°, 394 f. ; Rouen : chez Romain de Beauvais, 1602, in-4°, 394 f. ; Rouen : chez Jean Osmont, 1613, in-4°, 672 p. ; Lyon : {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ve{{#if:| }} }} de C. Rigaud et P. Borde, 1637, in-4°, 709 p. ; Paris : N. de La Vigne, 1640, in-4°, 664 p. ; Rouen : J. Berthelin, 1641, in-4° ; Rouen : C. Malassis, Impr. de D. et P. Geoffroy, 1658, in-4° ; Lyon : J. Carteron, 1653, in-4°, 709 p. ; Lyon : J. Olier, 1659, in-4°, 574 p. ; Rouen : Maurry, 1665-1666, Modèle:In-8o, 672 p. ; Rouen : chez la {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ve{{#if:| }} }} de G. Machuel et chez la {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ve{{#if:| }} }} de Pierre de La Motte, 1676, in-4°, 672 p. ; Lyon : A. Molin, 1680, in-4°, 658 p. ; Lyon : chez Jean et Claude Carteron, 1680, in-4° ; Lyon : chez Laurent Meton, 1680, in-4° ; Lyon : C. Carteron et C. Amy, 1689, in-4°, 658 p. ; Rouen : chez Jean-Baptiste Besongne, 1698, in-4°, 672 p. ; Lyon : André Laurens, [1702], 677 p.. Pour les éditions successives : Florian Reynaud, Les bêtes à cornes (ou l'élevage bovin) dans la littérature agronomique de 1700 à 1850, Caen, thèse de doctorat en histoire, 2009, annexe 2 (4. 1564)</ref>.
- Pour Gérard Oberlé : « Ce gros volume regroupe tous les traités sur les jardins, prés, vignobles, arbres fruitiers, potagers publiés séparément par Charles Estienne entre 1535 et 1548. Il en fit une complète révision avant de les réunir sous le titre de rusticum. On y trouve non seulement des préceptes pratiques, mais aussi beaucoup d'érudition, appuyée sur d'anciens auteurs grecs et latins. Ce livre, l'un des premiers du genre, connut un énorme succès et contribua à faire naître l'habitude de ces sortes de catéchismes ruraux. Le recueil de 1554 est l'embryon de ce qui, après de nombreuses augmentations et transformations, deviendra la célèbre Maison Rustique de Estienne et Liébault<ref>Les Fastes de Bacchus et de Comus, ou Histoire du boire et du manger en Europe, de l'Antiquité à nos jours, à travers les livres, Paris, Belfond, 1989, in-4°, 645 p., Modèle:P.352</ref>. »
- Pour Laurent Paya : « L’Agriculture et maison rustique, éditée à titre posthume dès 1564 (...), est le résultat d’une profonde réécriture en langue vernaculaire du Prædium rusticum de 1554 impliquant une rénovation complète de l’ouvrage jusque dans ses objectifs pédagogiques.»<ref>Laurent Paya, Les livres d'architecture, Charles Estienne, L’Agriculture et maison rustique, 1564, Cesr, Tours/Artopos, Jardin et Paysage, Montpellier, 2013.</ref>
- Le chapitre III, intitulé vinetum, est entièrement consacré au vin et à la vigne. De nombreux types de vins y sont cités : Gascogne, Anjou, Bourgogne. Champagne, Soissons, Orléans, Beaune, Ysans, Bordeaux, Mâcon, Graves, Gaillac, Reims, Saint-Germain, Pringy, Arbois, Gentilly, Suresne, Meudon, Fontenay, Arcueil, Issy, Mont-Valérien, Montmartre, Ay, etc. Lire en ligne.
- Première comédie de Térence, intitulée l'Andrie, traduite en prose, Paris, in-16 ; (Théâtre français de la Renaissance, La Comédie à l’époque d’Henri II et de Charles IX. Première Série. Vol. 6 (1541-1554), Florence, Olschki ; Paris, Presses Universitaires de France, 1994, édition d’Enea Balmas et Michel Dassonville)
- Comédie du Sacrifice, des professeurs de l'académie senoise nommés Intronati, traduite de la langue toscane, Lyon, 1543, Modèle:In-8o ; réimprimée sous le titre des Abusés, Paris, 1549, in-16. La pièce italienne est intitulée : Gli ingannati. lire en ligne sur Gallica Modèle:Commentaire biblio
- Les figures et portraicts des parties du corps humain, Paris : Jacques Kerver, 1575. En ligne (exemplaire des Bibliothèques de Nancy, Rés. 4037)
- L'agriculture, et maison rustique ; plus un Bref recueil des chasses et de la fauconnerie ([Reprod.]), de MM. Charles Estienne, & Jean Liebault, Éditeur: Jaques du Puys (Lyon), 1583, [1 microfilm ; 35 mm], {{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k52721c%7C{{ #if: bpt6k52721c |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}
Notes
Voir aussi
Articles connexes
- Famille Estienne
- Sur la Nouvelle Maison rustique voir notamment : L'année du laboureur.
Bibliographie
- Modèle:Michaud
- Hélène Cazes, Estienne, Charles - La dissection des parties du corps humain divisee en trois livres... Présentation en ligne dans le site de la Bibliothèque interuniversitaire de santé.
- Modèle:Ouvrage.
- Fossard, Jacques, « Estienne de La Rivière, anatomiste précurseur de la Renaissance, malheureusement oublié », Histoire des sciences médicales, 1989, 23 (4), pp. 261-266, Texte intégral.
- Antoine Augustin Renouard, Annales de l'imprimerie des Estienne, Modèle:2e éd., Paris, 1843, Texte intégral.
- {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Antonio Saltini, Storia delle scienze agrarie, t.I Dalle origini al Rinascimento, Edagricole, Bologna 1984, Modèle:P.
- {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}}Anke H. Scultetus, J. Lionel Villavicencio & RICH Norman M. Rich (2001). « Facts and fiction surrounding the discovery of the venous valves. » Journal of Vascular Surgery, 33(2), 435-441.
Liens externes
Modèle:Autres projets Modèle:Liens
- Charles Estienne notice bio-bibliographique dans le site de la Biu Santé.
- Charles Estienne dans la Banque d'images et de portraits de la Biu Santé.
- (la) Carolus Stephanus, De Dissectione partium corporis humani libri tres, à Carolo Stephano, doctore Medico, editi. Una cum figuris et incisionum declarationibus, à Stephano Riverio, Chirurgo compositis. Cum privilegio. Parisiis. Apud Simonem Colinaeum, 1545. Gallica.
- Charles Estienne, La Dissection des parties du Corps humain divisée en trois livres, faits par Charles Estienne docteur en Médecin : avec les figures et déclaration des incisions, composées par Estienne de la Riviere Chirurgien. Paris, Simon de Colines, 1546.