David-Maurice-Joseph Mathieu de La Redorte
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Personnalité militaire
David-Maurice-Joseph Mathieu de Saint-Maurice, comte de La Redorte, né le Modèle:Date de naissance à Saint-Affrique (Rouergue) et mort le Modèle:Date de décès à Paris, est un général et homme politique français.
Biographie
Issu d'une famille bourgeoise<ref>Le général comte Maurice-Mathieu de La Redorte.</ref>,<ref>Famille non répertoriée dans la noblesse du Rouergue.</ref> et protestante<ref name="Michaud 288"/> du Rouergue, Maurice Mathieu, fils de Joseph Mathieu, docteur en médecine, et de Jeanne de Barrau de Muratel, naquit à Saint-Affrique (auj. dans le département de l'Aveyron) le 20 février 1768<ref name="Léonore"/>.
Il a à peine achevé ses études<ref name="Courcelles 401"/> qu'il entre comme cadet dans le régiment suisse de Meuron le Modèle:1er avril 1783, qu'il suit au cap de Bonne-Espérance en 1783<ref name="Courcelles 283"/> et puis dans les Indes à la même époque. Il passe le 3 octobre 1786 dans la légion française de Luxembourg, et il y est nommé sous-lieutenant le 30 décembre suivant<ref name="Fastes 382"/>,<ref name=DE>Modèle:Harvsp</ref>.
Guerres révolutionnaires
De retour en France en 1789, son corps ayant été licencié le 22 juillet de la même année, il ne reprend du service que le 25 janvier 1792 dans le [[1er régiment de dragons|Modèle:1er de dragons]] (ci-devant Royal), dont son oncle, Modèle:M., chevalier de l'ordre de Saint-Louis<ref name="Courcelles 283"/>, est colonel. Celui-ci devenu maréchal-de-camp, le fait admettre en qualité de capitaine dans la légion du Centre le Modèle:1er août, et le prend pour son aide de camp le 8 du même mois. Attaché alors à l'armée du Rhin, il s'est distingué le 5 août, au combat d'Arnheim<ref name="Courcelles 283"/>, près de Landau<ref name="Fastes 382"/>.
Il marche avec la brigade que Modèle:M. conduit à l'armée du Centre, lors de l'invasion des Prussiens en Champagne, et se signale à la bataille livrée le 20 septembre, près Sainte-Menehould<ref name="Courcelles 283"/> : la bataille de Valmy.
Adjoint à l'état-major-général de l'armée de la Moselle<ref name="Courcelles 283"/>, passé à l'armée de Sambre-et-Meuse, il prend part à toutes les affaires de la campagne de 1793 et des ans II et III comme aide de camp du général Chapsal. Nommé adjudant-général le 25 prairial de cette dernière année (juin 1795<ref name="Courcelles 283"/>), et employé pendant les ans IV et V aux armées de l'Intérieur et du Nord (novembre de cette année). Là il commande l'avant-garde du corps d'armée chargé du blocus de Mayence, qui est levé par suite des préliminaires de paix signés à Léoben<ref name="Courcelles 283"/>. Il passe alors à l'armée de Sambre-et-Meuse. Après le traité de Campo-Formio<ref name="Courcelles 402"/>, il rejoint (an VI) l'armée de Rome qui, sous les ordres de Championnet, marche contre les insurgés de la Romagne<ref name="Fastes 382"/>.
Les habitants de Terracino (frontière du royaume de Naples<ref name="Courcelles 402"/>) se sont attiré la Modèle:Citation colère du général en chef par les excès auxquels ils se sont livrés envers les Français (ils ont Modèle:Citation). Modèle:Citation, l'adjudant-général Mathieu s'y porte le 22 thermidor, avec un détachement. Il enlève la place après six<ref name="Fastes 382"/> ou huit<ref name="Courcelles 283"/> heures d'un combat sanglant<ref name="Courcelles 283"/> et d'une résistance vigoureuse de la garnison, soutenue par 15 pièces de canon et par un grand nombre de paysans embusqués dans des jardins et des marais. Il s'empare de la ville, passe les rebelles au fil de la baïonnette, et s'empare de leurs armes et de leur artillerie<ref name="Courcelles 283"/>. Tous ceux que l'on prend les armes à la main sont passés au fil de l'épée<ref name="Fastes 382"/>. À la suite de cette action, pendant laquelle il a un cheval tué sous lui, le Directoire lui confère, par arrêté du 23 fructidor<ref name="Fastes 382"/> (9 septembre 1798<ref name="Courcelles 283"/>), le grade de général de brigade.
En l'an VII l'armée française ayant été attaquée par un fort contingent de Napolitains<ref group="n">40 000 selon Lievyns, Verdot & Bégat ; selon Courcelles : Modèle:Citation</ref>, aux ordres du général autrichien Mack<ref name="Fastes 382"/>, le général Mathieu est chargé de les contenir. Il chasse l'ennemi de Vignanello le 12 frimaire, et s'empare le 15 de Magliano et du camp d'une division napolitaine. Mais l'occupation d'Otricoli, ville située au-delà de Borghetto, compromettant les communications de l'armée française, Championnet remet le soin de la reprendre à Macdonald, qui confie la direction de l'attaque principale au général Mathieu. Celui-ci repousse l'ennemi sur tous les points, pénètre dans Otricoli, et fait plus du 2 000 prisonniers ; 8 pièces de canon, 3 drapeaux, ainsi que tout l'état-major du régiment de cavalerie de la Principessa, tombent en son pouvoir. Genzona, Cisterna, Piperno, Prossedi et Frosinone sont également emportés, ainsi que Ceprano où l'arrière-garde ennemie se trouve campée sur une hauteur dominant cette ville. Le lendemain, la brigade du général Mathieu enlève le pont franchissant le Garigliano<ref name="Fastes 383"/>, traverse le fleuve et entre sur le territoire napolitain<ref name="Courcelles 403"/>, après avoir fait dans ses marches journalières un assez grand nombre de prisonniers<ref name="Courcelles 284"/>.
Le 9 décembre 1798 le général Mathieu de La Redorte entre dans Rome, après avoir remporté, près de La Storta, un avantage sur la colonne napolitaine du comte de Damas. Attaqué le même jour, en avant de Saint-Jean de Latran, par une seconde colonne de 6 000 Napolitains qui veut protéger la retraite du comte de Damas, cette seconde colonne ennemie est également battue, avec perte d'environ Modèle:Nombre et 6 pièces de canon<ref name="Courcelles 284"/>. Le général Mathieu continue de servir en Italie après la reprise des hostilités entre les Napolitains et les Français, et contribue beaucoup à la capitulation de Calvi<ref name="Michaud 288"/>.
L'armée française, après un séjour de quelques jours à Rome, dont les Napolitains ont été de nouveau chassés, en repart le 20 décembre, et se dirige vers les frontières du royaume de Naples. Le 14 janvier 1799 ce général a ordre de reconnaître la place de Capoue. Cette reconnaissance devient un combat opiniâtre, dans lequel il a le bras fracassé par un coup de canon à mitraille. Cette blessure l'oblige de quitter l'armée et de se rendre aux eaux de Barèges pour se rétablir<ref name="Fastes 383"/>,<ref name="Courcelles 284"/>.
Il est encore en Italie quand il reçoit des portraits du roi de Naples et du pape de la part de ces deux souverains, Modèle:Citation pour la discipline dans laquelle il a maintenu les troupes françaises durant leur séjour à Naples et dans l'État romain<ref name="Michaud 288"/>.
Promu général de division le 17 avril 1799<ref name="DE" />, il prend le 9 nivôse an VIII, le commandement d'un corps de Modèle:Nombre rassemblés à Brest, et le 26 pluviôse celui du département du Finistère et de la ville de Brest. Modèle:Citation. À cette époque, on prépare dans ce port une expédition pour la Guadeloupe ; le général Mathieu qui doit en faire partie, ayant été retenu eu France, est investi le 11 prairial du commandement de la Modèle:20e militaire à Périgueux<ref name="Fastes 383"/>, et de là il se rend au mois de décembre à Dijon, pour commander une division de l'armée d'observation aux ordres du général Murat. Cette armée ayant été mobilisée, passe le petit Saint-Bernard, envahit le Piémont et se dirige vers Ancône pour en former le siège. L'armistice conclu à la suite de la bataille de Marengo ayant changé la destination de cette armée, elle marche en Toscane, puis dans le royaume de Naples, où la division du général Mathieu de La Redorte reste jusqu'au mois de mai 1802, époque de l'évacuation<ref name="Courcelles 284"/>.
Envoyé le 29 brumaire an IX<ref name="Fastes 383"/>, à l'armée d'observation du Midi, ce général est nommé au commandement de la Modèle:11e militaire à Bordeaux<ref name="Michaud 288"/>, le 18 prairial an X, puis à celui de la Modèle:1re du camp de Bayonne (an XI), et passe camp de Brest<ref name="Fastes 383"/>.
Guerres napoléoniennes
Nommé les 19 frimaire et 25 prairial an XII, membre et grand officier de la Légion d'honneur, un arrêté du 27 floréal de la même année le fait président du collège électoral de l'Aveyron<ref name="Fastes 383"/>.
En l'an XIV il commande la Modèle:2e du Modèle:7e du maréchal Augereau de la Grande Armée employée dans le Brisgau<ref name="Michaud 288"/> et destinée à repousser sur le Tyrol le corps autrichien du général Jelačić. Ce corps, cerné dans les positions qu'il occupe, met bas les armes et est fait prisonnier de guerre<ref name="Courcelles 285"/> : le général Mathieu règle, de concert avec le major-général Woffskell, les conditions de cette capitulation<ref name="Fastes 383"/>.
Il sert en 1806 et 1807 dans la campagne de Prusse et de Pologne<ref name="Michaud 288"/>,<ref name="Courcelles 285"/>. Le 4 avril 1806 il passe au service de Joseph Bonaparte, décrété roi de Naples, et suit ce prince en Espagne, où il remplace le général Reynier dans le commandement d'une division<ref name="Courcelles 404"/>. En 1808, attaché au corps d'armée du maréchal-duc de Montebello, il se distingue le 23 novembre, et est blessé à la bataille de Tudela, après laquelle il a le commandement de Barcelone et de la Basse-Catalogne. Modèle:Citation bloc
Vers le mois de mars 1811, il y a un complot organisé pour livrer aux Espagnols le fort Montjouich<ref name="Fastes 383"/>. Le général Mathieu, averti à temps, résolut de faire tourner cette entreprise à la perte de l'ennemi ; il laisse donc le général espagnol, le Modèle:Lien, rassembler Modèle:Nombre sous les murs du fort dans la nuit du 19 au 20, et pénétrer 800 grenadiers dans les fossés ; mais alors une fusillade terrible devient le signal de la destruction des assaillants, et le général espagnol, attaqué dans le même moment par des détachements placés hors de la ville, n'a qu'à chercher son salut dans une fuite honteuse<ref name="Fastes 383"/>.
Toutefois, sa coopération aux mouvements des années françaises en Catalogne ne se renferme pas uniquement dans les murs de Barcelone. Il se trouve le 24 juillet suivant, à la prise du Montserrat, enlève les hauteurs d'Altafulla le 24 janvier 1812, et continue pendant l'année 1813, à mériter la réputation de général intrépide et sagace<ref name="Fastes 383"/>. Il secourt en 1813, le fort de Balaguer et la ville de Tarragone, et fait lever le siège de cette place<ref name="Michaud 288"/>.
[[Napoléon Ier|Napoléon {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }}]], qui fait le plus grand cas de son mérite, lui a décerné la croix de chevalier de l'ordre de la Couronne de fer le 6 décembre 1807 et l'a élevé au rang de comte de l'Empire en 1810. Il reçoit le 3 avril 1813 la grand-croix de l'ordre de la Réunion, et rentre en France en 1814, avec les débris de son armée, tenant toujours tête à l'ennemi<ref name="DicoParlement 312"/>. Il s'empresse d'envoyer, depuis Blois<ref name="Michaud 288"/>, son adhésion à la déchéance de Napoléon<ref name="Fastes 383"/>.
Restauration et Monarchie de Juillet
Louis XVIII le fait chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis (bien que le comte de La Redorte soit protestant) le Modèle:1er juin 1814<ref name="Courcelles 285"/> et membre de l'institution du Mérite militaire<ref name="Vente aux enchères"/> le 10 novembre 1814<ref name="Monuments2012"/>. Le ministre français de la Guerre, comte Dupont, lui confie dans le même temps les fonctions d'inspecteur-général pour l'organisation de l'infanterie<ref name="Courcelles 404"/> dans les Modèle:10e et Modèle:12e militaires<ref name="Courcelles 285"/>.
[[Napoléon Ier|Napoléon {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }}]] emploie néanmoins le comte Mathieu de La Redorte pendant son règne des Cent-Jours en lui confiant le commandement de la Modèle:10e militaire à Toulouse<ref name="Courcelles 285"/> (juin 1815<ref name="Courcelles 404"/>).
Après la seconde restauration<ref name="Michaud 288"/> (juillet 1815), il se retire dans sa terre de d'Horedorve<ref name="Michaud 288"/> en Languedoc<ref name="Courcelles 404"/> (ou à La Redorte, département de l'Aude<ref name="Courcelles 285"/>). Le 4 août, le général Mathieu qui, l'année précédente, a repris son nom de La Redorte, se soumet de nouveau à Louis XVIII<ref name="Fastes 383"/>. Par ordonnance du 9 avril 1817, il est autorisé à ajouter à son nom propre le surnom de De La Redorte<ref name="Michaud 288"/>.
Le 23 octobre 1817 ce prince lui donne le commandement de la Modèle:19e militaire, et celui de Lyon (où il succède au général Canuel) après Modèle:Précision nécessaire. Il est mis en disponibilité en 1823<ref name="Michaud 288"/>.
Créé pair de France au titre héréditaire de baron, par ordonnance royale du 5 mars 1819 dans la fournée des soixante<ref name="Michaud 288"/>, grand'croix de la Légion d'honneur le 20 août 1820 (il est aussi commandeur de l'ordre de l'Épée de Suède<ref name="Courcelles 285"/>), le comte Mathieu de La Redorte vote constamment avec la minorité constitutionnelle du palais du Luxembourg<ref name="Fastes 383"/>.
En 1830 il prête serment à la royauté nouvelle ; mais prétextant ses infirmités pour refuser de faire partie du cadre de réserve, il prend sa retraite l'année suivante, et meurt le Modèle:1er mars 1833<ref name="Fastes 383"/>. Tout d’abord inhumé au cimetière du Père-Lachaise (Modèle:39e division)<ref name="Appl"/>,<ref>Registre journalier d'inhumation, 4 mars 1833, Modèle:N°, page 17</ref>,<ref>Registre journalier d'inhumation, 4 mars 1833, Modèle:N°, page 22</ref>, sa dépouille est transférée à La Redorte (Aude<ref name="Monuments2012"/>).
Distinctions
Titres
- [[comte de l'Empire|Modèle:1er Comte Mathieu et de l'Empire]] (accordé par décret du 3 décembre 1809 et lettres patentes signées à Compiègne le 26 avril 1810)<ref name="PLEADE"/> ;
- Pair de France :
- Ordonnance royale du 5 mars 1819 - Modèle:1er mars 1833,
- Baron-pair héréditaire (lettres patentes du 12 mai 1820)<ref name="heraldica"/>.
Décorations
- Légion d'honneur<ref name="Léonore"/> :
- chevalier de la Légion d'honneur (19 frimaire an XII / 3 décembre 1803), puis,
- grand officier de la Légion d'honneur (25 prairial an XII / 14 juin 1804), puis,
- grand-croix de la Légion d'honneur (24 août 1820) ;
- grand'croix de l'Ordre de la Réunion (3 avril 1813<ref name="DicoParlement 312"/>) ;
- chevalier de l'ordre de la Couronne de Fer (6 décembre 1807<ref name="Fastes 383"/>) ;
- grand dignitaire de l'Ordre royal des Deux-Siciles (avant 1811<ref name="Almanach 177"/>) ;
- chevalier de Saint-Louis (bien que le comte de La Redorte fut protestant, le Modèle:1er 1814<ref name="Courcelles 285"/>) ;
- Modèle:1er de l'institution du Mérite militaire<ref name="Vente aux enchères"/> (10 novembre 1814<ref name="Monuments2012"/>) ;
- commandeur de l'ordre de l'Épée de Suède (30 juillet 1823<ref name="Courcelles 285"/>) ;
- chevalier de l'ordre de la Couronne de Fer d'Autriche (avril 1824<ref name="Vente aux enchères"/>) ;
Hommage, honneurs, mention...
- Il fait partie des 660 personnalités à avoir son nom gravé sous l’arc de triomphe de l'Étoile. Il apparaît sur la [[Noms gravés sous l'arc de triomphe de l'Étoile#Pilier Ouest|Modèle:36e (pilier Ouest)]] : l’Arc indique MCE MATHIEU)<ref name="Fastes 383"/>.
Armoiries
Image | Blasonnement |
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Modèle:Armoiries avec ornements communs | Armes du comte Mathieu et de l'Empire
Burelé d'argent et de sinople, au comble de gueules chargé de trois étoiles d'or: franc-quartier des comtes tirés de l'armée brochant sur le tout<ref name="PLEADE"/>.
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Modèle:Armoiries avec ornements communs | Armes de comte Mathieu de La Redorte, baron-pair héréditaire
Burelé d'argent et de sinople; au chef de gueules, chargé de 3 étoiles d'or<ref name="Courcelles 285"/>,<ref name="heraldica"/>. |
Union et descendance
Issu d'une famille du Rouergue, Maurice Mathieu était le fils de Joseph Mathieu, docteur en médecine protestant et de Jeanne de Barrau de Muratel (Lacaune, 30 août 1742 - Laredorte, 1827). Sa mère se remarie avec le futur conventionnel Louis Bernard de Saint-Affrique<ref name="roglo"/>.
Mathieu avait épousé, non pas une demoiselle Clary comme le disent les biographes du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle<ref name="Michaud 288"/>,<ref name="Courcelles 285"/>,<ref name="DicoParlement 312"/>, mais la nièce de Désirée et Julie Clary (et donc, par alliance, de Joseph Bonaparte et Jean-Baptiste Bernadotte), Honorine-Thérèse Lejeans (12 décembre 1782 - 16 février 1806), fille du sénateur Lazare Lejeans (1738-1803). Le couple eut un fils unique : Joseph-Charles-Maurice (1804-1886), homme politique français du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle.
Notes et références
Modèle:Références Modèle:Références
Annexes
Articles connexes
- Armorial des comtes militaires de l'Empire (L-Z) ;
- Armée de Naples ;
- Bataille de Tudela ;
- Bataille de Valmy ;
- Lazare Lejeans ;
- Liste des grands-croix de la Légion d'honneur ;
- Liste des membres de la noblesse d'Empire ;
- Noms gravés sous l'arc de triomphe de l'Étoile ;
- Ordre de l'Épée ;
- Ordre royal des Deux-Siciles ;
- Régiment de Meuron ;
Liens externes
Bibliographie
- Modèle:Ouvrage ;
- Modèle:Courcelles-généraux Modèle:Plume ;
- Modèle:Ouvrage ;
- Modèle:Courcelles-pairs Modèle:Plume ;
- |Modèle:Fastes L-H Modèle:Plume ;
- Modèle:Michaud Modèle:Plume ;
- Modèle:Mullié ;
- Hippolyte de Barrau, Documents sur le Rouergue, tome 4, page 420 ;
- Modèle:DicoParlement Modèle:Plume ;
- Modèle:Ouvrage