Isbergues

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Modèle:Infobox Commune de France

Isbergues est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Modèle:Sommaire

Géographie

Localisation

Modèle:Carte interactive La commune est située à Modèle:Unité de Paris, à Modèle:Unité de Lille et d'Arras, à Modèle:Unité de Boulogne-sur-Mer et de Calais.

Un marais commun existait autrefois entre Ham, Norrent-Fontes, Mazinghem, Molinghem, Guarbecque et Berguette. On y cultivait notamment le cresson. Un plan de lotissement de ce marais a été dressé le 2 messidor an II, cité par l'archiviste départemental<ref>Rapport de M. L'archiviste départemental sur la situation des archives de la préfecture, des sous-préfectures, des communes et des hospices du Pas-de-Calais et sur la bibliothèque départementale durant l'exercice 1893-1894, Arras, 1894 (extrait du volume du Conseil Général du Pas-de-Calais de la session d'aout 1894) (consulté 2009 12 30)( voir Modèle:P.)</ref>.
À la suite du drainage généralisé des zones humides et de l'industrialisation lourde (avec pompages) de la région, le niveau des nappes d'eau a fortement baissé. Les puits artésiens ne donnant plus assez d'eau, de nombreuses cressonnières sont aujourd'hui asséchées et comblées. Il reste deux cressiculteurs en activité à Norrent-Fontes.

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de sept communes : Modèle:Communes limitrophes

Hydrographie

Modèle:Article connexe Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.

La commune est traversée par plusieurs cours d'eau :

Urbanisme

Typologie

Isbergues est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Béthune, une agglomération inter-départementale regroupant Modèle:Nobr<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est une commune de la banlieue<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Aire-sur-la-Lys, dont elle est une commune du pôle principal<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en Modèle:Date-, celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Nobr, est catégorisée dans les aires de moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (60,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (65,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (47,8 %), zones urbanisées (32,1 %), zones agricoles hétérogènes (11 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,7 %), prairies (1,6 %), forêts (0,8 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits, hameaux et écarts

Modèle:...

<ref>Modèle:Ouvrage</ref>

Habitat et logement

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 4 281, alors qu'il était de 4 190 en 2013 et de 4 130 en 2008<ref name="LogT2" group="I"/>.

Parmi ces logements, 89,4 % étaient des résidences principales, 0,3 % des résidences secondaires et 10,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 91,1 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 7,5 % des appartements<ref name="LogT2" group="I">Modèle:Lienweb.</ref>.

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Isbergues en 2018 en comparaison avec celle du Pas-de-Calais et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (0,3 %) inférieure à celle du département (6,4 %) et de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 69,8 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (70,5 % en 2013), contre 57,8 % pour le Pas-de-Calais et 57,5 % pour la France entière<ref name="LogT7" group="I">Modèle:Lienweb.</ref>.

Le logement à Isbergues en 2018.
Typologie Isbergues<ref name="LogT2" group="I"/> Pas-de-Calais<ref name="LogDep" group="I">Modèle:Lienweb.</ref> France entière<ref name="LogFr" group="I">Modèle:Lienweb.</ref>
Résidences principales (en %) 89,4 86 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 0,3 6,4 9,7
Logements vacants (en %) 10,3 7,6 8,2

Voies de communication et transports

La commune est desservie par des trains TER Hauts-de-France à la gare d'Isbergues.

La commune est desservie par la ligne 511 du réseau Mouvéo. Elle est également desservie par la ligne 74 ainsi que le service de transport à la demande Allobus F du réseau TADAO.

Toponymie

Modèle:Article connexe

Attestations anciennes

Le nom de la localité est attesté sous les formes Iberga en 1138 ; Ybergha en 1202 ; Hibergue en 1209 ; Ibierghe en 1296 ; Yberghe en 1316 ; Dibergue en 1375 ; Bergue en 1400 ; Yberga vers 1512 ; Ybergue en 1515 : Ysberghe en 1559 ; Isebergue en 1720<ref>Modèle:Lien web.</ref>, Isbergue en 1793 ; Isbergue et Isbergues depuis 1801<ref name="Cassini" />.

Étymologie

Isbergues : Iberga (1138). Peut-être d'un nom de personne germanique Idberga<ref name="Ernst-Ngr"/>. Iberge en flamand.

Berguette : Berghettes (1171). Du germanique berg «mont» suivi du suffixe roman -ette<ref name="Ernst-Ngr">Toponymie générale de la France: Tome 2, Formations non-romanes - Ernest Nègre</ref>.

Histoire

Modèle:Section à sourcer La commune a été marquée par la légende de sainte Isbergue, fille de Pépin le Bref et sœur de Charlemagne, qui avait pour vertu de guérir les maladies de peau et des yeux.

La seigneurie locale releva des Nedonchel et des Le Sergent.

Berguette, ancienne seigneurie de l'abbaye de Ham (devenu Ham-en-Artois), a pris une certaine importance grâce au voisinage d'Isbergues.

Molinghem, anciennement « Molingahem », est citée en 1083. La seigneurie, qui dépendit des Lens et des Bournonville, fut érigée en marquisat en 1654.

Isbergues a connu un fort développement industriel à partir du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle grâce à la proximité du bassin minier du Nord-Pas-de-Calais.

Afin d'augmenter leurs ressources, le maire de Berguette Jacques Napiera propose la fusion de Molinghem, Berguette et Isbergues, ce qui intervient le Modèle:Date. L'ensemble ainsi formé garde le nom d'Isbergues<ref name="Cassini"/>,<ref name="NL24072022"/>. Modèle:Article connexe

L'acier et la métallurgie

Fichier:Delpierre-Duchateau - Usines d'ISBERGUES - Ensemble des hauts-Fourneaux (coté Sud).jpg
Les hauts fourneaux, au début du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle.

Modèle:Section à sourcer

En 1968, la construction d'une aciérie d'une capacité de Modèle:Unité, spécialisée dans la production d'aciers spéciaux fortement alliés est décidée. Cette usine complète l'usine d'aciers spéciaux de Pompey, qui bénéficie également d'un investissement portant sa capacité de Modèle:Unité. L'ensemble du projet est porté par un consortium franco-allemand groupant Roechling (qui fonde la Société Nouvelle des Aciéries de Pompey) et, pour la partie française, Ugine Kuhlmann, la Compagnie des Ateliers et Forges de la Loire, la Société des Forges et Ateliers du Creusot, Châtillon-Commentry, Neuves-Maisons et les Hauts Fourneaux de la Chiers<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

En 1976, la Société des Hauts Fourneaux de la Chiers avec la Société des Aciéries Tréfileries de Neuves-Maisons Châtillon mettent en service une usine d'agglomération des minerais<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

La métallurgie a bénéficié d'un vaste espace disponible en bordure du canal de Neufossé ou « canal d'Aire à la Bassée » (qui relie la commune à la Manche et à la Mer du Nord par l'ouest et à Lille et à la Deûle et aux canaux d'Europe du Nord par l'est. Cet espace est également desservi par une voie ferrée. L'industrie du métal a marqué le paysage et a été une source importante de pollution, mais elle a aussi fait la fortune de la commune, avant que les délocalisations n'incitent le plus gros industriel local (Sollac racheté par ArcelorMittal) à fermer l'aciérie qui employait encore Modèle:Nobr en 2006. L'entreprise s'est engagée à verser Modèle:Nombre d'€ sur trois ans dans le cadre d'une « convention de revitalisation » signée en 2005 et confiée au prestataire SODIE pour aider les employés à retrouver du travail localement. Modèle:Nobr (745 équivalent temps-plein) travaillent encore sur le site en 2008.

Projets
  • ArcelorMittal annonce en 2008 vouloir ouvrir en 2009 une nouvelle unité de coproduits de sidérurgie (« Recyco » qui doit recycler des déchets aujourd'hui mis en décharge, essentiellement importés du site de Dunkerque (Modèle:Unité provenant des hauts fourneaux) qui seront valorisés en fonte, laitier et poussières de zinc à recycler). Ce projet fait l'objet mi-2008 d'une enquête publique. l'investissement annoncé est de Modèle:Nobr d'€.
  • Un investisseur indien propose d'installer en bordure du site une unité de récupération d'acier à grain orienté (prestataire : Métalux).
  • une autre unité nommée Terra Nova devrait recycler les cartes électroniques<ref>Journal Les Echos, Modèle:1er mars 2008</ref>.
  • Eurofield propose en 2008 de s'installer sur le même site pour y produire des gazons artificiels pour aire de jeux<ref>Les Echos, Entreprises et région, Modèle:P., 19 juin 2008</ref>.

Politique et administration

Rattachements administratifs et électoraux

Rattachements administratifs

La commune se trouve dans l'arrondissement de Béthune du département du Pas-de-Calais.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Norrent-Fontes<ref name="Cassini"/>. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton d'Aire-sur-la-Lys Modèle:Article connexe Pour l'élection des députés, elle fait partie de la huitième circonscription du Pas-de-Calais. Modèle:Article connexe

Intercommunalité

Isbergues était le siège de la communauté de communes Artois-Flandres, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2001 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de Modèle:Unité, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le Modèle:Date-, la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane, dont est désormais membre la commune. Modèle:Article connexe

Tendances politiques et résultats

Lors du second tour des élections municipales de 2020 dans le Pas-de-Calais, la liste PS menée par le maire sortant Jacques Napieraj obtient la majorité des suffrages exprimés, avec Modèle:Unité (44,89 %, 21 conseillers municipaux élus dont 12 communautaires), devançant largement les listes menées respectivement par<ref>Résultats officiels pour la commune Isbergues</ref> :
- Bernadette Duponchel (DVD, Modèle:Unité, 32,25 %, 5 conseillers municipaux élus dont 2 communautaires) ;
- Nathalie Delzongle (FG-PCF, Modèle:Nobr, 22,84 %, 3 conseillers municipaux élus dont 2 communautaires).
Lors de ce scrutin, 40,84 % des électeurs se sont abstenus. Modèle:Article connexe

Lors du premier tour des élections municipales de 2020 dans le Pas-de-Calais, où le maire sortant Jacques Napieraj (PS) ne se représentait pas, la liste SE menée par David Thellier<ref>Modèle:Lien web.</ref> obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec Modèle:Unité (56,55 %), 23 conseillers municipaux élus dont 3 communautaires), devançant largement la liste PS menée par Thierry Dissaux<ref>Modèle:Lien web.</ref>, qui a recueilli Modèle:Unité (43,44 %, 6 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire, lors d'un scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France où 56,39 % des électeurs se sont abstenus<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref> Modèle:Article connexe

Liste des maires

Modèle:Article détaillé

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu

Modèle:Élu

Modèle:Élu

Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Modèle:Saut

Population et société

Démographie

Évolution démographique

Modèle:Article connexe Modèle:Population de France/section

Pyramide des âges

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 31,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 30,3 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait Modèle:Unité pour Modèle:Unité, soit un taux de 51,71 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,50 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Modèle:Pyramide des âges communes de France

Manifestations culturelles et festivités

Grand Prix d'Isbergues

Le Grand prix d'Isbergues' est une course cycliste créée en 1945 dans le quartier du Pont-à-Balques. La municipalité a officialisé l'évènement en 1947. C'est la seule course exclusivement professionnelle du Pas-de-Calais. Elle est classée 1.1 par l'UCI et elle est inscrite au calendrier de l'UCI Europe Tour.

Elle est aussi inscrite comme épreuve comptant pour la Coupe de France de cyclisme.

Le Grand Prix d'Isbergues a connu des grands champions comme Anquetil, Poulidor, Eddy Merckx ou encore Hinault et Lemond.

Le Grand Prix d'Isbergues est devenue une tradition en quelques années sur Banquise FM. En effet depuis de nombreuses années la radio soutient le Grand Prix d’Isbergues et le commente en direct lors de son passage à travers les routes de la région. Modèle:Article détaillé

Ville Ouverte

Modèle:Référence nécessaire.

  • Marché aux puces ;
  • Marché artisanal.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Monument historique

  • L'église Sainte-Isbergues d'Isbergues, sa tour classée monument historique par arrêté du Modèle:Date-<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>, et plusieurs éléments meubles et décoration sont classés monuments historiques à titre d'objets : autels, retables, reliquaires, stalles, lambris, confessionnaux, orgues et statues<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Autres lieux et monuments

  • La chapelle Sainte-Isbergues et sa fontaine, à Isbergues.
  • La chapelle Saint-Éloi d'Isbergues.
  • L'église Saint-Pierre de Berguette.
  • La chapelle, rue des Écoles à Berguette.
  • L'église Saint-Maurice de Molighem, à l'intérieur une statue de sainte Isbergues et une pietà monument aux morts paroissial.
  • La gare d'Isbergues.

Lieux de mémoire

  • Monument aux morts de Isbergues, du marbrier Ernest Rabischon d'Aire-sur-la-Lys, inauguré en 1921. Ce monument commémore les guerres de conquête coloniale, les guerres 1870-1871, 1914-1918, 1939-1945, les guerres d'Indochine, Algérie et post-coloniales.
  • Au cimetière communal d'Isbergues : neuf tombes de la guerre 1914-1918 de la Commonwealth War Graves Commission.
  • Dans l'église d'Isbergues : un vitrail du souvenir par Dumez commémorant la guerre 1914-1918.
  • Tombes de guerre de la Commonwealth War Graves Commission au cimetière d'Isbergues.
  • Monument aux morts de Berguette, commémorant les guerres de 1914-1918 et 1940-1945.
  • Tombes de guerre de la Commonwealth War Graves Commission au cimetière de Berguette.
  • Monument aux morts communal de Molinghmem, commémorant la guerre de 1870-1871, la campagne de Chine (1900), et les guerres de 1914-1918, de 1939-1945, d'Indochine et d'Algérie.
  • Monument aux morts paroissial de Molinghem, dans l'église, commémorant la guerre de 1914-1918.

Personnalités liées à la commune

Héraldique

Modèle:Blason commune

Pour approfondir

Modèle:Autres projets

Bibliographie

  • Mon régiment dans la Fournaise de Verdun et dans la bataille de la Somme Librairie Plon, 1917, sous-lieutenant Paul Dubrulle.
  • Histoire d'Isbergues, 1989, Jean-Marc Dissaux

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes

Modèle:Références

Cartes

Modèle:Références

Références

Site de l'Insee

Modèle:Références

Autres sources

Modèle:Références nombreuses

Modèle:Palette Modèle:Portail