Le Port-Marly

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France

Le Port-Marly est une commune française située dans le département des Yvelines en région Île-de-France.

Ses habitants sont appelés les Marlyportains.

Géographie

Localisation

Modèle:Encadré texte La commune du Port-Marly est située au nord-est du département, à onze kilomètres au nord de Versailles, à trois kilomètres au sud - sud-est de Saint-Germain-en-Laye et à Modèle:Unité du centre de Paris.

Les communes limitrophes sont Croissy-sur-Seine au nord-est (limite théorique puisque dans le bras de Seine au nord-est de l'île de la Loge), Louveciennes au sud-est, Marly-le-Roi à l'ouest et Le Pecq au nord.

Ancienne partie de Marly-le-Roi, Le Port-Marly se trouve en contrebas de cette dernière, le long de la Seine, de part et d'autre de la route nationale 13 qui la traverse du sud-est au nord-ouest. L'extrémité nord de l'île de la Loge fait partie du territoire communal mais aucune communication directe n'existe entre le centre-ville et l'île : un pont routier unique, situé à Bougival la dessert. Depuis 2017, elle est également reliée à la ville par une passerelle piétonne.

Voies de communication et transports

Voies routières

La commune abrite deux échangeurs routiers d'importance :

Transports en commun

La commune est desservie par des lignes de bus.

Au plan ferroviaire, la station SNCF la plus proche est la gare de Marly-le-Roi sur la ligne L.

Transport actif

La commune est bien équipée en pistes cyclables, en particulier pour le secteur situé entre les berges de la Seine et la RN13. Ces pistes relient notamment les établissements scolaires, les équipements sportifs et les commerces.

Elle s'est également dotée d'une piste cyclable qui chemine le long les berges de la Seine, nommé Piste des impressionnistes. Cette piste se poursuit en aval au Pecq, en revanche elle s'interrompt en amont à Louveciennes, dont les berges sont totalement inaccessibles, l'ancien chemin de halage étant privatisé par des commerces et péniches.

Urbanisme

Typologie

Le Port-Marly est une commune urbaine ; elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est une commune de la banlieue<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en Modèle:Date-, celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire regroupe Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Toponymie

Fichier:Sisley - Ferry-To-The-Ile-De-La-Loge-Flood.jpg
Le Bac de l'île de la Loge, inondation par Alfred Sisley, 1872.

Le nom de la localité est mentionné, dans un acte notarié, sous les formes « Port de la Loge » ou « Port de Marly » au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref name="memoire-vivante">Association Port Marly Mémoire Vivante, Les Richesses de la Terre - Carnet d'Histoire numéro 5.</ref>. En 1572, Jacques Nicolas, reçoit en legs un port et un passage appelé « Port de la Loge ». Il y installe un bac ; peut-être celui qu’empruntait le jeune Charles IX pour y rejoindre sa belle maîtresse, Marie Touchet, sur l’Île de la Loge<ref name="memoire-vivante"/>.

Le port, bien situé au creux d’une boucle de la Seine, était le seul débouché offert au bourg dans un temps où le fleuve était l’unique et plus sûr moyen de communication<ref name="memoire-vivante"/>.

Le Port Marly était Jusqu'en 1819, un hameau de Marly-le-Roi, le petit port de la paroisse de Marly<ref>Marie-Amynthe Denis, De Renoir à Vuillard, page 58.</ref> est maintenant une commune.

Histoire

Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle Certains historiens ont suggéré que le port était un entrepôt romain. Merilus, propriétaire gallo-romain possédait une villa (fondus) à Marly<ref name="memoire-vivante"/>.

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   Modèle:S mini-{{#ifeq: e|-| – | e }}Modèle:S mini- siècleXII

}} Les moines s’employant au défrichement de la forêt de Cruye (Marly) favorisent le développement du bourg et partant l’importance du port, bien situé au creux d’une boucle de la Seine, il était le seul débouché offert au bourg dans un temps où le fleuve était l’unique et plus sûr moyen de communication.

Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle Un acte notarié atteste le port indifféremment nommé « Port de la Loge » ou « Port de Marly ».

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   Modèle:S mini-{{#ifeq: e|-| – | e }}Modèle:S mini- siècleXV

}} Alors que la branche cadette des Montmorency règne sur le haut Marly, les seigneurs de Prunay, leurs vassaux, possédaient le manoir et la ferme situés sur le territoire indivis du port et de Louveciennes. Couverts de vignes, les coteaux de Marly produisent un petit « clairet » jugé digne d’abreuver la table royale, les tonneaux sont évacués par le port en direction de Paris, de la Normandie et même de l’Angleterre.

Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle En 1572, Jacques Nicolas, bourgeois de Paris, reçoit en legs un port et un passage appelé « Port de la Loge ». Il y installe un bac, peut-être celui qu’empruntait le jeune Charles IX pour y rejoindre sa belle maîtresse, Marie Touchet, sur l’île de la Loge.

Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle Louis XIV a quitté Saint-Germain pour les fastes de Versailles tout en goûtant quelque détente dans sa résidence de Marly. Pour les besoins de la cour il donne, par lettres patentes de 1693, la primauté au port de Marly sur celui d’Aupec (Le Pecq).

Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle Le trafic de marchandises du port s’est tellement développé qu’il nécessite la présence d’un notaire royal. Le port compte alors une population laborieuse de 165 feux (700 hab.) toute occupée aux activités du fleuve ou aux exploitations des fours à chaux. C’est dans le dernier quart de ce siècle que le village va vivre sa mutation la plus profonde. En 1778, Louis XVI l’a doté d’une chapelle bientôt érigée en cure et paroisse Saint-Louis (1785). C’est sur cette église et paroisse que les habitants s’appuieront pour demander leur détachement de Marly et éliront leur propre municipalité.

Le Port-Marly, commune indépendante Le Port-Marly devient une commune indépendante en Modèle:Date-. Après la période révolutionnaire, la population ne compte plus que 500 habitants, le commerce a périclité, l’église est ruinée, l’école de Louis XVI fermée.

1806 Le château, ancien manoir des seigneurs de Prunay est reconstruit tel que nous le connaissons (actuellement hôtel de ville).

1819 Le cadastre fixant le territoire du Port-Marly est enfin établi à Modèle:Unité.

1846 Alexandre Dumas fait ériger sur le coteau des Montferrands, le château de Monte-Cristo, fastueuse demeure faussement Renaissance et le château d’If néo-gothique.

1850 C’est la grande explosion démographique, commerciale et industrielle. Replié depuis des siècles sur une même population contractant le plus souvent des mariages consanguins, le village s’ouvre aux nombreux provinciaux victimes de l’exode rural vers la capitale. Pêcheurs, bateaux de bain, tireurs de sable, bateaux lavoirs si chers aux peintres, animent les bords de Seine, polluée par diverses industries de papier, de tissus imprimés, et d’eau de javel polluent.

Des carriers venus de Meudon ouvrent les carrières des Montferrands pour la grande production de blanc d’Espagne. Plus haut, dans la rue de Versailles, s’étendent d’autres galeries d’exploitation de craie. La commune songe seulement à aménager son port, pourtant centre d’activités de celle-ci. Elle doit auparavant en acheter les terrains (ancienne propriété royale, demeurée d’État) qu’elle croyait siens.

Fichier:'The Bend in the Seine at Port Marly' by Corot, Cincinnati Art Museum.JPG
Le Tournant de la Seine à Port-Marly
Camille Corot, 1872
Musée d'art de Cincinnati.

1853 La famille Rodrigues-Henriques s’installe au château des Lions. Elle y recevra le peintre Camille Corot qui exécutera en 1872 plusieurs tableaux célèbres – « Le Tournant de la Seine », la « Montre », la « Promenade au Château des Lions ». La commune termine le siècle en beauté en se dotant d’un groupe mairie-écoles (garçons et filles) en discussion depuis 29 ans. À la même époque Sisley, Pissarro, Lebourg, Loiseau… s’inspireront des couleurs changeantes du fleuve.

1854 Un décret impérial accorde à un habitant de Marly-le-Roi, le vicomte de Mazenod, la concession d'un tramway à chevaux de Rueil-Gare à Port-Marly, via Rueil-Ville et Bougival, soit Modèle:Unité. Ce sera la première ligne d'Europe du « tramway américain » (voitures sur rails tirées par des chevaux). Ouverte partiellement à l'exploitation en août 1855 puis le Modèle:Date- jusqu’à Port-Marly<ref>AMTUIR - le chemin de fer américain de Rueil à Port-Marly</ref>, la ligne fonctionna - avec quelques vicissitudes notamment pendant la guerre de 1870 - jusqu'en Modèle:Date-.

Certaines « haltes » de l'époque sont encore aujourd'hui des arrêts d'autobus (Bas-Prunay, Saint-Fiacre).

1878

Fichier:CLC 2 - Port Marly - Dépot des Tramways.JPG
Le dépôt des tramways, avant la Première Guerre mondiale.

La société anonyme du Tramway à Vapeur de Rueil à Marly-le-Roi (TVRMR) créée en 1877, met en service le Modèle:Date- la ligne entre Rueil et Port-Marly (durée du trajet 36 min)<ref>AMTUIR - le tramway de Rueil à Marly-le-Roi</ref>. Un train sur deux empruntait l’embranchement vers l’abreuvoir de Marly-le-Roi (durée 48 min). Des locomotives sans foyer et « à eau surchauffée » conçues par l’ingénieur Léon Francq furent d’abord mises en service ; puis divers matériels de traction furent employés au fur et à mesure des progrès techniques des machines à vapeur, jusqu’à l’électrification le Modèle:Date-.

La rampe de Port-Marly (route de Versailles (ex-N 186), puis avenue de l'Abreuvoir à Marly) avec sa pente de Modèle:Unité par mètre était redoutée des ingénieurs de l'époque car elle servait à tester la puissance des locomotives à vapeur et donc à valider l'obtention des concessions dans la région. Un accident spectaculaire entre deux locomotives s'y produisit d'ailleurs en 1888 au cours d'un essai.

Le Modèle:Date- – comme toutes les compagnies de tramways - la ligne est regroupées dans la STCRP « Société des transports en commun de la région parisienne » ancêtre de la RATP. La ligne porte alors le no 59. Modèle:Article détaillé Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle La pollution croissante de la Seine (pollution par les nitrates et pesticides, pollution liée aux eaux de pluie entraînant des polluants des zones urbaines) a des répercussions sur ses berges. Au Port-Marly, seule subsiste de la grande activité précédente la fabrication de « Javel la Neige » de la famille Verrier.

C’est sur l’île de la Loge que se réfugieront les énergies créatrices du docteur Château et de sa ferme expérimentale Jersey-Farm qui utilise déjà la traite électrique des vaches. À côté, l’aventurier chimiste Magondeaux utilise un brevet inédit, gagné au jeu, de fabrication d’acétylène.

On trouve de l’embauche dans le « Tram à vapeur », le dépôt de Port-Marly étant un nœud ferroviaire important sur les lignes reliant Paris – place de l’Étoile à Saint-Germain-en-Laye et à Marly-Abreuvoir. Il se situait entre la Seine et la rue de Paris à la hauteur de l'actuelle mairie.

1914 La Grande Guerre vide la commune de ses enfants. Une famille sur dix est touchée. Le couturier Doucet, passionné de golf crée un green de 18 trous de renommée internationale, qui perdurera pendant plus d’un demi-siècle jusqu’en 1969 (centre culturel Saint-Exupéry et Pyramides).

1940 Le Port cesse ses activités commerciales.

1950 Les mutations galopantes de l’après-guerre : explosion démographique, urbanisation en marche, circulation intense modifient l’aspect encore villageois de la commune. C’est la percée de la nationale 13. Les grands ensembles immobiliers remplacent les espaces verts (le parc du château des Lions devient le quartier des Lions, celui du château de la Corbellerie devient le quartier des Corbelleries, deux quartiers qui accueillent les nouveaux ouvriers et les nouvelles vagues immigrantes. Puis le domaine du chalet Keratry et La Source deviennent des zones d'habitations), les jardins, les vergers du haut du village, Marly-Soleil, les Plains Champs, etc. Les restaurants remplacent les petits commerces qui faisaient la convivialité du village<ref name="memoire-vivante"/>.

2017 Le Modèle:Date-, une passerelle piétonne reliant la ville à l'Île de la Loge est inaugurée<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Politique et administration

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu

Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Distinctions et labels

Modèle:Section à actualiser En 2003, la commune a reçu le label « Mention Ville Internet »<ref>Palmarès des Villes Internet sur le site officiel de l'association. Consulté le 01/10/2009.</ref>.

Population et société

Démographie

Évolution démographique

Modèle:Population de France/section

Pyramide des âges

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 39,6 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (38 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 16,6 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait Modèle:Unité pour Modèle:Unité, soit un taux de 51,39 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,32 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Modèle:Pyramide des âges communes de France

Sports

La ville possède un club d'aviron : le Rowing Club de Port-Marly (RCPM) fondé en 1948 sur les bords de Seine, rue de Paris. Ce club est classé Modèle:72e national en {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | IVe{{#if:|  }} }} division (au classement FFSA). Il compte plus de 300 licenciés loisirs et compétitions confondus. Les rameurs du club viennent majoritairement de Marly-le-Roi et de Port-Marly, mais aussi de Saint-Germain-en-Laye et du Pecq.

Économie

Revenus de la population et fiscalité

En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de Modèle:Unité, ce qui plaçait Le Port-Marly au 3 477e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole<ref name=":0">Modèle:Lien web.</ref>. Cette moyenne est inférieure à celle de certaines communes voisines telle que Marly-le-Roi (Modèle:Unité), Louveciennes (Modèle:Unité) ou encore Croissy-sur-Seine (Modèle:Unité)<ref name=":0" />, bien que restant élevée par rapport à celle de la région et du pays.

Santé

Port-Marly accueille un important centre hospitalier privé, la Clinique de l'Europe

Culture locale et patrimoine

Patrimoine architectural

La ville abrite le château de Monte-Cristo, demeure et parc d'Alexandre Dumas. Ce château, d'inspiration Renaissance s'élève dans un parc à l'anglaise avec grottes et cascades. Au fond du parc se trouve le château d'If, cabinet de travail de l'écrivain.

Fichier:Église StLouis PortMarly.jpg
Église Saint-Louis.

Édifiée de 1778 à 1780, l'église Saint-Louis est un chef-d'œuvre néoclassique d'Étienne-François Legrand offert par Louis XVI aux Marlyportains. Les offices y sont menés<ref>Site de la Chapellenie Notre-Dame-de-France</ref>, depuis 1988, par les prêtres de l'Institut du Christ-Roi Souverain Prêtre selon la forme tridentine du rite romain. Ces derniers sont rattachés à la Maison Saint François de Sales de Marly-le-Roi. De plus, l'église bénéficie de la présence des scouts de la "Troupe Modèle:1re Port-Marly", affiliée au Scouts d'Europe<ref>Site de la Troupe Modèle:1re Port-Marly</ref> mais aussi des autres branches : trois meutes et deux clairières pour la branche jaune ; deux compagnies et deux troupes pour la branche verte ; un clan et un feu pour la branche rouge<ref>Site officiel des Scouts d'Europe</ref>. Cependant, des travaux de réfection de la toiture de l'église, nécessaires depuis longtemps, risqueraient d'imposer la fermeture de l'église en 2016 et 2017<ref>Le carillon de Port-Marly</ref> !

Ancienne demeure des seigneurs de Prunay, rebâtie en 1806, le château des Lions abrite l'hôtel de ville depuis 1971. La salle des mariages appelée salle Jacques-II, classée à l'inventaire des monuments historiques, présente un remarquable décor, chef-d'œuvre de la peinture française du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, peint par l'école de Simon Vouet.

Peinture

La ville a servi de modèles à plusieurs peintres dont Camille Pissarro, Alfred Sisley et Maurice de Vlaminck (La Vallée de Port-Marly, 1904<ref>Galerie Cazeau-Bézaudière.</ref>).

En 2002, pour entretenir l'héritage culturel laissé par les Impressionnistes dans les Yvelines, Le Port-Marly, avec huit autres communes riveraines de la Seine, Carrières-sur-Seine, Chatou, Croissy-sur-Seine, Bougival, Louveciennes, Marly-le-Roi, Le Pecq et Noisy-le-Roi, crèe le label et la structure « Pays des Impressionnistes »<ref>Clarisse Josselin, Le Pays des impressionnistes est né, Le Parisien, 27.02.2002.</ref>.

Personnalités liées à la commune

Héraldique

Modèle:Blason-ville-fr

Scoutisme

Le Port-Marly s’enorgueillit de la présence des scouts des Troupes Ire{{#if:|  }} et {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | IIIe{{#if:|  }} }} Port-Marly, dont la première fut la première Troupe marine de scouts d'Europe en France. Ces Troupes sont rattachées à la paroisse traditionnelle de Saint Louis du Port-Marly, desservie par les chanoines de l'Institut du Christ Roi.

Voir aussi

Bibliographie

  • « Le château de Monte-Cristo, Le Port-Marly » in Caroline Holmes, Folies et fantaisies architecturales d'Europe (photographies de Nic Barlow, introduction de Tim Knox, traduit de l'anglais par Odile Menegaux), Citadelles & Mazenod, Paris, 2008, Modèle:P. Modèle:ISBN
  • Les Petits Trains et les tramways des Yvelines et de l'Ouest parisien du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle aux années 2000 par Claude Wagner - Éditions du Valhermeil, 1997 Modèle:ISBN.

Articles connexes

Liens externes

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Notes et références

Notes

Modèle:Références

Références

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