Jacques Floch

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Personnalité politique

Jacques Floch, né le Modèle:Date à Bihorel, en Seine-Inférieure, est un homme politique français, membre du Parti socialiste (PS).

Biographie

En 1981, suppléant de François Autain nommé secrétaire d’État dans le deuxième gouvernement de Pierre Mauroy, Jacques Floch devient député de Loire-Atlantique. Pierre Joxe, président du groupe socialiste l'affecte à la commission des lois pour essentiellement travailler sur les lois Defferre de décentralisation. Jacques Floch n'a jamais fait de droit mais cela l'incite à l'étudier <ref name="libé200706"/>. La faculté de droit de Nantes lui propose en 1988 de valoriser ses connaissances acquises et lui accorde une équivalence à un diplôme d'études supérieurs (DESS) qu'il confirmera en obtenant un diplôme de recherche en droit public avec la mention très bien (1993). Il est le premier parlementaire à avoir vu pris en compte ses activités de parlementaire. En 2000 le barreau de Paris lui donne la possibilité de devenir avocat en lui accordant une équivalence du certificat d'aptitude à la profession d'avocat, encore une première pour un député. Il a été membre de la commission d'enquête parlementaire sur l'affaire d'Outreau<ref name="libé200706"/>. Il est président du think tank nantais Institut Kervégan depuis Modèle:Date-<ref name="OF090310"/>, et présidera aussi pendant 25 ans (de Modèle:Date- à Modèle:Date-), l'Agence d’urbanisme de la région nantaise (AURAN), dont il est désormais président honoraire<ref name="Auran" />.

Jacques Floch diplômé de l’École régionale d'agriculture d'Yvetot (technicien agricole) devient attaché de l'Insee (1965) spécialiste en agriculture et pour le monde rurale. Avocat en 2000.

Mandats et fonctions politiques

Jacques Floch a été<ref name="AN"/> :

Rapport parlementaire

Lors de la [[XIIe législature de la Cinquième République française|{{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | XIIe{{#if:|  }} }} législature]] à l'assemblée nationale, il était rapporteur de la commission «prison», et soutenait la réinsertion des détenus et l'amélioration des conditions pénitentiaires<ref name="libé200706"/>. Auteur d'un rapport préconisant la médiation en prison<ref>rapport sur la médiation</ref>, il indiquait : Il faut, pour décrisper la vie en prison, qu'existe un médiateur pénitentiaire pour traiter des conflits entre le détenu et l'administration et éviter les réactions de soumission ou de révolte<ref>enregistré à la présidence de l'Assemblée nationale le 28 juin 2000</ref>.

Distinction

Notes et références

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Voir aussi

Liens externes

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