Deux ou trois choses que je sais d'elle
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Fichier:Information icon.svg Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution
Modèle:Infobox V3/Fin Deux ou trois choses que je sais d'elle est un film franco-italien réalisé par Jean-Luc Godard, sorti en 1967.
Synopsis et contexte
Portrait de Juliette Jeanson, jeune mère de famille habitant dans un grand ensemble de la région parisienne, qui s'adonne à la prostitution occasionnelle. À travers elle, le portrait est également celui de la société tout entière, et de la région parisienne des années 1960 : Modèle:Citation bloc
Fiche technique
- Titre original : Deux ou trois choses que je sais d'elle
- Réalisation : Jean-Luc Godard assisté de Charles Bitsch
- Scénario : Jean-Luc Godard d'après Le Signe de Guy de Maupassant et un article de Catherine Vimenet publié dans Le Nouvel Observateur
- Dialogues : Jean-Luc Godard
- Photographie : Raoul Coutard
- Cadreur : Georges Liron
- Son : René Levert et Antoine Bonfanti
- Costumes : Gitt Magrini
- Montage : Françoise Collin et Chantal Delattre
- Musique additionnelle : Ludwig van Beethoven
- Production : Anatole Dauman et Raoul Lévy
- Sociétés de production : Argos Films (France), Anouchka Films (France), Les Films du Carrosse (France), Parc Films (France)
- Sociétés de distribution : UGC (France), Films Sirius (France), CFDC (Compagnie française de distribution cinématographique), Tamasa Distribution (France, étranger), Argos Films (vente à l'étranger)
- Pays d'origine : France et Italie
- Langues originales : français, italien
- Format : 35 mm — couleur (Eastmancolor) — 2,35:1 (Techniscope) — mono
- Genre : comédie dramatique, étude sociale
- Durée : Modèle:Nb
- Dates de sortie :
- Modèle:Date avant-première au Théâtre des Champs-Élysées (dans le cadre de la Nuit des Sciences-politiques)
- Modèle:Date généralisée (France)
Distribution
Production
Le cadre d'écriture et de réalisation du film est celui des Trente Glorieuses, période de profondes mutations de la France sous les présidences du Général De Gaulle – modernisation du pays à grande vitesse, construction de grands ensembles pour pallier les crises du logement d'une population qui devient de plus en plus urbaine et bénéficie de surcroit d'une croissance démographique importante liée au Baby-boom – dans le contexte international de la Guerre du Vietnam et des affrontements idéologiques est-ouest auxquels Jean-Luc Godard s'est toujours intéressé.
Au début du film, en voix off murmurée, Jean-Luc Godard dit : Modèle:Citation bloc
Il ajoute : Modèle:Citation bloc
Le tournage du film se déroule du 8 août au 8 septembre 1966<ref name="Seuil/Avant-scène"/>, avec les scènes extérieures réalisées à la Cité des 4000 à La Courneuve (Seine-Saint-Denis) et porte de la Chapelle à Paris.
Après que Marina Vlady ai repoussé la demande en mariage de Jean-Luc Godard juste avant le début des prises de vue, celui-ci ne lui adresse plus la parole comme elle le relate dans ses mémoires<ref>Pages 164-165 des mémoires de Modèle:Ouvrage</ref> : Modèle:Commentaire
Polémique sur la préparation
Marie Cardinal décrit la période en amont du tournage du film dans son ouvrage Cet été-là écrit en 1967 et dont la deuxième édition (seule disponible) parue aux Nouvelles Éditions Oswald en 1979 donne en annexe deux documents :
La lecture de ces deux documents provoque chez Marie Cardinal une profonde colère car elle a travaillé sur les conditions difficiles de vie des « étoiles filantes », ces femmes obligées de se prostituer pour nourrir leur famille<ref>Modèle:Harvsp.</ref>. L'auteure a pris la suite du travail d'investigation mené par la journaliste et écrivain Catherine Vimenet<ref group="N">La journaliste, collaboratrice de Jean Nohain, Jacqueline Weil, devenue Catherine Bergère (pseudonyme) puis Catherine Vimenet est l'épouse de Jean Vimenet.</ref> qui a fait l'objet d'un article polémique dans Le Nouvel Observateur titré « Les étoiles filantes ».
Accompagnée du photographe Nicolas Tikhomiroff, Marie Cardinal a enquêté dans les HLM de la périphérie de Paris (été 1966)<ref group=N>Voir le dossier présenté en 2016 par Camille Canteux sur la représentation des HLM.</ref>. Pour elle, Modèle:Citation bloc
Accueil critique
Modèle:Lien, critique au Village Voice, considère ce film comme l'une des plus grandes réussites de l'histoire du cinéma<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Récompense
Il a reçu le Prix Marilyn Monroe du Cinéma en 1967, décerné par un jury exclusivement féminin comprenant Marguerite Duras, Florence Malraux, Anne Philipe ou Christiane Rochefort<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.
Notes et références
Notes
Références
Voir aussi
Biblio-filmographie
- Michel Duvigneau, « Deux ou trois choses que je sais d'elle », Téléciné no 135, Paris, Fédération des Loisirs et Culture Cinématographique (FLECC), Modèle:Date, Modèle:Page, Modèle:ISSN
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- Modèle:OuvrageModèle:Commentaire biblio
Liens externes
- Deux ou trois choses que je sais d'elle sur Cinéclub de Caen.com