Gabriel Auguste Daubrée
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Biographie2
Gabriel Auguste Daubrée, né le Modèle:Date à Metz et mort le Modèle:Date dans le [[7e arrondissement de Paris|Modèle:7e de Paris]] est un géologue français.
Enfance et études
Né à Metz, il est fils de Louis Daubrée et Anne Perin.
Il passe le concours d'entrée à l’École Polytechnique à Metz en 1832 et à vingt ans, il obtient son diplôme d'ingénieur. Durant son passage par cette école, il obtient le grade de sergent<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Il opte ensuite pour le Corps des mines et entre à l'École des mines de Paris le 15 novembre 1834<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Dans le cadre de ses études il réalise en 1837 un voyage dans le sud du Pays-de-galles, le nord de l'Angleterre, les Cornouailles et le Devonshire où il étudie l'emploi de l'anthracité<ref name="Mémoire sur l'emploi de l'anthracite dans les hauts-fourneaux à fer du sud du Pays de Galles par M. Aug. Daubrée">Modèle:Ouvrage</ref> l'exploitation et le commerce de la houille<ref name="Mémoire sur l'exploitation et le commerce de la houille dans le nord de l'Angleterre par M. A. Daubrée">Modèle:Lien web</ref>et les dépôts métallifères<ref name="Mémoire sur la géologie des dépôts métallifères du Cornouailles et du Devonshire par M. A. Daubrée">Modèle:Ouvrage</ref>.
Il est diplômé au Modèle:1er août 1838<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Carrière
1838-1861 - En Alsace
Au Modèle:1er août 1838, il est nommé ingénieur de Modèle:3e classe.
Le 15 mai 1840, il devient ingénieur ordinaire de Modèle:2e classe<ref name=":1">Modèle:Lien web</ref>.
Il exerce à l'arrondissement minéralogique de Strasbourg appartenant à la division du nord-Est et est membre de la commission de surveillance instituée pour la navigation des bateaux à vapeur pour le département du Bas-Rhin<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Chargé d’œuvrer à la carte géologique du Bas-Rhin, il réalise des tournées géologiques sur le terrain notamment en 1840 dans le massif des Vosges<ref name=":3">Modèle:Lien web</ref> et en 1841 dans toutes les parties du département<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Il effectue également en 1840, à la demande du ministère des Travaux publics, un voyage d'étude à Berlin et en Saxe<ref name=":3" />.
En 1842, il devient professeur de minéralogie et de géologie à faculté des sciences de Strasbourg dont il devient le doyen en 1852.
Le Modèle:1er juin 1848, il devient ingénieur ordinaire de Modèle:1re classe classe<ref name=":1" />
Au 18 juillet 1855, il est chargé de la direction du service de l'arrondissement minéralogique de Strasbourg<ref name="Annales des Mines (1855, série 5, volume 4, partie administrative)">Modèle:Lien web</ref>.
Au 30 août 1855, il devient ingénieur en chef de Modèle:2e classe<ref name="Annales des Mines (1855, série 5, volume 4, partie administrative)" />.
En janvier 1857, il est candidat au siège de M Constant Prevost à l'Académie des sciences (section de minéralogie et de géologie) mais vaincu par M. Adolphe d'Archiac<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
En juillet 1857 il est candidat au siège de M Armand Dufrénoy à l'Académie des sciences (section de minéralogie et de géologie) mais vaincu par M. Charles Sainte-Claire Deville<ref>Modèle:Lien web</ref>
En 1860, l'Académie des sciences lui attribue à travers le prix Bordin une somme de deux mille francs<ref>Modèle:Lien web</ref>.
1861-1884 - A Paris
En 1861, il est professeur de géologie au Muséum national d'histoire naturelle
Il est élu le 20 mai 1861 membre de l'Académie des sciences pour la section minéralogie<ref>Liste des membres, correspondants et associés étrangers de l'Académie des sciences depuis sa création en 1666, lettre D, site de l'Académie des sciences</ref>au siège de Louis Cordier<ref name="Comptes rendus hebdomadaires des séances de l'Académie des sciences / publiés... par MM. les secrétaires perpétuels">Modèle:Lien web</ref>.
Au 18 juillet 1861, il est nommé professeur de minéralogie à l'École des mines de Paris en remplacement de M Henri Hureau de Sénarmont<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Le 7 février 1863, il devient ingénieur en chef de Modèle:1re classe<ref>Modèle:Lien web</ref>.
En 1863, il est nommé au sein de la commission des sciences à la commission de cinq membres chargée de décerner le prix Cuvier<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Le 24 février 1867, il est inspecteur général de Modèle:2e classe chargé de la division minéralogique du sud-est<ref name=":2">Modèle:Lien web</ref>.
Dans le cadre de l'organisation de l'exposition universelle de 1867, Auguste Daubrée est rapporteur des classes 13, section 3 (cartes géologiques (Modèle:2e partie)) et 40 section 1 (substances minérales)<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Le 12 juin 1868, comme inspecteur général des mines, il est chargé de la division minéralogique du Sud-Ouest au lieu de celle du Sud-Est<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Le 14 juin 1872, il accède au rang d'inspecteur général de Modèle:1re classe<ref name=":2" />.
Il devient directeur de l’École des mines de Paris en 1872.
Il adhère en 1872 à la société de géographie dont il assurera la présidence<ref>Modèle:Lien web</ref>
En 1873 il représente l'Académie des sciences à l'anniversaire de l'Institut impérial des Mines de Saint-Pétersbourg<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Par décision du ministère de l'agriculture et du commerce du 28 octobre 1876, il est désigné comme membre du jury d'admission à l'exposition universelle de 1878 (Modèle:5e groupe : Industries extractives, produits bruts et ouvrés ; classe 43 : produits de l'exploitation des mines et de la métallurgie)<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Le 22 janvier 1877, il fait partie d'une commission chargée d'examiner toutes les questions que doit soulever la question de la participation du ministère des Travaux publics à l'Exposition universelle de 1878<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Auguste Daubrée est membre de la commission crée par la loi du 26 mars 1877, par les ministères de l'instruction publique et des travaux publics, pour étudier les moyens propres à prévenir les explosions de grisou dans les mines de houille<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Le 15 juillet 1879, il est nommé membre de la commission supérieure instituée pour l'étude des questions relatives à la mise en communication, par voie ferrée, de l'Algérie et du Sénégal avec l'intérieur du Soudan<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Le 21 novembre 1879, il est nommé par le ministre de l'Instruction publique et des beaux-arts, vice-président de la sous-commission chargée de dresser l'inventaire des monuments mégalithiques et des blocs erratiques de la France et de l'Algérie. Cette sous-commission se rattache à la commission des monuments historiques<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Par décret du 23 octobre 1880, il fait partie des membres du corps des mines appelés à faire partie du congrès international des électriciens ouvert à Paris le 25 septembre 1881<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Le 27 avril 1882, il est nommé membre de la commission supérieure chargée de déterminer la suite qu'il convient de donner au projet de mer intérieure dans le sud de l'Algérie et de la Tunisie, présenté par le commandant François Elie Roudaire<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Le 2 janvier 1883, il est appelé à faire partie de la commission chargée de déterminer la part que prendra l'administration des travaux publics à l'exposition ayant pour objet les mines, les arts métallurgiques, la céramique, la cristallerie et les eaux minérales, qui doit s'ouvrir à Madrid le Modèle:1er avril 1883<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Il faisait partie du conseil de l'ordre de la Légion d'honneur.
Il prend sa retraite le 30 mai 1884<ref>Modèle:Lien web</ref>et est nommé à cette date directeur honoraire de l'École des mines de Paris.
Le 12 mars 1885, malgré son départ en retraite, il est maintenu dans ses fonctions de membre de la commission spéciale de la carte géologique de la France<ref>Modèle:Lien web</ref>.
En décembre 1893, il est nommé pour trois ans membre du conseil du bureau central météorologique de France<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Il meurt le 29 mai 1896 d'une pleurésie.
Travaux de recherche
Géologie
En 1840, au cours de ses tournées minéralogiques, il s'occupe "d'examiner les roches sous le rapport de la nature intime de leurs éléments" (Elie de Beaumont)<ref name=":3" />
Ses premières publications datent de 1841, alors que l'origine de certains minerais d'étain attire son attention. Il travaille ensuite sur la formation de minerais de fer et sur les détails de la géologie du Bas-Rhin en 1852. De 1857 à 1861, il effectue une série d'observations intéressantes sur les eaux thermales et leur influence sur la maçonnerie romaine à travers laquelle elles creusent leur chemin.
Il est surtout connu pour ses expériences nombreuses et souvent dangereuses sur la production artificielle de minéraux et de roches. Il contribue aussi à l'étude de la perméabilité des roches et l'effet des infiltrations dans la production de phénomènes volcaniques, du métamorphisme, des déformations de la croûte terrestre, des tremblements de terre ainsi que de la composition et la classification des météorites.
Il s'est aussi beaucoup intéressé à l'énigme des murs ou forts vitrifiés.
Spéléologie
Les conceptions de Daubrée sous-tendent l'esquisse spéléogénétique de Édouard-Alfred Martel, selon le témoignage de ce dernier.
En 1892, Daubrée présente à la Société agricole de France une note de Martel sur Une cause de contamination des sources en terrains calcaires.
Distinctions
En 1849, il est Chevalier de la Légion d'honneur<ref name=":0">Modèle:Lien web</ref>
En 1858, il est Officier de la Légion d'honneur<ref name=":0" />
En 1860, il est Commandeur de l'ordre de la Couronne de chêne (Pays-Bas)<ref name=":0" />
En 1868, il est Commandeur de l'ordre de la Rose (Brésil)<ref name=":0" />
En 1868, il est Commandeur de l'ordre de du Christ (Portugal)<ref name=":0" />
En 1869, il est Commandeur de la Légion d'honneur<ref name=":0" />
En 1880, la Geological Society of London lui décerne la médaille Wollaston. Il est fait membre étranger de la Royal Society en 1881 pour ses recherches sur la constitution artificielle des matières trouvées dans les aérolithes et dans les bouches volcaniques provenant de l'intérieur de la terre<ref>Modèle:Lien web</ref>
En 1881, il est Grand officier de la Légion d'honneur<ref>Modèle:Lien web</ref>.
En 1882, il reçoit une médaille de bronze dans le cadre de l'exposition internationale de Melbourne (Modèle:28e section : matériel et procédés du génie civil, des travaux publics, mines, etc.)<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Domiciles
- Paris (91, rue Grenelle)<ref name=":0" />
- Paris (254, boulevard Saint-Germain)<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Hommages
En 1973, l'Union astronomique internationale a donné le nom de Daubrée à un cratère lunaire.
Publications
- Mémoire sur l'emploi de l'anthracite dans les hauts-fourneaux à fer du sud du Pays de Galles (1837)<ref name="Mémoire sur l'emploi de l'anthracite dans les hauts-fourneaux à fer du sud du Pays de Galles par M. Aug. Daubrée" />
- Mémoire sur l'exploitation et le commerce de la houille dans le nord de l'Angleterre (1837)<ref name="Mémoire sur l'exploitation et le commerce de la houille dans le nord de l'Angleterre par M. A. Daubrée" />
- Mémoire sur la géologie des dépôts métallifères de Cornouailles et du Devonshire (1837)<ref name="Mémoire sur la géologie des dépôts métallifères du Cornouailles et du Devonshire par M. A. Daubrée" />
- Examen de charbons produits par voie ignée à l'époque houillère (Modèle:1er juillet 1844)<ref>Modèle:Lien web</ref>
- Observations sur le minerai de fer qui se forme journellement dans les marais et dans les lacs (23 juin 1845)<ref>Modèle:Lien web</ref>
- Observation sur la haute température observée dans un puits foré à Neuffen (Wurtemberg) (15 décembre 1845)<ref>Modèle:Lien web</ref>
- Mémoire sur la distribution de l'or dans le lit du Rhin et sur l'extraction de ce métal (extrait) (Modèle:1er janvier 1846)<ref>Modèle:Lien web</ref>
- Mémoire sur la distribution de l'or dans le gravier du Rhin et sur l'extraction de ce métal (13 avril 1846)<ref>Modèle:Ouvrage</ref>
- Sur le gisement primitif de l'or du Rhin (Modèle:1er juillet 1846)<ref>Modèle:Lien web</ref>
- Notice sur le tremblement de terre des bords du Rhin du 29 juillet 1846 (Modèle:1er janvier 1847)<ref>Modèle:Lien web</ref>
- Notice sur des inflamations des gaz survenues dans des mines métalliques (extrait par l'auteur) (Modèle:1er janvier 1848)<ref>Modèle:Lien web</ref>
- Notice sur le dépôt tertiaire supérieur du Sundgau (Haut-Rhin) et sur la transformation en kaolin des galets feldspathiques de ce dépôt (extrait par l'auteur) (Modèle:1er janvier 1848)<ref>Modèle:Lien web</ref>
- De l'existence de couches de transition appartenant à deux systèmes dans les Vosges autour du massif du Champ-du-Feu (Modèle:1er juillet 1849)<ref>Modèle:Lien web</ref>
- Recherches sur la production artificielle de quelques espèces minérales, cristallines, particulièrement de l'oxyde d'étain, de l'oxyde de titane et du quartz ; observations sur l'origine des filons titanifères des Alpes (extrait par l'auteur) (Modèle:1er juillet 1849)<ref>Modèle:Lien web</ref>
- Carte géologique du département du Bas-Rhin (1849<ref>Modèle:Lien web</ref> ; 1851)<ref>Modèle:Lien web</ref>
- Recherches sur la présence de l'arsenic et de l'antimoine dans les combustibles minéraux, dans diverses roches et dans l'eau de la mer (extrait) (Modèle:1er janvier 1851)<ref>Modèle:Lien web</ref>
- Modèle:Ouvrage
- Recherches sur la production artificielle des minéraux de la famille des silicates et des aluminates, par la réaction des vapeurs sur les roches (Modèle:1er juillet 1854)<ref>Modèle:Lien web</ref>
- Recherches expérimentales sur le striage des roches dû au phénomène erratique, sur la formation des galets, des sables et du limon, et sur les décompositions chimiques produites par les agents mécaniques (1858)<ref>Modèle:Ouvrage</ref>
- Mémoire sur les dépôts minéraux formés par les sources thermales de Plombière avant et pendant la période actuelle. - Première partie : formation contemporaine des zéolithes (extrait) (Modèle:1er janvier 1858)<ref name="Comptes rendus hebdomadaires des séances de l'Académie des sciences / publiés... par MM. les secrétaires perpétuels 2">Modèle:Lien web</ref>
- Mémoire sur les dépôts minéraux formés par les sources thermales de Plombière avant et pendant la période actuelle. - Deuxième partie : Relation des sources thermales avec les filons métallifères de la contrée (extrait par l'auteur) (Modèle:1er janvier 1858)<ref name="Comptes rendus hebdomadaires des séances de l'Académie des sciences / publiés... par MM. les secrétaires perpétuels 2" />
- Expériences sur la possibilité d'une infiltration capillaire au travers des matières poreuses, malgré une forte contre-pression de vapeur. Applications possibles aux phénomènes géologiques (extrait par l'auteur) (Modèle:1er janvier 1861)<ref name="Comptes rendus hebdomadaires des séances de l'Académie des sciences / publiés... par MM. les secrétaires perpétuels" />
- Or natif cristallisé de Californie (1862)<ref>Modèle:Lien web</ref>
- Météorites tombées le 25 août 1865 dans la tribu des Senhadja, cercle d'Aumale, province d'Alger ; fer météoritique signalé à Dellys (1866)<ref name="Comptes rendus hebdomadaires des séances de l'Académie des sciences / publiés... par MM. les secrétaires perpétuels 3">Modèle:Lien web</ref>
- Expériences synthétiques relatives aux météorites. Rapprochements auxquels ces expériences conduisent, tant pour la formation des corps planétaires que pour celle du globe terrestre (1866)<ref name="Comptes rendus hebdomadaires des séances de l'Académie des sciences / publiés... par MM. les secrétaires perpétuels 3" />
- La mer et les continents, leur parenté (1867)<ref>Modèle:Ouvrage</ref>
- Contribution à l'anatomie des météorites (1867)<ref>Modèle:Lien web</ref>
- Classification adoptée pour la collection des roches du Muséum d'histoire naturelle de Paris (1867)<ref>Modèle:Ouvrage</ref>
- Substances minérales (1868)<ref>Modèle:Ouvrage</ref>
- Expériences sur l'imitation artificielle du platine natif magnétipolaire (1875)<ref name="Comptes rendus hebdomadaires des séances de l'Académie des sciences / publiés... par MM. les secrétaires perpétuels 4">Modèle:Lien web</ref>
- Formation contemporaine dans la source thermale de Bourbonne-les-Bains (Haute-Marne), de diverses espèces minérales (1875)<ref name="Comptes rendus hebdomadaires des séances de l'Académie des sciences / publiés... par MM. les secrétaires perpétuels 4" />
- Association dans l'Oural, du platine natif à des roches à base de péridot ; relation d'origine qui unit ce métal avec le fer chromé (1875)<ref name="Comptes rendus hebdomadaires des séances de l'Académie des sciences / publiés... par MM. les secrétaires perpétuels 4" />
- Funérailles de M Becquerel, membre de l'Académie, discours de M Daubrée au nom du Muséum d'histoire naturelle (1878)<ref>Modèle:Ouvrage</ref>
- Funérailles de M Belgrand membre de l'Académie, discours de M Daubrée au nom de la section de minéralogie et de géologie (1878)<ref>Modèle:Ouvrage</ref>
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Ouvrage
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- Les régions invisibles du globe et des espaces célestes, Paris, Félix Alcan, coll. «Bibliothèque scientifique internationale», 1888
Sources
- Modèle:Article
- Delanghe, D. Médailles et distinctions honorifiques (document PDF), in : Les Cahiers du CDS no 12, mai 2001.
- Fediavsky, A. (1982) - « Les eaux souterraines de Daubrée, validité d'une synthèse un siècle après », Travaux du comité français d'histoire de la géologie Modèle:1re no 40 Modèle:ISSN, Comité français d'histoire de la géologie, Paris, 12 p.
- Association des anciens responsables de la fédération française de spéléologie : In Memoriam.
- {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} « Gabriel Auguste Daubrée », dans Modèle:Lang, 1911 Modèle:Détail édition Modèle:Lire en ligne. {{#ifeq:||{{#if:||}}|}}
- "Biographie contemporaine. M Gabriel Daubrée", dans Bulletin de la Montagne-Sainte-Geneviève (janvier 1895)<ref>Modèle:Lien web</ref>
Liens externes
- Consulter les travaux de Gabriel Auguste Daubrée dans la bibliothèque numérique de l’École des mines