Frières-Faillouël

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Modèle:Infobox Commune de France Frières-Faillouël est une commune française située dans le département de l'Aisne, en région Hauts-de-France.

Modèle:Sommaire

Géographie

Modèle:Carte communes limitrophes

Localisation

Modèle:Encadré texte Frières-Faillouël est situé à l'ouest du département de l'Aisne et dans sa moitié nord. Le village est situé à Modèle:Unité de Laon, chef-lieu de l'Aisne et à Modèle:Unité de Saint-Quentin, capitale économique du département.

Le village est à l'extrémité nord-est du canton de Chauny, mais se situe plus près de la ville de Tergnier que de celle de Chauny. Il bénéficie du code postal de Tergnier.

Il est situé sur les axes Modèle:Nobr (axe est-ouest) et Modèle:Nobr, qui est l'ancienne Route nationale 37 (axe nord-sud), ainsi que la Modèle:Nobr et la Modèle:Nobr. Son territoire est traversé à l'est par un axe majeur du département, la Modèle:Nobr, axe à 2 × 2 voies reliant Saint-Quentin à Soissons.

La Gare de Mennessis, située à la limite de la commune, est un point d'arrêt non géré (PANG) à entrée libre desservi par des trains régionaux TER Hauts-de-France effectuant des missions entre les gares : de Compiègne et de Saint-Quentin ; d'Amiens et de Tergnier ou de Laon.

Frières et Faillouël constituent des lieux d'habitation distincts, distants d'environ Modèle:Unité (Modèle:Nobr). Entre les deux, on trouve des champs, le terrain de sport municipal et le château.

La majorité du territoire est constituée de champs et de forêts.

Les altitudes sont les suivantes :

Fichier:Vue de Frières-Faillouël.JPG
Vue générale.

Communes limitrophes

Les villes et villages alentour sont Mennessis, Jussy, Flavy-le-Martel, Villequier-Aumont, Viry-Noureuil, Vouël (Tergnier).

Hydrographie

La commune est drainée par le Fossé coulant, qui conflue dans le Rieu à Mennessis, lequel se jette dans l'Oise.

Urbanisme

Typologie

Frières-Faillouël est une commune rurale<ref group=Note>Selon le zonage publié en décembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chauny, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (52,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (53,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (48,9 %), forêts (40,8 %), zones urbanisées (6,4 %), prairies (3,8 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>.

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

Modèle:Section à sourcer Les différents noms portés par Frières ont évolué avec le temps : Feraria ou Ferarioe en 877, Ferrarie en 878 et 1130<ref name="DicoTopo">Modèle:Ouvrage, {{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/{{{n}}}%7C{{ #if: |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}.</ref>, Ferriere en 1289<ref name="DicoTopo"/> en 1111 et 1728, Ferières Ferrarioe en 1124, Ferrière en 1261, 1289 et 1440.

En 1829, il apparaît Frières-Faillouël, mais Frière-Fallouel est mentionné en 1576<ref name="DicoTopo"/>.

L'étymologie de Frières indiquerait, selon les théories :

  • que ce nom viendrait du latin ferrum qui veut dire fer et désignerait une forge,
  • Peigné Dellacourt rappelle que dans une charte délivrée par Louis le Bon on trouve l’inscription « villa actum Ferrarias ». Ce nom rappellerait les enclos destinés à retenir le gros gibier, les cerfs, les sangliers.

Faillouël a porté comme noms Foillovellum, Foilluollum, Filluellum, Folluel en 1126, Folloel en 1201, Foilluel en 1202/1205 et 1263, Folluel en 1441. En 1842, apparaît Faillouël. Le nom pourrait provenir de Folleia (folie), les folies étant les petites maisons de plaisance ou de chasse.

Histoire

Modèle:Section à sourcer

Les traces de présences humaines sont attestées à deux endroits de la commune : en effet des habitats gallo-romains y ont été détectés. L'un d'eux a été repéré en 1972 lors de la construction de la Modèle:Nobr Saint-Quentin - Soissons. Les engins de travaux publics ont détruit l'ensemble du site sous les yeux des archéologues, qui ont malgré tout pu récupérer du matériel archéologique, en particulier une magnifique figurine en terre cuite d'un canidé tenant une flûte de Pan et des céramiques des Modèle:S mini-, {{#switch: IV

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}}

}}. Exposée au musée de Noyon, la statuette y a depuis été volée…

La seconde trace est une villa gallo-romaine repérée par photographie aérienne.

À l'époque romaine, le village est sur le territoire du peuple des Viromanduens (capitale : Vermand / Saint Quentin).

La première trace écrite évoquant le village date du Modèle:Date-<ref group="Note">Le Modèle:Date- est la date de la consécration de l'église Saint-Corneille en présence de Charles le Chauve</ref>, lorsque le roi puis empereur Charles le Chauve donne les deux tiers du village à l'abbaye Saint-Corneille de Compiègne.

À partir du Moyen Âge

En 1046, le village est donné par [[Gérard de Cambrai|Gérard Modèle:1er]], évêque de Cambrai à l'abbaye de Neufchâteau.

Une motte castrale a été clairement repérée sur les hauteurs de Faillouël. La toponymie de l'endroit (la « Butte du Roi »), les observations aériennes et une intervention archéologique en 2006<ref>Modèle:Article</ref> ont repéré très clairement la motte, le fossé qui délimite la basse-cour et l'enceinte. La partie sondée à l'intérieur de la basse-cour a révélé la présence de structures d'habitats (traces de bâtiments sur poteaux et de fosses). Ces fosses étant remplies de fragments de torchis brûlé, cela pourrait signifier que le site a été détruit par un incendie. La céramique retrouvée permet d'estimer que le site a été occupé entre le Modèle:S mini- et le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Des autorisations de construction de maisons individuelles sur ce terrain historiquement et archéologiquement précieux ont empêché une fouille poussée en 2006.

Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle s'établit à Faillouël un prieuré de frères croisés de l'ordre de Saint-Augustin, dépendant de l'abbaye de Sainte-Croix-de-la-Bretonnerie<ref>Modèle:Ouvrage</ref>. Il semble que c'est le comte Jean de Faillouel, seigneur de Condren, qui ait permis la création des religieux de Sainte-Croix en leur donnant des terres dont il avait la possession à Faillouë<ref>Modèle:Ouvrage</ref> l.En effet, la terre de Faillouël est rattachée à celle de Condren.

L'église, détruite en 1918, daterait du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, elle fut restaurée en 1689<ref name="Ledouble"/>. L'actuelle rue du Vieux-Moulin à Faillouël et la carte de Cassini<ref>Modèle:Lien web</ref> du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle indiquent la présence de moulins à vent.

En 1430, les terres de Frières, Chauny…, sont vendues à Philippe le Bon, duc de Bourgogne par le [[Charles Ier d'Orléans|Charles {{#ifeq:d’Orléans | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:d’Orléans| d’Orléans }} }}]], duc d'Orléans.

Aux {{#switch: XVI

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}}, Frières était une seigneurie relevant de la châtellenie de Chauny<ref name="DicoTopo"/>.

Modèle:Référence nécessaire.

Révolution française et Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

Entre 1790 et 1794, la commune de Faillouël, instituée par la Révolution française, est rattachée à Frières, qui prend en 1801 le nom de Frières-Faillouel, puis, ultérieurement, celui de Frières-Faillouël<ref name="Cassini"/>.

Avant la Révolution française, la société locale est divisée entre gros fermiers, propriétaires de fermes dépassant la centaine d’hectares, et ouvriers agricoles très dépendants. Ces deux classes s’affrontent lors de la décennie révolutionnaire. Un des épisodes de cet affrontement est celui de la levée en masse décrétée par la loi du 24 février 1793. Le règlement de la levée prévoyait que la commune financerait l’équipement des recrues. Les recrues de la commune imposent à l’ancien seigneur, Le Sellier de Chezelles, de verser Modèle:Unité, arguant qu’étant le plus favorisé de la commune, il était aussi celui qui avait le plus à perdre et donc avait le plus intérêt à la défense de la patrie<ref>Modèle:Article.</ref>.

Faillouël étant située sur la route postale de Château-Thierry à Saint Quentin, un relais de poste est installé<ref group="Note">Le relais de poste est attesté dans le livre de poste français de 1845, le précédent étant Chauny, le suivant Saint-Quentin</ref>. Des routes postales vers Roupy et Ham partent également de Frières. Ce relais de poste est à l'origine du bureau de poste installé à Faillouël, disparu dans les années 2000.

Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, l'activité économique est principalement liée à l'agriculture, mais on compte également une fabrique de sucre<ref name="EGSF">Modèle:Ouvrage, {{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/{{{n}}}%7C{{ #if: |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}.</ref>, un four à chaux (rue du Chaufour), une brasserie, une briqueterie<ref>encyclopedie.picardie.fr.</ref>..

En 1835, le chœur de l'église, bénie le Modèle:Date-, est reconstruit avec un clocher<ref name="Ledouble">Modèle:Ouvrage, sur Google books</ref>. Le Modèle:Date-, trois nouvelles cloches sont installées dans le clocher pour remplacer l’ancienne et bénites par l’évêque et l’abbé Bahin, curé de Frières. Elles portent les noms de Sophie Caroline, Marie Eugénie et Marthe Alexandrine<ref>Modèle:Article, {{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/{{{n}}}%7C{{ #if: |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}.</ref>.

Époque contemporaine

Première Guerre mondiale

Modèle:Référence nécessaire.

Modèle:Référence nécessaire

Le recul allemand de 1917 est célébré par des visites officielles à Faillouël, dont le roi d'Italie Victor Emmanuel III en octobre 1917<ref>Modèle:Lien web</ref>, de passage dans la région. Plusieurs personnalités visitent en juin<ref>Modèle:Lien web</ref> et en juillet<ref>Modèle:Lien web</ref> le pavillon du prince Eitel Frédéric (commandant une des divisions de l'armée allemande) découvert par les alliés quand ils reprennent la région : il s'agit d'un poste d'observation et de repos, en bois, situé sur les hauteurs de Faillouël, au Bois l'Abbé.

Les 22 et 23 mars 1918, les Allemands progressent et occupent de nouveau le village. La Maison du Garde (au sud du territoire de Frières en lisière de forêt) demeure le lieu de la commémoration de l’engagement des troupes alliées face aux troupes allemandes, du 21 au 23 mars 1918<ref>Modèle:Référence incomplète</ref>. Des milliers de soldats allemands sont face au Corps expéditionnaire américain, aux Modèle:3e et Modèle:5e britanniques, Modèle:10e Régiment d’Infanterie de l’Essex, la Modèle:1re de cavalerie (Modèle:9e de Cuirassiers) et la Modèle:1re de Lorraine pour les troupes alliées. Au soir du 24 mars, les troupes allemandes ont avancé de Modèle:Unité, capturé Modèle:Nombre et pris Modèle:Unité. Aujourd’hui, la route qui traverse le bois a été rebaptisée le Modèle:Date- Route du Modèle:9e et du Modèle:10e.

Le village est repris par les Français le 7 septembre 1918. Modèle:Article détaillé À la fin de la guerre, le village est considéré comme détruit<ref name="CSRD">Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.</ref> : seules la grille du château, de la ferme rue Pasteur, la façade de l'église et la chapelle du cimetière ne sont pas détruites. Des baraquements provisoires sont construits. Le village est décoré le Modèle:Date- de la Croix de guerre<ref>Journal officiel du 21 octobre 1920, page 16155.</ref>.

Le Modèle:Date-, le journal La Lanterne (quotidien) indiquait<ref>Modèle:Article.</ref> : Modèle:Citation bloc

Dans les années 1920-1930, l'église, la mairie et le village sont progressivement reconstruits.

La grande ferme de la famille Le Sellier de Chezelles, rue Pasteur, est reconstruite en 1919-1922, sur le plans de l'architecte parisien André Granet<ref name="Cappronier">Modèle:Article.</ref>. Le château situé entre Frières et Faillouël, dont la construction datait d'après la guerre 1870, est reconstruit en 1928 par les architectes parisiens Gustave Olive et Joseph Martin<ref name="MA1934"/>. Le vieux château du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle (situé entre la ferme rue Pasteur et la mairie actuelle) n'est pas reconstruit<ref name="Cappronier"/>.

Modèle:Article détaillé

Seconde Guerre mondiale

Au début de la Seconde Guerre mondiale, en octobre 1939, le [[27e régiment d'infanterie (France)|Modèle:27e]], dirigée par le Colonel Quantin, stationne dans la région. Une partie du régiment s'installe dans le village jusqu'en mai 1940.

En mai 1940, fin de la "drôle de guerre" : les allemands arrivent par la Belgique. Les habitants de Frières voient d'abord passer dans le village des colonnes de réfugiés belges qui fuient les Allemands, suivis par les habitants du nord de l'Aisne. Les Allemands progressent vite et franchissent Frières et ses environs autour du 20 mai 1940.

Le 17 mai 1940, la Préfecture a donné l'ordre d'évacuer, beaucoup d'habitants du village fuient l'arrivée imminente de l'armée allemande : le département d'accueil désigné est celui de la Mayenne.

Le village sera relativement épargné, notamment car il abrite à partir de juin 1944 des unités d'aviation de la Luftwaffe, l'armée de l'air allemande : le Jagdgeschwader 3 en juin, puis le Jagdgeschwader 5 en juillet et enfin le Jagdgeschwader 4 fin août 1944. Le terrain d'aviation allemand est situé entre la Modèle:Nobr aux Francs Bois et la forêt à la Faisanderie. Les avions (des Messerschmitt Bf 109) sont stationnés en lisière de forêt, sous les arbres. Ils livrent des combats aériens en Picardie et en Normandie. Un des as de l'armée de l'air allemande participe d'ailleurs aux combats depuis le terrain d'aviation : Theodor Weissenberger qui, en 1944, fêtera à la maison du garde-chasse des Franc Bois sa Modèle:200e.

Des résistants de Frières-Faillouël participent aux actions de sabotage et de résistance, notamment au sein du groupement B (région de Laon) des Forces françaises de l'intérieur (FFI). Un parachutage de Modèle:Unité d'armes et de matériel est réalisé en octobre 1942 au Bois des Férons avec 15 résistants. Le message déclencheur de l'action diffusé sur Radio Londres sera « J'aime les frites »... Des aviateurs anglais et américains sont cachés dans le village par des habitants. Le Modèle:Date-, monsieur Chede, un résistant du village, fait exploser un petit passage sous le canal de Saint-Quentin à Mennessis, le faisant exploser : il vide ainsi le canal.

Politique et administration

Mairie de Frières-Faillouël
La mairie

Rattachements administratifs et électoraux

La commune se trouve dans l'arrondissement de Laon du département de l'Aisne. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la quatrième circonscription de l'Aisnedepuis le dernier découpage électoral de 2010<ref name="Rattachements-elect">Modèle:Lien web.</ref>.

Modèle:Article détaillé

Elle fait partie depuis 1801 du canton de Chauny<ref name="Cassini"/>.

Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, qui n'est plus qu'une circonscription électorale, et dont la commune est toujours membre, est modifié, passant de 20 à 21 communes.

Modèle:Article détaillé

Intercommunalité

La commune de Frières-Faillouël était membre de la Communauté de communes Chauny-Tergnier, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créée fin 1999.

Celle-ci fusionne avec sa voisine pour former, le Modèle:Date-, la communauté d'agglomération Chauny-Tergnier-La Fère dont la commune est désormais membre. Cette communauté d'agglomération est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Administration municipale

Modèle:Section à sourcer Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Démographie

Modèle:Article connexe Modèle:Population de France/section

Économie

Modèle:...

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

L'église Notre-Dame a été reconstruite dans les années 1930. Certains évoquent un style rappelant les églises arméniennes ou géorgiennes. Elle reprend en fait la base de l'ancienne église du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, détruite pendant la première guerre mondiale (façade, toit et murs identiques). Le clocher, ajouté en 1835 sur la toiture au niveau du chœur est reconstruit de façon indépendante contre la façade sud. Ses vitraux, non signés, sont consacrés à Thérèse de Lisieux<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

La mairie date de la même époque.

Le château a été reconstruit en 1928 sur les plans des architectes Gustave Olive et Joseph Martin<ref name="MA1934">Modèle:Article, {{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/{{{n}}}%7C{{ #if: |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}.</ref>.

Personnalités liées à la commune

Modèle:...

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Lien interne

Liens externes

Notes et références

Notes et cartes

Notes

Modèle:Références

Cartes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références

Modèle:Palette

Modèle:Portail