Guémené-Penfao
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France Guémené-Penfao (prononcé Modèle:MSAPI) est une commune de l’Ouest de la France, située dans le département de Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire. Elle est traversée par le Don au centre et longée par la Vilaine au nord (frontière avec l'Ille-et-Vilaine).
Elle comprend, en outre, deux sections de commune, Beslé-sur-Vilaine et Guénouvry, qui ont été rattachés après Modèle:Laquelle, ce qui lui permet d’être la troisième commune la plus étendue de la Loire-Atlantique (après Vallons-de-l'Erdre et Loireauxence) et de totaliser Modèle:Unité.
La commune fait partie de la Bretagne historique, située dans le sud du pays de Redon soit la partie appartenant au Pays Nantais, un des pays traditionnels de Bretagne.
Géographie
La superficie de la commune est de Modèle:Unité ; l'altitude varie entre Modèle:Unité/2.
Elle est traversée par le Don.
Localisation
Guémené-Penfao est située à Modèle:Unité à l'est de Redon, à Modèle:Unité au nord de Nantes, à Modèle:Unité au sud de Rennes et à la limite nord de la forêt du Gâvre.
Modèle:Section communes limitrophes d'article de commune de France
Transports
La commune est desservie par la gare de Beslé située sur la ligne Rennes - Redon ainsi que par les Modèle:Nobr (Guémené/Derval/Nantes) et 371 (Blain/Bouvron/Nantes) du réseau Aléop.
Services publics
La commune contient différents établissements scolaires allant de la maternelle jusqu'au collège.
Il y a trois écoles maternelles, les écoles publiques La Fontaine et Jules Verne, et l'école privée Sainte-Marie.
De plus, il y a trois écoles primaires, l'école privée Sainte Marie et les deux écoles publiques Louis Pergaud et Jules Verne.
Enfin, la commune est équipée de deux collèges, le collège public Bellevue et le collège privé Saint Michel.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Derval », sur la commune de Derval, mise en service en 1979<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Saint-Nazaire-Montoir », sur la commune de Montoir-de-Bretagne, mise en service en 1957 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Urbanisme
Typologie
Guémené-Penfao est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Guémené-Penfao, une unité urbaine monocommunale<ref>Modèle:Lien web.</ref> de Modèle:Unité en 2017, constituant une ville isolée<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (91,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (62,9 %), zones agricoles hétérogènes (18,2 %), prairies (9,9 %), forêts (5,8 %), zones urbanisées (3 %), cultures permanentes (0,2 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Toponymie
Attestations anciennes
Le nom de la paroisse est attesté sous les formes (Plebs) Uuin-Monid en 852<ref name="KerOfis">La base de donnée KerOfis - Office Public de la Langue Bretonne</ref>, Winmonid en 852 ou 853<ref>D’après le cartulaire de Redon</ref>,<ref name="Le Moing 115">Modèle:Ouvrage.</ref>, Lespenfau en 862 et Wenmened en 1123<ref>Jean-Pierre Brunterc’h, « Puissance temporelle et pouvoir diocésain des évêques de Nantes entre 936 et 1049 », Mémoires de la Société Historique et Archéologique de Bretagne, t.LXI, 1984, Modèle:P..</ref>,<ref name="Dom Morice">Dom Morice, Preuves I, Modèle:P..</ref>,<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>, Wenmonid<ref>D’après de la Borderie, dans son « Histoire de Bretagne »</ref>, Kémené<ref>D'après Ogée, dans son dictionnaire</ref>, Gemené vers 1205<ref>D’après le cartulaire de Buzay</ref>, Guemene en 1287, Guemene Penfault en 1427, 1431, 1487 et en 1779<ref name=Kerofis>Modèle:Lien web.</ref>.
Le nom de Guémené
Guémené est une graphie francisée d'un toponyme vieux breton qui signifie « mont blanc, montagne blanche »<ref name="Dauzat&Rostaing">Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit.</ref>, d'où la traduction du toponyme en breton moderne Gwenmenez, sur gwenn « blanc » et menez « mont, montagne ».
En gallo, la langue d'oïl locale, plusieurs prononciations ont été relevées pour Guéméné : le plus souvent Modèle:MSAPI ou Modèle:MSAPI, mais aussi Modèle:MSAPI, et Modèle:MSAPI ou Modèle:MSAPI. Le nom s'écrit Gemenae selon l'écriture ELG<ref name="Villes bretonnes, noms gallo">Modèle:Lien web.</ref>, ou Gemnë, Gémnë, Gémneu, Ghemnë ou Ghémnë selon l'écriture MOGA (en reflétant les diverses prononciations)<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
En breton, son nom est Modèle:Langue<ref name="Kerofis" />.
Le nom de Penfao
Le déterminant complémentaire Lespenfao a été abrégé en Penfao. À l'origine, il s'agit d'un composé à trois éléments : Les-, du vieux breton lis « demeure seigneuriale »<ref name="Dauzat&Rostaing" /> ou « cour (royale) » (breton moderne lez), pen- « tête, bout, extrémité » et -fao de faou « hêtre », d'où le sens global de « cour au bout du bois de hêtres »<ref name="Le Moing 115"/>. Modèle:Référence nécessaire
Il n'y a pas de terme brittonique pour désigner le hêtre, le breton faou, le cornique fow et le gallois ffawidd sont issus du latin fagus « hêtre ». Le celtique commun avait un terme *bāgos, illustré en toponymie par le gaulois bagos + suffixe.
En gallo, Penfao s'écrit Penfou selon l'écriture ELG<ref name="Villes bretonnes, noms gallo" />, ou Pinfao selon l'écriture MOGA. Le nom se prononce Modèle:MSAPI<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Penfaou en breton.
Histoire
Guémené et Penfao, réunis en 1633 par Henri de Bourbon, prince de Condé et Beslé et Guénouvry, après la Révolution.
La petite Bretagne
Le Pays de Guémené-Penfao a été pendant longtemps une zone d'influence bretonne. Ainsi, on y a parlé breton jusqu'au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, même si la langue d'oïl, dans sa variété régionale, le dialecte gallo, semble avoir pénétré la commune dès le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Le cadastre de la commune mentionne le nom de Brésihan, que le Père Léon Trivière dans son Histoire de Guémené Penfao considère provenir de Breiz bihan, expression qui signifie petite Bretagne. Il semble toutefois plus probable que son origine soit le breton bren sec'han, de bren : colline et sec'han : de nature sèche (Dictionnaire des noms de lieux bretons d'Albert Deshayes). La variante locale du gallo a fait l'objet de plusieurs études et écrits, on citera les contes d'Ugeen Kogrèh, les recherches de Yann Mikaël dans la revue Pihern, et le dictionnaire Chat d'écureuil et Pomme d'orange de Vincent Delanoë.
Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle Penfao était une trève de Guémené comme le montrent les registres paroissiaux de Saint-Georges-de-Pennefo, correspondant approximativement à l'actuel territoire de Guénouvry, section de la commune de Guémené-Penfao (archives départementales de Loire-Atlantique).
Un pays de légendes
Les faits historiques marquants ont été relativement nombreux sur le territoire au cours des siècles. Par exemple en 1570, la rue de Châteaubriant aurait pu s'appeler la voie royale, car elle vit passer le roi Modèle:Souverain2, accompagné d'un brillant cortège comprenant notamment la reine mère Catherine de Médicis, Marguerite de Valois (future femme de Modèle:Souverain2), le duc d'Anjou (futur Modèle:Souverain2), et le duc de Guise.
Emblèmes
Symbole
Guémené-Penfao est le berceau de la blanche hermine, symbole mignon de la Bretagne<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Héraldique
Devise
La devise de Guémené-Penfao : Aime Dieu et fais ce que dois.
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Résultats aux seconds tours des dernières élections :
- présidentielle : 57,15 % pour François Hollande (Ps) contre 42,85 % pour Nicolas Sarkozy (ump) ;
- législatives : 53,23 % pour Yves Daniel (Ps) contre 46,77 pour Michel Hunault (Nouveau centre)<ref>Conseil-général.com</ref> ;
- municipales : 54,18 % pour Yannick Bigaud (divers droites) contre 45,81 % pour Pierre le Guily (centre) ;
- départementales : Modèle:Nombre pour la liste Y.Bigaud/ A.S.Douet contre 6 091 pour la liste V.Lopez/G.Phillipot<ref>intérieur.gouv.fr</ref> ;
- régionales : 41,06 % pour Christophe Clergeau (Ps), contre 38,85 % pour Bruno Retailleau (Lr) et 20,08 % pour Pascal Gannat (FN) ;
- à la vue de ces résultats, on peut conclure que les habitants Guémené-Penfao votent plutôt à gauche et au centre.
Administration
La commune est située dans l’arrondissement de Châteaubriant-Ancenis, dans le canton de Guémené-Penfao (dont elle est le chef-lieu, donc) et fait partie de Redon Agglomération. Elle est dirigée par Isabelle Barathon-Bazelle. Son code postal est 44290 et son code commune 44067.
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut |- |colspan="5" align="center" bgcolor="#f3fff3" | Modèle:Boîte déroulante/début Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluFinModèle:Boîte déroulante/fin Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Jumelages
La ville est jumelée avec Courcelles, en Belgique, depuis le Modèle:Date.
Population et société
Démographie
Modèle:Section à actualiser Selon le classement établi par l'Insee, Guémené-Penfao est une ville isolée multipolarisée. Elle est le centre d'un bassin de vie et fait partie de la zone d'emploi de Nantes<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Toujours selon l'Insee, en 2010, la répartition de la population sur le territoire de la commune était considérée comme Modèle:Citation : 75 % des habitants résidaient dans des zones Modèle:Citation et 25 % dans des zones Modèle:Citation<ref>Modèle:Lien web, données récupérées dans un fichier téléchargeable sous format Excel.</ref>.
Évolution démographique
Modèle:Population de France/section
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 32,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 30,8 % la même année, alors qu'il est de 23,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait Modèle:Unité pour Modèle:Unité, soit un taux de 51,68 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,42 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Modèle:Pyramide des âges communes de France
Culture et patrimoine
Lieux et monuments
- Maisons anciennes.
- Grand-Logis Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle avec tour octogonale.
- Château de Bruc reconstruit aux {{#switch: et
| e | er | = Modèle:S mini-{{#ifeq: XIX|-| – | XIX }}Modèle:S mini- siècle
| Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles
}}.
- Château de Juzet.
- Château de Trénon, (résidence privée de la famille de Saint-Germain).
- Château de Boisfleury.
- Château du Brossay, de style Empire.
- Château de Treguel Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.
- Château de Friguel Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.
- Château de Beaulieu-la Garenne, Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.
- Un moulin à vent.
- Trois moulins à eau.
- Église Saint-Michel de Guémené (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle).
- Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Beslé (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle).
- Église de Guénouvry : statue de sainte Anne.
- Chapelle Saint-Georges de Penfao, inscrite au titre des monuments historiques depuis 2004<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>
- Chapelle Sainte-Anne : Lieu-Saint ou Lessaint au village de Tahun, à Guénouvry, statue de saint Méen. Fresques peintes en 1997 par les apprentis du Centre de la fresque de Blain sous la conduite de Louis-Roger<ref>Fresques de la chapelle Sainte-Anne</ref>.
- Site de la vallée du Don.
- Vallée de la Vilaine.
- Étang de la Vallée.
- Rocher de la Fée Carabosse et abords.
-
Chapelle Saint-Georges.
-
Chapelle de Lessaint (Guénouvry).
-
L'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Beslé.
Guémené dans les arts
Un village Guémené est cité dans le poème d’Aragon, Le Conscrit des cent villages, écrit comme acte de Résistance intellectuelle de manière clandestine au printemps 1943, pendant la Seconde Guerre mondiale<ref>Louis Aragon, « Le Conscrit des cent villages », publié initialement dans La Diane française, consulté dans Pierre Seghers, La Résistance et ses poètes : France, 1940-1945, Paris : Seghers, 2004 (Modèle:2e édition). Modèle:ISBN, Modèle:P.373-375</ref>.
Sans autre précision de la part du poète, il peut s'agir de deux villages :
- Guémené-Penfao dans le département de la Loire-Atlantique ;
- Guémené-sur-Scorff dans le département du Morbihan.
Personnalités liées à la commune
- Joseph Herbert (1873 - 1915), dit « Le Petit Joseph », hôtelier, professeur de danse, clairon, remarquable par son poids (204 kg)
- Georges Labetoulle dit Géo Laby (1900 - ?), acteur, s'est installé à Beslé en 1935, où il a repris l'Hôtel du Port<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
- Ivan Ricordel (né à Guémené-Penfao en 1943), pharmaco-toxicologue, expert judiciaire dans l'affaire du Mediator
- Jean-François Thomas (1894 - 1939), peintre
- Yves Benoist-Gironière (1903-1983), officier, cavalier, auteur d'ouvrages d'équitation, ainsi qu'illustrateur et sculpteur équestre.
Voir aussi
Articles connexes
- Liste des communes de la Loire-Atlantique
- Communauté de communes du pays de Guémené-Penfao
- Pays de Redon et Vilaine
- Peintures murales en Loire-Atlantique