Laurac
Modèle:Confusion Modèle:Infobox Commune de France
Laurac <templatestyles src="Prononciation/styles.css" />{{#invoke:Prononciation|prononciation}} est une commune française située dans le Nord-Ouest du département de l'Aude, en région Occitanie. Elle est la capitale du Lauragais jusqu'au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle.
Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du Lauragais, l'ancien « Pays de Cocagne », lié à la fois à la culture du pastel et à l’abondance des productions, et de « grenier à blé du Languedoc ». Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par l'Hers-Mort, le ruisseau de Mairevieille, le ruisseau de Rivaillère, le ruisseau des Canonges et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (le « piège et collines du Lauragais ») et deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Laurac est une commune rurale qui compte Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, après avoir connu un pic de population de Modèle:Unité en 1851. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Castelnaudary. Ses habitants sont appelés les Lauracois ou Lauracoises.
Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : l'église Saint-Laurent, inscrite en 1948.
Géographie
Le village, établi sur une petite colline, est un castrum médiéval dont les ruelles entourent le sommet sur lequel se situe l'église fortifiée édifiée à proximité de l'ancien château qui a donné son nom au Lauragais. Il se situe sur un relief surplombant la plaine du Lauragais et est inscrit à l'inventaire des sites pittoresques de l'Aude depuis le Modèle:Date<ref>Modèle:Lien web</ref>. Laurac est située à 10 km de Fanjeaux, à 12 km de Castelnaudary, à 24 km de Belpech et à 25 km de Mirepoix en Pays Lauragais.
Communes limitrophes
Modèle:Carte communes limitrophes
Hydrographie
La commune est pour partie dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne<ref>Modèle:Lien web</ref>, et pour partie dans la région hydrographique « Côtiers méditerranéens », au sein du bassin hydrographique Rhône-Méditerranée-Corse<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle est drainée par l'Hers Mort, le ruisseau de Mairevieille, le ruisseau de Rivaillère, le ruisseau des Canonges, le ruisseau de Bitrac, le ruisseau de la Peyrote, le ruisseau de Lauzil, le ruisseau de Malassan, le ruisseau de Releytou et le ruisseau de Saint-Jean de Laval, qui constituent un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Géoportail</ref>.
L'Hers-Mort, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Grenade, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre</ref>.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant<ref name=Joly/>.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Castelnaudary », sur la commune de Castelnaudary, mise en service en 1951<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Carcassonne », sur la commune de Carcassonne, mise en service en 1948 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Milieux naturels et biodiversité
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)Modèle:Note. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive oiseaux : le « piège et collines du Lauragais »<ref name=Natura>Modèle:Lien web.</ref>, d'une superficie de Modèle:Unité, ayant une position de transition entre la Montagne noire et les premiers contreforts pyrénéens et on y voir donc régulièrement des espèces à grand domaine vital soit en chasse, soit à la recherche soit de sites de nidification : le Vautour fauve, l'Aigle royal, le Faucon pèlerin sont ainsi plus ou moins régulièrement observés sur le territoire concerné<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Deux ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.</ref> sont recensées sur la commune<ref name=INPN1>Modèle:Lien web.</ref> :
- la « bordure orientale de la Piège » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité du département<ref>Modèle:Lien web.</ref> ;
- les « collines de la Piège » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité dont 38 dans l'Aude et 2 dans la Haute-Garonne<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Urbanisme
Typologie
Laurac est une commune rurale<ref group=Note>Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=I >Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Castelnaudary, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de moins de Modèle:Unité<ref group=I name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (70,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (72,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (66,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (26,3 %), terres arables (4,2 %), forêts (2,8 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Laurac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité très faible)<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (75,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Unité dénombrés sur la commune en 2019, 128 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 94 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.
Toponymie
La carte de Cassini mentionne « Laurac le grand », cependant, administrativement parlant, le village s'appelle toujours Laurac. Ce nom est peut-être utilisé pour le différencier de Laurac-en-Vivarais en Ardèche.
Histoire
Autrefois fortifié et doté de chevaliers, il a donné son nom au Lauragais. C'était une ancienne forteresse, datant du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle dont les seuls restes sont la porte Saliége et quelques bouts de remparts.
Pendant longtemps le château appartient aux vicomtes de Carcassonne. Puis il appartient à Guillaume IV de Toulouse qui, en 1071, les donna en fief au comte de Barcelone. En 1179, le roi d'Aragon donne à Roger II de Béziers le château de Laurac et le Lauragais. Mais en 1211, Simon de Montfort s'empare du château de Laurac.
En 1213, le comte Raymond VI de Toulouse remet entre les mains du roi le château de Laurac. De 1226 à 1238, Bernard-Othon est seigneur de Laurac. En 1233, il construit de nouveaux murs d'enceinte et agrandit les fortifications. Le Lauragais est alors érigé en comté en 1478 et donné en échange à Bertrand de La Tour. Catherine de Médicis devient comtesse du Lauragais<ref>D'après un texte d'époque des Éd. Palau Frères</ref>. Après le Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, la capitale du Lauragais se déplace vers Castelnaudary et Saint-Papoul qui ont plus d'influences<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Comme dans beaucoup d'autres villages français, on constate que les symboles de la royauté (fleur de lys notamment) qui ornaient les édifices et les registres administratifs ont été détruits lors de la Révolution.
Politique et administration
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin
Démographie
Modèle:Population de France/section
Économie
Revenus
En 2018 (données Insee publiées en Modèle:Date-), la commune compte Modèle:Unité fiscaux<ref group=Note>Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.</ref>, regroupant Modèle:Nombre. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de Modèle:Unité<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> (Modèle:Unité dans le département<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>).
Emploi
Modèle:Tableau En 2018, la population âgée de Modèle:Unité s'élève à Modèle:Nombre, parmi lesquelles on compte 65,2 % d'actifs (58,3 % ayant un emploi et 7 % de chômeurs) et 34,8 % d'inactifs<ref group=Note>Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.</ref>,<ref name=EmpT1C group=I />. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des Modèle:Nobr est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Castelnaudary, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Elle compte Modèle:Unité en 2018, contre 21 en 2013 et 19 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 67, soit un indicateur de concentration d'emploi de 22,2 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 48,7 %<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Sur ces 67 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 12 travaillent dans la commune, soit 18 % des habitants<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Pour se rendre au travail, 79,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 7,4 % les transports en commun, 2,9 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 10,3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Activités hors agriculture
Neuf établissements<ref group=Note>L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.</ref> sont implantés à Laurac au Modèle:Date-<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Le secteur de l'administration publique, l'enseignement, la santé humaine et l'action sociale est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 22,2 % du nombre total d'établissements de la commune (2 sur les 9 entreprises implantées à Laurac), contre 13,2 % au niveau départemental<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Agriculture
La commune est dans le Razès, une petite région agricole occupant l'ouest du département de l'Aude<ref>Modèle:Lien web.</ref>, également dénommée localement « Volvestre et Razès »<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture<ref group=Note>L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.</ref> sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. Modèle:Tableau
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 15 lors du recensement agricole de 1988Modèle:Note à 11 en 2000 puis à 11 en 2010<ref name=Agreste>Modèle:Lien web.</ref> et enfin à 13 en 2020<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>, soit une baisse de 13 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 60 % de ses exploitations<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de Modèle:Unité en 1988 à Modèle:Unité en 2020Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 36 à Modèle:Unité<ref name=Agreste/>.
Vie locale
Enseignement
Laurac fait partie de l'académie de Montpellier.
Culture et festivité
Association Sort Loisir Culture<ref>https://www.ladepeche.fr/2020/10/07/sports-loisirs-et-culture-en-assemblee-9122357.php</ref>.
Activités sportives
Chasse, pétanque, randonnée pédestre,
Écologie et recyclage
Laurac a subi un réaménagement foncier agricole et forestier important dans les années 2020<ref>https://www.ladepeche.fr/2020/03/12/amenagement-foncier-agricole-et-forestier,8792681.php</ref>.
La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre du SMICTOM (Syndicat mixte intercommunal de collecte et de traitement des ordures ménagères)<ref>https://www.ladepeche.fr/2019/10/02/nouvelles-consignes-pour-le-tri-selectif,8452212.php</ref>.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Restes de remparts de l'enceinte médiévale.
- Église castrale Saint-Laurent. L'église (à l'exception de la chapelle Sud, de la partie reconstruite du mur Sud et de l'étage supérieur du clocher) a été inscrit au titre des monuments historiques en 1948<ref>Modèle:Lien web</ref>. L'église date du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle possédant un arc triomphal roman, des sculptures datant de la Renaissance, un maître-autel en marbre, un chemin de croix et un tableau bois sculpté. Sur son porche est sculpté les armoiries sur le frontispice du portail d'entrée dont l'arbre de l'écusson est un laurier, emblème de la gloire et du succès. L'église de Laurac, si elle est encore en travaux est caractérisée par son porche, qui lorsqu'on le traverse du regard, laisse entrevoir à mi-vision le Christ sur sa croix, ce qui représente une scène remarquable. En effet, regarder au travers du porche permet de voir la lumière jusqu'au lointain, et en plein milieu de cette clarté qui jaillit de l'ombre, apparaît le Christ.
- Porte Saliège du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle gardait l'entrée du village. Elle était constituée par des panneaux de bois épais garnis de plaques de fer.
- Mur dit de Blanche de Laurac (Blanche de Paracols) parfaite de la région, témoignage du catharisme.
- Malemort est l'emplacement de trois gibets du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle et témoin du massacre de la Saint-Barthélemy.
- Le village est inscrit au titre des sites naturels depuis 1946<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Personnalités liées à la commune
- Bernard-Othon de Niort (1201-1245) petit-fils de Blanche de Laurac, seigneur de Laurac
- Aimery de Montréal (?-1211) seigneur de Laurac
- Catherine de Médicis (1519-1589) comtesse du Lauragais
- Pierre Poussines (1609-1686) jésuite, né à Laurac
Héraldique
Galerie
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Rue principale de Laurac.
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Porte principale des remparts médiévaux.
Pour approfondir
Bibliographie
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes