Krav-maga

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Modèle:Infobox/Début Modèle:Infobox/Titre avec icône Modèle:Infobox/Ligne optionnelle Modèle:Infobox/Image Modèle:Infobox/Séparateur optionnel Modèle:Infobox/Ligne mixte optionnelle Modèle:Infobox/Ligne mixte optionnelle Modèle:Infobox/Ligne mixte optionnelle Modèle:Infobox/Ligne mixte optionnelle Modèle:Infobox/Ligne mixte optionnelle Modèle:Infobox/Ligne mixte optionnelle Modèle:Infobox/Ligne mixte optionnelle Modèle:Infobox/Ligne mixte optionnelle Modèle:Infobox/Ligne mixte optionnelle Modèle:Infobox/Ligne mixte optionnelle Modèle:Infobox/Ligne mixte optionnelle Modèle:Infobox/Notice Modèle:Infobox/Fin Le krav-maga (ou krav-maga) (hébreu Modèle:Lang [ˈkʁav maˈɡa], littéralement « combat avec contact » dans le sens de combat rapproché), est présenté par ses adeptes comme une méthode de combat qui met l'accent sur le développement des capacités d'autodéfense. Il s'agit d'une méthode controversée, en raison notamment de la place qu'elle tient au sein de groupes d'extrême droite, et en raison de sa brutalité<ref name=Obs>Modèle:Lien web.</ref>,<ref name=jacobin>Modèle:Lien web.</ref>,<ref name=lemonde>Modèle:Lien web.</ref>. Elle est développée comme système militaire d'autodéfense et de combat par l'armée israélienne et les services spéciaux israéliens, pour des luttes au corps à corps.

La méthode est utilisée par de nombreux services de police et forces militaires dans le monde tels qu'aux États-Unis (FBI, DEA, [[United States Marine Corps|Modèle:Lang]]), en France (GIGN, RAID, Légion étrangère) et au Royaume-Uni (SAS)<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Inspirée par l'expérience d'Imi Lichtenfeld dans les années 1930 à Bratislava, elle se fonde sur des techniques de combat de rue, qu'il acquit lors d'attaques de groupes fascistes contre la communauté juive. Par la suite cependant, le krav-maga subit une transformation importante quand il fut transposé au Moyen-Orient, dans le contexte de la guerre israélo-arabe de 1948, et mis au service de l'occupation de la Palestine.

Le krav-maga proprement dit est officiellement créé par Imi Lichtenfeld en 1964, lorsqu'il ouvre une école à Netanya, en Israël. La méthode combine des techniques provenant de la boxe, du judo, du ju-jitsu et de la lutte. Cette méthode se distingue des arts martiaux par l'absence de règles limitant l'usage de la violence.

Il existe trois types de cette technique de combat, un type est utilisé dans les forces de sécurité (militaires, forces spéciales) un autre par les forces de l'ordre (gardes du corps, police, agents de sécurité) et un dernier type à usage civil<ref>Voir sur web.archive.or.</ref>.

Le krav-maga privilégie les techniques permettant de neutraliser un adversaire de la manière la plus rapide et efficace possible. Ainsi, les techniques visent essentiellement les points faibles du corps humain, en particulier les testicules<ref>Modèle:Article</ref>.

Histoire

Elaboré à l'origine par des juifs ashkénazes en réponse à des violences antisémites en Europe, le krav-maga est intégré comme technique d'autodéfense offensive par les troupes sionistes puis par l'armée israélienne qui l'utilisent dans le but de terroriser et déstructurer les groupes palestiniens<ref name=Dorlin/>. Il se diffuse dès les années 1960 dans la société civile israélienne, puis il s'internationalise dès 1980.

Fondation

L'origine du krav-maga remonte à la fin du XIXe siècle, quand des juifs de Russie, relégués dans la zone de résidence, commencent à organiser leur autodéfense<ref name=Dorlin/>. Des groupes constitués par le parti ouvrier juif, le Bund, se forment lors des pogroms de Kichinev dans les premières années du XXe siècle en réponse aux attaques antisémites<ref name=Dorlin/>.

Le krav-maga continue d'être utilisé en Europe, à l'instigation du Bund, notamment lors du soulèvement du ghetto de Varsovie<ref name=Dorlin/>.

Le krav-maga est aussi mobilisé par des militants juifs qui se rendent en Palestine dans les années 1920-1930, mais ces militants se recrutent pour la plupart dans les rangs d'un sionisme «fascisant», tel le sionisme révisionniste de Vladimir Jabotinsky, et non plus dans les rangs socialistes du Bund, mouvement juif antisioniste, hostile à la colonisation de la Palestine ; Vladimir Jabotinsky est le théoricien de «l'autodéfense offensive»<ref name=Dorlin/>. La philosophie du kvar-maga subit alors une mutation radicale, sous l'influence de Vladimir Jabotinsky qui, dans La Muraille d'acier conçoit le kvar-maga comme une technique d'«un corps d'élite armé destiné à organiser l'occupation de la Palestine et à créer l'Etat d'Israël», selon Elsa Dorlin<ref name=Dorlin/>. Le krav-maga est mis en pratique par la Haganah, organisation paramilitaire sioniste, puis repris par l'armée israélienne, Tsahal<ref name=Dorlin/>.

Le krav-maga est systématisé comme une discipline à part entière par Imi Lichtenfeld, juif hongrois né à Budapest en 1910, arrivé en Palestine vers 1942. Dans les Modèle:Nobr, face à la montée du fascisme en Europe, et pendant la Seconde Guerre mondiale, Imi Lichtenfeld réunit autour de lui un groupe de jeunes athlètes dont la mission était de protéger la communauté juive locale. Il prend part à de nombreux combats de rue. Son action le rend impopulaire auprès des autorités locales. Il se rend en 1942 en le mandat britannique de Palestine, après un passage dans les troupes britanniques. Il rejoint alors la Modèle:Lang, formation para-militaire juive préfigurant l'armée israélienne. Il fait partie des troupes de choc, appelées le Modèle:Lang, où il enseigne le Modèle:Lang, la lutte et la gymnastique.

En 1948, Imi Lichtenfeld prend part à la guerre de Palestine<ref name=Obs/>. Il rejoint l'armée, Tsahal, en tant que chef-instructeur pour l’éducation physique et le combat au corps à corps militaire (Modèle:Lang/krav-maga). Son objectif est de développer une méthode simple, efficace et rapidement assimilable pour répondre aux besoins de l’armée : les techniques naissent d’un réajustement progressif rendu possible par les retours d’expérience sur le champ de bataille. Après une mission de deux années en Éthiopie, Imi Lichtenfeld quitte le service actif en 1964. Il ouvre par la suite une école à Netanya et crée officiellement le krav-maga (littéralement Modèle:" en hébreu). C'est à cette époque, en Modèle:Date-, que Eli Avikzar commence à s'entraîner avec lui et finit par devenir instructeur principal. Il devient la première personne à obtenir une ceinture noire de krav-maga, remise par Imi Lichtenfeld le Modèle:Date-.

Expansion

Après avoir formalisé des principes du krav-maga (par exemple : chemin le plus court, défense et contre-attaque simultanées) qui restent cependant désordonnés, Imi Lichtenfeld et son équipe structurent leurs découvertes pour pouvoir les enseigner.

Une première étape dans l'expansion est franchie vers 1963-1964, quand le krav-maga se diffuse au-delà de l'armée, auprès des civils en Israël ; la formation au krav-maga est dispensée jusque dans les écoles<ref name=Dorlin>Modèle:Lien web.</ref>. Chaque citoyen devient alors, selon la philosophe Elsa Dorlin, « une petite unité martiale et létale », chargée de « défendre » l'Etat d'Israël ; la société aurait été conditionnée, selon cette philosophe, pour penser que le recours au krav-maga est la posture civique par excellence<ref name=Dorlin/>.

1980 marque le début de l’internationalisation du krav-maga, auparavant circonscrit au seul État d’Israël. Imi Lichtenfeld autorise ses disciples les plus doués à enseigner cette méthode à travers le monde, entre autres Eyal Yanilov aux États-Unis, ou encore Modèle:Lien en Amérique du Sud.

En 1984, la fédération de krav-maga donne le grade de ceinture noire à deux élèves américains, Allen Feldman et Darren Levine. En 1985, Eli Avikzar part aux États-Unis en tant que représentant de la fédération de krav-maga puis y retourne pour y donner son premier entraînement au département de police de Los Angeles.

C'est en 1988 qu'Imi Lichtenfeld confie à Richard Douieb la mission d'ouvrir la première école européenne de krav-maga en France.

Le FBI, la DEA, les [[United States Marine Corps|Modèle:Lang]], le GIGN et les SAS popularisent cette nouvelle forme de Modèle:Lang auprès du grand public et de nombreux clubs commencèrent à proposer aux civils une façon différente de pratiquer l'autodéfense — principalement sous l’impulsion de Modèle:Lien en Amérique du Nord et de Richard Douieb en Europe, qui fut notamment formateur au GIGN durant douze années consécutives. Richard Douieb fonde la Fédération européenne de krav-maga (FEKM) en 1997.

Le décès du fondateur, Lichtenfeld, en 1998 marque le début de dissensions au sein des instances dirigeantes (Yanilov avait quitté la fédération de krav-maga en 1996). Peu avant sa disparition, Lichtenfeld affirmait encore que son vœu le plus cher était que Modèle:"<ref>Modèle:Article.</ref>.

Objectifs

L’objectif du krav-maga est l’apprentissage de la défense en un minimum de temps de formation. et de s'adresser à un large public. Le krav-maga n’est pas conçu comme un art mais comme une méthode de combat rapproché. Les entraînements diffèrent de ceux des arts martiaux ou des sports de combat dans la mesure où le but n’est ni la compétition ni une pratique culturelle ou physique. À cela s’ajoutent l’absence de règles Modèle:Lang et les priorités. La méthode devant être intégrée rapidement pour la formation des soldats, elle ne s’appuie pas sur des qualités physiques particulières et n’est donc pas réservée à des troupes d’élites. La simplicité est déterminante.

En son temps, Imi Lichtenfeld fonde sept principes du krav-maga :

  • « Éviter les situations dangereuses » : le krav-maga est un principe de prévention et de bon sens pour Modèle:" (par exemple : en faisant de l’auto-stop, éviter les individus peu engageants, éviter de traverser à pied un quartier dangereux en villeModèle:Etc.). De plus, si le combat est évitable, le fuir.
  • « Réflexes naturels » : le krav-maga est une technique d’auto-défense basée sur Modèle:" du corps humain
  • « La voie la plus courte » : se défendre et attaquer par la voie la plus courte et depuis la position où l’on se trouve, en privilégiant Modèle:".
  • « Instaurer un dialogue » : en fonction de la situation, et selon le besoin, en fonction du danger que représente l’adversaire, essayer de décourager celui-ci Modèle:".
  • « Points sensibles » : utiliser Modèle:" du corps humain (yeux, gorge, parties génitales) pour atteindre ou maîtriser l’adversaire
  • « Objets à portée, puis armes naturelles » : essayer d’utiliser en priorité Modèle:", puis les armes naturelles du corps en dernier recours.
  • « Tous les coups sont permis » : aucune « loi » (pas de règles à respecter), aucune limitation sur le plan des techniques, pas d’interdits, Modèle:"<ref>Modèle:Lien web.</ref> ; mais, il est tout de même conseillé de rester dans la Modèle:".

Priorités

Tout comme le Modèle:Lang, le krav-maga se caractérise par différentes techniques incapacitantes ou létales.

Les coups sont donc focalisés sur des cibles anatomiques comme notamment les yeux, la nuque, les genoux, la gorge et les parties génitales. Le combattant cherchera systématiquement à prendre l’initiative de l’assaut, puis à neutraliser la menace (sans systématiquement rechercher le maximum de dégâts). La défense est donc toujours un pis-aller (récupération de l’initiative), visant à rétablir l’action offensive. Le déplacement est toujours en avançant (Modèle:Lang).

Dans une situation donnée, la réponse doit être immédiate, aussi forte que nécessaire tout en restant adaptée à la situation, sans appel, naturelle et choisie pour servir un objectif précis, comme déconcentrer, fuir, immobiliser au sol, neutraliser voire tuer. Il en résulte Modèle:Nombre de techniques suivant que l’enseignement est destiné à l’armée, la police ou les civils. En effet, les objectifs n’étant pas les mêmes suivant ces catégories, attaquer, neutraliser, ou se défendre<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Entraînement

Le krav-maga ne présuppose pas que les combattants respectent un ensemble de règles. En particulier, l’entraînement insiste sur des situations atypiques telles que : la réaction à une attaque surprise ; le combat à mains nues contre un adversaire armé d’une arme tranchante (exemple : couteau) éventuellement dissimulée, une arme contondante (exemple : batte de baseball) ou une arme à feu ; anticipation à ce que l’adversaire sorte une arme ou/et s’en serve ; le combat contre plusieurs adversaires, sortir d’une situation d’encerclement ; et la protection d'une tierce personne.

Critiques

Le krav-maga met en œuvre des techniques qui, portées suffisamment fort, peuvent être létales.

L'initiation au krav maga est d'une certaine manière une initiation au meurtre, même si les instructeurs voudraient que cette technique soit réservée aux cas d'autodéfense<ref name=Obs/>. Selon Le Nouvel Observateur, Modèle:Citation.

Autre critique, le krav maga est largement pratiqué dans des groupes juifs d’extrême droite ; en certaines occasions, ces groupes ont eu recours au krav-maga pour attaquer et non pour se défendre<ref name=Obs/>. Il joue un rôle important par exemple dans les activités de la Ligue de défense juive (liée au parti Kach dissout pour racisme)<ref>Modèle:Article</ref>,<ref>«Les clubs de krav maga constituent l'armature associative de recrutement des milices dures comme la Ligue de défense juive créée en 2001 par un ancien du Betar et qualifiée de groupuscule violent», Modèle:Ouvrage,p.70</ref>.

Le krav-maga conserverait une marque communautaire (juive), en dépit de son expansion<ref name=Obs/>,<ref name=lemonde/>.

Selon l'anthropologue Jürgen Schaflechner, la diffusion du krav-maga à l'échelle internationale a mobilisé des stéréotypes associés à Israël, en particulier une valorisation mythique de l'« armée israélienne invaincue »<ref>Modèle:Citation bloc « Stereotypes of ‘Israeliness’ and myths of an undefeated Israel Defense Force (IDF) have become key elements of krav-maga’s global promotion […] ‘Israeliness’ is captured with discourses of muscular Judaism and Tzabra Jewish identity. Other promotions highlight its close link to the Israel Defense Force and tap into nationalist narratives. »
Jürgen Schaflechner, « Krav-maga: History, Representation, and Globalization of a Self-Defense System from Israel », Martial Arts Studies 11, 110-121, lire en ligne.</ref>. Les discours qui ont favorisé l'exportation du krav maga hors d'Israël associent la force de frappe de l'armée israélienne et celle du krav maga, en passant sous silence l'occupation des Territoires palestiniens, toujours selon le chercheur Jürgen Schaflechner ; de tels discours présentent l'oppression militaire comme une forme d'«autodéfense»<ref>Modèle:Citation bloc « These promotions claim an intrinsic metonymical link between Israeli military victories and krav-maga’s efficiency. However, such associations ignore how the Israel Defense Force uses an alleged self-defense system in the Palestinian people’s occupation and oppression. »
Jürgen Schaflechner, Modèle:Opcit 11, 110-121, lire en ligne.</ref>.

Le krav-maga a pu être rapproché d'autres techniques de combat en vogue comme le sambo russe, ou le jiu-jitsu brésilien dans le style Gracie ; le recours de plus en plus fréquent à l'étranglement par les forces de l'ordre américaines au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle serait, selon le magazine Jacobin, lié au succès de ces méthodes de combat particulièrement agressives<ref name=jacobin/>.

Principales organisations

Depuis la mort d'Imi Lichtenfeld, un certain nombre de fédérations se sont développées en Europe et dans le monde.

En France

À la fin des années 1980, Richard Douieb est nommé représentant officiel du krav-maga en Europe par Imi Lichtenfeld et fonde la première école en France en 1987. Totalement inconnue à son arrivée, à l'exception de rares initiés formés en Israël, cette discipline commence sous son impulsion à être reconnue par le grand public et les professionnels de la sécurité<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Il commence donc à enseigner et forme des instructeurs tout en posant les fondements d'une structure supra-nationale.

Il se rend régulièrement en Israël pour compléter sa formation en krav-maga et obtient son Modèle:4e darga en 1990. Ses premiers stages ont lieu en Suisse au sein de la société F.O.R.S. (Organisation de recherche technique dans la sécurité). En 1993, Richard Douieb devient le formateur exclusif en combat rapproché du Groupe d'intervention de la gendarmerie nationale (GIGN) français, responsabilité qu’il assume jusqu'en 2005<ref name="Actu1015">Modèle:Lien web.</ref>. En 1994, il débute la formation de la direction de la Police et des Sport de Lausanne, sous forme de stages réguliers.

En 1997 est fondée la Fédération européenne de krav-maga, basée en France, pour structurer cette discipline et faire face à une demande de plus en plus grande en France et dans le reste de l'Europe, ainsi que pour assurer une formation de qualité aux enseignants<ref name=lemonde/>.

De 2006 à 2011, les clubs français de la FEKM ainsi que plusieurs autres fédérations de krav-maga sont officiellement affiliés à la Fédération française de karaté et disciplines associées (FFKDA), afin d'asseoir leur présence et leur structure fédérale en France.

Autres continents ou pays

Modèle:…

Pratiquants

Modèle:Section à sourcer

Fichier:Krav Maga Marines.jpg
Soldats américains avec un instructeur de krav-maga.

De nombreuses forces de sécurité utilisent le krav-maga dans différents pays. C'est le cas notamment des forces israéliennes, comme Modèle:Lang et le Modèle:Lang<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>, et américaines avec le FBI, le SWAT ou encore les Marines. En France, l'armée française utilise le krav-maga, ainsi que les groupes d'élite de la gendarmerie (GIGN) et de la police nationale (RAID/BRI).

Dans le monde entier et notamment en Israël, IKMF forme des unités d’élites de l’armée, des forces de l’ordre, etc IKMF propose un cahier technique dédié aux : forces de l’ordre, Protection Rapprochée, Militaire, Civils avec en plus pour les civils des cours pour les enfants, les adolescents, les femmes et les personnes handicapées.

Le krav-maga rencontre également un intérêt certain chez les civils, via le développement de fédérations en Europe, en Amérique du Nord et dans d'autres régions du monde. La Fédération européenne de krav-maga (FEKM) compte par exemple plus de Modèle:Nombre répartis dans dix pays, dont environ 10 000 en France.

Culture populaire

Le krav-maga est un style de combat qui s'est également popularisé dans les médias comme la télévision, le cinéma et les jeux vidéo.

Notes et références

Modèle:Références

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Bibliographie

  • Jürgen Schaflechner, « Krav-maga: History, Representation, and Globalization of a Self-Defense System from Israel », Martial Arts Studies 11, 110-121, doi: 10.18573/mas.127, lire en ligne.
  • Armand Cabasson, Le Krav-maga thérapeutique, Librinova, 2021.
  • Gaetano Lo Presti Imi Lichtenfeld - La légende du krav-maga, Borè srl, 2015.
  • Darren Levine et John Whitman, Krav-maga intégral, Budo Éditions, 2019 Modèle:ISBN.

Article connexe

Liens externes

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