La Chute du faucon noir

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Fichier:Information icon.svg Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution

Modèle:Infobox V3/Fin La Chute du faucon noir (Modèle:Lang) est un film américano-britannique réalisé par Ridley Scott et sorti en 2001.

Il est adapté du livre Black Hawk Down: A Story of Modern War de Mark Bowden, relatant les combats de Mogadiscio des 3 et 4 octobre 1993, au cours desquels dix-neuf militaires américains et plusieurs centaines de Somaliens trouvèrent la mort.

À sa sortie, le film récolte globalement de bonnes critiques dans la presse. Il performe cependant modestement au box-office, par rapport à son budget de production.

Résumé détaillé

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Un Sikorsky UH-60 Black Hawk (ou Black Hawk, « faucon noir » en anglais), modèle d'hélicoptère au cœur du film.

Modèle:Article détaillé En octobre 1993, en Somalie, la guerre civile provoque une famine dans la population civile. Les forces de l'ONU sont attaquées par une faction dirigée par le général Mohamed Farrah Aidid. Les États-Unis envoient un détachement composé de membres de la Delta Force, des rangers et du 160th Special Operations Aviation Regiment (Airborne) ayant pour mission d'arrêter Aidid. Mais six semaines plus tard, l'unité n'a toujours pas réussi à trouver Aidid et, décide de s'en prendre à ses lieutenants. C'est ainsi que l'homme d'affaire d'Aidid se fait capturer le Modèle:Date par les Delta Force et s'en prendra aux autres lieutenants lors d'une réunion qui aura lieu le lendemain.

Le Modèle:Date, un indicateur somalien révèle la tenue d'une réunion de membres de la faction rebelle près du marché de Bakara. Les forces spéciales lancent un raid héliporté, les opérateurs de la Delta Force doivent capturer des dirigeants rebelles et les faire embarquer dans un convoi de Humvees, les rangers étant chargés de les couvrir. Mais un des Rangers, Blackburn, tombe du haut d'un hélicoptère et une partie des Humvees dirigée par le sergent Struecker l'évacue en urgence vers la base américaine. Un des rangers, Pilla, sera tué sur le chemin du retour.

L'opération, qui devait se dérouler en trente minutes, semblait bien se passer malgré ces incidents, mais elle tournera mal lorsque les milices de la faction d'Aidid contre-attaquent en masse et parviennent notamment à abattre un hélicoptère UH-60 Black Hawk (littéralement « faucon noir » qui, une fois abattus, sont annoncés comme « Black Hawk down »). Pour tenter de sauver les occupants des Black Hawk (une des devises de l'armée américaine étant « leave no man behind », c'est-à-dire aucun homme ne doit être abandonné), les unités américaines poursuivent l'engagement, dans une ville devenue une véritable souricière. Scindés en plusieurs groupes, les rangers et les Delta tentent de rejoindre, à pied ou en Humvees, le site du crash. L'équipe du sergent Eversmann sécurise le site du premier crash en attendant l'arrivée des Delta pour récupérer l'équipage coincé à l'intérieur.

Les miliciens lancent des contre-attaques et de nombreuses embuscades, puis abattent un second hélicoptère Black Hawk. Le général envoie le convoi de Struecker revenu à la base retourner sur le terrain avec des renforts pour sécuriser le second site du crash. Pendant ce temps, le convoi principal ayant perdu plusieurs hommes doit rebrousser chemin, laissant les petits groupes de soldats complètement isolés autour du premier site du crash alors que la nuit tombe. Plus tôt, deux opérateurs Delta se sont littéralement sacrifiés pour tenter de sauver l'équipage du second crash. Les deux snipers tiendront près d'une heure contre une foule en furie, puis tomberont en héros. Le pilote du Black Hawk est fait prisonnier par les miliciens. Le convoi de Struecker étant retardé par de nombreuses barricades dans la zone hostile, une petite équipe dirigée par le sergent Hoot descend du convoi pour se rendre sans difficulté sur le site du second crash à pied complètement désert et le sécurise rapidement en faisant sauter l'épave avant de partir en direction du site du premier crash. Pendant ce temps, le pilote Durant est retenu en otage par des somaliens.

Pendant la nuit, l'état-major monte un nouveau convoi de secours pour récupérer les soldats : des renforts du 75th Rangers, de la [[10e division de montagne (États-Unis)|Modèle:10e de montagne (infanterie légère)]] et des Pakistanais onusiens repartent en ville sous les ordres du lieutenant-colonel McKnight qui part en tête malgré sa blessure. Pendant ce temps, un des soldats d'Eversmann est gravement blessé et mourra plus tard dans la nuit faute de secours, malgré les tentatives de ses camarades pour le sauver, le général ne voulant pas risquer de perdre un autre hélicoptère. Les rebelles tendent une nouvelle embuscade autour du site du premier crash, mais celle-ci est déjouée par l'équipe de Hoot qui rejoint les groupes de Eversmann, DiTomasso et Sanderson.

Après de violents affrontements et le mitraillage en règle des rebelles par les hélicoptères américains, les groupes autour du site sont rejoints par les blindés. Après avoir extrait les corps des équipages coincés dans l'épave pendant le reste de la nuit, les forces américaines quittent la zone contrôlée par Aidid, certains en courant par manque de place dans les blindés, et rejoignent le stade au petit matin du Modèle:Date où les forces de l'ONU sont installées. Alors que les soldats récupèrent de leur nuit, Hoot retourne dans la zone hostile, tandis que le général nettoie le sang de l'infirmerie et Eversmann rend un dernier hommage à Smith.

Au cours de la bataille de Mogadiscio, 19 soldats américains ont perdu la vie (18 dans la bataille et 1 deux jours plus tard à la suite de l'explosion d'un obus de mortier tombé dans le camp des rangers), et plusieurs centaines de Somaliens ont été tués (le film indique plus de 1 000). Le pilote du Black Hawk sera libéré ultérieurement.

Fiche technique

Distribution

75th Rangers

Delta Force

160th SOAR (Night Stalkers)

Autres

L'ennemi somalien

Modèle:Source RS Doublage<ref>« Fiche du doublage français du film » sur RS Doublage.</ref> et Voxofilm<ref>« Fiche du doublage français du film » sur Voxofilm</ref>
Modèle:Source Doublage Québec<ref>« Fiche du doublage québécois du film » sur Doublage.qc.ca.</ref>

Production

Genèse et développement

Le film est à l'origine une idée du réalisateur Simon West, qui demande à Jerry Bruckheimer d'acheter les droits du livre Black Hawk Down: A Story of Modern War de Mark Bowden, qui revient sur la bataille de Mogadiscio de 1993. Simon West voulait réaliser le film mais il est finalement pris sur le projet Lara Croft: Tomb Raider (2001)<ref>The Hollywood Reporter Modèle:N°. 2007. Modèle:P..</ref>. Ken Nolan est ensuite engagé pour rédiger un script. Plusieurs réécritures sont ensuite faites : Mark Bowden écrit une adaptation de son propre livre, Steven Gaghan fait une réécriture, Steven Zaillian retravaille la majorité des scénarios de Gaghan et Nolan, Sam Shepard retouche lui-même certains de ses dialogues et Eric Roth modifie certains dialogues. Ken Nolan est cependant le seul crédité au générique, selon la Writers Guild of America.

Distribution des rôles

Modèle:... Ridley Scott propose initialement le rôle de Norm "Hoot" Gibson à Russell Crowe, qu'il avait déjà dirigé dans Gladiator (2000). Mais l'acteur est pris par le tournage du film de Ron Howard Un homme d'exception (2001). Il lui recommande cependant d'engager à sa place Eric Bana. L'acteur australien tourne ici son premier film américain<ref name="trivia">{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Wikidata}}/{{#if:trivia|trivia|reference}} {{#if:||Trivia}} sur l’Modèle:Lang</ref>.

Ben Foster avait été engagé pour le rôle du caporal James « Jamie » Smith. Cependant, il doit y renoncer après une sérieuse blessure survenue durant l'entrainement militaire des acteurs. Il est remplacé par Charlie Hofheimer<ref name="trivia" />.

Le rôle de Danny McKnight est proposé à Michael Madsen, mais il est alors occupé par le tournage de la série Big Apple (2001)<ref name="trivia" />.

Aucune actrice n'est créditée au générique. La seule femme présente à l'écran est Giannina Facio qui incarne Stephanie Shughart. Compagne du réalisateur Ridley Scott, elle n'est cependant pas créditée au générique<ref name="trivia" />.

Tournage

Le tournage étant impossible en Somalie, pour des raisons politiques, le film a été tourné au Maroc, pendant environ 90 jours, principalement à Rabat et Salé notamment le quartier de Sidi Moussa qui est utilisé pour le centre-ville de Mogadiscio<ref name="allocine-secrets">Secrets de tournage - Allociné</ref>. Certaines scènes sont également tournées à Kénitra et Mehdia<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Lieux de tournage - Internet Movie Database</ref>.

Le tournage a nécessité le transport de beaucoup de matériel lourd : une quinzaine d'hélicoptères, des dizaines de blindés et de transports militaires, ainsi que le plus grand système de prises de vue sur grue de l'époque<ref name="allocine-secrets" />.

L'équipe a pu bénéficier des conseils de Harry Humphries, qui avait déjà officié sur d'autres productions de Jerry Bruckheimer comme Rock, Les Ailes de l'enfer, Armageddon, Ennemi d'État et Pearl Harbor. Le département de la Défense des États-Unis a également aidé la production<ref name="allocine-secrets" />.

Bande originale

Modèle:Infobox Musique (œuvre) La musique du film est composée par Hans Zimmer, collaborateur régulier de Ridley Scott. Le compositeur travaille ici avec d'autres musiciens comme Heitor Pereira et Mel Wesson, issus de Remote Control Productions. La bande originale comprend également Gortoz a ran, du chanteur breton Denez Prigent.

Liste des titres

Modèle:Pistes

Sortie et accueil

Critique

Modèle:Infobox Critique presse Le film reçoit des critiques plutôt positives. Sur l'agrégateur américain Rotten Tomatoes, il récolte 77 % d'opinions favorables pour 173 critiques et une note moyenne de Modèle:Frac. Le consensus suivant résume les critiques compilées par le site : Modèle:Citation. Sur Metacritic, il obtient une note moyenne de Modèle:Frac pour 33 critiques<ref name="MC">Modèle:Lien web</ref>.

En France, le film obtient une note moyenne de Modèle:Frac sur le site AlloCiné, qui recense 17 titres de presse<ref name="allopresse">Modèle:Lien web</ref>.

Le magazine Empire lui a donné le verdict Modèle:Citation. Mike Clark, critique de cinéma à USA Today, a écrit que le film Modèle:Citation, et louait la direction prise par Scott : Modèle:CitationModèle:Réf nécessaire.

Le film a eu un petit héritage culturel, qui a été étudié de manière académique par des spécialistes des médias qui analysent de manière approfondie la manière dont les médias reflètent les perceptions américaines de la guerre. Le scénariste de Newsweek, Evan Thomas, considérait le film comme l’un des films les plus importants sur le plan culturel de la présidence de George W. Bush. Il a suggéré que bien que le film ait été présenté comme étant anti-guerre, il était au cœur de sa position pro-guerre. Il a en outre écrit que Modèle:CitationModèle:Réf nécessaire.

Stephen A. Klien, dans un article pour Critical Studies in Media Communication, affirme que le rendu sensationnel de la guerre dans le film incite le public à faire preuve d'empathie pour le leitmotiv pro-soldat du film et à Modèle:Citation le discours public critique concernant la justification et l'exécution d'une politique interventionniste militaireModèle:Réf nécessaire.

Box-office

La Chute du faucon noir est d'abord distribué dans un circuit limité de salles aux États-Unis, rapportant Modèle:Unité de recettes, soit une moyenne de Modèle:Unité dans les quatre salles le distribuant le week-end de sa sortie, se classant en vingt-quatrième place des meilleures recettes à cette période<ref name="bhd">Modèle:Lien web</ref>. Au cours de son exploitation limitée, le film n'est pas distribué au-delà de seize salles et a rapporté Modèle:Unité<ref name="bhd"/>.

Le long métrage connaît une large distribution en salles sur le territoire américain en quatrième semaine, où il totalise Modèle:Unité en week-end, pour Modèle:Unité sur les Modèle:Unité le diffusant, prenant la tête du box-office et ce, durant trois semaines<ref name="bhd"/>. Au cours de sa diffusion sur l'ensemble du territoire, La Chute du faucon noir est distribué jusqu'à Modèle:Unité<ref name="bhd"/>. Il finit son exploitation après plus de quinze semaines à l'affiche et un résultat de Modèle:Unité<ref name="bhd"/>.

À l'international, La Chute du faucon noir a rapporté Modèle:Unité, grâce notamment aux résultats du Japon (Modèle:Unité et au Royaume-Uni (Modèle:Unité)<ref name="bhd"/>. Les recettes mondiales sont de Modèle:Unité<ref name="bhd"/>.

Sorti dans 536 salles en France, le long métrage prend la quatrième place du box-office avec Modèle:Unité enregistrées pour sa première semaine à l'affiche, pour finir son exploitation avec Modèle:Unité<ref name="lcdfn">Modèle:Lien web</ref>.

Modèle:Box-office

Distinctions principales

Source et distinctions complètes : Internet Movie Database<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Wikidata}}/{{#if:awards|awards|reference}} {{#if:||Awards}} sur l’Modèle:Lang</ref>

Récompenses

Nominations

Commentaires

Version longue

En 2006, une version longue extended cut est commercialisée en DVD. La durée du film est alors portée à 152 minutes. Elle sort en Blu-ray en 2019<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Postérité

La dernière partie du jeu Delta Force: Black Hawk Down est inspiré de la bataille de MogadiscioModèle:Réf nécessaire.

Hommage

Ridley Scott dédie ce film à sa mère Elizabeth, décédée peu de temps avant. Son frère Tony fera de même avec Spy Game : Jeu d'espions<ref name="trivia" />.

Notes et références

Modèle:Traduction/Référence Modèle:Références

Annexes

Articles connesxes

Liens externes

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