La Garde (Alpes-de-Haute-Provence)
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France
La Garde est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Le nom de ses habitants est Gardois<ref>Habitants.fr - Le nom des habitants des A.H.P</ref>.
Géographie
Le village est situé à Modèle:Unité d’altitude<ref name="IGN-village"/>.
La Garde est une des 46 communes adhérentes du Parc naturel régional du Verdon.
Les communes limitrophes sont Demandolx, Peyroules, Châteauvieux (dans le Var) et Castellane.
Géologie
Relief
Les principaux sommets entourant le village sont<ref name="IGN-village"/> :
- à l’ouest, Destourbes (Modèle:Unité) ;
- au sud, la colline de Sebet (Modèle:Unité) ;
- à l’est, la crête du Teillon atteint Modèle:Unité aux Quatre Termes ;
- au nord, la crête de Rus culmine à Modèle:Unité ;
- enfin, proche du village, le sommet de Croueste est à Modèle:Unité.
À l’est, la Modèle:Nobr franchit le col de Luens à Modèle:Unité<ref name="IGN-village"/>.
Hydrographie et les eaux souterraines
Les principaux cours d’eau de la commune sont le ravin des Gravières, qui naît sur les pentes du Teillon et passe à l’est du village. Il se jette dans le ravin de Destourbes, qui lui rejoint le Verdon en amont de Castellane<ref name="IGN-village"/>.
Cours d'eau sur la commune ou à son aval :
- rivière le jabron,
- ravins de destourbes, des costes, des sagnes, de maupas, des gravières, de la couissine, de sébet.
Environnement
La commune compte Modèle:Unité de bois et forêts, soit 38 % de sa superficie<ref name="tresor"/>.
Voies de communications et transports
Voies routières
La commune est située sur la route départementale Modèle:Nobr, ancienne route nationale 85 et itinéraire emprunté par la route Napoléon. La route départementale Modèle:Nobr dessert la commune à partir du village où elle s’embranche sur la Modèle:Nobr<ref name="IGN-village"/>.
Transports en commun
Risques naturels et technologiques
Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de Castellane auquel appartient La Garde est en zone 1b (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques<ref name="ddrm39"/>, et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011<ref name="prim"/>. La commune de La Garde est également exposée à trois autres risques naturels<ref name="prim"/> :
- feu de forêt,
- inondation,
- mouvement de terrain : quelques versants de la commune sont concernés par un aléa moyen à fort<ref name="ddrm37"/>.
La commune de La Garde est également exposée à un risque d’origine technologique, celui de transport de matières dangereuses par route<ref name="ppr"/>. La route départementale Modèle:Nobr peut être empruntée par les transports routiers de marchandises dangereuses<ref name="ddrm80"/>.
Aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune<ref name="ppr"/> et le Dicrim existe depuis 2011<ref name="dicrim"/>.
Sismicité
Globalement, et même si l’épicentre de certains séismes dévastateurs comme celui de Chasteuil en 1951 sont très proches, les séismes ont jusqu’à maintenant été faiblement ressentis<ref name="brgm"/>.
Toponymie
La localité apparaît pour la première fois dans les textes vers 1200 (la Gareda)<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>. Ce nom dérive de l’occitan garda, venant du germanique wart ou ward, lieu de guet<ref name="TGF"/>,<ref name="Fénié-67"/>.
Urbanisme
Typologie
La Garde est une commune rurale<ref group=Note>Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (93,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (94,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (50,3 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (26,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (17,2 %), zones agricoles hétérogènes (5,4 %), prairies (0,7 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>.
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Histoire
Dans l’Antiquité, le peuple installé dans sur le territoire de la Garde à l’arrivée des Romains est celui des Suetrii<ref name="AHP-c12"/>.
La Garde jouait le rôle d’une place forte protégeant Castellane (la commune est située sur la route qui monte de Castellane au col de Luens, et au-delà vers Grasse et Draguignan). La seigneurie appartenait aux Castellane (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle)<ref name="AHP"/>. Lors de la crise ouverte par la mort de la reine Jeanne Ire{{#if:| }}, Guillaume du Puget, seigneur de La Garde, soutient Charles de Duras contre [[Louis Ier de Naples|Louis {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }} d'Anjou]]. Le ralliement de Sisteron à la cause angevine, en novembre, entraîne son changement d’engagement, et il prête hommage le Modèle:Date-<ref>Geneviève Xhayet, « Partisans et adversaires de Louis d'Anjou pendant la guerre de l'Union d'Aix », Provence historique, Fédération historique de Provence, volume 40, Modèle:N°162, « Autour de la guerre de l'Union d'Aix », 1990, Modèle:P.422.</ref>.
Le fief passe aux Gassendi (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), puis aux Périer au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref name="AHP"/>. Une fois les barons de Castellane vaincus, Castellane devint chef-lieu d’une viguerie dont relevait La Garde<ref name="archeo-provence"/>.
Lors de la guerre de Succession d'Autriche, une armée austro-sarde envahit la Provence et occupe La Garde en décembre 1746. Elle est repoussée par une offensive des troupes franco-espagnoles les 21 et Modèle:Date-<ref>Pierre Grillon, « L'invasion et la libération de la Provence en 1746-1747 », Provence historique, volume 12, Modèle:N°50, 1962, Modèle:P.354.</ref>.
La Révolution et l’Empire apportent nombre d’améliorations, dont une imposition foncière égale pour tous, et proportionnelle à la valeur des biens de chacun. Afin de la mettre en place sur des bases précises, la levée d’un cadastre est décidée. La loi de finances du Modèle:Date- précise ses modalités, mais sa réalisation est longue à mettre en œuvre, les fonctionnaires du cadastre traitant les communes par groupes géographiques successifs. En 1824, le cadastre dit napoléonien de La Garde est achevé<ref>Alexeï Laurent, « Paysages ruraux de la première moitié du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle dans le sud-est des Basses-Alpes », in Jean-Christophe Labadie (directeur éditorial), La matière et le bâti en Haute-Provence, {{#switch: e
| e | er | = Modèle:S mini-{{#ifeq: -|-| – | - }}Modèle:S mini- siècle
| Modèle:S mini-{{#ifeq: e|-| – | e }}Modèle:S mini- siècleXXI
}}, actes de la première Journée d'études d'histoire de la Haute-Provence, Digne, 13 octobre 2012. Digne-les-Bains : Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013. Modèle:ISBN, Modèle:P.10.</ref>.
Comme de nombreuses communes du département, celle de La Garde se dote d’écoles bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, l’école installée au chef-lieu dispense une instruction primaire aux garçons<ref name="labadie9"/>. Aucune instruction n’est donnée aux filles : ni la loi Falloux (1851), qui impose l’ouverture d’une école de filles aux communes de plus de 800 habitants<ref name="labadie16"/>, ni la première loi Duruy (1867), qui abaisse ce seuil à 500 habitants, ne concernent La Garde<ref name="labadie18"/>. Si la commune profite de la deuxième loi Duruy (1877) pour rénover son école<ref name="labadie11"/>, ce n’est qu’avec les lois Ferry que les filles de La Garde sont régulièrement scolarisées.
Héraldique
Modèle:Article détaillé Modèle:Blason commune
Économie
Aperçu général
En 2009, la population active s’élevait à 44 personnes, dont 6 chômeurs<ref name="insee-dossier-local5"/>. Ces travailleurs sont majoritairement salariés (23 sur 39)<ref name="insee-dossier-local7"/> et travaillent majoritairement hors de la commune (21 actifs sur 39)<ref name="insee-dossier-local7"/>.
Agriculture
Fin 2010, le secteur primaire (agriculture, sylviculture, pêche) comptait quatre établissements actifs au sens de l’Insee (exploitants non-professionnels inclus) et aucun emploi salarié<ref name="insee-dossier-local16"/>.
Le nombre d’exploitations professionnelles, selon l’enquête Agreste du ministère de l’Agriculture, est trop faible et couvert par le secret statistique depuis 2000<ref name="otex"/>. Il était de huit en 1988<ref name="exploitations-insee"/>, avec une surface agricole utile (SAU) de Modèle:Nombre<ref name="otex"/>.
Industrie
Fin 2010, le secteur secondaire (industrie et construction) comptait cinq établissements, sans salarié<ref name="insee-dossier-local16"/>.
Des carrières de gypse ont été exploitées sur la commune<ref name="La Torre"/>.
Activités de service
Fin 2010, le secteur tertiaire (commerces, services) comptait sept établissements (avec trois emplois salariés), auxquels s’ajoutent l’unique établissement du secteur administratif<ref name="insee-dossier-local16"/>.
D'après l’Observatoire départemental du tourisme, la fonction touristique est très importante pour la commune, avec plus de cinq touristes accueillis par habitant<ref name="atlas-hébergement6"/>, l’essentiel de la capacité d'hébergement étant marchande<ref name="atlas-hébergement7"/>. Plusieurs structures d’hébergement à finalité touristique existent dans la commune :
- un hôtel<ref name="atlas-hébergement11"/> (classé deux étoiles<ref name="atlas-hébergement16"/>) et une capacité de huit chambres<ref name="insee-tourisme"/> ;
- un camping deux étoiles<ref name="atlas-hébergement21-23-27"/> avec une capacité de 200 emplacements<ref name="insee-dossier-local17"/> ;
- plusieurs meublés labellisés<ref name="atlas-hébergement32"/>.
Les résidences secondaires apportent un complément appréciable à la capacité d’accueil<ref name="atlas-hébergement44"/> : au nombre de 72, elles représentent plus de la moitié des logements. Parmi les résidences secondaires, quatre possèdent plus d’un logement<ref name="insee-dossier-local17"/>,<ref name="insee-tourisme"/>.
Politique et administration
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Éluréélu plusieurs fois Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin
Budget et fiscalité 2016
En 2016, le budget de la commune était constitué ainsi<ref>Les comptes de la commune</ref> :
- total des produits de fonctionnement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant ;
- total des ressources d’investissement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant ;
- total des emplois d’investissement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant.
- endettement : Modèle:Unité, soit Modèle:Unité par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d’habitation : 6,60 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 4,60 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 41,99 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 58,73 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 16,51 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2014<ref>Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet</ref>.
Intercommunalité
La Garde fait partie :
- jusqu'en 2016, de la Communauté de communes du Moyen Verdon ;
- à partir du Modèle:Date, de la communauté de communes Alpes Provence Verdon.
Urbanisme
La Communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière, créée le Modèle:Date avec effet le Modèle:Date, regroupe désormais 41 communes. Cet Établissement public de coopération intercommunale (EPCI) s'est engagé dans une démarche d’élaboration d’un Plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi)<ref>Communauté de Communes Alpes Provence Verdon « Sources de Lumière » : Lancement du PLUi du Moyen Verdon</ref>.
Population et société
Démographie
En Modèle:Population de France/dernière année, La Garde comptait Modèle:Population de France/dernière pop habitants. À partir du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, les recensements réels des communes de moins de Modèle:Unité ont lieu tous les cinq ans (2004, 2009, 2014, etc. pour La Garde). Depuis 2004, les autres chiffres sont des estimations.
{{#invoke:Démographie|demographie}}
L’histoire démographique de La Garde, après la saignée des {{#switch: e
| e | er | = {{#switch: e
| e | er | = Modèle:S mini{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini siècles
| Modèle:S mini{{#ifeq: e|-| – | e }}Modèle:S mini siècleXV
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| e | er | = Modèle:S mini{{#ifeq: e|-| – | e }}Modèle:S mini siècle
| Modèle:S mini{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini siècles
}}
}} et le long mouvement de croissance jusqu’au début du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, est marquée par une période d’« étale » où la population reste relativement stable à un niveau élevé. Cette période dure de 1806 à 1851. L’exode rural provoque ensuite un mouvement de baisse de la population de longue durée. En 1911, la commune enregistre la perte de plus de la moitié de sa population par rapport au maximum historique de 1836-1841<ref name="vidal">Christiane Vidal, « Chronologie et rythmes du dépeuplement dans le département des Alpes-de-Haute-Provence depuis le début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. », Provence historique, tome 21, Modèle:N°85, 1971, Modèle:P.287.</ref>. Le mouvement de baisse ne s'interrompt définitivement que dans les années 1960. Depuis, la population a repris sa croissance.
Modèle:Population de France/graphique
Enseignement
Santé
Cultes
Culte catholique, Doyenné Var et Verdon, Diocèse : Digne-Riez-Sisteron<ref>Paroisse La Garde</ref>
Lieux et monuments
- L’église paroissiale<ref>Modèle:Base Mérimée</ref> est placée sous le vocable de Notre-Dame-des-Ormeaux<ref name="Collier"/>,<ref name="archeo-provence"/> et sous le patronage de sainte Anne<ref name="archeo-provence"/> est un agrandissement d’une église plus ancienne (Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle) : les deux travées centrales ont été conservées, la première modifiée, la dernière ajoutée, avec l’abside. Les raccords sont assez grossiers<ref name="Collier"/>. La cloche serait de 1605<ref>Modèle:Base Palissy cloche (Modèle:N°)</ref> ?
Les chapelles, oratoires et monuments commémoratifs
- L’ancienne église paroissiale<ref>Modèle:Base Mérimée</ref> se trouve à moins d'un kilomètre à l'est du village : c’est actuellement la chapelle Saint-Martin<ref name="archeo-provence"/>.
- Une autre chapelle se trouve sur la route de Castellane, placée sous le vocable de Saint-Sébastien<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>. Elle est construite ici au Modèle:S mini- ou au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, pour protéger la communauté contre les dangers venant de l’extérieur<ref name="archeo-provence"/>.
- Enfin, l'entrée ouest du village est marquée par la chapelle Sainte-Anne<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.
- Monuments commémoratifs<ref>Synthèse des relevés</ref>.
- Plaque commémorative de l'église.
- Plaque commémorative 1914-1918 de la mairie.
- Tombeau<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.
- Cimetière<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.
- Oratoires, croix de chemin<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>,<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>,<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.
Le petit patrimoine local
- Fontaines, lavoirs et puits<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>,<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>,<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>,<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.
- Four à pain<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.
- Cabane troglodytique<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.
- Pont sur le ravin des Gravières<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.
- Chapelles, croix de mission, oratoires de La Garde
-
Chœur de la chapelle Sainte-Anne.
-
Chapelle Saint-Martin.
-
Chapelle Saint-Sébastien, sur la route nationale.
-
Croix de mission.
-
Oratoire est.
-
Oratoire à l'ouest.
Personnalités liées à la commune
Voir aussi
Bibliographie
- Modèle:Collier-Haute-Provence
- Présentation de la commune de La Garde par le service régional de l'inventaire
- Modèle:Atlas historique de la Provence
- La Garde sur le site archéoprovence
- La Garde sur le site Dignois
- Cadrans solaires du Pays du Verdon : La Garde
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
Articles connexes
- Liste des anciennes communes des Alpes-de-Haute-Provence
- Liste des communes des Alpes-de-Haute-Provence