Coquelin cadet

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Alexandre Honoré Ernest Coquelin, né le Modèle:Date à Boulogne-sur-Mer et mort le Modèle:Date à Suresnes<ref>Acte de décès à Suresnes, n° 27, vue 9/76.</ref>, dit Coquelin cadet pour le distinguer de son frère Constant dit Coquelin aîné, est un acteur et un écrivain français.

Biographie

En 1867, après avoir reçu le premier prix de comédie au Conservatoire de Paris, Coquelin cadet débute à l'Odéon, puis entre à la Comédie-Française<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

En 1875, il en démissionne pour passer au théâtre des Variétés, où il joue dans divers vaudevilles tels que Un chapeau de paille d'Italie de Labiche. En 1876, il revient à la Comédie-Française, dont il devient sociétaire en 1879. Il s'y est en particulier illustré dans des rôles de pièces de Molière.

Spécialisé dans le monologue, qu'il découvre en écoutant Charles Cros lire son poème Le Hareng saur, art sur lequel il a écrit deux livres, Le Monologue moderne (1881) et L'Art de dire le monologue (1884), il a porté de nombreux monologues sur la scène, parmi lesquels ceux de Feydeau : Le Potache et Patte en l’air, Les Réformes, Tout à Brown-Séquard, Un Monsieur qui est condamné à mort et Un Monsieur qui n'aime pas les monologues.

En 1891, Antoine Bourdelle le sculpte en mascarille. En 1897, le sculpteur Jean-Antoine Injalbert sculpte son masque sur le Monument à Molière de Pézenas. En 1907, il est nommé Rosati d'honneur<ref>Modèle:Référence insuffisante</ref>. En 1908, Coquelin cadet est interné dans une maison de santé à Suresnes, où il meurt le Modèle:Date-. Il est enterré au cimetière de l'Est (Boulogne-sur-Mer).

Théâtre

Carrière à la Comédie-Française

Entrée en 1868.
Nommé [[sociétaires de la Comédie-Française|Modèle:304e sociétaire]] en 1879.

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Hors Comédie-Française

Publications

  • Sous le pseudonyme Pirouette, Le livre des convalescents, illustrations par Henri Pille, Paris, Tresse, 1880.
  • Le Monologue moderne, Paris, Éditions Paul Ollendorff, 1881<ref>En ligne sur Gallica</ref>.
  • Sous le pseudonyme Pirouette, Fariboles, illustrations par Henri Pille, Paris, Éditions Paul Ollendorff, 1882.
  • L'Art de dire le monologue, Paris, Éditions Paul Ollendorff, 1884<ref>En ligne sur Gallica</ref>.

Notes et références

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Annexes

Bibliographie

  • Benoît Noël, avec Francine Delacroix et Liliane Kalenitchenko, Les Coquelin, trois générations de comédiens, Société Historique de Rueil-Malmaison, 1998.

Article connexe

Liens externes

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