La Duchère

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}

Modèle:Infobox Quartier La Duchère est un écoquartier de Lyon et une zone d'aménagement concerté d'environ 120 hectares<ref name="Nadine">Nadine Halitim, « De la notion de quartier à ses représentations : Exemple de la Duchère » in Bulletin du Centre Pierre-Léon d'histoire économique et sociale.</ref> situé dans le [[9e arrondissement de Lyon|Modèle:9e arrondissement]]. Le quartier de La Duchère, labellisé écoquartier en 2013<ref name=":0" /> situé sur la Modèle:3e colline de Lyon en termes d'altitude, domine la Saône en formant le plateau de l'Ouest Lyonnais. Le quartier est souvent défini comme étant la troisième colline de Lyon, après Fourvière et La Croix-Rousse<ref name="Bibli"/>.

Sous-quartiers

Le quartier de La Duchère possède plusieurs sous-quartiers : Le Plateau, La Sauvegarde, Balmont et Le Château<ref name="Nadine"/>. Le secteur du Plateau constitue le cœur du quartier de La Duchère. Il comporte notamment le Lycée de la Martinière, mais également la tour panoramique, ainsi qu'historiquement la « barre des 1000 », une succession de 3 barres (210, 220, 230) qui totalisaient Modèle:Unité, intégralement détruites entre 2005 et 2015<ref name="Div"/>,<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Histoire

Château de la Duchère

Fichier:Lyon - Château de la Duchère.jpg
Illustration du château de la Duchère.

Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, le château de la Duchère est construit. Il est rénové et agrandi plusieurs fois entre les {{#switch: XVII

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}}<ref name="Arc"/>. Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, il est mis en location, avant d'être abandonné dans les années 1960. Il est démoli entre 1972 et 1973, contre l'avis de François-Régis Cottin<ref name="Bibli">Modèle:Lien web</ref>,<ref name="harvsp|Annie Schwartz|1993|p">Modèle:Harvsp</ref>. Sa destruction serait dû aux coûts importants pour le réhabiliter<ref name="Arc"/>. Les seuls vestiges du château encore existants sont les restes d'un lavoir construit en 1661<ref name="Bibli"/>.

Patrimoine militaire

Avant de devenir un quartier de Lyon, la Duchère était l'une des 24 places fortes intra-muros ou périphériques constituant la première ceinture de Lyon en 1832. En effet, de 1832 à 1874, la ville s'était dotée de deux barrières défensives, constituées de forts, de bastions, de pipes et de batteries, destinées à préserver la ville d'éventuelles attaques étrangères mais aussi des campagnes alentour et de leurs brigands ; le fort de la Duchère, où se situe désormais le stade de la Duchère, était l'un de ces maillons. Sa construction s'étire de 1844 à 1851<ref name="Arc"/>. Il n'est plus utilisé militairement à partir de 1957<ref name="Arc"/>. Il servira par la suite comme centre de recrutement, puis comme lieu de transit pour les rapatriés d'Algérie<ref name="Arc"/>. Une grande partie est détruite<ref name="Arc"/>.

Urbanisation du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

Jusqu'au milieu des années 1950, la Duchère est en grande partie constituée de terres agricoles<ref name="Lyon">La Duchère, Ville de Lyon</ref>. En juillet 1953, un premier plan masse est demandé par le ministère de la reconstruction et du logement à François-Régis Cottin, un second est demandé en 1957<ref name="Arc">François-Régis Cottin Architecte & Historien, Archives de Lyon</ref>,<ref name="ORS">Ateliers Santé-Ville, Diagnostic de santé du quartier de La Duchère, Ville de Lyon, Janvier 2004</ref>.

En 1958, Louis Pradel lance le projet de construction sur le quartier<ref name="Lyon"/>. La première construction civile de ce nouveau quartier est le lycée de la Martinière en 1959<ref name="Free">Histoire de la Duchère, Site personnel illustré</ref>.

L'urbanisation est massive dans les années 1960 avec la création d'un nouveau quartier, destiné à résorber l'habitat insalubre des quartiers ouvriers de Vaise. En réponse à une crise aiguë du logement dans l'agglomération lyonnaise, Louis Pradel, maire de Lyon, annonce la création d'un ensemble d'entre 5300 et 5500 logements à La Duchère, dirigé par l'architecte François-Régis Cottin<ref>Modèle:Harvsp</ref>,<ref name="Lyon"/>. Les acquisitions foncières et l'aménagement du site sont délégués à la société d'équipement du Rhône et de Lyon (SERL)<ref name="Nadine"/>. Le quartier du Château commence à être construit en 1961<ref name="Free"/>. Le quartier commence à être habité entre 1962 et 1963<ref name="Free"/>,<ref name="GVP">Modèle:Lien web</ref>. En juin 1963, 2000 logements sont habités<ref name="Nadine"/>, puis 4000 en décembre 1964. En 1965, environ un tiers de la population est constitué de rapatriés d'Algérie<ref name="Nadine"/>.

Parallèlement, l'église Notre-Dame-de-Balmont, conçue par Pierre Genton, est construite entre 1963 et 1965<ref name="Bibli"/>. Un château d'eau de Modèle:Unité de haut est construit en 1967<ref name="Bibli"/>. La même année, la résidence Les Érables est construite, conçue par l'architecte Jean Dubuisson<ref name="Bibli"/>.

Le quartier, à la suite de la guerre d'Algérie, accueille en premier lieu des populations rapatriées d'Afrique du nord, dites Pieds-Noirs, puis des populations d'origine majoritairement maghrébines<ref>Modèle:Harvsp</ref>. Le monument aux morts de la ville d'Oran est transféré à La Duchère en 1968<ref>Modèle:Lien web</ref>. La même année, l'église du plateau est construite par François-Régis Cottin<ref name="Bibli"/>.

En 1969, la construction de la tour panoramique de la Duchère commence. Elle sera terminée en 1972<ref name="Bibli"/>. Son architecte est François-Régis Cottin, qui a également construit les églises situés sur le Plateau. Elle s'élève à une hauteur de Modèle:Unité (du sous-sol au sommet de la flèche).

En 1975, le quartier compte 19 710 habitants. Ce chiffre passe à 17 196 habitants en 1982, puis à 13 966 habitants en 1990<ref name="Nadine"/>. Il est de 12 411 habitants en 1999<ref name="ORS"/>. Cela s'explique par une forte décohabitation des ménages, avec un passage de 4 personnes par ménage en 1964 à 2,7 personnes en 1990, qui s'explique par un vieillissement de la population<ref name="Nadine"/>. En parallèle de ce vieillissement, et de la diminution de la part des moins de 20 ans dans la population, la population étrangère passe de 5,5 % en 1975 à 17 % en 1990<ref name="Nadine"/>. En 1990, le taux de chômage dans le quartier est de 14 %<ref name="Nadine"/>.

Dans les années 1990, plusieurs projets sont conçus par l'OPAC du Rhône et par la ville de Lyon, pour réaménager le quartier<ref name="Div"/>. L'église Notre-Dame-de-Balmont est désaffectée en 1995 et reconvertie en cinéma sous le nom de Ciné Duchère<ref name=a>Modèle:Lien web.</ref>.

En 2000 le quartier est constitué de 5 176 logements dont 4026 logements sociaux. 2396 logements sont situés sur le Plateau, 1162 sont situés à Balmont, 1055 sont présents à la Sauvegarde et 563 sont situés au Château<ref name="Div">.Diversification de l'habitat et mixité sociale dans les quartiers en rénovation urbaine, Act Consultants, CERFISE, Cf. Géo, IUP, Octobre 2009</ref>.

Premières politiques de la ville

La Duchère est incluse dans les dispositifs de la politique de la ville dès 1986 via une convention Développement social des quartiers (DSQ) entre l'État, la ville de Lyon, le Grand Lyon et les organismes HLM. Ce cadre vise à mettre en avant des actions de rénovation mais également des actions plus sociales d'insertion et d'éducation. Cette convention est renouvelée en 1986<ref name="harvsp|Annie Schwartz|1993|p"/>. Dans ce cadre et celui d'une réhabilitation d'une barre, un groupe de travail inter-quartier (GTI) est mis en place<ref name="Laetitia">Suivre ce qui se passe à la Duchère : formes d'engagement et ressorts du public au sein du Groupe de Travail Interquartiers, Laetitia Overneyn, Centre Max Weber</ref>. Il est porté par un noyau dur d'habitants du quartier. Il vise à faire le lien entre les habitants et les instances décisionnelles, tant avec les élus qu'avec les personnes chargées de la rénovation du quartier<ref name="Laetitia"/>. Le GTI existe toujours et tiendra un rôle assez critique vis à vis du grand projet de ville<ref name="Laetitia"/>. En 1991, la DSQ est reconduite<ref name="Pop">GPV de La Duchère, Joseph Graven, Ophélie Ignace, Gaëlle Le Genissel, Université Lumière Lyon 2 – UMR 5600 Environnement, Ville, Société, Juin 2006</ref>. Un plan d'action de 74 millions de francs est lancé, pour réhabiliter les espaces publics, les logements, en parallèle d'action d'insertion sociales et économiques<ref name="Pop"/>. En 1994, le quartier est intégré au dispositif de contrat de ville<ref name="Pop"/>. En 1998, un plan d'action sécurité est mis en place, avec l'augmentation des effectifs policiers, ainsi que de la mise en place de vidéosurveillance<ref name="Pop"/>. Dans la décennie 1990, la barre 260 est réhabilitée par son bailleur de fonds la SACVL<ref name="Pop"/>. Le projet inclut également la destruction des anciennes emprises commerciales, en partie inoccupées, pour les relocaliser au rez-de-chaussée des nouveaux immeubles<ref name="Pop"/>.

Le quartier connaît quelques incidents qui altèrent sa réputation<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>. Le quartier est secoué par des émeutes en 1997<ref name="Pop"/>.

En 1999, le quartier possède un parc de logement social représentant 80 % de son parc total contre 18 % dans la commune de Lyon<ref name="GVP"/>. Les principaux bailleurs sociaux du quartier sont l’Opac du Grand Lyon, l’Opac du Rhône et la SACVL<ref name="Bibli"/>. En 1999, le recensement de la population fait état de 12 400 habitants à La Duchère (contre 20 000 en 1968). La même année, le quartier a un taux de chômage de 22 % contre 12 % en moyenne dans la commune de Lyon<ref name="ANRU">Un Grand Projet de Ville pour un développement durable, ANRU, Octobre 2012</ref>,<ref name="GVP"/>. Le quartier montre également en moyenne de piètres résultats scolaires. De plus, il accueille bien plus de ménages monoparentaux, avec un taux de 17 %, contre en moyenne 9 % à Lyon<ref name="GVP"/>.

En janvier 2001, la démolition partielle de la barre 200 est voté au conseil municipal de Lyon, avec une aide de la mairie de 2 millions d'euros pour cette réalisation<ref name="Pop"/>. Sa démolition a lieu le 29 octobre 2003<ref name="Bibli"/>.

Grand projet de ville

Conception et gestion

Fichier:La Duchère (Lyon) - Installations sportives devant un immeuble (août 2022).jpg
Square et immeuble rue de la Sauvegarde.

Le grand projet de ville de La Duchère est conçu entre 2000 et 2003<ref name="Div"/>, même si les premières réflexions remontent, semble-t-il à 1999<ref name="Pop"/>. En parallèle, le contrat de ville est renouvelé pour la période 2000 à 2006<ref name="Pop"/>. En 2003, le grand projet de ville de La Duchère, est signé entre l'État, le Grand Lyon et la Ville de Lyon<ref name="Div"/>. Ce grand projet a vocation à se mettre en place entre 2003 et 2016 en deux phases<ref name="Lyon"/>. La maîtrise d'ouvrage de ce projet est assurée par la Mission Lyon la Duchère, créée en 2001, qui regroupe la ville de Lyon et le Grand Lyon, mais aussi le département du Rhône et la région Rhône-Alpes<ref name="Pop"/>,<ref name="ANRU"/>. Les aménagements mis en place au travers du grand projet de ville se font au travers d'une ZAC, créée en mars 2004<ref name="Div"/>, dont l'aménageur est la société d'équipement du Rhône et de Lyon (SERL)<ref name="ANRU"/>, depuis la signature de sa convention le 29 mars 2004<ref name="Pop"/>. La conception urbanistique et architecturale du projet est encadrée par Alain Marguerit, Bernard Paris, Pascal Gontier et Bernard Martelet<ref name="ANRU"/>.

Le budget initial du grand projet de ville à la Duchère est de 600 millions d'euros, avec 350 millions d'euros par des fonds publics : 125 millions d'euros par le Grand Lyon, 50 millions d'euros par l'ANRU, 25 millions d'euros par la ville de Lyon, 11 millions d'euros par la Région Rhône-Alpes<ref name="ANRU"/>.

Dans le cadre du grand projet de ville (GPV), la Duchère est intégrée au dispositif contrat de ville<ref>Politique de la ville en Rhône-Alpes :chiffres-clés et cartographie des territoires</ref>. Le quartier est classé en contrat urbain de cohésion sociale (CUCS), priorité 1, de 2007 à 2014<ref>Lettre de cadrage Duchère 2013</ref>, jusqu'à ce qu'il devienne un quartier prioritaire en 2015.

Ce projet prévoit la démolition de plusieurs barres et logements soit un total de 1 500 logements détruits<ref name="Pop"/>, dont la "barre des 1 000"<ref name="Div"/>, mais aussi la barre 260 et une partie de la barre 410<ref name="Div"/>. La destruction de la barre 260 est la plus controversée, de par sa récente réhabilitation<ref name="Pop"/>. Le projet inclut également la reconstruction de plus de 1 500 logements neufs dont une grande part de logements privés en accession à la propriété ou en location. Des logements sociaux neufs et un centre de quartier avec de nouveaux commerces et services publics sont également prévus, sur le plateau de La Duchère. Ce projet prévoit notamment la restructuration du quartier par le rééquilibrage de la part de logements sociaux et de logements privés sur le quartier. En 2003, 80 % des logements étaient des logements sociaux ; à terme, soit en 2010, cette part sera ramenée à 63 %<ref>Lyon La Duchère, Politique de la ville de Lyon</ref>. De plus, plusieurs équipements publics sont prévus, notamment deux écoles, un gymnase, une bibliothèque, une salle d'athlétisme et une salle de fête, en plus de la réhabilitation de la MJC<ref name="Pop"/>. Enfin le projet inclut la création d'une nouvelle trame viaire orthogonale, permise par la destruction de plusieurs barres dont la barre 260<ref name="Pop"/>.

En mai 2004, le processus de sélection de promoteurs de lots construits est lancé<ref name="Div"/>. Ceux sélectionnés sont : Nexity-Georges V, Bowfonds Marignan, Alliade, Cogédim, Rhône Saône Habitat, Spirit Grand Sud et SLCI Promotion<ref name="Pop"/>.

Réalisation

Fichier:Barre200.jpg
29 octobre 2003, démolition d'une partie de la barre 200.

Entre 2004 et 2005, les premières importantes concertations ont lieu<ref name="ANRU"/>. En septembre 2005, le comité de suivi participatif est créé<ref name="ANRU"/>. En mars 2005, la réhabilitation de la tour panoramique de la Duchère commence. Celle-ci a un coût de 3,5 millions d'euros<ref name="Bibli"/>. En mai 2005, une convention avec l'ANRU est signée<ref name="Div"/>.

En 2005, les premières démolitions d'immeubles ont lieu, avec notamment la destruction de la barre 210 par explosif, le 27 octobre 2005<ref name="Bibli"/> ou le grignotage de la barre 260 commencé durant l'été et finalisé en décembre 2005<ref name="Pop"/>. De ce fait, 602 familles sont relogées à La Duchère et dans le reste de l'agglomération. Les premiers équipements publics reconstruits sont livrés avec deux nouvelles écoles. La vente des logements neufs a démarré Modèle:Refnec, avec l’inauguration du Villag’Immo sur le Plateau; 153 logements ont été mis en vente à cette occasion.

En 2007, les premières résidences en accession à la propriété et en location sont lancées, avec la résidence Les Rives de Champagne, puis un an après la résidence étudiante Georges V, ainsi que le Carré Anaïs<ref name="Bibli"/>. En 2008, l'ancien gymnase du lycée de la Martinière est démoli, avec la livraison d'un nouveau gymnase au mois de mai.

Au 31 mars 2008, 306 logements neufs ont été mis en vente sur le site de La Duchère. Modèle:Refnec : ainsi, Modèle:Refnec Sur ces 306 logements neufs, 190 ont fait l'objet d'une réservation ferme, ce qui représente environ 62 % du total des logements proposés.

En 2010, la barre 220 est démolie. Elle comportait 340 logements avec 52 000 tonnes de matériaux<ref>Modèle:YouTube</ref>. Avant 2012, un total de 1338 logements sociaux ont été démolis, avec en parallèle la construction de 860 logements neufs<ref name="Burlet"/>. La destruction de la barre 230, repoussée plusieurs fois à cause de travaux de désamiantage qui ont coûté près de 2,5 millions d'euros, contre 300 000 pour le désamiantage de la barre 210, est prévue pour 2015<ref>Modèle:Lien web</ref>.

En Modèle:Date, la halle d'athlétisme Stéphane-Diagana, du nom de l'athlète français, est inaugurée à la Duchère<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle accueille plusieurs championnats de France d'athlétisme en salle courant 2013 et 2014<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web.</ref> et accueille en 2015 les championnats du Monde Vétérans d’Athlétisme<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Au printemps 2014, le parc du Vallon ouvre au public sur une superficie de 11 hectares, à l'issue de travaux commencés en 2011<ref name="GVP"/>. Sa maîtrise d'ouvrage a été conduite par la Direction de l’Eau du Grand Lyon, pour l’aspect hydraulique et par le SERL (qui aménage la ZAC Duchère) pour l’aspect paysager. La maitrise d'œuvre paysager est réalisée par l’agence Ilex, aidé de Cap Vert Ingénierie, Sogréah et LEA<ref name="GVP"/>. Le réaménagement du parc, d'un coût de 9,1 millions d’euros, a été financé par l’agence nationale pour la rénovation urbaine (ANRU), la région Rhône-Alpes, le Grand Lyon et la ville de Lyon<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Autres périmètres parallèles ou postérieurs

La Duchère a été classée en Zone franche urbaine le 11 juillet 2006<ref>Modèle:Lien web</ref>. Tous les programmes neufs sur le quartier sont concernés par la loi Engagement Nationale pour le Logement (Loi ENL) adoptée le 13 juillet 2006 qui favorise l'accession à la propriété dans les quartiers en rénovation urbaine<ref>Que ce soient ceux du Plateau, du secteur des Bleuets, des Balmes ou celui d'Eiffage à la Sauvegarde</ref>.

Le 3 août 2012, la Duchère devient l'une des 15 premières zones de sécurité prioritaire et la seule à Lyon dans cette première vague<ref name="Burlet">A la Duchère, nouvelle "zone de sécurité prioritaire", les zones grises d'une rénovation urbaine, Laurent Burlet, La Rue 89 Lyon, 4 août 2012</ref>.

Le 9 septembre 2013, le quartier de la Duchère est labellisé en tant qu'écoquartier<ref name=":0">Projet Lyon La Duchère : une exposition consacrée au projet urbain à Bruxelles en octobre 2013, Grand Lyon</ref>.

Le « Plan Canopée » (3000 arbres supplémentaires par an), adopté en décembre 2017 par le Conseil de la Métropole, devrait augmenter de manière significative la couverture de la ville par les arbres et limiter les effets d’îlot de chaleur urbain<ref>Lancement du Plan Canopée, sur Grand Lyon.</ref>. Des actions ponctuelles sont en cours en 2020, dont certaines concernent La Duchère : 6000 arbres vont être plantés pour créer une forêt de 1000 m² dans la ville<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Films tournés à la Duchère

Sport

La 14e étape du Tour de France 2020 traverse le quartier le Modèle:Date. Le Belge Tiesj Benoot franchit en tête la côte de la Duchère classée en quatrième catégorie.

Personnalités liées au quartier

Notes et références

Modèle:Références

Annexes

Modèle:Autres projets

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Liens

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