Colombier (Dordogne)
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France
Colombier est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Géographie
Généralités
Située en Bergeracois, dans le sud du département de la Dordogne, la commune de Colombier fait partie de l'aire urbaine de Bergerac<ref>Aire urbaine de Bergerac (109), Insee, consulté le 28 mai 2017.</ref>.
À proximité de la route nationale 21, le bourg de Colombier se situe, en distances orthodromiques, neuf kilomètres au sud-sud-est de Bergerac et seize kilomètres au nord-est d'Eymet.
Le sentier de grande randonnée GR 6 traverse le territoire communal d'ouest en est, sur environ six kilomètres.
Communes limitrophes
Colombier est limitrophe de six autres communes dont Bergerac au nord sur Modèle:Unité.
Géologie et relief
Géologie
Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Colombier est située dans le quatrième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de dépôts siliceux-gréseux et de calcaires lacustres de l'ère tertiaire<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant du Cénozoïque. La formation la plus ancienne, notée e6b, se compose de molasses inférieures (faciès argileux dominant) (Bartonien supérieur continental). La formation la plus récente, notée Fxb2, fait partie des formations superficielles de type basses terrasses, constituées d'alluvions anciennes. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « Modèle:N° - Eymet » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine<ref>Modèle:Géoportail</ref>,<ref name=SIGES>Modèle:Lien web</ref> et sa notice associée<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Relief et paysages
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (Modèle:Unité, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (Modèle:Unité à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre Modèle:Unité<ref name="Cassini"/> à l'extrême nord, là où le ruisseau de Lespinassat quitte la commune et entre sur celle de Bergerac, et Modèle:Unité<ref name="Cassini"/> à l'ouest, au nord du lieu-dit Bel-Air, en limite de la commune de Monbazillac<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le Modèle:Date-, renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères<ref group=Note>Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.</ref> et 14 sous-unités<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est dans le Bergeracois, une région naturelle présentant un relief contrasté, avec les deux grandes vallées de la Dordogne et du Dropt séparées par un plateau plus ou moins vallonné, dont la pente générale s’incline doucement d’est en ouest. Ce territoire offre des paysages ouverts qui tranchent avec les paysages périgourdins. Il est composé de vignes, vergers et cultures<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de Modèle:Unité<ref name="Cassini"/>,<ref>Modèle:Lien web</ref>,Modèle:Note. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de Modèle:Unité<ref name=SIGES/>.
Hydrographie
Réseau hydrographique
La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle est drainée par le Gardonnette, le ruisseau de Lespinassat, le Cavérieu et par deux petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Géoportail</ref>.
La Gardonnette, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Bouniagues et se jette dans la Dordogne en rive gauche en limite de Gardonne et de Lamonzie-Saint-Martin, face à Saint-Pierre-d'Eyraud<ref>Modèle:Géoportail.</ref>,<ref>Modèle:Sandre</ref>. Elle borde la commune au sud-ouest sur près d'un kilomètre et demi face à Ribagnac.
Au nord-ouest, le ruisseau de Lespinassat, autre affluent de rive gauche de la Dordogne, sert de limite naturelle sur deux kilomètres, face à Monbazillac et Bergerac.
Au nord-est, le Cavérieu, affluent de rive gauche de la Conne et sous-affluent de la Dordogne, arrose le territoire communal sur plus d'un kilomètre dont Modèle:Nobr en limite de Conne-de-Labarde.
Gestion et qualité des eaux
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne Atlantique ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au sous‐bassin le plus aval du bassin versant de la Dordogne (aval de la confluence Dordogne - Vézère)., d'une superficie de Modèle:Unité est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)<ref>Modèle:Lien web</ref>. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web</ref>.
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Laurent Vign », sur la commune de Saint-Laurent-des-Vignes, mise en service en 1962<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Urbanisme
Typologie
Colombier est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bergerac, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (75,7 %), zones agricoles hétérogènes (13,2 %), terres arables (5,8 %), forêts (5,2 %), prairies (0,1 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Prévention des risques
Le territoire de la commune de Colombier est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Risques naturels
Colombier est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du Modèle:Date- fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février<ref>Modèle:Lien web, chapitre Feux de forêts.</ref>. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels<ref>Modèle:Lien web, chapitre Mouvements de terrain.</ref>. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie<ref>Modèle:Lien web</ref>. 87,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>. Depuis le Modèle:Date-, en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort<ref group=Note>Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1996, 1999, 2008 et 2018, par la sécheresse en 1989, 1992, 1995, 2005 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999<ref name=Géorisques/>.
Toponymie
Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, le village est identifié sous le nom de Colombiers<ref>Carte 71 Bergerac, site cartocassini.org, consulté le 28 mai 2017.</ref>.
En occitan, la commune porte le nom de Modèle:Langue<ref>Le nom occitan des communes du Périgord - Colombièr sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le Modèle:Date-.</ref>.
Histoire
En janvier 1924, au lieu-dit des Caraignes, près de l'agglomération de Labadie, commune de Colombier, l'emplacement d'une importante villa gallo-romaine fut révélé par la découverte d'un vase de type arceus (vase pansu à col étroit), rempli de Modèle:Unité de monnaie de bronze saucé, de potin ou d'argent. Toutes ces monnaies sont des antoniniani dont l'enfouissement est postérieur à l'an 270 car l'ensemble comporte une monnaie d'Aurélien<ref>André Jouanel, « Le trésor de monnaies romaines de Labadie, commune de Colombier », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1938, tome 65, Modèle:P., Modèle:P., Modèle:P., 1939, tome 66, Modèle:P., Modèle:P., Modèle:P., Modèle:P.</ref>.
Noms des empereurs (dates du règne) |
Nombre de médailles |
Nombre de types distincts |
---|---|---|
Trajan (98-117) | 1 | 1 |
Sévère Alexandre (222-235) | 2 | 2 |
Gordien le Pieux (238-244) | 2 | 2 |
Philippe père (244-249) | 2 | 2 |
Otacilia, femme de Philippe | 2 | 2 |
Trajan Dèce (249-251) | 1 | 1 |
Etruscilla, femme de Trajan Dèce | 6 | 3 |
Herennius (251) | 3 | 2 |
Trébonien Galle (251-253) | 15 | 11 |
Volusien (251-253) | 18 | 11 |
Émilien (253) | 3 | 2 |
Valérien père (253-260) | 355 | 68 |
Mariniana, femme de Valérien | 2 | 2 |
Gallien (253-268) | 260 | 120 |
Salonine, femme de Gallien | 77 | 28 |
Salonin (253-259) | 103 | 19 |
Valérien jeune (258) | 37 | 4 |
Macrianus (260-261) | 6 | 4 |
Quiétus (260-261) | 6 | 5 |
Postume (260-269) | 1 430 | 78 |
Lélien (268-269) | 3 | 1 |
Victorin père (265-267) | 33 | 8 |
Tétricus père (271-274) | 1 | 1 |
Marius (268-269) | 6 | 4 |
Claude le Gothique (268-270) | 9 | 9 |
Aurélien (270-275) | 1 | 1 |
Total | 2 384 | 391 |
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Dès 1790, la commune de Colombier a été rattachée au canton de Ribagnac qui dépendait du district de Bergerac jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Lorsque ce canton est supprimé par la loi du 8 pluviôse an IX (Modèle:Date) portant sur la « réduction du nombre de justices de paix », la commune est rattachée au canton d'Issigeac dépendant de l'arrondissement de Bergerac<ref name=Cassini/>.
Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du 21 février 2014, ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015<ref name="Décret2014">Modèle:Lien web.</ref>. La commune est alors rattachée électoralement au canton du Sud-Bergeracois.
Intercommunalité
Fin 2001, Colombier intègre dès sa création la communauté de communes de Bergerac Pourpre. Celle-ci est dissoute au 31 décembre 2012 et remplacée au Modèle:1er janvier 2013 par la communauté d'agglomération bergeracoise. Celle-ci fusionne avec la communauté de communes des Coteaux de Sigoulès au Modèle:Date- pour former la nouvelle communauté d'agglomération bergeracoise.
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 100 et Modèle:Unité au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020<ref>Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 2 septembre 2020.</ref>,<ref>Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 26 octobre 2020.</ref>.
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Jumelages
Équipements et services publics
Justice
Dans le domaine judiciaire, Colombier relève<ref> Modèle:Lien web.</ref> :
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes et du tribunal de commerce de Bergerac ;
- du pôle Nationalité du tribunal judiciaire de Périgueux (compétent uniquement dans le domaine de la nationalité) ;
- de la cour d'appel, du tribunal administratif et de la cour administrative d'appel de Bordeaux.
Population et société
Démographie
Les habitants de Colombier se nomment les Colombériens<ref>Fiche commune Colombier, Union des maires de la Dordogne, consultée le 17 novembre 2016.</ref>.
Modèle:Population de France/section
Manifestations culturelles et festivités
- Depuis 1994, chaque année le Modèle:Date-, foire à la brocante et vide-greniers de grande ampleur : Modèle:Nombre sur deux kilomètres de linéaires dans le village de Labadie<ref>Daniel Bozec, « Le vide-greniers géant au service du petit village », Le Mag Modèle:N°, supplément à Sud Ouest, 4 mai 2019, Modèle:P..</ref>. Après deux années où cette manifestation n'a pu se tenir pour cause de pandémie de Covid-19, la Modèle:27e a lieu en 2022<ref>Grégoire Morizet, « La brocante géante du Bergeracois fait son retour », Sud Ouest édition Dordogne, Modèle:Date-, Modèle:P..</ref>.
- Festival du Pescet (de théâtre) à la mi-août (Modèle:5e en 2023)<ref>Thomas Jonckeau, « On a tous une identité différente », Sud Ouest édition Dordogne, Modèle:Date, Modèle:P..</ref>.
Économie
Emploi
En 2015<ref>Dossier complet - Commune de Colombier (24126) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 20 septembre 2018.</ref>, parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent Modèle:Unité, soit 50,0 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (quinze) a légèrement augmenté par rapport à 2010 (quatorze) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 12,5 %.
Établissements
Au Modèle:Date-, la commune compte trente-cinq établissements<ref>Modèle:Lien web.</ref>, dont seize au niveau des commerces, transports ou services, quatorze dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, trois dans la construction, et deux relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale<ref>Dossier complet - Commune de Colombier (24126) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 20 septembre 2018.</ref>.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Château de la Jaubertie, du {{#switch: au
| e | er | = Modèle:S mini{{#ifeq: XX|-| – | XX }}Modèle:S mini siècle
| Modèle:S mini{{#ifeq: au|-| – | au }}Modèle:S mini siècle
}}, inscrit au titre des monuments historiques depuis 2004 pour ses façades, toitures, pavillons, pigeonniers et puits<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
- Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul<ref>Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), Modèle:ISBN, Modèle:P..</ref> des {{#switch: XVI
| e | er | = {{#switch: XVI
| e | er | = Modèle:S mini{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini siècles
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}}
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| e | er | = Modèle:S mini{{#ifeq: XVI|-| – | XVI }}Modèle:S mini siècle
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}}
}}, inscrite au titre des monuments historiques depuis 1948<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
-
Pigeonnier du château de la Jaubertie. -
L'église. -
Son portail. -
Le monument aux morts.
Personnalités liées à la commune
Pour approfondir
Articles connexes
- Liste des communes de la Dordogne
- Communauté d'agglomération bergeracoise (nouvelle)
- Liste des châteaux de la Dordogne
- Sentier de grande randonnée 6
- Dordogne (département)
- Périgord
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes