Marly-le-Roi
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France
Marly-le-Roi est une commune française située dans le département des Yvelines en région Île-de-France. Située à une vingtaine de kilomètres à l'ouest du centre de Paris, cette commune de l'unité urbaine de Paris au cœur du Pays des Impressionnistes abrite notamment le Domaine national de Marly-le-Roi et une partie de la forêt domaniale de Marly.
Ses habitants sont appelés les Marlychois.
Géographie
Description
La commune de Marly-le-Roi se situe sur la rive gauche de la Seine au sud d'un méandre, à Modèle:Unité à l'ouest de la cathédrale Notre-Dame de Paris, point zéro des routes de France.
Elle est localisée à Modèle:Unité au nord de Versailles, préfecture des Yvelines, à Modèle:Unité au sud de Saint-Germain-en-Laye la sous-préfecture et à Modèle:Unité à l'ouest de la porte d'Auteuil.
Elle est bâtie sur une sorte de promontoire en contrebas et au nord du plateau du Cœur-Volant au bord duquel se trouvait le château de Marly aujourd'hui disparu. Ledit promontoire domine d'environ Modèle:Unité la vallée de la Seine plus au nord. L'urbanisation est concentrée dans la moitié nord du territoire communal, la moitié sud étant majoritairement couverte par la forêt domaniale de Marly.
Communes limitrophes
Modèle:Section communes limitrophes d'article de commune de France
Quartiers
La commune compte cinq quartiers :
- Le Vieux Marly-Ombrages-Monbâti, avec des hôtels particuliers du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et l’église Saint-Vigor, édifiée au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle ;
- Le Plateau-Vergers-Vauillons-Bois Martin, avec ses maisons individuelles, et le parc Jean-Witold ;
- Les Grandes Terres, domaine piétonnier résidentiel et privé, dans un parc de Modèle:Unité ;
- Montval, ancien hameau de Le Pecq avant 1822<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>, avec son gymnase, son groupe scolaire et sa bibliothèque ;
- Les Coteaux, comprenant l'ancien hameau de Montval.
Climat
Le climat de Marly-le-Roi est de type océanique dégradé. La station de référence pour Marly-le-Roi est celle de Saint-Germain-en-Laye<ref>Fiche sur Marly-le-Roi sur le site cartesFrance</ref>. Le climat est caractérisé par un ensoleillement et des précipitations faibles. La moyenne des précipitations tourne autour de Modèle:Unité par an étalés sur Modèle:Unité de pluie en moyenne, dont Modèle:Unité de fortes précipitations (plus de Modèle:Unité). Les températures y sont douces, le mois le plus froid étant janvier avec une moyenne de températures de Modèle:Tmp et les mois les plus chauds juillet et août qui présentent une température moyenne de Modèle:Tmp.
Mois | Janv | Fév | Mars | Avr | Mai | Juin | Juil | Août | Sept | Oct | Nov | Déc | Année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Températures maximales moyennes (°C) | 6 | 7 | 11 | 14 | 18 | 21 | 24 | 24 | 21 | 15 | 9 | 7 | 14,8 |
Températures minimales moyennes (°C) | 1 | 1 | 3 | 6 | 9 | 12 | 14 | 14 | 11 | 8 | 4 | 2 | 7,1 |
Températures moyennes (°C) | 4 | 4 | 7 | 10 | 14 | 17 | 19 | 19 | 16 | 12 | 7 | 5 | 11,2 |
Source : Climatologie mensuelle - Saint-Germain-en-Laye, France<ref>L'Saint-Germain-en-Laye distante de Modèle:Unité au nord constitue la station de référence.</ref> |
Urbanisme
Typologie
Marly-le-Roi est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est une commune de la banlieue<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en Modèle:Date-, celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire regroupe Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Transports et déplacements
Voies de communications
- Le chemin de grande randonnée GR1 (Tour de Paris) traverse le sud du territoire de la commune, entre Louveciennes à l'est et L'Étang-la-Ville à l'ouest.
- La commune est située à 4 kilomètres au nord de la sortie 6 de l'autoroute A13 (Saint-Germain-en-Laye, Marly-le-Roi, Le Chesnay, Versailles-Notre Dame).
- Depuis l'autoroute, la Route nationale 186, qui relie Versailles à Saint-Germain-en-Laye, permet de rejoindre Marly-le-Roi avant de longer la commune par l'est du sud au nord.
- La commune est également traversée par la route départementale 7 qui relie Le Pecq puis Saint-Germain-en-Laye vers le nord et, vers le sud, Bailly puis Saint-Cyr-l'École.
- Enfin, la route départementale 161 relie Saint-Germain-en-Laye à L'Étang-la-Ville et Villepreux via Marly.
Transports en commun
Chemin de fer
La commune est desservie par la gare de Marly-le-Roi, sur la ligne Modèle:Transilien/correspondances avec intitulé.
La ligne effectue les liaisons entre les gares de Paris-Saint-Lazare, de La Défense et de Saint-Nom-la-Bretèche - Forêt de Marly. Elle est située sur la ligne de Saint-Cloud à Saint-Nom-la-Bretèche - Forêt-de-Marly.
En 1878, la Société anonyme du Tramway à Vapeur de Rueil à Marly-le-Roi (TVRMR) met en service le Modèle:Date- la ligne entre Rueil-Malmaison et Port-Marly. Un train sur deux empruntait l’embranchement vers l’abreuvoir de Marly-le-Roi. En 1891, un accident mortel, impliquant une passante et le mécanicien, rapporté par le supplément illustré du Petit Journal du Modèle:Date-, eut lieu à la halte Saint-Fiacre (arrêt actuel de la ligne 1 du bus de Saint-Germain-en-Laye à Versailles).
La rame automotrice Z6523/24 de la livrée Z 6400 est le premier train parrainé en Île-de-France par une commune, en l’occurrence celle de Marly-le-Roi, le Modèle:Date<ref>Rail passion hors-série, Spécial Île-de-France, novembre 2006, Modèle:P.92</ref>.
Transports routiers urbains et interurbains
Les transports en commun routiers sont assurés principalement par le réseau de bus Saint-Germain Boucles de Seine.
La commune est donc desservie par les lignes du réseau de bus Saint-Germain Boucles de Seine 1, 9A, 9AB, 9B, 9D, 10, 15, 15S, 18S et 21.
Marly-le-Roi est également desservie par la ligne 170 du réseau Transdev Ecquevilly.
Toponymie
Le toponyme est attesté sous les formes Mairilaco en 697, Marleium en 1087, Marletum, de Marleio en 1173<ref name="negre">Modèle:Ouvrage.</ref>,<ref name="adcr">Modèle:Ouvrage.</ref>, Marliacum en 1202.
Il serait issu d'un anthroponyme latin tel que Marullius<ref name="negre"/> ou Marillius<ref name="adcr"/>. Le nom de Marly provient de marcilliacum, « domaine de Marcel », qui a donné marlacum, malliaco villa ou peut-être de merula, merle.
Micro-toponymie
- Le nom de Marly a été donné à une automobile construite en 1956 par la société Simca, le break Simca Marly.
- Le nom de Marly a été donné à un plat « La Timbale Marly », (un salpicon), mélange à base de légumes, de fruits, de poisson et de viande. Les ingrédients sont coupés finement.
Histoire
Le lieu est connu dès 676, sous Thierry III.
On découvrit à Marly, en 1848, un dolmen au lieu-dit le Mississipi<ref>Mellerio : Fouilles opérées dans le voisinage de l'Allée couverte du Mississipi, à Marly-le-Roi. Bulletin de la Société des Sciences de Seine-et-Oise, tome XI, page 25. Sur le plateau de Marly, de nombreux silex taillés.</ref> non loin de la « Tour aux Païens »<ref>Guegan : Recherches géologiques et préhistoriques, aux environs de SaintGermain-en-Laye. Mém. de la Société des Sciences morales de Lettres et des Arts, de S.-et-O., 1874, t. X, Modèle:P. et suivantes, Rech. préhist. dans le dép. de S.-et-O. de 1-879 à 1883. Com. ant. et arts de S.-et-O. 1884, Modèle:P..</ref>.
Marly est propriété des seigneurs de Montmorency jusqu'à son acquisition par Louis XIV en 1676 qui y fait construire par Jules Hardouin-Mansart « son » château de Marly, plus intime que Versailles et où il pourra s'adonner aux plaisirs personnels. Il acquiert ainsi par échange la seigneurie de Marly pour y construire son château de Marly.
Le château, situé sur le plateau du Cœur Volant, est alimenté en eau par la machine de Marly et l'aqueduc de Louveciennes et l'extrémité nord est agrémentée d'un bassin, en contrebas, au niveau du village, et d'un immense abreuvoir où les cavaliers peuvent entrer avec leurs montures ! Ce bassin sera agrémenté, sous Louis XV, par les deux célèbres chevaux de Marly sculptés en 1745 par Guillaume Coustou. En 1789, le château est pillé par les révolutionnaires et laissé à l'abandon.
Durant la Révolution, la commune porte provisoirement le nom de Marly-la-Machine<ref name=Cassini/> (bien que celle-ci soit située sur la commune de Bougival) ; les chevaux sont « subtilisés » pour être installés à Paris sur la place de la Concorde puis placés à l'entrée de l'avenue des Champs-Élysées en 1795. Aujourd'hui, ils se trouvent à l'abri des intempéries au Musée du Louvre dans la cour Marly de l'aile Richelieu.
En 1799, un industriel, Alexandre Sagniel, achète le château à l'abandon et installe des ateliers de filature dans les communs. Failli, cet industriel ne trouvant pas à céder le château en l'état de délabrement avancé, le démantèle et en vend les pierres comme pierres à bâtir<ref>Avenue des Combattants on peut voir des moellons de marbre rose dans un mur de clôture.</ref>. En 1806, le domaine passe entre les mains de l'administration des Eaux et Forêts.
La période impressionniste voit le village, à l'instar de ceux de Bougival, Louveciennes ou Croissy, attirer les peintres comme Sisley ou Pissarro ainsi que poètes, écrivains et sculpteurs. Maillol s'y installera également au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.
L'abreuvoir de Marly fut le seul élément du domaine de Marly classé au titre des monuments historiques en 1862. Si d'autres éléments ont été classés en 1928, la totalité du domaine de Marly ne fut classé que le Modèle:Date-<ref>Gabor Mester de Parajd, « Le domaine de Marly aujourd’hui », Bulletin du Centre de recherche du château de Versailles [en ligne], | 2012, mis en ligne le 18 décembre 2013, consulté le 12 novembre 2015. URL : http://crcv.revues.org/11953 ; DOI : 10.4000/crcv.11953.</ref>,<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>. Jusqu'en 2009, le domaine a été une résidence de la présidence de la République<ref>Panneau d'information du parcModèle:Refins.</ref>, servant notamment de relais de chasses présidentielles et de lieu de villégiature<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Il est aujourd'hui géré par l'Établissement public du château, du musée et du domaine national de Versailles.
Au cours des années 1950-1960, la ville voit son développement urbain au sein de l'aire urbaine de Paris s’accélérer au sud de la commune avec l'implantation du quartier des Grandes Terres<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
-
Le Château de Marly par Pierre-Denis Martin (1724).
-
Cheval de Marly, sculpture de Guillaume Coustou (1745).
-
L'Abreuvoir à Marly par Alfred Sisley (1875).
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Une rue à Marly par Alfred Sisley (1876).
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Accident de tramway à Saint-Fiacre (1891).
Politique et administration
Intercommunalité
Marly-le-Roi fait partie de la communauté d'agglomération Saint Germain Boucles de Seine avec 19 autres communes du nord-est du département des Yvelines, et dont le siège est situé au Pecq.
Découpage administratif
La commune est située dans le département des Yvelines, dont la préfecture est Versailles. Elle fait partie de l'arrondissement de Saint-Germain-en-Laye et, depuis 2015, du canton de Chatou. De 1833 à 2015, elle avait été intégrée au canton de Marly-le-Roi. De plus, elle fait partie de la quatrième circonscription des Yvelines.
L’organisation juridictionnelle rattache les justiciables de Villennes au tribunal judiciaire de Versailles et au tribunal administratif de Versailles, tous rattachés à la cour d'appel de Versailles<ref>Organisation juridictionnelle sur le site du ministère de la Justice. Consulté le 15/03/2020.</ref>.
Tendances politiques et résultats
Élections présidentielles
Résultats des deuxièmes tours :
- Élection présidentielle de 2012<ref>Modèle:Lien web.</ref> : 56,83 % pour Nicolas Sarkozy (UMP), 43,17 % pour François Hollande (PS). Le taux de participation était de 84,85 %.
- Élection présidentielle de 2017<ref>Modèle:Lien web.</ref> : 83,80 % pour Emmanuel Macron (REM), 16,20 % pour Marine Le Pen (FN). Le taux de participation était de 79,22 %.
Élections législatives
Modèle:Article connexe Résultats des deuxièmes tours :
- Élections législatives de 2012<ref>Modèle:Lien web.</ref> : 59,27 % pour Pierre Lequiller (UMP), 40,73 % pour Sandrine Dubos (PS). Le taux de participation était de 58,91 %.
- Élections législatives de 2017<ref>Modèle:Lien web.</ref> : 63,40 % pour Marie Lebec (LREM), 36,60 % pour Ghislain Fournier (LR). Le taux de participation était de 49,61 %.
Élections européennes
Résultats des deux meilleurs scores :
- Élections européennes de 2014<ref>Modèle:Lien web.</ref> : 27,66 % pour Alain Lamassoure (UMP), 14,83 % pour Marielle de Sarnez (MoDem). Le taux de participation était de 53,48 %.
- Élections européennes de 2019<ref>Modèle:Lien web.</ref> : 35,73 % pour Nathalie Loiseau (LREM), 17,96 % pour Yannick Jadot (EÉLV). Le taux de participation était de 59,94 %.
Élections régionales
Résultats des deux meilleurs scores :
- Élections régionales de 2015<ref>Modèle:Lien web.</ref> : 56,73 % pour Valérie Pécresse (UMP), 34,47 % pour Claude Bartolone (PS). Le taux de participation était de 60,53 %.
Élections départementales
Modèle:Article connexe Résultats des deux meilleurs scores :
- Élections départementales de 2015<ref>Modèle:Lien web.</ref> : 66,51 % pour Ghislain Fournier et Marcelle Gorgues (UMP), 33,49 % pour Catherine Coicadan et André Michel (PS). Le taux de participation était de 41,34 %.
Élections municipales
Résultats des deuxièmes tours ou du premier tour si dépassement de 50 % :
- Élections municipales de 2008<ref name=":1" /> : 59,94 % pour Jean-Yves Perrot (DVD), 26,23 % pour Sandrine Dubos (DVG) et 13,83 % pour Bernard Longhi (Modem). Le taux de participation était de 61,24 %.
- Élections municipales de 2014<ref name=":1">Modèle:Lien web.</ref> : 73,26 % pour Jean-Yves Perrot (DVD) et 26,74 % pour Jacques Chesnais (DVG). Le taux de participation était de 59,17 %.
- Élections municipales de 2020<ref>Modèle:Lien web.</ref> : 52,41 % pour Jean-Yves Perrot (DVD), 31,37 % pour Noëlla Arnaudo (DVC) et 16,22 % pour Tanguy Ruellan (DVG). Le taux de participation était de 44,71 %.
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel
Distinctions et labels
En 2002, pour entretenir l'héritage culturel laissé par les Impressionnistes dans les Yvelines, Marly-le-Roi, avec huit autres communes riveraines de la Seine, Carrières-sur-Seine, Chatou, Croissy-sur-Seine, Bougival, Louveciennes, Le Port-Marly, Le Pecq et Noisy-le-Roi, crée le label et la structure « Pays des Impressionnistes »<ref>Clarisse Josselin, Le Pays des impressionnistes est né, Le Parisien, 27.02.2002.</ref>.
Jumelages
Population et société
Démographie
Évolution démographique
Modèle:Population de France/section
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 33,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (38 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 26,5 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait Modèle:Unité pour Modèle:Unité, soit un taux de 53,63 % de femmes, largement supérieur au taux départemental (51,32 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Modèle:Pyramide des âges communes de France
Enseignement
La commune relève de l'académie de Versailles.
La ville compte<ref>Annuaire| Ville de Marly-le-Roi, consultée le 3 septembre 2020</ref> :
- six écoles maternelles (Albert-Schweitzer, Ramon, Antoine-de-Saint-Exupéry, Jean-Rostand, César-Geoffray et Raymond-Gilles,
- quatre écoles élémentaires publiques (Albert-Schweitzer, Jean-Rostand, Antoine-de-Saint-Exupéry et Champ-des-Oiseaux,
- une école élémentaire privée (Blanche-de-Louvencourt),
- le collège Louis-Lumière. Le collège Louis-Lumière fut, de 1966 à 1992, un collège expérimental consacré à l'audiovisuel<ref>Thierry Lefebvre et Cécile Raynal, Un studio de télévision à l'école - Le collège expérimental audiovisuel de Marly-le-Roi (1966-1992), Éditions Glyphe, Paris, 2017.</ref>,
- le lycée Louis-de-Broglie<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
- l'Internat de la Réussite<ref>Article| Le Monde, consultée le 3 septembre 2020</ref>.
Sports
- Équipements sportifs
La commune offre plusieurs équipements sportifs : deux piscines municipales (la piscine municipale Franck-Esposito<ref>Ville| Ville de Marly-le-Roi, consultée le 3 septembre 2020</ref> et la piscine intercommunale de Saint-Germain-en-Laye), cinq gymnases (le gymnase du Champ-des-Oiseaux, le complexe sportif du Chenil, le gymnase Ramon, le gymnase des Maigret et le gymnase du Centre), deux stades<ref>Ville| Ville de Marly-le-Roi, consultée le 3 septembre 2020</ref> (le stade François-Henri-de-Virieu pour le football et le tennis, et le stade du Chenil pour le football et l'athlétisme), un centre équestre (poney-club) et un rowing club.
La ville possède d'autre part une école municipale des sports, comprenant plusieurs activités : la section arts du cirque, la section multisports (jeux de ballons : handball, basket-ball, volley-ball, football et rugby ; jeux de raquettes : tennis, badminton, tennis de table ; athlétisme : courses, lancers, sauts, hockey, cross québécois ; rollers, gymnastique, trampoline, piscine) et la section gymnastique.
- Événements sportifs
- la Foulée marlychoise<ref>La Foulée Marlychoise.</ref> ;
- le tournoi open de tennis<ref>Le tournoi open de tennis.</ref>.
Équipements culturels
- La bibliothèque et centre multimédia Pierre-Bourdan, avenue de Saint-Germain, possède une section adulte et une section jeunesse<ref>Bibliothèque Pierre Bourdan centre multimédia, publié sur le site de la mairie de Marly-le-Roi (consulté le 6 mars 2018)</ref> ;
- Le conservatoire de musique Roger-Bourdin dans le parc Jean-Witold<ref>Le conservatoire de musique Roger Bourdin, publié sur le site de la mairie de Marly-le-Roi (consulté le 6 mars 2018)</ref> ;
- Le cinéma Le Fontenelle offre un cinéma d'art et d'essai<ref>Cinéma Le Fontenelle, publié sur le site de la mairie de Marly-le-Roi (consulté le 6 mars 2018)</ref>,<ref>Les films à l'affiche, publié sur le site de cineode.fr (consulté le 6 mars 2018)</ref> ;
- Le centre culturel Jean-Vilar propose notamment des spectacles de : théâtre, musique, danse, contes et expositions de peintures<ref>Le centre culturel Jean Vilar, publié sur le site de la mairie de Marly-le-Roi (consulté le 6 mars 2018)</ref>,<ref>« Évènements », publié sur le site du centre culturel Jean Vilar (consulté le 6 mars 2018)</ref> ;
- L’office de tourisme propose de nombreuses activités<ref>Le Point d'information touristique, publié sur le site de la mairie de Marly-le-Roi (consulté le 6 mars 2018)</ref>,<ref>Office de tourisme, publié sur le site du pays-des-impressionnistes.fr (consulté le 6 mars 2018)</ref> ;
- Le Pôle Jeunesse est une structure qui accueille les jeunes Marlychois de 11 à 25 ans. De nombreuses activités sont organisées en accès libre ou sur inscription : jeux, sport, tournois, cours de musique, activités manuelles, sorties ludiques et culturelles<ref>Pôle Jeunesse, publié sur le site de la mairie de Marly-le-Roi (consulté le 6 mars 2018)</ref>.
Santé
Modèle:Section à sourcer Marly-le-Roi met à la disposition de ses concitoyens différents centres médicaux : le Centre de protection maternelle et infantile (PMI), le Centre de planification et d’éducation familiale, le Centre médico-psychologique, le Centre médico-psycho-pédagogique, et le S.I.M.A.D. (Service de soins à domicile), le Centre de rééducation pour aveugles et malvoyants et le Centre thérapeutique de jour Jean-Ernst. La ville regroupe une dizaine de médecins généralistes et une trentaine de médecins spécialistes. Elle est rattachée au Centre hospitalier de Poissy / Saint-Germain-en-Laye.
Manifestations culturelles et festivités
- Des concerts de l'orchestre de Marly en l'église Saint-Thibaut<ref>Concerts de l’orchestre de Marly.</ref> ;
- Expositions culturelles : un week-end pour l'art ;
- Fête des associations<ref>Modèle:Lien brisé.</ref> ;
- Fête de la musique et de la poésie<ref>Modèle:Lien brisé.</ref> ;
- Festival du film de Marly ;
- Fête de la ville, avec son grand feu d'artifice, dans le parc royal de Marly ;
- Les Rencontres de Danse Contemporaine organisées par Dancite<ref>[1]</ref>, au centre culturel Jean-Vilar.
Cultes
- Églises catholiques<ref>Site| Ville de Marly, consultée le 3 septembre 2020</ref> : l'église Saint-Vigor de Marly-le-Roi, l'église Saint-Thibaut-de-Marly, et la chapelle Sainte-Amélie ; ces deux dernières sont situées géographiquement sur la commune du Pecq mais font partie de la paroisse de Marly-Le Pecq-L'Étang-la-Ville ;
- Église protestante unie de France<ref>Site| Eglise Prostetante, consultée le 3 septembre 2020</ref> : le temple se situe chemin des Maigrets.
Marly possède deux cimetières : Henri-Bouilhet et Genêtrière.
Économie
Entreprises et commerces
- L'exploitation agricole est restreinte à une sorte d'enclave entre Bailly et Rocquencourt à proximité du fort du Trou d'Enfer.
- Les entreprises installées sur la commune exercent leurs activités dans le secteur tertiaire et occupent une superficie de Modèle:Unité. Les principales sont :
- l'entreprise technologique Carl Zeiss ;
- la compagnie d'assurances Axa.
Revenus de la population et fiscalité
En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de Modèle:Unité, ce qui plaçait Marly-le-Roi au 1 045e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
En 2017, la part des ménages fiscaux imposables était de 77%<ref name=":0">Modèle:Lien web.</ref>.
Emploi
Le taux de chômage, en 2017, pour la commune s'élève à 6,5 %<ref name=":0" />, un chiffre inférieur à la moyenne des Yvelines (9,9 %)<ref>Modèle:Lien web.</ref> et à la moyenne nationale (10,4 %)<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
La ville possède un patrimoine très important<ref>Le patrimoine de Marly-le-Roi</ref> :
- Le parc royal, dans lequel se trouvent les célèbres chevaux de Marly et se situait le château de Marly ;
- Le Musée du domaine royal de Marly, en bordure du parc royal ;
- La place de la Vierge, autrefois lieu de grandes processions religieuses le jour de la Fête-Dieu ;
- Le lavoir de la mare Thibaut, mentionné dès 1266 ;
- L'église Saint-Vigor, construite en 1688 par Mansart ;
- L'abreuvoir, construit par Mansart en 1698-1702. C'est le plus grand abreuvoir d'Europe ; il a été entièrement restauré en 2005 en respectant les techniques d'origine ;
- La tour du télégraphe Chappe, construit par Claude Chappe en 1798 ;
- La ligne de Saint-Cloud à Saint-Nom-la-Bretèche - Forêt-de-Marly, la gare de Marly-le-Roi et le viaduc ferroviaire de Marly (1884-1889).
- Le château du Verduron, ancienne demeure de Victorien Sardou, célèbre pour ses sphinx ;
- Le fort du Trou-d'Enfer construit entre 1878 et 1881 ;
- La maison d’Alexandre Dumas (fils) ;
- Le buste de Victorien Sardou, placé en 1915, retiré en 1941 et remplacé en 1946 ;
- L'Hôtel de Toulouse, construit au début du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, habité vers 1730 par Louis Alexandre de Bourbon ;
- L'hôtel de Gesvres, propriété de monseigneur le duc de Gesvres, gouverneur de Paris qui y habitait en 1741 ;
- Le centre culturel Jean-Vilar, construit en 1972 par l'architecte Robert Benoit ;
- Le lycée, construit sur une propriété de la tragédienne Rachel ;
- Les Grandes Terres, ensemble immobilier conçu par Marcel Lods (1957-1959) ;
- Le marché couvert, des architectes Jacques Dubois et Philippe Ameller (2014) ;
... mais la machine de Marly était en fait située à Bougival.
-
L'Abreuvoir de Marly.
-
Le Vieux-Marly.
-
Le lavoir de la rue Thibaut.
-
Viaduc ferroviaire de Marly.
-
L'hôtel Couvé, vue de la cour.
Espaces verts
La ville compte près de dix-sept hectares d'espaces verts (hors domaine national de Marly et forêt domaniale), dont Modèle:Unité d'espaces fleuris.
Le service des espaces verts réalise deux fleurissements par an et entretient plus de 1 300 arbres : tels que les prunus, les tilleuls, les chênes, les érables, les platanes, les aubépines, les marronniers, les catalpas, les liquidambars, et les acacias.
On trouve notamment à Marly<ref>Modèle:Lien web.</ref> :
- Le parc royal, dans lequel se trouvent les célèbres chevaux de Marly et se situait le château de Marly ;
- Le musée-promenade de Marly-le-Roi - Louveciennes, en bordure du parc royal ;
- La forêt domaniale de Marly et l'Ecole de la Campagne et de la Forêt (centre d'éducation à l'environnement) ;
- Le parc municipal du Chenil (arboretum aux essences riches et variées) ;
- Le parc municipal des Coteaux (vergers) ;
- Le parc municipal Jean-Witold, édifié en 1928 ;
- Le jardin Maillol, au coeur du quartier historique de Marly ;
- Le square Georges-Michel, rénové en 2019 ;
- Le jardin de lecture de la bibliothèque Pierre-Bourdan.
-
Le Parc royal, musée-promenade.
-
Domaine de Marly.
-
La forêt domaniale de Marly.
-
Chevaux de Marly.
Marly dans les arts
La Forge à Marly-le-Roi (1875).
La ville a servi de modèle à plusieurs peintres, parmi lesquels Hubert Robert, Alfred Sisley, Maurice de Vlaminck (Une rue de Marly-le-Roi, vers 1905<ref>Paris, Musée national d'art moderne, Centre national d'art et de culture Georges-Pompidou</ref>) et Giovanni Boldini (La Machine de Marly (La Seine à Bougival)).
- Le peintre français Georges Mathieu a intitulé une des œuvres Marly. Il s'agit d'une huile sur toile de 60 par Modèle:Unité datée de (19)65 qui représente, sur un fond bleu sombre, un réseau de lignes parallèles et perpendiculaires surmontées de plusieurs diagonales et de lignes brisées. Elle fut exposée, sous le no 70 en 1965, à la Galerie Charpentier à Paris lors d'une exposition monographique.
La ville a été utilisée comme lieu de tournages pour de nombreux films, comme Razzia sur la schnouf, Les Yeux sans visage, Playtime, Bonjour l'angoisse, Ne réveillez pas un flic qui dort, Se souvenir des belles choses ou Mademoiselle de Joncquières.
Personnalités liées à la commune
(Liste non exhaustive, classée par années croissantes)
- Bouchard de Montmorency († 1226), seigneur de Marly.
- Louis XIV , roi de France.
- Jules Hardouin-Mansart (1646-1708), premier architecte du roi Louis XIV est mort au château de Marly<ref>Visite aux archives municipales de Marly-le-Roi, publié le 18 janvier 2014 par Nicolas Prévost, sur le site du Collège Louis Lumière (consulté le 24 décembre 2017)</ref>.
- Saintine (de son vrai nom Joseph-Xavier Boniface) (1798-1865), romancier et dramaturge, est enterré au cimetière Henri-Bouilhet<ref name="Mlr1924" />.
- Auguste-Alexandre Guillaumot (1815-1892), graveur, peintre et dessinateur.
- Alexandre Dumas fils (1824-1895), romancier et dramaturge, est décédé à la maison Champflour<ref>« Marly : la maison d'Alexandre Dumas fils cherche un nouveau propriétaire », publié le 22 avril 2016 par Virginie Grolleau, sur le site de L'Obs (consulté le 24 décembre 2017)</ref>, située au no 1 de la rue Champflour<ref>Inventaire après décès d'Alexandre Dumas, publié sur le site des Archives de France (consulté le 24 décembre 2017)</ref>.
- Henri Bouilhet (1830-1910), ingénieur chimiste et industriel, est enterré avec son fils André Bouilhet (1866-1932), dans le caveau de X. B. Saintine, au cimetière portant son nom<ref name="Mlr1924" />.
- Victorien Sardou (1831-1908), dramaturge, a été maire de Marly en 1870-71<ref name="MlR57">Anciens maires, publié sur le site de la Mairie de Marly-le-Roi (consulté le 24 décembre 2017)</ref> et habitait au château du Verduron.
- André Theuriet (1833-1907), poète, romancier et auteur dramatique, est né sur la commune<ref>André Theuriet est élu en 1896 au fauteuil no 2, publié sur le site de l'Académie française (consulté le 24 décembre 2017)</ref>.
- Alfred Sisley (1839-1899), artiste peintre impressionniste ayant vécu sur la commune de 1874 à 1878<ref>Les amis d'Alfred Sisley, publié en 2016 sur le site d'alfred-sisley.com (consulté le 24 décembre 2017)</ref>.
- Paul Copin-Albancelli (de son vrai nom Paul-Joseph Copin) (1851-1939), journaliste et militant nationaliste, est enterré avec son épouse (nom de jeune fille : Anne Delage ou Simon De Lage)<ref>Anne Delage ou Simon De Lage dite Simone Arnaud, sur le site artlyriquefr.fr (consulté le 26 décembre 2017)</ref>, la dramaturge et femme de lettres ayant le pseudonyme : Simone Arnaud (1850-1901)<ref>Simone Arnaud (1850-1901), mise à jour du 7 février 2017 sur le site Data.bnf.fr (consulté le 26 décembre 2017)</ref>, au cimetière Henri-Bouilhet<ref name="Mlr1924" />.
- Aristide Maillol (1861-1944), peintre, graveur et sculpteur, y a séjourné durant les saisons d'étés à partir de 1903 jusqu'à la fin de sa carrière<ref>Patrimoine ancien : L’atelier Maillol, publié sur le site de la Mairie de Marly-le-Roi (consulté le 24 décembre 2017)</ref>,<ref>Modèle:Pdf Plaquette : Le Vieux Marly, page 2/2, publié le 26 juin 2014 sur le site levieuxmarly.fr (consulté le 24 décembre 2017)</ref>.
- Gaspard Maillol (1880-1945), neveu du précédent, peintre et graveur, a dirigé l'atelier de fabrication de papier d'Orval.
- André Baillon (1875-1932), écrivain belge de langue française, est enterré au cimetière Henri-Bouilhet<ref name="Mlr1924" />.
- Georges Le Roy (1885-1965), acteur et professeur au Conservatoire de Paris, est enterré avec son épouse Jeanne Delvair (nom de jeune fille : Jeanne Deluermoz) (1877-1949), actrice et sociétaire de la Comédie-Française, au cimetière Henri-Bouilhet<ref name="Mlr1924" />.
- André Lafosse (1890-1975), musicien tromboniste soliste, est né sur la commune en 1890<ref>Archives de la classe de trombone des CNSMD, publié par Nicolas Moutier, sur Le site du Trombone (consulté le 24 décembre 2017)</ref>.
- Marcel Lods (1891-1978), architecte de l'ensemble résidentiel Les Grandes Terres<ref>Modèle:Pdf Le Domaine des Grandes Terres à Marly-le-Roi, page 3/22, publié le 15 juin 2013 sur le site du Plan Urbanisme Construction Architecture (Puca) (consulté le 24 décembre 2017)</ref> et habitant de la commune.
- Marcel Louis Durand (1898-1952) dactylographe d'état-major au [[503e régiment de chars de combat|Modèle:500e RAS]] basé à Marly-le-Roi en 1917<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
- Philippe Auboyneau (1899-1961), officier de marine et amiral de la Seconde Guerre mondiale, est enterré au cimetière Henri-Bouilhet<ref name="Mlr1924" />.
- André Guillot (1908-1993), maître cuisinier de France, a exercé à l'Auberge du Vieux Marly de 1952 à 1972<ref>« Une allée pour le père de la cuisine moderne », publié le 5 octobre 2001 par Véronique Beaugrand, sur le site Le Parisien (consulté le 24 décembre 2017)</ref>.
- François-Henri de Virieu (1931-1997), journaliste et maire de la commune de 1995 à 1997, où il est décédé à son domicile<ref name="MlR57" />,<ref>« Décès de François Henri de Virieu », publié le 28 octobre 1997 sur le site L'Orient-Le Jour (consulté le 24 décembre 2017)</ref>.
- Pierre Bourdan (de son vrai nom Pierre Maillaud) (1909-1948), journaliste et homme politique français, est inhumé au cimetière Henri-Bouilhet<ref>Un nouveau nom pour la bibliothèque municipale, publié sur le site de la Bibliothèque et centre multimédia Pierre Bourdan (consulté le 24 décembre 2017)</ref>.
- Simone Renant (de son vrai nom Georgette Buigny) (1911-2004), actrice, notamment le film Quai des Orfèvres, est inhumée au cimetière de la Genêtrière<ref>Simone Renant, sur le site cinememorial.com (consulté le 24 décembre 2017)</ref>.
- Jean Witold (1913-1966), musicologue, chef d’orchestre et compositeur, a habité dans le quartier ou résidence des « Grandes-Terres »<ref>« La résidence des Grandes Terres », publié le 14 novembre 2016 par PhilDpr, sur le site Les panneaux Michelin (consulté le 24 décembre 2017)</ref>. Il a été président d'honneur de l'association musicale<ref>Naissance du conservatoire, publié sur le site de la Mairie de Marly-le-Roi (consulté le 24 décembre 2017)</ref> qui deviendra l'Orchestre de Marly<ref>Jean Witold, publié sur le site de l'Orchestre de Marly (consulté le 24 décembre 2017)</ref> et est inhumé au cimetière Henri-Bouilhet<ref name="Mlr1924">Marly-le-Roi : Cimetière Bouilhet, publié le 27 mars 2009 par Philippe Landru, sur le site Cimetières de France et d’ailleurs (consulté le 24 décembre 2017)</ref>.
- René Cousinier (1924-2007), humoriste et auteur-compositeur, est enterré au cimetière Henri-Bouilhet<ref name="Mlr1924" />.
- Hugues Aufray (1929), chanteur, vit dans l'ancien atelier d'Aristide Maillol<ref>« Hugues Aufray : La célébrité est un poison », publie le 12 août 2017 par Ludovic Perrin, sur le site lejdd.fr (consulté le 24 décembre 2017)</ref>.
- Anne Germain (1935-2016), chanteuse, notamment pour les doublures de chants de Catherine Deneuve dans les films Les Demoiselles de Rochefort (1967) et Peau d'âne (1970) et habitante de la commune<ref>Conservatoire Roger Bourdin de Marly-le-Roi, publié le 27 septembre 2016 sur le site de Facebook (consulté le 24 décembre 2017)</ref>.
- Olivier Mathieu (1960), écrivain, historien et poète belgo-français y passe son enfance.
- Danakil (2000), le groupe de musique reggae, est originaire de la commune<ref>Interview : Danakil, l’ADN du reggae, publié le 9 décembre 2016 par Bertrand Lavaine, sur le site de Radio France internationale (consulté le 24 décembre 2017)</ref>.
Héraldique
Voir aussi
Bibliographie
- Modèle:Ouvrage.
- L'Histoire de Marly-le-Roi, des origines à 1914, présences et forces, Pierre Nickler avec la collaboration de Christiane Neave, éditions Champflour, Marly-le-Roi, 1996, Modèle:ISBN.
- Les Petits Trains et les Tramways des Yvelines et de l'Ouest parisien du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle aux années 2000, Claude Wagner, Éditions du Valhermeil, 1997 Modèle:ISBN.
- Hélène Honegger-Grouard, Une histoire d'enfance 1935-1950, Modèle:ISBN.
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie
- Site de l'office du tourisme
- Résumé statistique de Marly-le-Roi sur le site de l'Insee
- Les archives de la gestion des travaux aux propriétés impériales de Marly-le-Roi (ferme du Trou d'Enfer, ferme du Petit-Parc, forêt) sous le Second Empire sont conservées aux Archives nationales (France).