Larry Bird

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}

Modèle:En-tête label Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Joueur de basket-ball

Larry Joe Bird, parfois surnommé « Modèle:Langue » ou « Modèle:Langue », est un joueur, entraîneur et dirigeant américain de basket-ball né le Modèle:Date à West Baden Springs, dans l'Indiana.

Considéré comme l'un des meilleurs joueurs du cinquantenaire de la NBA selon un vote effectué en 1996, sa rivalité avec Magic Johnson est un des facteurs du renouveau de la NBA, renouveau qui se prolonge ensuite avec l'avènement de Michael Jordan. Il inscrit à son palmarès trois titres de champion NBA (Modèle:Langue) avec les Celtics de Boston, et une médaille d'or olympique obtenue avec la Modèle:Langue aux Jeux olympiques de Barcelone.

Larry Bird est distingué à trois reprises du titre de meilleur joueur de la ligue ([[NBA Most Valuable Player|Modèle:Langue]]) et, à deux reprises, du titre de meilleur joueur des finales NBA ([[National Basketball Association Finals Most Valuable Player Award|Modèle:Langue]]). Modèle:Nobr, il est introduit au Modèle:Langue, le Temple de la renommée du basket-ball, et Modèle:Nobr, figure une seconde fois au palmarès de celui-ci en qualité de membre de la Modèle:Langue.

À l'issue de sa carrière de joueur, Larry Bird effectue une courte carrière d'entraîneur, récompensée du titre d'entraîneur de l'année, Modèle:Langue, Modèle:Nobr, et atteignant les Finales NBA Modèle:Nobr.

En 2012, il est désigné Modèle:Langue, meilleur dirigeant de la NBA<ref>Modèle:Article</ref>, devenant la première personne dans l'histoire de la ligue à avoir reçu les prix de meilleur joueur de la saison, d'entraîneur de l'année, et de dirigeant de l'année.

Biographie

Naissance et jeunesse

Larry Joe Bird naît le Modèle:Date à West Baden Springs, dans l'Indiana<ref>Modèle:Lien web.</ref> et grandit à French Lick, petite ville d'environ Modèle:Unité dans le sud de l'ÉtatModèle:Sfn, ce qui lui a valu le surnom de « Modèle:Langue » dans sa carrière de basket-ball professionnel<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Il est le fils de Georgia (née Kerns le Modèle:Date dans le Comté de Dubois - décédée le Modèle:Date à West Baden Springs)<ref name="Ancestry">Modèle:Lien web.</ref> et Claude Joseph "Joe" Bird (né le Modèle:Date - décédé le Modèle:Date à French Lick)<ref name="Ancestry"/> et c'est le quatrième enfant d'une famille de six : Mike, Mark, Linda, Larry, Feff et Eddie. Sa mère, qui occupe un poste de serveuse, finit d'élever seule ses enfants : son mari, un ouvrier, se suicide avec une arme à feu Modèle:Nobr, alors que Larry a dix-huit ansModèle:Sfn,<ref name="talkbasketball">Modèle:Lien web.</ref>. C'est un descendant d'Irlandais ; ses ancêtres (septième génération), Thomas Lindley (né le Modèle:Date à Carlow en Irlande) et Ruth Hadley (née le Modèle:Date dans le Comté de Westmeath en Irlande) ont émigré dans le Comté d'Orange en Caroline du Nord où ils sont décédés tous les deux respectivement le Modèle:Date et le Modèle:Date<ref name="Ancestry"/>.

Il est scolarisé à la Modèle:Langue, qui est située Modèle:Langue<ref name="talkbasketball"/>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Il effectue ses premiers matchs en [[Système éducatif des États-Unis|Modèle:Langue]] au Modèle:Langue alors qu'il est Modèle:Langue, ou deuxième année : il dispute alors deux matchs, pour un total de Modèle:NobrModèle:Sfn. La saison suivante, il dispute Modèle:Nobr et sa moyenne atteint désormais Modèle:Nobr par rencontre. Lors de sa dernière saison, il inscrit Modèle:Nobr, Modèle:Unité, Modèle:Nobr et Modèle:NobrModèle:Sfn avec comme meilleure performance Modèle:NobrModèle:Sfn. Avec son école, il inscrit au total Modèle:Unité soit une moyenne Modèle:Nobr, capte Modèle:Nobr et délivre Modèle:Unité en Modèle:UnitéModèle:Sfn.

Carrière universitaire

Ses performances en lycée lui permettent de recevoir une offre pour rejoindre l'université de l'Indiana dont les Hoosiers de l'Indiana sont dirigés par Bobby Knight. Toutefois, il ne joue pas avec cette équipe : passer d'une ville d'un peu plus de Modèle:Unité à un campus regroupant plus de Modèle:Unité est un changement trop important pour ce jeune joueur de dix-sept ans et Bird retourne à la maison après moins d'un mois<ref name="Plain_and_simple">Modèle:Lien web.</ref>. Il occupe alors un emploi communal.

En 1975, il retrouve le monde universitaire : il rejoint les Sycamores d'Indiana State de l'université d'État d'Indiana. Il ne peut toutefois pas jouer lors de cette Modèle:Nobr, son changement d'université le plaçant alors sous le statut de [[Statuts des étudiants-athlètes en NCAA|Modèle:Langue]]<ref name="Plain_and_simple"/>. En son absence, les Sycamores terminent cette saison avec un bilan Modèle:Nobr. Pour sa première saison, Modèle:Nobr, il termine avec des statistiques de Modèle:Unité, Modèle:Unité, ce qui se traduit par Modèle:Unité, Modèle:Unité et Modèle:Unité en Modèle:Nobr (Modèle:Nobr, Modèle:Nobr)<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La saison se termine par une défaite d'un point face à Houston au premier tour du Modèle:Langue. Durant l'été, il remporte la médaille d'or des championnats du monde universitaire en battant l'URSS Modèle:Nobr. Les États-Unis terminent la compétition invaincus avec un bilan de huit victoires en huit rencontres<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

La saison suivante, les Sycamores terminent avec un bilan de 23-9. Bird inscrit Modèle:Unité, capte Modèle:Unité et délivre Modèle:Unité en Modèle:Nobr<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Malgré son statut de Modèle:Langue, Red Auerbach le choisit en juin à la sixième position de la [[Draft 1978 de la NBA|Modèle:Langue 1978]]<ref group=N>La Modèle:Langue est aussi appelée repêchage par les francophones d'Amérique du Nord, en particulier au Québec.</ref>.

Lors de sa dernière saison universitaire, en 1978-1979, Bird conduit son équipe à la victoire lors du tournoi de la Modèle:Langue, puis à une participation au tournoi final de la Modèle:Langue (NCAA). C'est la première fois de son histoire que l'école dispute le tournoi final de la Division I du championnat de la NCAA. Lors de celui-ci, les Sycamores éliminent Virginia Tech puis Oklahoma et enfin Arkansas en finale régionale pour se qualifier pour le [[Final Four basket-ball NCAA|Modèle:Langue]], disputé à Salt Lake City. Lors de celui-ci, ils s'imposent Modèle:Nobr face à DePaul et obtiennent le droit de disputer le titre national. Ils sont alors invaincus sur la saison avec un bilan de Modèle:Nobr<ref name="ncaa1979">Modèle:Lien web.</ref>.

La finale oppose donc une équipe qui dispute son premier tournoi final de Division I aux Spartans de Michigan State, équipe réputée de la Modèle:Langue, l'une des conférences les plus compétitives du pays. C'est également l'affrontement entre deux joueurs qui possèdent un talent énorme, sont de grands passeurs et possèdent un grand esprit de compétition : Larry Bird et Magic Johnson<ref name="FinalFour1979"/>. Par contre, sur d'autres critères, tout les oppose : l'un est blanc, l'autre noir ; Magic est expansif alors que Bird communique peu<ref name="FinalFour1979" />. De plus, Bird évoluant dans une petite université, il est alors un joueur réputé dans la presse locale mais que très peu d'Américains ont eu la possibilité de voir jouer. En effet, les Sycamores ont joué pour la première fois devant la télévision nationale lors de leur vingt-sixième victoire de la saison, face à Wichita State<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Cette finale, avec une audience Modèle:Nobr sur l'échelle de Nielsen, est l'événement de basket-ball qui a connu la plus grande audience aux États-Unis, puisqu'environ un quart des Américains se sont rassemblés devant leur télévision<ref name="FinalFour1979">Modèle:Lien web.</ref>. Michigan s'impose sur le score de Modèle:Unité grâce aux Modèle:Unité de Magic Johnson. Bird est lui limité à un Modèle:Nobr aux tirs, pour un total de Modèle:Unité et seulement deux passes décisives. C'est le pire match de sa carrière universitaire<ref>Modèle:Lien web.</ref> à cause d'un pouce cassé mais surtout à une bonne défense sur luiModèle:Sfn.

Les statistiques de Larry Bird sur sa dernière saison sont de Modèle:Unité, Modèle:Unité de moyenne, Modèle:Unité, Modèle:Unité par match et Modèle:Unité<ref name="ncaa1979"/>. Sur l'ensemble de sa carrière universitaire, il a disputé Modèle:Nobr, inscrit Modèle:Unité, capté Modèle:Unité et délivré Modèle:Unité<ref name="baskerref-bird"/>. Il est le meilleur marqueur de l'histoire de son école, possède la meilleure moyenne avec Modèle:Unité, le meilleur total de rebonds et la meilleure moyenne avec Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Carrière en NBA

Draft et débuts avec les Celtics de Boston

Draft et première saison NBA

Larry Bird est sélectionné en sixième position de la Modèle:Langue en 1978 par les Celtics de Boston. Toutefois, Bird jouant Modèle:Nobr sa dernière saison en NCAA, Boston doit signer avec Larry Bird avant la Modèle:Langue suivante pour conserver ses droits sur le joueur. Lors des négociations entre Red Auerbach et Bob Woolf, l'agent de Bird, celui-ci demande un contrat d'un million de dollars. Red Auerbach refuse cette proposition en argumentant qu'un ailier ne peut pas dominer un match, au contraire d'un pivot ou parfois d'un meneur ou d'un arrière<ref group=N>Modèle:Citation étrangère</ref>,<ref name="Frank_Deford">Modèle:Lien web.</ref>. Finalement, Bird signe alors un contrat de Modèle:Unité par saison, ce qui constitue alors le plus gros contrat de l'histoire pour un Modèle:Langue<ref group=N>Le terme « Modèle:Langue » désigne un joueur dans sa première saison professionnelle. Il est aussi désigné sous le terme de « recrue » par les francophones d'Amérique du Nord, en particulier au Québec.</ref>,<ref name="Frank_Deford"/>.

Dès son arrivée dans la franchise de Boston, l'impact de Larry Bird est immédiat. Il permet aux Celtics, qui restent sur un bilan de Modèle:Nobr gagnés pour Modèle:Nobr perdus, de réaliser le meilleur bilan de la ligue<ref name="SI-9-11-1981">Modèle:Article.</ref>. En effet, Boston obtient Modèle:Unité en saison régulière et ne concède que Modèle:Unité, ce qui constitue alors le troisième meilleur bilan de l'histoire de la franchise, derrière Modèle:Nobr de la [[saison NBA 1972-1973|Modèle:Nobr]] et 62-18 de la [[saison NBA 1964-1965|Modèle:Nobr]]<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Avec Modèle:Unité points et Modèle:Unité rebonds par rencontre<ref name="baskerref-bird">Modèle:Lien web.</ref>, Larry Bird est déjà le meilleur marqueur et rebondeur de son équipe<ref name="SI-9-11-1981"/>. Dès sa première saison, il reçoit ses premières récompenses individuelles. Il est désigné meilleur joueur du mois de février<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Il remporte le titre de Modèle:Langue et est élu dans le meilleur cinq des débutants (Modèle:Langue). Il fait également partie du premier cinq NBA ([[All-NBA Team|Modèle:Langue]]) dont les quatre autres joueurs sont Kareem Abdul-Jabbar, Julius Erving, George Gervin et Paul Westphal. Plus tôt dans la saison, il est sélectionné dans l'équipe de la conférence Est pour le [[NBA All-Star Game 1980|Modèle:Langue]] qui se déroule le Modèle:Date dans le Maryland. Son adversaire de la finale NCAA de l'année précédente, Magic Johnson, est également présent dans l'équipe de la conférence Ouest. La sélection de la conférence Est l'emporte Modèle:Nobr après prolongation<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

En Modèle:Langue<ref group=N>Les Modèle:Langue sont aussi appelés série éliminatoire par les francophones d'Amérique du Nord, en particulier au Québec.</ref>, Bird et les Celtics sont éliminés par les Sixers de Philadelphie en finale de conférence Est quatre matchs à un<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Premier titre NBA
Fichier:Robert Parish Celtics.jpg
Robert Parish rejoint les Celtics Modèle:Nobr.

La [[Draft 1980 de la NBA|Modèle:Langue 1980]] marque un tournant dans l'histoire des Celtics. Grâce à un échange avec les Warriors de Golden State, la franchise de Boston récupère Robert Parish et Kevin McHale formant le premier Modèle:Langue de l'histoire des Celtics.

Au milieu de la saison NBA 1980-1981, les Celtics réussissent une série de Modèle:Nobr en Modèle:Nobr, bien emmenés par Bird qui marque en moyenne Modèle:Nobr par match<ref name="SI-9-11-1981"/>. Avant le Modèle:Langue, où il est une nouvelle fois sélectionné, Larry Bird se blesse à la cuisse après un choc avec le genou de Darryl Dawkins<ref name="SI-9-11-1981"/>. Malgré cette blessure, Bird ne manque pas une rencontre.

Les Modèle:Langue de la saison Modèle:Nobr marquent le retour des Celtics au sommet de la NBA. Larry Bird est un joueur clef de l'effectif. L'apport des deux joueurs intérieurs permet une variation entre jeu intérieur et extérieur dont il bénéficie. À la suite de leur première place en saison régulière, les Celtics de Boston sont exemptés de premier tour et attendent leur adversaire. Les Bulls de Chicago s'avancent en adversaires de Boston après avoir battu les Knicks de New York. Les Celtics dominent largement les Bulls par quatre victoires à zéro. Lors du quatrième match, Bird est décisif en inscrivant cinq points en moins de Modèle:Nobr<ref name="SI-9-11-1981"/>.

Ils sont ensuite opposés aux Sixers de Philadelphie lors d'une revanche de la précédente finale de conférence. Julius Erving, [[NBA Most Valuable Player|Modèle:Langue]] de la saison régulière, contribue à la victoire des Sixers sur le parquet du Modèle:Langue lors du Modèle:Nobr. Chaque équipe gagne ensuite dans sa salle et Boston se retrouve mené trois victoires à une. Dans le cinquième match de la série, les Celtics sont menés de six points à Modèle:Unité du terme de la rencontre. Ils reviennent et gagnent la partie Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>. À nouveau dominée, cette fois-ci de Modèle:Nobr, l'équipe de Boston gagne Modèle:Nobr à l'extérieur le sixième match et s'offre une rencontre décisive au Modèle:Langue. Larry Bird réussit dans les dernières minutes du Modèle:Nobr deux interceptions décisives et inscrit même le panier décisif permettant aux Celtics de gagner la rencontre Modèle:Unité<ref name="SI-9-11-1981"/>,<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Lien web.</ref>.

En finale NBA, la franchise de Bird est opposée aux Rockets de Houston. Durant le premier match de cette série, Bird réalise ce que Red Auerbach qualifiera de Modèle:Citation<ref group=N>Modèle:Citation étrangère.</ref>,<ref name="bird-shot">Modèle:Lien web.</ref> : il tente un tir depuis le côté droit du terrain mais aussitôt il voit que son tir est manqué ; il anticipe alors le rebond et se déplace rapidement vers le fond du terrain. Dans sa course, il capte le ballon de la main droite mais, toujours en l'air, il se trouve maintenant dans l’impossibilité de tirer de cette main, la planche lui interdisant le tir et il ne peut se laisser retomber au sol, étant désormais derrière la ligne de fond. Il passe alors la balle dans sa main gauche puis lance le ballon vers le panier, le ballon franchissant l'arceau<ref name="bird-shot"/>. Les Celtics remportent finalement cette première manche sur le score de Modèle:Nobr<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Les Rockets, dont le joueur majeur est Moses Malone, égalisent en s'imposant, toujours sur le parquet du Modèle:Langue, Modèle:Nobr lors du deuxième match<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Boston reprend aussitôt l'avantage du terrain en s'imposant à Houston sur le score de Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> puis voit les Rockets égaliser de nouveau après une victoire Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Boston s'impose sur son parquet lors du cinquième match<ref group=N name="FormatFinale">Les Finales NBA n'ont pas toujours été disputées suivant le même format. Elle se disputent sur le format : 2-2-1-1-1, c'est-à-dire deux matchs chez l'équipe ayant le meilleur bilan sur la saison, deux matchs chez son adversaire, puis des matchs disputés de manière alternée. À partir de la [[saison NBA 1984-1985|Modèle:Nobr]], le format évolue en 2-3-2 : deux rencontres, chez l'équipe ayant le meilleur bilan sur la saison, deux matchs, et un troisième si nécessaire, chez le club de l'autre conférence. Les deux derniers matchs éventuels sont de nouveau disputés dans la salle du club ayant le meilleur bilan.</ref>. Lors de la sixième rencontre, les Rockets reviennent à trois points à Modèle:Unité après avoir été menés de Modèle:Unité. Larry Bird reçoit alors une balle de Nate Archibald et réussit un tir à trois points qui met un terme définitif aux espoirs des joueurs de Houston, la rencontre se soldant finalement sur le score de Modèle:Unité<ref name="SI-9-11-1981"/>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

1982 et 1983 : Domination des Sixers en playoffs de la conférence Est

Lors de sa troisième saison dans la ligue, les Celtics terminent de nouveau avec le meilleur bilan de la NBA avec Modèle:Nobr pour Modèle:Nobr<ref>Modèle:Lien web.</ref>. En février, il est désigné meilleur joueur du [[NBA All-Star Game 1982|Modèle:Langue]] lors d'une victoire Modèle:Nobr de son équipe<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Lors de cette rencontre, il inscrit Modèle:Nobr à Modèle:Nobr aux tirs, capte Modèle:Nobr, délivre Modèle:Nobr, réussit une interception et un contre. Lors des Modèle:Langue, les Celtics s'imposent quatre à un face aux Bullets de Washington. En finale de conférence, ils sont ensuite opposés aux Sixers comme lors des deux saisons précédentes<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Après une première victoire des Celtics au Boston Garden, les Sixers enchaînent trois victoires pour mener la série par trois à un. De retour à Boston, les Celtics Modèle:Nobr<ref>Modèle:Lien web.</ref> et les supporters, persuadés que la série, comme celle Modèle:Nobr, se décidera lors de la septième manche, donne rendez-vous aux Sixers par un Modèle:Citation étrangère<ref name="BeatLA">Modèle:Lien web.</ref>. Les Celtics sont proches de renouveler cet exploit en s'imposant Modèle:Nobr à Philadelphie<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Toutefois, lors du match sept, les Sixers s'imposent sur le score de Modèle:Nobr<ref>Modèle:Lien web.</ref>, et les supporters des Celtics changent leur clameur au profit d'un Modèle:Citation étrangère, slogan qui est exprimé pour la première fois et qui deviendra un standard dans les années futures<ref name="BeatLA"/>. Lors de ces Modèle:Langue, Bird inscrit Modèle:Unité, capte Modèle:Unité, deuxième moyenne des Modèle:Langue derrière Moses Malone, Modèle:Unité (huitième), Modèle:Unité (sixième) en Modèle:Nobr Modèle:Nobr, troisième moyenne de temps<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

En 1983, Boston, deuxième bilan de la division atlantique<ref>Modèle:Lien web.</ref> derrière les Sixers, doit disputer le premier tour des séries éliminatoires face aux Hawks d'Atlanta. Après une victoire deux à un<ref>Modèle:Lien web.</ref>, ils sont opposés en demi-finale de conférence aux Bucks de Milwaukee : ils subissent alors ce qui est le premier et le seul Modèle:Langue (défaite quatre à zéro) des Celtics durant la période où évolue Larry Bird<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Bird termine onzième marqueur de la ligue avec Modèle:Unité, neuvième avec onze prises du classement des rebondeurs et dix-septième du classement des passeurs avec Modèle:Unité par rencontre. Il est également onzième au classement des interceptions avec une performance Modèle:Nobr<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

En 1983, la NBA instaure un Modèle:Langue, plafond salarial destiné à limiter la masse salariale des franchises, ce qui n'existe alors dans aucune des grandes ligues américaines<ref name="salarycap">Modèle:Lien web.</ref>. Celui-ci ne doit prendre effet que pour la [[saison NBA 1984-1985|Modèle:Nobr]]. Toutefois, la NBA définit quelques exceptions qui permettent de dépasser ce plafond. La plus connue d'entre elles, officiellement nommée Modèle:Langue, est appelée Modèle:Langue : celle-ci permet à une franchise de pouvoir dépasser son plafond salarial en re-signant l'un de ses propres joueurs. Elle porte le nom de Larry Bird car elle aurait été introduite dans le but de permettre aux Celtics de pouvoir le re-signer, Bird devant être agent libre à l'issue de la saison Modèle:Nobr<ref name="salarycap"/>. Mais le contrat de Bird est finalement renouvelé lors de Modèle:Nobr et n'est donc pas soumis au Modèle:Langue<ref name="salarycap"/> : ce contrat de Modèle:Unité de dollars porte sur sept ans<ref name="salarycap"/>.

Rivalité avec les Lakers de Los Angeles

Deuxième titre NBA

Les Celtics connaissent alors quelques changements : ils changent de propriétaire au profit d'un groupe mené par Don Gaston. Sur le plan sportif, l'équipe est confiée à un ancien joueur de la franchise, K.C. Jones. Elle retrouve le premier rang de la ligue en terminant avec le meilleur bilan, Modèle:Nobr pour Modèle:Nobr<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Bird termine au premier rang au pourcentage de lancers francs réussis avec 88,8 % et figure dans le Modèle:Langue du classement des marqueurs Modèle:Incise et des rebondeurs Modèle:Incise et présente une moyenne de Modèle:Unité. Il présente également une moyenne de Modèle:Unité soit un total Modèle:Nobr, terminant également dixième de la ligue dans ce classement<ref name="baskerref-bird"/>. Après deux élections au titre de meilleur joueur de la semaine durant les mois de février et mars, Bird reçoit son premier titre de Modèle:Langue<ref>Modèle:Lien web.</ref>, meilleur joueur de la ligue, après trois places de deuxième dans les votes des trois années précédentes – derrière Julius Erving Modèle:Nobr<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Moses Malone Modèle:Nobr<ref>Modèle:Lien web.</ref> Modèle:Nobr<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Il est également présent dans le meilleur cinq de la NBA et dans le second cinq défensif, [[NBA All-Defensive Team|Modèle:Langue]], où c'est sa troisième présence consécutive. Lors des Modèle:Langue – qui sont désormais disputés par seize équipes – les Celtics éliminent les Bullets de Washington par trois à un puis éliminent les Knicks de New York lors de la septième manche le Modèle:Date sur le score de Modèle:Nobr<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Les Celtics obtiennent le droit de disputer la finale en prenant leur revanche sur les Bucks sur le score de quatre à un. Après la finale NCAA Modèle:Nobr, Bird et Magic Johnson doivent de nouveau s'affronter pour un titre, l'équipe de Johnson, les Lakers de Los Angeles, s'imposant à l'Ouest face aux Suns de Phoenix sur le score de quatre à deux<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Pour la première finale NBA opposant les deux joueurs, les Lakers s'imposent à Boston lors du premier match de la série<ref>Modèle:Lien web.</ref>, puis mènent de deux points lors du match suivant avant que Gerald Henderson n'intercepte une passe de James Worthy vers Byron Scott pour égaliser et permettre à son équipe de jouer la prolongation. Celle-ci est finalement remportée par les Modèle:Nobr<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Larry Bird déclare ensuite que cette interception a changé le cours de la série : celle-ci se serait terminée sur un Modèle:Langue, selon lui, en cas de victoire des Lakers<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Les deux rencontres suivantes, disputées en Californie, voient les Lakers s'imposer nettement, Modèle:Nobr avec un triple double de Magic (Modèle:Nobr, Modèle:Nobr, Modèle:Nobr), puis les Celtics égaliser grâce à une victoire Modèle:Nobr malgré un deuxième triple double de Magic, (Modèle:Nobr, Modèle:Nobr, Modèle:Nobr), Bird réussissant pour sa part Modèle:Nobr et Modèle:Nobr<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Cette rencontre, très engagée, voit Kevin McHale faire une faute violente sur Kurt Rambis lors d'une contre-attaque puis Bird et Kareem Abdul-Jabbar s'affronter verbalement quelques minutes plus tard à la suite d'une lutte au rebond. Lors du cinquième match, disputé dans une chaleur étouffante à Boston, Bird réussit Modèle:Nobr à Modèle:Nobr, capte Modèle:Nobr en Modèle:Nobr et est, selon l'entraîneur adverse Pat Riley, le facteur clé de la victoire de son équipe sur le score de Modèle:Nobr<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Après un sixième match remporté par les Lakers Modèle:Nobr Modèle:Incise les deux équipes sont de nouveau à égalité, la décision devant donc se faire lors de la septième manche disputée au Boston Garden. C'est la treizième fois qu'une finale NBA se décide lors de la septième et ultime manche, la quatrième fois lors d'une confrontation Lakers-Celtics<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Lors de celle-ci, Cedric Maxwell, joueur de Boston et MVP des Modèle:Nobr, réalise un grand match comme il l'avait annoncé avant la rencontre : Modèle:Nobr, Modèle:Nobr et Modèle:Nobr. Les Celtics mènent Modèle:Nobr à Modèle:Nobr du terme puis les Lakers reviennent à trois points à Modèle:Nobr. À la suite d'une perte de balle de Magic Johnson, les Celtics inscrivent Modèle:Nobr puis Bird ajoute Modèle:Nobr sur lancer-franc dans les Modèle:Nobr secondes pour remporter son deuxième titre NBA. Avec des moyennes sur la série de Modèle:Unité et Modèle:Nobr, Bird obtient son premier titre de meilleur joueur des finales, Modèle:Langue<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Revanche des Lakers

La moyenne de points de Larry Bird en saison régulière progresse lors de la saison suivante : elle atteint Modèle:Unité, ce qui fait de lui le deuxième de la NBA derrière Bernard King. Il est également huitième du classement des rebonds avec 10,5, dix-neuvième du classement des passeurs avec Modèle:Unité. Son pourcentage de 88,2 le place en sixième position du classement des lancer-francs et il se classe deuxième au pourcentage à trois points avec 42,7 % derrière Byron Scott<ref name="baskerref-bird"/>. Ces performances lui permettent d'obtenir son deuxième titre de meilleur joueur de la ligue devant Magic Johnson : durant ce vote, Modèle:Nobr Modèle:Nobr lui attribuent la première place<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Durant le mois de mars, dont il est désigné meilleur joueur<ref name="pom">Modèle:Lien web.</ref>, il reprend à Kevin McHale le meilleur total de points inscrit par un joueur des Celtics avec Modèle:Nobr Modèle:Incise inscrits lors d'une victoire Modèle:Nobr face aux Hawks d'Atlanta<ref name="Best_60">Modèle:Lien web.</ref>. McHale l'avait dépossédé neuf jours plus tôt, passant l'ancien record de Modèle:Nobr de Bird Modèle:Nobr<ref name="Best_60"/>.

Lors de son premier tour de Modèle:Langue, Boston est opposé aux Cavaliers de Cleveland dirigés par un jeune entraîneur George Karl. Après deux victoires Modèle:Nobr Modèle:Incise et Modèle:Nobr, les Cavaliers s'imposent de sept points sur leur parquet<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Larry Bird est absent de cette rencontre en raison d'une blessure au coude droit ayant entraîné la présence d'éclats d'os<ref name="saison1985">Modèle:Lien web.</ref>. Il fait son retour sur les parquets lors du match suivant où il inscrit Modèle:Nobr dans une victoire Modèle:Nobr. Lors de la série suivante les opposant aux Pistons de Détroit, les Celtics s'imposent lors des deux premiers matchs puis les joueurs de Détroit égalisent, Bird réalisant un Modèle:Nobr sur ces deux derniers matchs. Lors du match suivant, il réussit sa meilleure performance en termes de points en Modèle:Langue Modèle:Nobr, Modèle:Nobr lors du dernier quart-temps<ref>Modèle:Lien web.</ref> pour donner la victoire, Modèle:Nobr, et l'avantage à son équipe. Les Celtics s'imposent de nouveau lors du match suivant Modèle:Nobr pour rejoindre les Sixers en finale de conférence. Celle-ci est dominée par les Celtics qui s'imposent quatre victoires à une pour retrouver en finale les Lakers, vainqueurs des Nuggets de Denver par quatre à un<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

La finale commence par une victoire surnommée Modèle:Langue, en référence à un massacre ayant eu lieu le Modèle:Nobr à Chicago<ref name="massacre">Modèle:Lien web.</ref> : menant de quatorze points après le premier quart-temps, puis de trente à la mi-temps, les Celtics s'imposent Modèle:Nobr dans une rencontre où Kareem Abdul-Jabbar ne réussit que Modèle:Nobr et Modèle:Nobr et où Magic Johnson capte un seul rebond<ref name="massacre" />. Kareem Abdul-Jabbar, lors de la séance de vidéo du lendemain, se rend auprès de chacun de ses coéquipiers pour s'excuser de sa contre-performance<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La deuxième manche est remportée par les Lakers Modèle:Nobr, ce qui leur permet de repartir à Los Angeles avec la possibilité de remporter le titre à domicile, le format des finales étant désormais de 2-3-2<ref group=N name="FormatFinale" />. Les Lakers s'imposent au Forum d'Inglewood sur le score de Modèle:Nobr, Bird étant réduit à un Modèle:Nobr aux tirs. De plus, il ne réussit aucun panier lors des dix-huit dernières minutes du match<ref name="saison1985"/>. Lors du match suivant, les Celtics s'assurent la possibilité de disputer le ou les matchs décisifs sur leur parquet en s'imposant Modèle:Nobr : Bird inscrit dix points consécutifs qui permettent à son équipe de prendre la tête en passant de Modèle:Nobr à Modèle:Nobr avec Modèle:Nobr à jouer<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Il réussit ensuite une interception pour inscrire deux nouveaux points avant que son coéquipier Dennis Johnson réussisse un tir à la sonnerie pour remporter le match. Après une victoire Modèle:Nobr lors du cinquième match, les Lakers s'imposent lors du Modèle:Nobr à Boston sur le score de Modèle:Nobr. Sur la finale, les statistiques de Bird sont de Modèle:Unité, Modèle:Unité, Modèle:Unité, Modèle:Unité en Modèle:Nobr Modèle:Nobr. Les inquiétudes de son entraîneur au début de cette finale Modèle:Incise se voient confirmées par un pourcentage de réussite de 44,91 % contre 52,15 % en saison régulière, bien que Bird déclare alors que sa blessure ne le gène pas<ref name="saison1985"/>.

Troisième titre
Photo en noir et blanc d'un joueur tentant un Modèle:Langue.
Larry Bird tentant un Modèle:Langue.

L'équipe des Celtics de la [[saison NBA 1985-1986|Modèle:Nobr]] est considérée comme l'une des meilleures équipes de l'histoire<ref>Modèle:Lien web.</ref> : elle termine avec un bilan de Modèle:Nobr pour Modèle:Nobr<ref name="BC86">Modèle:Lien web.</ref>. À domicile, le bilan des Celtics est de Modèle:Nobr et une défaite, ce qui constitue toujours, après la [[saison NBA 2010-2011|Modèle:Nobr]], le meilleur bilan d'une franchise à domicile. Les Celtics ont réalisé une opération d'abord tenue comme risquée par les spécialistes en recrutant Bill Walton, l'ancien Modèle:Langue de la Modèle:Nobr et des Modèle:Nobr : celui-ci vient de réaliser plusieurs saisons en demi-teinte. Walton répond aux attentes en jouant le rôle de doublure de Kevin McHale et Robert Parish : il dispute Modèle:Nobr de saison régulière, son plus grand nombre depuis son arrivée dans la ligue, et obtient le titre de sixième homme de la saison (Modèle:Langue)<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Bird présente d'excellentes statistiques avec Modèle:Unité (quatrième de la ligue), Modèle:Unité (septième), Modèle:Unité (quatorzième) et Modèle:Unité (neuvième). Il est le joueur possédant le meilleur pourcentage aux lancer-francs avec une moyenne Modèle:Nobr. Avec 42,3 %, il présente aussi le quatrième meilleur pourcentage au tir à trois points<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Il est également le premier joueur de l'histoire à terminer avec une moyenne supérieure à 50 % (52,5 %) aux tirs et à 90 % aux lancers francs (91 %)<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Il est désigné Modèle:Langue, devançant Dominique Wilkins. Il devient le troisième joueur, après Bill Russell de 1961 à 1963 et Wilt Chamberlain de 1966 à 1968, à remporter ce trophée trois années consécutives<ref name="mvp_3time">Modèle:Lien web.</ref>.

Pour son premier tour de Modèle:Langue, la franchise de Boston affronte les Bulls de Chicago. Michael Jordan, qui n'a disputé que Modèle:Nobr de saison régulière en raison d'une blessure, réalise la meilleure performance à la marque de l'histoire de la NBA pour un match de Modèle:Langue : il inscrit Modèle:Nobr lors du deuxième match de la série mais n'empêche pas son équipe de perdre en double prolongation Modèle:Nobr. Auparavant, il avait inscrit Modèle:Nobr lors du premier match<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Larry Bird déclare à propos de ce deuxième match : Modèle:Citation Après avoir remporté la série sur le score de trois à zéro, les Celtics affrontent lors du tour suivant les Hawks de Dominique Wilkins. Les joueurs de Mike Fratello, désigné entraîneur de l'année<ref>Modèle:Lien web.</ref>, s'inclinent en cinq manches, dont un Modèle:Nobr lors de la dernière rencontre. Après avoir infligé un Modèle:Langue aux Bucks en finale de conférence, les Celtics disputent une nouvelle finale NBA. Ils sont opposés aux Rockets de Houston de Hakeem Olajuwon et Ralph Sampson qui s'imposent quatre à un face aux Lakers. Après deux victoires des Celtics à domicile – Modèle:Nobr, Modèle:Nobr, Modèle:Nobr et Modèle:Nobr, puis Modèle:Nobr, Modèle:Nobr, Modèle:Nobr de Bird<ref>Modèle:Lien web.</ref> – les Rockets parviennent à remporter la troisième manche Modèle:Nobr malgré un triple double de Bird auteur de Modèle:Nobr, Modèle:Nobr et Modèle:Nobr. Après une victoire des Celtics Modèle:Nobr lors du match suivant, les Rockets s'imposent Modèle:Nobr lors de la cinquième manche qui voit Ralph Sampson se faire expulser après deux fautes agressives<ref>Modèle:Lien web.</ref>. De retour au Boston Garden, les Celtics s'imposent Modèle:Nobr avec un nouveau triple double de Larry Bird : Modèle:Nobr, Modèle:Nobr et Modèle:Nobr<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Bird remporte son troisième titre NBA et son second titre de meilleur joueur des finales avec des moyennes très proche d'un triple double sur la série : Modèle:Unité, Modèle:Unité et Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Ses statistiques sur les matchs de Modèle:Langue sont de Modèle:Unité, Modèle:Unité, Modèle:Unité en Modèle:Nobr<ref name="baskerref-bird"/>.

1987 : nouvelle revanche des Lakers

La saison suivante ne débute pas sous les meilleurs auspices : Len Bias, la star annoncée, est victime d'une overdose de cocaïne. Une autopsie révèle qu'il a Modèle:Unité de cocaïne par litre de sang<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Il décède le Modèle:Date, moins de Modèle:Nobr après sa draft<ref>Modèle:Lien web.</ref> après avoir été retenu au deuxième rang par les Celtics, ceux-ci détenant cette seconde position grâce à un échange effectué deux ans auparavant. Walton ne dispute que dix rencontres de la saison régulière et Scott Wedman est blessé sur l'ensemble de la saison<ref>Modèle:Lien web.</ref>. En mars Kevin McHale se casse un os du pied droit (l'os naviculaire) mais, malgré l'avis des médecins qui lui disent que cela peut nuire à la poursuite de sa carrière, il termine la saison sans se faire opérer. Les joueurs majeurs sont donc plus utilisés que ce qu'aurait désiré leur entraîneur. Les Celtics terminent de nouveau avec le meilleur bilan de la conférence, mais sont devancés par les Lakers qui réalisent une saison avec Modèle:Nobr et Modèle:Nobr<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Bird prend la troisième place des votes déterminant le Modèle:Langue de la saison, titre attribué à Magic Johnson devant Michael Jordan, Kevin McHale prenant pour sa part la quatrième place<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Bird figure de nouveau dans le meilleur cinq de la ligue : il termine quatrième marqueur avec Modèle:Unité, avec un pourcentage Modèle:Nobr et le meilleur pourcentage aux lancers francs avec 91 %. Ses autres statistiques sont de Modèle:Unité, Modèle:Unité, Modèle:Unité<ref name="baskerref-bird"/>.

Comme la saison précédente, les Celtics infligent un Modèle:Langue aux Bulls lors du premier tour. Opposés ensuite aux Bucks, les Celtics doivent attendre la septième manche pour se qualifier. En finale les Celtics affrontent les Modèle:Langue de Détroit<ref group=N>Le surnom de Modèle:Langue apparait lors de la Modèle:Nobr. Ce surnom est lié à la défense de fer et au jeu très physique préconisé par son entraîneur Chuck Daly.</ref>. Boston remporte les deux premières rencontres à domicile, Modèle:Nobr puis Modèle:Nobr. Lors du troisième match de cette finale de conférence, au début de la dernière période, Bird reçoit une passe sous le panier et s'apprête à marquer lorsque Bill Laimbeer lui retombe dessus en tentant de le contrer et le jette à terre. Les deux hommes s'affrontent au sol puis une fois séparés, Bird jette le ballon sur Laimbeer. Les deux hommes sont expulsés du terrain<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Les Pistons s'imposent finalement sur le score de Modèle:Nobr. Ils égalisent ensuite en remportant la quatrième rencontre sur le score de Modèle:Nobr. De retour à Boston, les Celtics sont proches de la défaite : Détroit mène d'un point à quelques secondes du terme et doit remettre en jeu depuis le côté droit du terrain, dans son propre camp. Isiah Thomas tente de transmettre la balle à son pivot Bill Laimbeer qui se trouve dans la raquette lorsque, anticipant la passe, Bird surgit, s'empare de la balle, se retourne et transmet le ballon à Dennis Johnson qui inscrit le panier de la victoire par un double-pas<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Bird inscrit également Modèle:Nobr, capte Modèle:Nobr et délivre Modèle:Nobr lors de cette rencontre.

Les Celtics retrouvent en finale les Lakers. Ceux-ci, qui ont cette fois l'avantage du terrain, s'imposent Modèle:Nobr lors du premier match malgré Modèle:Nobr et Modèle:Nobr de Bird, Magic Johnson réalisant pour sa part Modèle:Nobr, Modèle:Nobr, et Modèle:Nobr<ref name="finals_19861987">Modèle:Lien web.</ref>. Celui-ci inscrit Modèle:Nobr et réalise Modèle:Nobr lors du match suivant qui voit les Lakers s'imposer Modèle:Nobr, Bird inscrivant Modèle:Nobr. Le Modèle:Nobr, disputé au Modèle:Langue, voit Bird inscrire Modèle:Nobr, capter Modèle:Nobr dans une victoire Modèle:Nobr. Bird déclare alors : Modèle:Citation,<ref group=N>Modèle:Citation étrangère</ref>. Cependant, le résultat n'est pas celui attendu et les Lakers s'imposent Modèle:Nobr : après avoir mené toute la rencontre, les Celtics voient les Lakers remonter un écart de huit points dans les trois dernières minutes trente pour passer en tête d'un point. Bird inscrit alors un tir à trois points depuis le côté gauche qui donne deux points d'avance à douze secondes de la fin. Sur l'action suivante, Kareem Abdul-Jabbar obtient deux lancers francs et la possibilité d'égaliser. Il inscrit le premier mais manque le second la balle échouant dans les mains de McHale qui perd finalement celle-ci aux profits des Lakers. Magic prend la balle depuis le côté gauche, puis dribble vers la tête de raquette où il déclenche un tir en bras roulé qui passe au-dessus d'un mur composé de Bird, McHale et Parish : les Lakers reprennent l'avantage avec deux secondes à jouer<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Bird manque le panier qui aurait donné la victoire à son équipe à la dernière seconde. Lors du cinquième match, les Celtics répondent à la volonté de leur joueur vedette qui leur demande avant la rencontre de : Modèle:Citation<ref group=N>Modèle:Citation étrangère.</ref> ; ils s'imposent sur le score de Modèle:Nobr avant de retourner pour disputer une sixième rencontre et une éventuelle manche décisive. Bien que menant de cinq points à la mi-temps, Modèle:Nobr, Bird étant alors à Modèle:Nobr aux tirs, les Celtics subissent un Modèle:Nobr dans le troisième quart temps qui place les Lakers en tête. Ils terminent la partie sur le score de Modèle:Nobr, Bird terminant la partie avec Modèle:Nobr<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Lien web.</ref>. Magic Johnson obtient le titre de Modèle:Langue des finales après le titre de Modèle:Langue de la saison. Les statistiques de Bird sur l'ensemble des Modèle:Langue sont de Modèle:Unité, Modèle:Unité et Modèle:Unité en Modèle:Nobr. Ce temps de jeu fait de lui le joueur le plus utilisé des Modèle:Langue. Avec Modèle:Nobr au total, il est en tête du classement, mais troisième à la moyenne. Il est également le joueur possédant le plus grand nombre de rebonds, de tirs réussis et tentés, tout comme pour les lancers francs<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Les dernières années

1988 : revanche des Pistons

Larry Bird entame la saison suivante avec le titre de meilleur joueur de la première semaine de compétition. Les Celtics doivent faire face à l'absence durant le premier mois de Kevin McHale, opéré durant l'été. Bird marque Modèle:Nobr ou plus à onze reprises, son meilleur score étant de Modèle:Nobr, performance réalisée à deux reprises. Parmi ses rencontres à plus de Modèle:Nobr, il inscrit Modèle:Nobr, capte Modèle:Nobr – meilleure performance dans cette statistique – et délivre Modèle:Nobr lors d'une victoire Modèle:Nobr face aux Pacers de l'Indiana<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Ses statistiques sur la saison régulière sont de Modèle:Unité – sa meilleure moyenne en carrière, troisième de la ligue derrière Michael Jordan et Dominique Wilkins<ref name="leaders_1988">Modèle:Lien web.</ref> — Modèle:Unité — treizième de NBA, Modèle:Unité, Modèle:Unité – seizième<ref name="leaders_1988"/>. Les Celtics terminent une nouvelle fois avec le meilleur bilan de la conférence est avec Modèle:Nobr pour Modèle:Nobr<ref>Modèle:Lien web.</ref>, mais, comme la saison précédente, ils sont devancés par les Lakers qui terminent avec un bilan de Modèle:Nobr<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Boston commence les Modèle:Langue par une victoire trois à un face aux Knicks de New York puis affronte les Hawks en demi-finale de conférence. Cette série se termine par une victoire quatre à trois des Celtics. Lors de celle-ci, les Hawks ont l'occasion d'éliminer les Celtics lors de la sixième manche après avoir remporté le match précédent à Boston. Mais, portés par Bird, les Celtics l'emportent Modèle:Nobr et obtiennent le droit de disputer le Modèle:Nobr à domicile. Lors de celui-ci, Wilkins domine les trois premiers quart-temps avec Modèle:Nobr contre Modèle:Nobr, Modèle:Nobr, pour Bird. En début de dernière période, celui-ci inscrit neuf points en Modèle:Nobr. Les deux joueurs marquent panier sur panier, pour porter le score à Modèle:Nobr. Bird inscrit encore un panier à trois points qui donne sept points d'avance à son équipe qui l'emporte Modèle:Nobr<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Bird inscrit finalement Modèle:Nobr avec Modèle:Nobr, dont Modèle:Nobr dans les dix dernières minutes avec un Modèle:Nobr Modèle:Incise.

Après deux éliminations en Modèle:Langue en trois ans face aux Celtics, les Pistons s'imposent en finale de conférence sur le score de quatre à deux. Ils s'imposent à deux reprises sur le parquet du Modèle:Langue, lors du premier et du cinquième match. Bird, en raison de la défense de ses adversaires, est limité à dix points par rencontre avec un taux de réussite de 35,1 %<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Les blessures

Larry Bird commence la [[saison NBA 1988-1989|Modèle:Nobr]], mais, après six rencontres, il doit se faire opérer une excroissance osseuse aux deux talons<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Cette opération et sa rééducation le tiennent éloigné des parquets pour le reste de la saison : sa moyenne de points est la plus faible depuis son arrivée en NBA avec 19,3. Il capte Modèle:Unité et délivre Modèle:Unité<ref name="baskerref-bird"/>. Les Celtics, huitième de la conférence Est avec un bilan de Modèle:Nobr pour Modèle:Nobr, se font éliminer au premier tour des Modèle:Langue par les Pistons de Détroit sur le score de trois à zéro<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Lors de son retour la saison suivante, il dispute Modèle:Nobr de phase régulière et présente des statistiques de Modèle:Unité, Modèle:Unité et Modèle:Unité<ref name="baskerref-bird"/>. Il occupe de nouveau le premier rang de la ligue pour le pourcentage aux lancer-francs avec 93,0 %. Son temps de jeu est de nouveau important, Modèle:Nobr soit le deuxième joueur le plus utilisé de la ligue derrière Rodney McCray des Kings de Sacramento. Avec un bilan de Modèle:Nobr, Modèle:Nobr, les Celtics terminent au quatrième rang de la conférence Est et au deuxième rang de la division Atlantique<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Ils affrontent les Knicks de New York au premier tour de Modèle:Langue et remportent les deux premiers matchs de la série, Modèle:Nobr puis Modèle:Nobr. Mais les joueurs de New York égalisent après deux victoires Modèle:Nobr et Modèle:Nobr, Patrick Ewing réalisant Modèle:Nobr, Modèle:Nobr, Modèle:Nobr, Modèle:Nobr et Modèle:Nobr dans ce match, Bird inscrivant Modèle:Nobr<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Les Knicks, qui restent sur une série de Modèle:Nobr consécutives au Boston Garden, s'imposent finalement sur le score de Modèle:Nobr avec à nouveau une grosse performance d'Ewing qui réalise Modèle:Nobr, Modèle:Nobr et Modèle:Nobr. Les Knicks sont la troisième équipe NBA à remporter une série disputée en cinq manches après avoir été mené par deux à zéro<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=N>Les deux premières franchises à remporter une série disputée en cinq manches après avoir été mené par deux à zéro sont les Fort Wayne Pistons Modèle:Nobr et les Warriors de Golden State Modèle:Nobr.</ref>. Les moyennes de Bird sur cette série sont de Modèle:Unité, Modèle:Unité, Modèle:Unité en Modèle:Nobr<ref name="baskerref-bird"/>.

Cette défaite a pour conséquence le remplacement de Jimmy Rodgers, qui avait pris la succession de K.C. Jones Modèle:Nobr, par son assistant Chris Ford. La [[saison NBA 1990-1991|Modèle:Nobr]] de Bird est de nouveau perturbée par des blessures, principalement par des problèmes de dos : il a une racine nerveuse comprimée ; il est ainsi privé de Modèle:Nobr. Ses moyennes sur la saison régulière sont de Modèle:Unité, Modèle:Unité, Modèle:Unité et Modèle:Unité<ref name="baskerref-bird"/>. Malgré cette absence et celle de Kevin McHale durant Modèle:Nobr pour des problèmes de hanche, les Celtics terminent en tête de leur division et au deuxième rang de la conférence<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Ils affrontent au premier tour les Pacers de l'Indiana. Bird, malgré ses problèmes de dos – lorsqu'il n'est pas sur le parquet, il reste allongé au bout du banc – inscrit 21, 18, 15 et Modèle:Nobr lors des quatre premiers matchs de la série. Il ajoute également un total de Modèle:Nobr et Modèle:Nobr<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Les Celtics remportent la dernière manche sur le score de Modèle:Nobr. Larry Bird, qui passe la nuit précédente à l'hôpital pour ses problèmes de dos, surprend une première fois en étant présent sur le parquet pour le match décisif. Il commence la rencontre mais, au cours de la première mi-temps, sa tête heurte violemment le parquet et il est victime d'une commotion cérébrale. Il rejoint les vestiaires et personne ne pense le revoir de la rencontre mais il fait tout de même son retour sur le parquet au cours de la troisième période. Il devient alors le facteur clé du retour des Celtics sur Indiana puis de la victoire de son équipe : il réalise Modèle:Nobr, capte Modèle:Nobr, délivre Modèle:Nobr<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Il manque la première rencontre du tour suivant opposant les Celtics aux Pistons : lors de cette série, il est limité à Modèle:Unité, Modèle:Nobr et Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> alors que les Pistons l'emportent quatre à deux.

Bird se fait opérer durant Modèle:Nobr : il se fait retirer des éclats d'os dans ses deux talons. Il est de retour au sein de l'effectif des Celtics pour le début de la [[saison NBA 1991-1992|Modèle:Nobr]] dont il dispute pratiquement la totalité des rencontres, Modèle:Nobr, jusqu'aux premiers jours de janvier. Il connait une période où il ne dispute pas de rencontres en raison d'une blessure occasionnée lors d'une chute lors d'un entraînement<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Il est absent les mois de janvier et février et fait son retour le Modèle:1er mars. Modèle:Nobr du même mois, il réalise sa meilleure performance aux points de la saison avec Modèle:Nobr, à Modèle:Nobr et également Modèle:Nobr et Modèle:Nobr dans une victoire en double prolongation Modèle:Nobr contre Portland<ref>Modèle:Lien web.</ref>. C'est le deuxième triple double de sa carrière avec au moins Modèle:Nobr, le premier datant de Modèle:Nobr : Modèle:Nobr, Modèle:Nobr, Modèle:Nobr contre Seattle. Il manque également les derniers matchs de la saison régulière, totalisant Modèle:Nobr et présentant des statistiques de Modèle:Unité, Modèle:Unité, Modèle:Unité, Modèle:Unité en Modèle:Nobr<ref name="baskerref-bird"/>. Il ne dispute pas le premier tour des Modèle:Langue, tour où les Celtics s'imposent sur un Modèle:Langue trois à zéro face aux Pacers de l'Indiana. Il est encore absent pour les trois premiers matchs de la demi-finale de conférence face aux Cavaliers de Cleveland. Il dispute les quatre dernières rencontres. Pour son retour, il obtient Modèle:Nobr, Modèle:Nobr et Modèle:Nobr en Modèle:Nobr. Il réalise sa meilleure performance avec un double-double, Modèle:Nobr, Modèle:Nobr lors de la victoire Modèle:Nobr dans le Modèle:Nobr. Toutefois, les Celtics s'inclinent Modèle:Nobr lors de rencontre décisive le Modèle:Date<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

La Modèle:Langue

Modèle:Article détaillé La saison de Bird n'est toutefois pas terminée : la Fédération internationale de basket-ball amateur (FIBA) vient Modèle:Nobr d'autoriser les joueurs NBA à disputer les Jeux olympiques. Modèle:Langue, la fédération américaine de basket-ball, décide, afin de redorer le blason des couleurs américaines après la troisième place des Jeux olympiques de Séoul, d'aligner la meilleure sélection possible pour les Jeux olympiques de Barcelone. La liste des joueurs formant cette formation est annoncée en Modèle:Nobr : les dix premiers joueurs de cette équipe, désignée sous le nom Modèle:Langue, sont Michael Jordan et Scottie Pippen des Bulls de Chicago, Karl Malone et John Stockton du Jazz de l'Utah, Charles Barkley des Sixers de Philadelphie, Magic Johnson des Lakers de Los Angeles, Larry Bird des Celtics de Boston, Patrick Ewing des Knicks de New York, Chris Mullin des Warriors de Golden State et David Robinson des Spurs de San Antonio<ref group=N>Les deux derniers joueurs seront désignés plus tard : il s'agit de Clyde Drexler des Trail Blazers de Portland et de Christian Laettner, champion de NCAA avec les Blue Devils de Duke lors des deux dernières Modèle:Nobr Modèle:Nobr.</ref>. Bird accueille cette nomination avec un grand plaisir, déclarant : Modèle:Citation<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=N>Modèle:Citation étrangère.</ref>. La sélection américaine joue tout d'abord le tournoi des Amériques où ils disputent six matchs. Bird participe seulement à deux des six rencontres, en raison de douleurs dorsales, pour des moyennes de Modèle:Unité, Modèle:Unité et Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Lors des Jeux olympiques, l'équipe américaine gagne tous ses matchs, avec un écart moyen de Modèle:Unité, l'entraîneur Chuck Daly des Pistons de Détroit se permettant même le luxe de ne prendre aucun temps mort sur l'ensemble de la compétition. Bird, qui partage le capitanat de l'équipe avec Magic Johnson, joue les huit matchs mais n'entre sur le terrain dès le début que pour trois matchs (seul Michael Jordan entame les huit matchs) et termine avec des statistiques de Modèle:Unité, Modèle:Unité, Modèle:Unité et Modèle:Unité<ref name="dreamteam">Modèle:Lien web.</ref>.

Carrière d'entraîneur et de dirigeant

À l'issue de sa carrière, il est désigné assistant spécial de Dave Gavitt, le directeur général, puis du propriétaire des Celtics Paul Gaston lorsque celui-ci prend la succession de son père Don Gaston Modèle:Nobr. C'est dans le cadre de ces activités qu'il entre en contact avec les dirigeants des Pacers de l'Indiana : Gaston lui a demandé de désigner trois choix potentiels comme futur entraîneur des Celtics. Parmi ceux-ci, l'entraîneur actuel des Pacers, Larry Brown. C'est finalement Rick Pitino, l'entraîneur des Wildcats du Kentucky, autre choix de Bird, qui est finalement choisi. Celui-ci ne désire pas subir la présence de Larry Bird dans l'effectif des Celtics s'il prend la direction de l'équipe. Larry Bird, qui pense qu'il n'aura jamais un réel rôle décisionnel au sein des Celtics, décide de partir<ref name="SI_Coach">Modèle:Lien web.</ref>.

Les propriétaires des Pacers proposent le poste d'entraîneur à Bird. Celui-ci a ainsi la possibilité d'entraîner un club NBA. Ce club a l'avantage d'être proche de sa ville de French Lick et peut permettre à sa mère Georgia, qui a la crainte de voyager en avion, de venir assister à ses matchs<ref name="SI_Coach"/>.

Après cinq défaites lors des sept premières rencontres, puis neuf victoires lors des dix rencontres suivantes, les Pacers obtiennent le meilleur bilan de leur histoire en NBA avec Modèle:Nobr et Modèle:Nobr<ref group=N>Le bilan de la Modèle:Nobr est alors le meilleur bilan en NBA mais ce n'est pas le plus grand nombre de victoires obtenues par la franchise : Modèle:Nobr, en ABA, la franchise obtient Modèle:Nobr mais en Modèle:Nobr. Le pourcentage de victoire de l'équipe Modèle:Nobr est ainsi légèrement supérieur.</ref>. Les Pacers progressent ainsi d'un bilan Modèle:Nobr, soit une amélioration de Modèle:Nobr. L'équipe, qui repose sur les joueurs Modèle:Langue Rik Smits et Reggie Miller<ref group=N>Rik Smits obtient sa seule nomination pour un Modèle:Langue lors de la première saison de Larry Bird à la tête de l'équipe en 1998. Reggie Miller participe à cinq éditions, en 1990, 1995, 1996, 1998, et 2000.</ref>, reçoit en début de saison le renfort de Chris Mullin, qui malgré ses Modèle:Nobr, apporte encore Modèle:Unité, Modèle:Unité et Modèle:Unité. Avec ses résultats, Larry Bird est désigné entraîneur de l'année, Modèle:Langue<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Il devient ainsi le premier et l'unique entraîneur, à l'issue de la Modèle:Nobr, à obtenir ce titre après avoir remporté le titre de Modèle:Langue en tant que joueur. Il est également le second joueur à cumuler les titres d'entraîneur de l'année et de débutant de l'année (Modèle:Langue)<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Plus tôt dans la saison, en février, il dirige l'équipe de l'Est lors du [[NBA All-Star Game 1998|Modèle:Langue]]<ref group=N>L'entraîneur de chaque équipe est l'entraîneur de la franchise possédant le meilleur bilan la semaine précédant cet événement.</ref> et ce bien qu'il ait préalablement déclaré qu'il ne s'y rendrait pas, ayant prévu depuis le début de la saison de profiter de ce week-end pour rejoindre la Floride<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Son équipe l'emporte sur le score de Modèle:Nobr, Michael Jordan recevant pour sa part le titre de Modèle:Langue de la rencontre.

Les Pacers éliminent les Cavaliers de Cleveland en quatre manches puis les Knicks de New York sur le score de quatre à un en demi-finale de conférence. Ils sont alors opposés aux Bulls de Chicago, double tenants du titre. Cette série se termine lors de la septième manche disputée au United Center de Chicago. Les Pacers remportent les trois matchs disputés à domicile, Modèle:Nobr lors du Modèle:Nobr avec Modèle:Nobr de Miller inscrit dans le dernier quart temps, puis Modèle:Nobr grâce à un panier à trois points de Miller à Modèle:Unité du terme, et Modèle:Nobr lors de sa sixième rencontre<ref name="Bulls-pars-1998">Modèle:Lien web.</ref>. Après une victoire Modèle:Nobr lors du septième match<ref name="Bulls-pars-1998" />, les Bulls remportent ensuite le sixième titre de l'histoire de la franchise en s'imposant quatre à deux face au Jazz de l'Utah.

Pour sa deuxième saison à la tête des Pacers, en 1998-1999, il conduit son équipe à un deuxième titre de la division Centrale consécutif avec un bilan de Modèle:Nobr, Modèle:Nobr<ref>Modèle:Lien web.</ref> dans une saison perturbée par un Modèle:Langue, une grève patronale, imposée par les propriétaires des franchises. Les Pacers remportent leurs deux premières séries de Modèle:Langue sans concéder la moindre défaite, face aux Bucks de Milwaukee puis aux Sixers de Philadelphie mais s'inclinent ensuite en finale de conférence face aux Knicks de New York sur le score de quatre à deux.

Pour la troisième saison de Larry Bird, les Pacers terminent de nouveau en tête de la division Centrale, et avec le meilleur bilan de la conférence Est avec Modèle:Nobr et Modèle:Nobr. Ils s'imposent trois à deux face à Milwaukee puis quatre à deux face à Philadelphie avant de retrouver New York en finale de conférence. Celle-ci se termine au bénéfice des Pacers qui s'imposent quatre à un et obtiennent le droit de défier les Lakers en finale NBA. Les Pacers, qui disputent la première finale NBA de l'histoire de la franchise, s'inclinent face aux joueurs de Phil Jackson sur le score de quatre à deux<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Son contrat de trois ans arrive à terme, et malgré les sollicitions pour renouveler son contrat, Larry Bird décide de mettre un terme à son expérience en tant qu'entraîneur. Il quitte en même temps la franchise des Pacers.

En 2003, il revient sur sa décision et devient président des opérations basket-ball des Pacers<ref>Modèle:Lien web.</ref>. L'une de ses premières décisions est de remplacer Isiah Thomas, qui lui avait succédé au poste d’entraîneur, par Rick Carlisle<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Lien web.</ref>. Depuis son retour, la franchise dispute les Modèle:Langue lors des trois premières saisons de Carlisle, avec comme meilleur résultat une finale de conférence Modèle:Nobr face aux Pistons de Détroit, puis, après quatre saisons sans présence en Modèle:Langue, ils s'inclinent Modèle:Nobr lors du premier tour face aux Bulls de Chicago. Modèle:Nobr, sa franchise termine la saison régulière en troisième position de la Conférence Est. Il est désigné Modèle:Langue, ce qui fait de lui la première et seule personne à avoir remporté les trois titres majeurs dans les carrières de joueur, entraîneur et dirigeant : Modèle:Langue, Modèle:Langue et enfin dirigeant de l'année<ref> Modèle:Lien web.</ref>. Bird est remplacé par Donnie Walsh en Modèle:Nobr<ref> Modèle:Lien web.</ref> avant de revenir en fonction un an plus tard<ref> Modèle:Lien web.</ref>. Il se sépare de l'entraîneur Frank Vogel à l'été 2016, et recrute Jeff Teague et Thaddeus Young. Le printemps suivant, il démissionne de nouveau de son poste de président<ref> Modèle:Lien web.</ref>.

Vie privée

Peu après le décès de son père en Modèle:Nobr et de son grand-père Claude le Modèle:Date, Larry épouse le Modèle:Date<ref name="IS">Modèle:Lien web.</ref> son amour d'enfance, Janet Condra. Ils divorcent, moins d'un an après le Modèle:Date<ref name="IS"/>. Mais pendant la période de réconciliation (qui n'aboutira pas) naît le Modèle:Date<ref>Modèle:Lien web.</ref> leur fille, prénommée Corrie, avec qui Bird aura peu de contacts par la suite<ref name="Eye">Modèle:Lien web.</ref>.

Larry Bird se remarie le Modèle:Date avec une amie de longue date, Dinah Mattingly, à Terre Haute dans l'Indiana (tous deux portaient des jeans délavés pour une cérémonie qui a duré cinq minutes). Ils adoptent deux enfants, Connor et Mariah<ref name="Eye"/>. Une rumeur fait de lui le beau-frère de Don Mattingly (superstar en baseball des Yankees de New York), alors que ce dernier n'a pas de sœur<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Palmarès, records et récompenses

Larry Bird reçoit de nombreuses distinctions lors de sa carrière universitaire : il reçoit ses premières distinctions individuelles en étant désigné Modèle:Langue Modèle:Langue par l'[[Associated Press|Modèle:Langue]] dès sa première saison. Lors de sa dernière année, il accumule les récompenses : il reçoit le Trophée Oscar Robertson, le Modèle:Langue<ref>Modèle:Lien web.</ref>, le trophée Wooden (Modèle:Langue)<ref>Modèle:Lien web.</ref> et le trophée Adolph Rupp<ref>Modèle:Lien web.</ref>, soit les récompenses les plus importantes du basket-ball universitaire américain. Il reçoit également les titres de Modèle:Langue, décerné par l'Modèle:Langue<ref>Modèle:Lien web.</ref>, Modèle:Langue<ref>Modèle:Lien web.</ref>, Modèle:Langue décerné par Modèle:Langue<ref>Modèle:Lien web.</ref>, Modèle:Langue décerné par Modèle:Langue<ref>Modèle:Lien web.</ref>, Modèle:Langue (pour sa dernière édition<ref>Modèle:Lien web.</ref>), Modèle:Langue<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Il est désigné Modèle:Langue en 1978 et 1979 : par l'Modèle:Langue<ref>Modèle:Lien web.</ref>, l'Modèle:Langue<ref>Modèle:Lien web.</ref>, l'Modèle:Langue<ref>Modèle:Lien web.</ref> et par le Modèle:Langue<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Il est ainsi désigné dans la Modèle:Langue lors de ces deux saisons<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Il est l'un des neuf joueurs de l'université à avoir évolué en NBA ou Modèle:Langue (ABA)<ref>Modèle:Lien web.</ref>. En Modèle:Nobr, l'ancien entraîneur de l'école Bob King annonce que le no 33 porté par Larry Bird ne sera désormais plus attribué chez les Sycamores : Bird devient le premier joueur à recevoir cet honneur dans cette universitéModèle:Sfn.

Plaque détaillant les principaux titres et trophées de Bird. Deux chaussures figurent à côté de la description
Plaque commémorative.

Larry Bird possède l'un des palmarès les plus complets pour un joueur de NBA. Il remporte trois titres de champion, en 1981, 1984 et 1986, disputant également deux autres finales, en 1985 et 1987. Il a également remporté un titre olympique, en 1992 à Barcelone avec la Modèle:Langue<ref name="dreamteam"/>.

Il est détenteur de la plupart des titres auxquels peut postuler un joueur de la ligue. Il est ainsi élu à trois reprises Modèle:Langue – en 1984, 1985 et 1986 devenant également le troisième joueur, après Bill Russell et Wilt Chamberlain à obtenir ce titre de manière consécutive<ref name="mvp_3time"/>,<ref group=N>Depuis Bird, aucun joueur n'est parvenu à remporter trois titres consécutifs de MVP.</ref>. Il obtient également à deux reprises le titre de meilleur joueur des finales NBA (Modèle:Langue), en 1984 et 1986, cumulant ainsi lors de ces deux saisons les deux titres de Modèle:Langue. Il figure à quatre reprises, en 1981, 1982, 1983, 1988 au deuxième rang dans les votes déterminant le Modèle:Langue de la saison, puis termine troisième Modèle:Nobr. Lors de sa première saison, il termine au quatrième rang des votes. Il est élu à neuf reprises dans le meilleur cinq de la ligue, de 1980 à 1988. Il est également élu dans le second cinq défensif, Modèle:Langue, à trois reprises Modèle:Nobr, 1983 et Modèle:Nobr. Il remporte également le titre de débutant de l'année, Modèle:Langue, Modèle:Nobr<ref>Modèle:Lien web

  • </ref>.

Il est sélectionné à douze reprises pour le Modèle:Langue, de 1980 à 1988 puis de 1990 à 1992 obtenant de surcroit le titre de meilleur joueur de l'[[NBA All-Star Game 1982|édition Modèle:Nobr]]. Toutefois, il doit déclarer forfait à deux reprises lors de cet événement, Modèle:Nobr où il est remplacé par le joueur des Sixers de Philadelphie Hersey Hawkins puis l'année suivante par Michael Adams des Bullets de Washington. Lors des Modèle:Langue, il remporte les trois premières éditions du concours de tirs à trois points, Modèle:Langue, Modèle:Nobr Modèle:Nobr<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Craig Hodges, le joueur des Bulls de Chicago, est le seul autre joueur à avoir remporté trois titres consécutifs. Ils sont également les deux seuls, après la Modèle:Nobr, à posséder trois fois ce titre à leur palmarès.

Il obtient à sept reprises le titre de joueur NBA du mois, en Modèle:Nobr, Modèle:Nobr, Modèle:Nobr, Modèle:Nobr, Modèle:Nobr, Modèle:Nobr et Modèle:Nobr<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Il est également récompensé à quatorze reprises du titre de joueur de la semaine dont quatre lors de la seule Modèle:Nobr. Ces deux distinctions sont alors décernées pour l'ensemble de la ligue<ref group=N>Ce n'est qu'à partir de la Modèle:Nobr que les titres de joueur du mois et joueur de la semaine sont décernés pour chacune des conférences.</ref>.

D'un point de vue statistique, il est durant sa carrière l'un des joueurs les plus utilisés par ses différents entraîneurs : il figure au premier rang de cette statistique en 1985 avec Modèle:Nobr, et en 1987 avec Modèle:Nobr Modèle:Nobr. De 1981 à 1990, il termine toujours dans le Modèle:Langue des joueurs les plus utilisés. Il est souvent la première option offensive de son équipe et termine dans le Modèle:Langue du classement de la meilleure moyenne par saison à six reprises, terminant deuxième Modèle:Nobr et troisième Modèle:Nobr. Ces classements sont dus à un excellent pourcentage de réussite à trois points, terminant dans le Modèle:Langue de la ligue à sept reprises, dont une deuxième place Modèle:Nobr et une troisième Modèle:Nobr. Le tir à trois points est une arme qu'il utilise beaucoup : il est le joueur ayant réussi le plus de tirs à Modèle:Nobr en 1986 Modèle:Nobr Modèle:Incise et en 1987 Modèle:Nobr<ref name="baskerref-bird"/>.

Il possède également un excellent pourcentage de réussite aux lancers francs, terminant quatre fois premier de la ligue Modèle:Nobr, 1986, 1987 Modèle:Nobr et encore dixième en carrière après la Modèle:Nobr<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Il est le joueur avec la meilleure efficacité sur le terrain (Modèle:Langue) en 1985 (26,5) et en 1986 (25,6).

Ayant disputé l'ensemble de sa carrière avec les Celtics, il se trouve ainsi parmi les meilleurs joueurs de la franchise dans de nombreuses catégories statistiques : il est troisième au total de points avec 21 791, derrière John Havlicek et Paul Pierce qui le dépasse en Modèle:Nobr<ref>Modèle:Lien web.</ref>, quatrième pour le nombre de rebonds avec 8 974 (devancé par Bill Russell, Robert Parish et Dave Cowens), troisième du classement des passeurs avec Modèle:Unité (derrière Bob Cousy et John Havlicek) et premier des interceptions avec 1 556<ref name="boston_leaders">Modèle:Lien web.</ref>. Pour les moyennes par match, il est premier pour les points Modèle:Nobr, quatrième Modèle:Nobr pour les rebonds, septième Modèle:Nobr pour les passes, deuxième avec Modèle:Unité<ref name="boston_leaders"/>. Avec Modèle:Nobr, il est le cinquième joueur le plus utilisé par rencontre.

Larry Bird reçoit également d'autres distinctions ou trophées qui ne sont pas décernés par la NBA. Il est ainsi désigné sportif de l'année par l'Associated Press Modèle:Nobr, devenant le premier joueur de basket-ball à remporter ce trophée<ref group=N>Michael Jordan est le seul autre joueur de basket-ball à avoir remporté le trophée sportif de l'année de l'Associated Press. Sheryl Swoopes, Rebecca Lobo et Candace Parker sont les trois joueuses à avoir également remporté le trophée.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Le magazine américain [[Slam (magazine)|Modèle:Langue]] le classe sixième joueur de tous les temps Modèle:Nobr puis neuvième Modèle:Nobr. Modèle:Nobr, dans le cadre du cinquantième anniversaire de la ligue américaine, la NBA le désigne parmi les cinquante grands joueurs de l'histoire de la NBA<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Le Modèle:Date, les Celtics [[Maillots retirés (NBA)|retirent son Modèle:Nobr]], celui-ci rejoignant Modèle:Nobr numéros au plafond du Boston Garden<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Il est également élu au Modèle:Langue en 1998<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La Modèle:Langue Modèle:Nobr, dont il est le cocapitaine avec Magic Johnson, est également élue au Modèle:Langue en 2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Style de jeu et personnalité

Larry Bird est considéré comme le meilleur joueur blanc de l'histoire de la Ligue et le symbole de la fierté des Celtics. Malgré des qualités physiques très moyennes, son sens du placement a fait de lui un grand rebondeur avec une moyenne de 10 rebonds par match. Son excellente vision du jeu lui permet d'être un passeur prolifique. Son adresse et son habileté ballon en main font de lui un des meilleurs tireurs de l'histoire de la NBA, comme en témoignent ses victoires au concours à trois points lors du Modèle:Langue, ses premières places au pourcentage de lancers francs et ses moyennes générales au tir. Également bon intercepteur, il est un joueur complet. C'est un acharné de l'entraînement : il ne quitte pas la salle avant d'avoir réalisé une série de lancers francs réussis sans que le ballon ne touche le cercleModèle:Sfn. Larry Bird est quelqu'un de très impliqué dans la vie du groupe. Dès sa carrière universitaire, il regrette souvent que l'attention des médias se porte sur la personne et non sur l'équipeModèle:Sfn. Cette implication dans l'équipe et son sens de la loyauté sont une des raisons pour lesquelles il dispute une dernière saison avec les Sycamores : il s'estime toujours être redevable envers Bob King – et son assistant Bill Hodges – qui est en partie responsable du retour de Bird dans le basket-ball universitaireModèle:Sfn. Malgré son statut de Modèle:Langue Modèle:Nobr, il s’entraîne tous les jours et aide les joueurs de son équipe à s'améliorerModèle:Sfn. Durant sa carrière professionnelle, il a toujours prêté attention au personnel qui entoure l'équipe, des gardiens aux personnes passant la serpillèreModèle:Sfn. Il est très présent envers ses supporters, même si ses relations avec les médias sont parfois compliquées : il ne communique jamais sur sa vie privée et les à-côtés du basket-ball.

Larry Bird est également connu pour être un grand Modèle:Langue : les épisodes les plus célèbres sont un tir trois points devant le banc des Pacers – Bird, une fois le ballon parti, se retourne aussitôt vers Chuck Person et dit : Modèle:Citation étrangère<ref name="rifleman"/>, celui-ci surnommé Modèle:Langue, ou l'homme à la carabine, avait déclaré auparavant que Modèle:Citation étrangère, Modèle:Citation<ref name="rifleman">Modèle:Lien web.</ref>. Dans un autre match, face aux Supersonics de Seattle, il désigne un endroit à Xavier McDaniel, qui défend sur lui, d'où il dit qu'il prendra un tir et marquera juste devant lui. Tout comme il l'avait annoncé, Bird marque à l'endroit exact qu'il avait indiqué, ajoutant de surcroît qu'il ne pensait pas laisser encore deux secondes de jeu<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Bird dans la culture populaire

Rivalité Larry Bird-Magic Johnson sur le terrain

Depuis la finale NCAA Modèle:Nobr, son duel avec Magic Johnson a rythmé la vie de la NBA et passionné l'Amérique pendant une décennie. D'un côté la Côte Ouest et le soleil de Los Angeles, de l'autre la grisaille de la Côte Est ; d'un côté le jeu flashy des Lakers, de l'autre le jeu appliqué des Celtics ; d'un côté le strass de la Californie, de l'autre le cul-terreux (Modèle:Langue) de l'Indiana ; d'un côté le Noir athlétique, de l'autre le Blanc technicien. Il existait à la fois une rivalité sportive totale, mais aussi une grande amitié entre ces deux compétiteurs réunis dans l'unique Dream Team de 1992 où les deux seront nommés capitaines de l'équipe.

Cette rivalité débute dès l'université : le match de la finale du [[Championnat NCAA de basket-ball 1979|Modèle:Nobr]] est le match de basket-ball qui détient la plus grande audience sur l'échelle de Nielsen avec 24,1<ref name="FinalFour1979" />. Le basket-ball, et principalement la NBA, a alors perdu son aura auprès des Américains dans les Modèle:Nobr. Les matchs ne sont plus télévisés, ou alors seulement en différé et tard le soir, et les matchs se déroulent alors dans des salles à moitié vides<ref name="rivality">Modèle:Lien web.</ref>. Parmi les facteurs avancés pour expliquer ce fait, la présence presque exclusive des joueurs Afro-Américains qui ont succédé à une ligue entièrement blanche jusqu'à l'arrivée de Chuck Cooper, premier joueur noir drafté en NBA en 1950. La vie économique est également un facteur : après les années de reconstruction, la croissance ralentit et de nombreux emplois, particulièrement ceux dans le monde manufacturier, en sont victimes<ref name="rivality" />. De plus de nombreuses affaires de cocaïne entachent la réputation des joueurs<ref name="rivality" />.

L'arrivée d'un nouveau média, ESPN (Modèle:Langue), favorise le renouveau de l'intérêt des médias américains vers le basket-ball. Peu avant le Modèle:Langue de 1979, ESPN se met d'accord avec les dirigeants de la NCAA pour pouvoir retransmettre des matchs<ref name="FinalFour1979"/>. Dans le même temps, CBS prolonge son contrat avec la NCAA pour la retransmission du tournoi final : six milliards de dollars sur onze ans, soit environ Modèle:Nobr de dollars par an<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La rivalité entre Johnson et Bird accélère ce renouveau : durant les premières saisons suivant leur arrivée dans la ligue, les finales NBA sont toujours disputées par l'une au moins des franchises des deux joueurs : titre en 1980 pour les Lakers, titre en 1981 pour les Celtics, deuxième titre en 1982 pour Magic Johnson. En 1983, les Lakers échouent en finale, puis de nouveau Modèle:Nobr lors du premier affrontement des deux joueurs lors d'une finale NBA entre Magic Johnson et Bird. La saison suivante, les Lakers prennent leur revanche sur les Celtics, avant que ceux-ci remportent le troisième titre en cinq saisons en 1986. En 1987, pour la troisième fois en quatre ans, les Celtics et les Lakers sont à l'affiche de la finale, les Lakers remportant celle-ci. C'est la dernière finale de Larry Bird, Magic Johnson disputant encore trois finales : victoire en 1988, défaite en 1989 et 1991. Les deux joueurs déclarent après leur carrière que cette rivalité a eu un effet sur leur volonté à devenir meilleurs : chacun analysait les performances de son adversaire<ref>Modèle:Harvsp.</ref>. Bird et Magic ont disputé Modèle:Nobr de NBA l'un contre l'autre, les Lakers remportant Modèle:Nobr<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Malgré leur rivalité, les deux hommes commencent à se rapprocher Modèle:Nobr lors d'une campagne publicitaire pour [[Converse (chaussure)|Modèle:Langue]] où ils sont opposés sur un terrain en plein air à French Lick<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Modèle:Nobr, Bird se charge de faire la présentation officielle de Magic Johnson lors de l'intronisation de ce dernier au Modèle:Langue<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Le Modèle:Date sort en première à Broadway au Modèle:Langue, une pièce de théâtre avec six acteurs nommée MagicBird où deux des plus grands noms du basket-ball professionnel et de la NBA, Magic Johnson et Larry Bird sont immortalisés par cette pièce<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

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Image médiatique

[[Fichier:Franchitti after winning 2010 Indianapolis 500.jpg|thumb|Dario Franchitti gagne ses seconds [[Indianapolis 500|Modèle:Nobr d'Indianapolis]].]]

Larry Bird apparaît dans de nombreuses autres campagnes publicitaires. L'une des plus célèbres, diffusée dans le cadre du Super Bowl XXVII Modèle:Nobr, le voit opposé à Michael Jordan dans un concours de tir pour un repas au McDonald's. Après des tirs « classiques », les deux joueurs réussissent des tirs impossibles : depuis la ligne de fond opposée, puis depuis les tribunes, le plafond du gymnase et même depuis l'extérieur de celui-ci. Modèle:Nobr, McDonald's reprend ce scénario en opposant LeBron James à Dwight Howard, les deux joueurs s'opposant par contre sur un concours de Modèle:Langue et non de tirs. Bird apparaît à la fin du clip pour les applaudir, mais les deux joueurs se demandent qui il est<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Le Modèle:Nobr à Indianapolis, les deux sports les plus populaires d'Indiana, le basket-ball et la course automobile, se sont retrouvés lors d'une cérémonie spéciale pour la présentation du centième anniversaire des [[Indianapolis 500|Modèle:Nobr d'Indianapolis]]. Larry Bird a présenté la bague de vainqueur des 500 miles d'Indianapolis 2010 à l'Écossais Dario Franchitti, triple champion de monde IndyCar<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Jeux vidéo

L'image de marque de Larry Bird a été utilisée pour plusieurs jeux vidéo.

En 1983, la société Electronic Arts sort le jeu Modèle:Langue, dans lequel le joueur peut prendre le rôle de Julius Erving ou Larry Bird dans une partie à un contre un, contre un autre joueur ou l'ordinateur<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Modèle:Nobr, la même société sort une nouvelle version intitulée Modèle:Langue où cette fois-ci Larry Bird est opposé au joueur des Bulls de Chicago : Michael Jordan, avec le rajout d'un concours de Modèle:Langue pour Michael Jordan et de tirs à trois points pour Larry Bird<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

En 2011, Larry Bird est l'un des trois joueurs choisis, avec Magic Johnson et Michael Jordan, pour figurer sur l'une des trois couvertures du jeu vidéo NBA 2K12<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Multimédia

La mascotte de Twitter est un oiseau, nommé Larry en hommage à Larry Bird<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Le Modèle:Date, la startup slovène Outfit7 lance l'application iPhone Modèle:Langue<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La version française est disponible, depuis le Modèle:Date sous le nom de Larry l'oiseau qui parle<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Eric James Torpy

La popularité de Larry Bird était si grande qu'en Modèle:Nobr, un grand fan, Eric James Torpy, accusé Modèle:Citation et condamné à Modèle:Nobr de prison, demande à faire correspondre sa peine au numéro du maillot de Larry Bird, le Modèle:N°, en disant Modèle:Citation<ref>Modèle:Citation étrangère.</ref>. Sa requête est acceptée en accord avec le juge du Comté d'Oklahoma, Ray Elliot, et les avocats. Le juge déclare Modèle:Citation et il rajoute Modèle:Citation<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="PB">Modèle:Lien web.</ref>. Lors des [[Finales NBA|Modèle:Nobr]], des fans des Celtics arboraient des pancartes avec inscrit en gros Modèle:Citation étrangère<ref name="PB"/>.

Le 33 et la Larry Legend Foundation

Après le maillot Modèle:Nobr de Larry Bird, les Modèle:Nobr de prison d'Eric James Torpy, le Modèle:Nobr à nouveau à l'honneur. En effet les étudiants de l'université de l'Indiana ont créé Modèle:Langue dans le but d'ériger une statue honorant Larry Bird devant l'Modèle:Langue dont l'inauguration est prévue en Modèle:Nobr soit Modèle:Nobr après la finale NCAA 1979<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. L'objectif est de récolter Modèle:Unité pour une statue d'au moins Modèle:Nobr de haut et avec l'argent supplémentaire de créer une bourse annuelle pour un étudiant de première année entrant à l'université<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Filmographie

Larry Bird a participé à trois films où il incarne à chaque fois son propre personnage. Larry Bird fait sa première apparition au cinéma en 1994 dans Modèle:Langue de William Friedkin avec Nick Nolte et en particulier les basketteurs Shaquille O'Neal, Bob Cousy et Rick Pitino<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Il joue ensuite dans le film Modèle:Langue, sorti en 1996, avec entre autres trois autres joueurs de la Modèle:Langue : Michael Jordan, Patrick Ewing et Charles Barkley<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Il participe également à une autre comédie sorti Modèle:Nobr, À la gloire des Celtics (Modèle:Langue) où Bob Cousy fait aussi une apparition<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Musique

En 2002, le groupe de rock indépendant Vermont sort sur son second album Modèle:Langue un titre intitulé Modèle:Langue<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Le groupe Dispatch chante un titre Modèle:Langue où Larry Bird est le héros local des Celtics de Boston<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Statistiques

Universitaires

Le tableau suivant présente les statistiques individuelles de Larry Bird pendant sa carrière universitaire<ref name="Basketball-reference">{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=N name="Stats">Certaines statistiques n'étaient pas comptabilisées.</ref>.

Modèle:Abréviation Modèle:Abréviation Modèle:Abréviation Modèle:Abréviation Modèle:Abréviation Modèle:Abréviation Modèle:Abréviation Modèle:Abréviation Modèle:Abréviation Modèle:Abréviation Modèle:Abréviation Modèle:Abréviation Modèle:Abréviation Modèle:Abréviation Modèle:Abréviation Modèle:Abréviation Modèle:Abréviation Modèle:Abréviation Modèle:Abréviation Modèle:Abréviation Modèle:Abréviation Modèle:Abréviation
1976-77 Université de l'Indiana 28 - 918 32,8 375 689 54,4 % - - - 168 200 84,0 % 373 13,3 122 - - - -
1977-78 Université de l'Indiana 32 - 959 30,0 403 769 52,4 % - - - 153 193 79,3 % 369 11,5 125 - - - -
1978-79 Université de l'Indiana 34 - 973 28,6 376 707 53,2 % - - - 221 266 83,1 % 505 14,9 187 - - - -
Total 94 - 2850 30,3 1154 2165 53,3 % - - - 542 659 82,2 % 1247 13,3 434 - - - -

Professionnelles

Légende :

Champion NBA MVP de la saison
Recrue/rookie de la saison Leader de la ligue

gras = ses meilleures performances

En saison régulière

Larry Bird dispute Modèle:Nobr de saison régulière, Modèle:Nobr en entrant sur le terrain dès le début de la rencontre, sous le maillot des Celtics de Boston. Il inscrit un total de Modèle:Unité, Modèle:Unité, Modèle:Unité, Modèle:Unité et Modèle:Unité.

Le tableau suivant présente les statistiques individuelles de Larry Bird pendant sa carrière professionnelle en saison régulière<ref name="Basketball-reference"/> :

Modèle:Abréviation Modèle:Abréviation Modèle:Abréviation Modèle:Abréviation Modèle:Abréviation Modèle:Abréviation Modèle:Abréviation Modèle:Abréviation Modèle:Abréviation Modèle:Abréviation Modèle:Abréviation Modèle:Abréviation Modèle:Abréviation Modèle:Abréviation Modèle:Abréviation Modèle:Abréviation Modèle:Abréviation Modèle:Abréviation Modèle:Abréviation Modèle:Abréviation Modèle:Abréviation Modèle:Abréviation Modèle:Abréviation Modèle:Abréviation Modèle:Abréviation
1979-1980 Boston 82 82 2 955 36,0 1 745 21,3 693 1 463 47,4 % 58 143 40,6 % 301 360 83,6 % 216 636 852 370 143 53 263 279
1980-1981 Boston 82 82 3239 39,5 1 741 21,2 719 1 503 47,8 % 20 74 27,0 % 283 328 86,3 % 191 704 895 451 161 63 289 239
1981-1982 Boston 77 58 2 923 38,0 1 761 22,9 711 1 414 50,3 % 11 52 21,2 % 328 380 86,3 % 200 637 837 447 143 66 254 244
1982-1983 Boston 79 79 2 982 37,7 1 867 23,6 747 1 481 50,4 % 22 77 28,6 % 351 418 84,0 % 193 677 870 458 148 71 240 197
1983-1984 Boston 79 77 3 028 38,3 1 908 24,2 748 1 542 49,2 % 18 73 24,7 % 374 421 88,8 % 181 615 796 720 144 69 237 197
1984-1985 Boston 80 77 3 161 39,5 2 295 28,7 918 1 560 52,2 % 56 131 42,7 % 403 457 88,2 % 164 678 842 531 129 98 248 208
1985-1986 Boston 82 81 3 113 38,0 2 115 25,8 796 1 606 49,6 % 82 194 42,3 % 441 492 89,6 % 190 615 805 557 156 51 266 182
1986-1987 Boston 74 73 3 005 40,6 2 076 28,1 786 1 497 52,5 % 90 225 40,0 % 414 455 91,0 % 124 558 682 566 135 70 240 185
1987-1988 Boston 76 75 2 965 39,0 2 275 29,9 881 1 672 52,7 % 98 237 41,4 % 415 453 91,6 % 108 595 703 467 125 57 213 157
1988-1989 Boston 6 6 189 31,5 116 19,3 49 104 47,1 % 0 0 - 18 19 94,7 % 1 36 37 29 6 5 11 18
1989-1990 Boston 75 75 2 944 39,3 1 820 24,3 718 1 517 47,3 % 65 195 33,3 % 319 343 93,0 % 90 622 712 562 106 61 243 173
1990-1991 Boston 60 60 2 277 38,0 1 164 19,4 462 1 017 45,4 % 77 198 38,9 % 163 183 89,1 % 53 456 509 431 108 58 187 118
1991-1992 Boston 45 45 1 662 36,9 908 20,2 353 758 46,6 % 52 128 40,6 % 150 162 92,6 % 46 388 434 306 42 33 125 82
Total 897 870 34 443 38,4 21 791 24,3 8 591 17 334 49,6 % 649 1 727 37,6 % 3960 4 471 88,6 % 1 757 7 217 8 974 5 695 1 556 755 2 816 2 279

En playoffs

Le tableau suivant présente les statistiques individuelles de Larry Bird pendant sa carrière professionnelle en playoffs<ref name="Basketball-reference"/> :

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1980 Boston 9 9 372 41,3 192 21,3 83 177 46,9 % 4 15 26,7 % 22 25 88,0 % 22 101 11,2 42 14 8 33 30
1981 Boston 17 17 750 44,1 373 21,9 147 313 47,0 % 3 8 37,5 % 76 85 89,4 % 49 238 14,0 103 39 17 62 53
1982 Boston 12 12 490 40,8 214 17,8 88 206 42,7 % 1 6 16,7 % 37 45 82,2 % 33 150 12,5 67 23 17 38 43
1983 Boston 6 6 240 40,0 123 20,5 49 116 42,2 % 1 4 25,0 % 24 29 82,8 % 20 75 12,5 41 13 3 19 15
1984 Boston 23 23 941 41,8 632 27,5 229 437 62,4 % 7 17 41,2 % 167 190 87,9 % 62 252 11,0 136 54 27 87 51
1985 Boston 20 20 815 40,8 520 26,0 196 425 46,1 % 7 25 28,0 % 121 136 89,0 % 53 182 9,1 148 37 11 57 54
1986 Boston 18 18 770 42,8 466 25,9 171 331 51,7 % 23 56 41,1 % 101 109 92,7 % 34 168 9,3 148 37 11 47 55
1987 Boston 23 23 1015 44,1 622 27,0 216 444 47,6 % 14 41 34,1 % 176 193 91,2 % 41 231 10,0 165 27 19 71 55
1988 Boston 17 17 763 44,9 417 24,5 152 338 45,0 % 12 32 37,5 % 101 113 89,4 % 29 150 8,8 115 36 14 49 45
1990 Boston 5 5 207 41,4 122 24,4 44 99 44,4 % 5 19 26,3 % 29 32 90,6 % 7 46 9,2 44 5 5 18 10
1991 Boston 10 10 396 39,6 171 17,1 62 152 48,0 % 3 21 14,3 % 44 51 86,3 % 8 72 7,2 65 13 3 19 28
1992 Boston 4 2 107 26,8 45 11,3 21 42 50,0 % 0 5 0 % 3 4 75,0 % 2 18 4,5 21 1 2 6 7
Total 164 162 6 886 42,0 3 897 23,8 1 458 3 090 47,2 % 80 249 32,1 % 901 1 012 89,0 % 360 1 683 10,3 1062 296 145 506 466

Comme entraîneur

Équipe Année Saison Régulière Play-offs
Victoires Défaites % victoire Classement Victoires Défaites % victoire Résultat
Pacers de l'Indiana 1997-1998<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}}

Modèle:Lien web.</ref> || 58 || 24 || 70,7 % || [[Division Centrale de NBA|Modèle:2e Centrale]] || 10 || 6 || 62,5 % || Finale de Conférence Est

Pacers de l'Indiana 1998-1999<ref>Modèle:Lien web.</ref> 33 17 66,0 % Modèle:1re Centrale 9 4 69,2 % Finale de Conférence Est
Pacers de l'Indiana 1999-2000<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}}

Modèle:Lien web.</ref> || 56 || 26 || 68,3 % || Modèle:1re Centrale || 13 || 10 || 56,5 % || Finale de NBA

Total 147 67 68,7 % - 32 10 61,5 %

Records personnels

Sa meilleure performance sur un match, pour ce qui concerne la statistique des points marqués, est observée le Modèle:Nobr face aux Hawks d'Atlanta avec soixante points, à Modèle:Nobr et Modèle:Nobr aux lancers francs<ref>Modèle:Lien web

  • </ref>. Il inscrit cinquante points ou plus à quatre reprises et quarante points ou plus lors de quarante-sept rencontres. Pour ce qui concerne le total de rebonds, il réalise vingt-et-une prises lors de quatre rencontres. Son record pour la statistique du nombre de passes décisives est de dix-sept passes face aux Warriors de Golden State Modèle:Nobr. Son record d'interceptions est de neuf. Cette performance est réalisée au terme du troisième quart-temps, les Celtics menant alors au score par Modèle:Nobr. À ce moment, il a déjà réalisé un triple-double avec trente points, douze rebonds et dix passes. Bien qu'il ne soit qu'à une interception d'un quadruple-double, il ne revient ensuite plus sur le parquet, le sort de la partie étant établi. Il déclare ensuite : Modèle:Citation<ref group=N>Modèle:Citation étrangère</ref>,<ref>

Modèle:Lien web

  • </ref>.

Joueur complet, il réalise cinquante-neuf triple-double en saison régulière et dix en Modèle:Langue<ref name="tripledouble">Modèle:Lien web

  • </ref>. Il réussit au moins un triple-double lors de chacune des saisons où il évolue en NBA, sauf lors de la Modèle:Nobr où, blessé, il ne dispute que six rencontres<ref name="tripledouble"/>.

Bird réalise quarante points ou plus à cinq reprises dans une rencontre de Modèle:Langue, dont deux dans la série opposant les Celtics aux Pistons de Détroit Modèle:Nobr, Modèle:Nobr Modèle:Nobr, son meilleur total. Son record de rebonds est Modèle:Nobr, performance réalisée quatre fois. C'est lors de la série face aux Knicks de New-York Modèle:Nobr qu'il délivre le plus de passes Modèle:Nobr. Il réalise Modèle:Nobr doubles, dont deux lors de la série des finales NBA Modèle:Nobr opposant les Celtics aux Rockets de Houston<ref name="tripledouble"/>.

Type statistique Saison régulière Modèle:Langue
Record Adversaire Date Record Adversaire Date
Points en un match 60 @ Atlanta Hawks Modèle:Date<ref name="198503120ATL">Modèle:Lien web.</ref> 43 Detroit Pistons Modèle:Date<ref name="198505080BOS">Modèle:Lien web.</ref>
Points en une mi-temps 37 @ Atlanta Hawks Modèle:Date 30 Detroit Pistons Modèle:Date
Points en un quart temps 24 Indiana Pacers Modèle:Date 24 Atlanta Hawks Modèle:Date
Paniers marqués en un match 22
22
@ Atlanta Hawks
@ New York Knicks
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Modèle:Date<ref>Modèle:Lien web.</ref>
17 Detroit Pistons Modèle:Date<ref name="198505080BOS"/>
Paniers marqués en une mi-temps 15
15
@ Atlanta Hawks
@ Washington Bullets
Modèle:Date
Modèle:Date
Paniers marqués en un quart temps 10
10
Indiana Pacers
@ Washington Bullets
Modèle:Date
Modèle:Date
10 Atlanta Hawks Modèle:Date
Paniers tentés en un match 36
36
@ Atlanta Hawks
Chicago Bulls
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33 Detroit Pistons Modèle:Date<ref name="198505080BOS"/>
Paniers tentés en une mi-temps 23 @ Atlanta Hawks Modèle:Date
Lancers francs réussis (sans échec) 14/14 Milwaukee Bucks Modèle:Date<ref name="198405170BOS">Modèle:Lien web.</ref>
Lancers francs réussis (1 échec) 16/17 Milwaukee Bucks Modèle:Date<ref name="198504120BOS">Modèle:Lien web.</ref> 14/15 Detroit Pistons Modèle:Date<ref name="198504300BOS">Modèle:Lien web.</ref>
Lancers francs réussis 16 Milwaukee Bucks Modèle:Date<ref name="198504120BOS"/> 14
14
Milwaukee Bucks
Detroit Pistons
Modèle:Date<ref name="198405170BOS"/>
Modèle:Date<ref name="198504300BOS"/>
Lancers francs tentés
Paniers à Modèle:Nobr réussis 7
7
Dallas Mavericks
Indiana Pacers
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Modèle:Date<ref name="199103040BOS">Modèle:Lien web.</ref>
5 @ Milwaukee Bucks Modèle:Date<ref name="198605180MIL">Modèle:Lien web.</ref>
Paniers à Modèle:Nobr tentés 10
10
10
Dallas Mavericks
Philadelphia 76ers
Indiana Pacers
Modèle:Date<ref name="198804030BOS"/>
Modèle:Date<ref>Modèle:Lien web.</ref>
Modèle:Date<ref name="199103040BOS"/>
6
6
Milwaukee Bucks
@ Milwaukee Bucks
Modèle:Date<ref>Modèle:Lien web.</ref>
Modèle:Date<ref name="198605180MIL"/>
Rebonds 21(Modèle:Abréviation)
21
21
21 (Modèle:Abréviation)
@ Philadelphia 76ers
@ Los Angeles Lakers
@ Denver Nuggets
@ Washington Bullets
Modèle:Date
Modèle:Date
Modèle:Date
Modèle:Date
21
21
21
21 (Modèle:Abréviation)
@ Philadelphia 76ers
Houston Rockets
Houston Rockets
@ Los Angeles Lakers
Modèle:Date<ref>Modèle:Lien web.</ref>
Modèle:Date
Modèle:Date
Modèle:Date<ref>Modèle:Lien web.</ref>
Rebonds offensifs
Rebonds défensifs 18
18
@ Chicago Bulls
Indiana Pacers
Modèle:Date
Modèle:Date
19 @ Philadelphia 76ers Modèle:Date
Passes 17 @ Golden State Warriors Modèle:Date<ref>Modèle:Lien web.</ref> 16 New York Knicks Modèle:Date<ref>Modèle:Lien web.</ref>
Interceptions 9 @ Utah Jazz Modèle:Date 5
5
5
5
Houston Rockets
@ Houston Rockets
@ New York Knicks
Detroit Pistons
Modèle:Date
Modèle:Date
Modèle:Date
Modèle:Date<ref>Modèle:Lien web.</ref>
Contres
Turnovers 10 @ New York Knicks Modèle:Date 10 Chicago Bulls Modèle:Date
Minutes jouées 56 (Modèle:Abréviation) @ Milwaukee Bucks Modèle:Date<ref>Modèle:Lien web.</ref>

Pour approfondir

Ses œuvres

Bibliographie

Modèle:Légende plume

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Autres projets Modèle:Liens

Notes et références

Notes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références nombreuses

Modèle:Palette

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