Chouzé-sur-Loire
Modèle:Infobox Commune de France
Chouzé-sur-Loire est une commune française située dans le département d'Indre-et-Loire, en région Centre-Val de Loire. Modèle:Sommaire
Géographie
Localisation
La commune est située dans la Touraine angevine, anciennement province d'Anjou jusqu'à la Révolution française. Modèle:Section communes limitrophes d'article de commune de France
Hydrographie
La commune est bordée par la Loire sur son flanc sud sur une longueur de Modèle:Unité. Le réseau hydrographique communal, d'une longueur totale de Modèle:Unité, comprend trois autres cours d'eau notables, l'Authion sur une toute petite section (Modèle:Unité) au nord-ouest du territoire communal, le Lane (Modèle:Unité) et le Petit Lane, et neuf petits cours d'eau pour certains temporaires<ref name="SIGES-fiche">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="Geoport-Chouzé-sur-Loire">Modèle:Lien web.</ref>.
Le cours de la Loire s’insère dans une large vallée qu’elle a façonnée peu à peu depuis des milliers d’années. Elle traverse d'est en ouest le département d'Indre-et-Loire depuis Mosnes jusqu'à Candes-Saint-Martin, avec un cours large et lent. La Loire présente des fluctuations saisonnières de débit assez marquées. Sur le plan de la prévision des crues, la commune est située dans le tronçon de la Loire tourangelle, qui court entre la sortie de Nazelles-Négron et la confluence de la Vienne<ref>Modèle:Ouvrage, Modèle:P..</ref>, dont la station hydrométrique de référence la plus proche est située à Langeais. Le débit mensuel moyen (calculé sur Modèle:Unité pour cette station) varie de Modèle:Unité au mois d'août à Modèle:Unité au mois de février. Le débit instantané maximal observé sur cette station est de Modèle:Unité et s'est produit le Modèle:Date-, la hauteur maximale relevée a été de Modèle:Unité le Modèle:Date-<ref name="Réf-Hydro">Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La hauteur maximale historique a été atteinte le 27 septembre 1856 avec Modèle:Unité<ref>Modèle:Ouvrage, Modèle:P..</ref>. Sur le plan piscicole, la Loire est classée en deuxième catégorie piscicole. Le groupe biologique dominant est constitué essentiellement de poissons blancs (cyprinidés) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)<ref name="Decret1958 ">Modèle:Lien web.</ref>.
L'Authion, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source à Modèle:Nb près de Bourgueil, à Hommes, à la fontaine de la Favrie<ref>Modèle:Géoportail.</ref> et se jette dans la Loire près d'Angers à Sainte-Gemmes-sur-Loire, à Modèle:Nb<ref>Modèle:Géoportail.</ref>, après avoir traversé Modèle:Unité<ref name="Sandre-L9--0220 ">Modèle:Lien web.</ref>. Sur le plan piscicole, l'Authion est également classé en deuxième catégorie piscicole<ref name="Decret1958 "/>.
Le Lane, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Coteaux sur Loire et se jette dans l'Authion à Varennes-sur-Loire (Maine-et-Loire), après avoir traversé Modèle:Unité<ref name="Sandre-L90-0300 ">Modèle:Lien web.</ref>. Sur le plan piscicole, le Lane est également classé en deuxième catégorie piscicole<ref name="Decret1958 "/>.
Deux zones humides<ref group="Note">D’après l’article L. 211-1 du Code de l’environnement, « on entend par zone humide les terrains, exploités ou non, habituellement inondés ou gorgés d’eau douce, salée ou saumâtre de façon permanente ou temporaire ; la végétation, quand elle existe, y est dominée par des plantes hygrophiles pendant au moins une partie de l’année ».</ref> ont été répertoriées sur la commune par la direction départementale des territoires (DDT) et le Conseil départemental d'Indre-et-Loire : « la prairies humides du Lane » et « la vallée de la Loire de Mosnes à Candes-Saint-Martin »<ref name="ZH1">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="ZH-Pref">Modèle:Lien web.</ref>.
Urbanisme
Typologie
Chouzé-sur-Loire est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (85,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (50,4 %), prairies (25,9 %), terres arables (8 %), zones urbanisées (5,6 %), eaux continentales<ref group="Note">Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.</ref> (4,8 %), forêts (3,3 %), cultures permanentes (1,1 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,9 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Chouzé-sur-Loire est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, la rupture d'un barrage et le risque nucléaire<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Authion, le Lane et la Loire. La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) d'Angers-Authion-Saumur, un des Modèle:Nobr qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Loire-Bretagne et portés à 22 lors de l'actualisation de 2018. Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de Modèle:Nobr à Modèle:Nobr), moyen (temps de retour de Modèle:Nobr à Modèle:Nobr) et extrême (temps de retour de l'ordre de Modèle:Unité, qui met en défaut tout système de protection)<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992, 1999 et 2016<ref>Modèle:Lien web, partie 1 - chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 99,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (90,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Unité dénombrés sur la commune en 2019, 1139 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 91 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2004 et par des mouvements de terrain en 1999<ref name=Géorisques/>.
Risques technologiques
Une partie du territoire de la commune est en outre située en aval d'une digue. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque rupture de barrage.</ref>.
En cas d’accident grave, certaines installations nucléaires sont susceptibles de rejeter dans l’atmosphère de l’iode radioactif. La commune étant située dans le périmètre réflexe de Modèle:Unité autour de la centrale nucléaire de Chinon, elle est exposée au risque nucléaire. À ce titre les habitants de la commune ont bénéficié, à titre préventif, d'une distribution de comprimés d’iode stable dont l’ingestion avant rejet radioactif permet de pallier les effets sur la thyroïde d’une exposition à de l’iode radioactif. En cas d'incident ou d'accident nucléaire, des consignes de confinement ou d'évacuation peuvent être données et les habitants peuvent être amenés à ingérer, sur ordre du préfet, les comprimés en leur possession<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque nucléaire.</ref>.
Toponymie
Histoire
En 1003, « Chozacius » indiquait une idée de sélection, ici « Terre de Choix ».
En 1050, les frères Lovo et Rahier firent don à l'abbaye de Bourgueil de Chozacum et ses dépendances ; la justice qui appartenait également à l'abbaye, avait son siège dans le prieuré du Plessis-aux-Moines. Elle était rendue par un sénéchal nommé par l'abbé de Bourgueil<ref name="Busserolle, Jacques-Xavier 1904 p.289">Carré de Busserolle, Jacques-Xavier (1823-1904), Dictionnaire géographique, historique et biographique d'Indre-et-Loire et de l'ancienne province de Touraine, t.2, p.289.</ref>
À la fondation de l'abbaye de Fontevraud, Maison-mère de l’ Ordre de Fontevraud des terres sont données à Robert d'Arbrissel (mort en 1116).
François Rabelais (1483-1553) mentionne déjà « Chozé » dans le chapitre 47 de Gargantua.
Ce fut [[François Ier de France|François {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }}]] qui, par lettres patentes, donna à Chozacius le titre et les privilèges de ville. Le nom de « Chouzé » apparaît dans la carte de France de Cassini (Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle).
Avant la Révolution, Chouzé dépendait du tribunal de Saumur (querelles liées aux impôts), du diocèse d'Angers, et de la généralité de Tours pour la levée des impôts.
Partie intégrante de la province d'Anjou et de son histoire, Chouzé et la région de Bourgueil (y compris le domaine du château de Gizeux et jusqu'à Château-la-Vallière) furent rattachées en 1790 au tout nouveau département d'Indre-et-Loire.
En 1343, le sel devient un monopole d'État par une ordonnance du roi Philippe VI de Valois, qui institue la gabelle, la taxe sur le sel. L'Anjou fait partie des pays de « grande gabelle » et comprend seize tribunaux spéciaux ou « greniers à sel », dont celui de Bourgueil.
Le Modèle:Date, Duplessis-Mornay gouverneur de Saumur (1589-1621) ne commande pas seulement la ville de Saumur, il prend la tête d'un gouvernement spécial qui est détaché de l'Anjou. Cette sénéchaussée de Saumur, englobe au nord de la Loire le pays de Bourgueil.
Chouzé et le pays bourgueillois (s'étendant jusqu'à Ingrandes vers l'est et jusqu'au château de Gizeux au nord) dépendront de la sénéchaussée de Saumur jusqu'à la Révolution française.
Lors de la création des départements, Chouzé fut rattaché au district de Langeais.
La batellerie et la meunerie ont joué un rôle très important dans le développement de la commune, par ailleurs bourg agricole aux multiples cultures. Vers 1830, la commune comptait de nombreux navigateurs, pêcheurs et mariniers. le trafic était important : voyageurs sur des embarcations légères, coches de Loire, et marchandises sur chalands.
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Modèle:Article connexe Modèle:…
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut |- |colspan="5" align="center" bgcolor="#f3fff3" | Modèle:Boîte déroulante/début Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluFinModèle:Boîte déroulante/fin Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Politique environnementale
Dans son palmarès 2016, le Conseil National des Villes et Villages Fleuris de France a attribué une fleur à la commune au Concours des villes et villages fleuris<ref>Site des villes et villages fleuris, consulté le 23 décembre 2016.</ref>.
Population et société
Ses habitants sont appelés les Chouzéens et Chouzéennes<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Évolution démographique
Modèle:Population de France/section
Enseignement
Chouzé-sur-Loire se situe dans l'Académie d'Orléans-Tours (Zone B) et dans la circonscription de Langeais.
L'école primaire Des Moulins et l'école primaire privée Notre-Dame de Lourdes accueillent les élèves de la commune.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Les Quais de la Loire : ancien port important, très connu à l’époque de la marine de Loire, Chouzé-sur-Loire a conservé son quai de 800 m de long. Agrandi au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, il a été restauré en 1999. Ce quai dessert une route de randonnée qui vous mène au fil de la Loire jusqu’au port de Varennes avec sa vue imprenable sur la confluence, sur le château de Montsoreau, et sur la collégiale de Candes-Saint-Martin.
- L'église Saint-Pierre<ref>Modèle:Lien web.</ref>. imposante par ses dimensions, cette église s'inspire des basiliques paléochrétiennes (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), avec sa vaste nef plafonnée bénéficiant d'un éclairage direct, ses arcades retombant sur de simples piliers rectangulaires et l'austérité de ses lignes. À l'extérieur, les deux éléments notables sont la rose de la façade principale, allégeant le caractère massif du parement nu, apparaillé avec soin, et le clocher, dont l'implantation à l'est du chœur est assez inattendue. Il s'agit d'une des rares églises de style "classique" élevée en Touraine au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, correspondant au renouveau de la foi catholique apparu sous les règnes de Louis XVIII et de Charles X.Les importantes dimensions de cette église évoquent l'intense activités des mariniers de Loire, transitant par le port et transportant diverses marchandises sur leurs gabarres: denré de bouche (vin, etc.) mais aussi matériaux de constructions (ardoises d'Angers, pierre de taille de Saumur, etc.), tissus, etc.
- Gare de Port-Boulet
- Six constructions sont inscrites aux monuments historiques : une maison à tourelles, le moulin de Lecé, le moulin à vent des Pelouses, les moulins-caviers, le prieuré du Plessis-aux-Moines et
- Le château des Réaux<ref>Modèle:Lien web.</ref> : classé monument historique en 1930, il a appartenu, au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, à Amaury Péau, puis à Jeanne de Montejean, comtesse de Sancerre, Antoine de Bueil et à Gilles de Brye en 1455<ref>Mémoires de la Société archéologique de Touraine Société archéologique de Touraine. Série in 80, Volumes 31 à 32, 1883. (p. 268)</ref>. En ruine au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref name="bude">Tallemant au château des Réaux</ref>,<ref>L'intermédiaire des chercheurs et curieux Volume 87, 1924. (p. 603)</ref>, il est acquis par le grand-père Jean Briçonnet, premier maire de Tours<ref>Les Réaux sur Histoire de France, 1996</ref>. Le château actuel a été construit sur l'emplacement de l'ancien château fort par le petit-fils Jean Briçonnet, fils de Guillaume Briçonnet, seigneurs des lieux<ref>Châteaux "brique et pierre" en France Par Josiane Sartre (p. 82)</ref> appelés alors Plessis-Rideau. Il fut également habité par Thibaut de Longuejoue<ref group=Note>Fils de Mathieu de Longuejoue, et marié à Madeleine Briçonnet, fille de Jean.</ref>, puis leurs descendants, la famille Taveau<ref>Le Grand dictionnaire historique Par Louis Moréri, vol. 6, 1759. (p. 383)</ref>. Un mariage en 1595 apporte dans la famille La Béraudière le domaine, dont François de La Béraudière hérite<ref name="bude" />, et vend cent quinze mille livres<ref>Les historiettes de Tallemant des Réaux, mémoires pour servir à l'histoire du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle Par Gédéon Tallemant des Réaux, Louis-Jean-Nicolas de Monmerqué, Hippolyte de Châteaugiron. Vol. 1, 1834. (p. XXV)</ref>, vers 1650, à l'écrivain et poète Tallemant des Réaux, dont le château devient sa demeure et porte désormais son nom<ref>Modèle:Pdf Étude des paysages d'Indre et Loire Direction régionale de l'Environnement. Décembre 2000, p. 12 (43)</ref> le Modèle:Date, par autorisation sur lettres-patentes du roi<ref>Manoirs et gentilshommes d'Anjou André Sarazin, 1965. (p. 85)</ref>.
- La maison à Tourelles ou Maison du Bailli : élégante demeure du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, ornée de deux tourelles coiffées de poivrières. C'est dans cette maison que mourut le Modèle:1er septembre 1464 Marie d'Harcourt, épouse de Dunois, le "bâtard" d'Orléans, compagnon de Jeanne d'Arc et artisan du rapprochement de la Normandie et de l'Aquitaine.
- Les moulins caviers de la rue des pelouses et de lecé : Les moulins à vent de types caviers sont une spécificité du Val de Loire. Dans cette région viticole, le moulin cavier permettait de stocker le vin et d'éviter les incendies dus au réchauffement des meules.Ils ont été construits vers la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle pour le plus ancien et vers 1860 pour le plus récent.
- L'ancien prieuré du plessis-aux-moines : Ce prieuré appartenait à l'abbaye de Bourgueil. Il fut fondé au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Il était entouré de douves dont l’une subsiste encore. Le logis du prieur présente, sur la cour, une porte surmontée d'armoiries qui ont été bûchées et, au premier étage, deux fenêtres dont l'une a son encadrement mouluré et décoré d'angelots. Il possède une chapelle à l'angle. Au sud du couvent subsiste la grange à dîmes.
Personnalités liées à la commune
- François-Pierre Chaumeton (1775 - 1819), médecin et botaniste.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
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