Les Isles-Bardel

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France

Les Isles-Bardel (prononcé Modèle:MSAPI ou Modèle:MSAPI<ref name="lepelley-de">Modèle:Ouvrage</ref>) sont une commune française, située dans le département du Calvados en région Normandie, peuplée de Modèle:Unité<ref group="Note">Population municipale Modèle:Population de France/dernière année.</ref>.

Géographie

  • Ce sont les très anciennes couches (au-delà de 500 millions d'années) du Précambrien - ère paléozoïque (ou ère primaire) du massif armoricain qui affleurent dans le secteur géographique des Isles-Bardel. Elles donnent aux paysages, aux murs des maisons des airs de Bretagne intérieure ou de Limousin.
  • Depuis des siècles, l'activité humaine principale a été tournée vers l'agriculture; les résultats ont été essentiellement tributaires des seules conditions physiques liées à la géologie, à la géographie et au climat. C'est encore le cas dans beaucoup de pays en développement. Ce fut le lot de l'agriculture française jusqu'au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle avant l'utilisation de la sélection végétale et animale, l'analyse chimique des sols, l'emploi des engrais et le développement du machinisme agricole.. Qu'en était-il aux Isles-Bardel dans les années 1830 ?
  • 1828-1832 : dans Statistique de l'arrondissement de Falaise, Frédéric Galleron observe déjà que le sous-sol de la commune est constitué de schiste ; par décomposition cette roche donne un sol peu fertile.
  • À cette époque, l'activité des habitants est essentiellement tournée vers l'agriculture : 2/3 des terres de la commune sont labourées.
  • Cependant on ne peut pratiquer l'assolement triennal traditionnel ; il faut pratiquer la rotation sur quatre ans avec cultures successives de sarrasin, puis de blé ou de seigle, ensuite d'avoine, enfin de trèfle.
  • Les pommiers donnent un cidre qui se conserve peu ; par contre les poiriers apportent un poiré de très bonne qualité.

(NB : Depuis les dernières décennies du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Bernard Langellier a effectué nombre d'études détaillées - consultables sur internet - sur la géologie du département de l'Orne avec ses multiples répercussions sur les paysages, les activités humaines...)

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000<ref name=Joly/>

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 3,3 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 1,8 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitationModèle:Note : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,7 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,8 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pierrefitte Cin_sapc », sur la commune de Pierrefitte-en-Cinglais, mise en service en 1997<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche<ref group=Note>Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).</ref>, « Caen-Carpiquet », sur la commune de Carpiquet, mise en service en 1945 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref> à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Urbanisme

Typologie

Les Isles-Bardel sont une commune rurale<ref group=Note>Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (75,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (43,9 %), terres arables (26,8 %), forêts (24,3 %), zones agricoles hétérogènes (5 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous les formes Is Bardel en 1390<ref>Cartulaire d’Ardennes.</ref> et Ils Bardel en 1454<ref>Cartulaire de Saint-Étienne.</ref>,<ref name="adcr">Modèle:Ouvrage</ref>, Ys Bardel en 1554<ref>Aveu du temporel de Saint-Étienne de Caen.</ref>, Îles Bardel en 1585<ref>Papier terrier de Falaise. </ref>, Zys Bardel en 1710<ref>Carte de de Fer.</ref>, Les Isles Bardel en 1793<ref name="Cassini"/>.

Le toponyme pourrait être issu d'un anthroponyme gaulois tel qu'Iccius<ref name="negre1">Modèle:Ouvrage</ref>, Icius ou Itius<ref name="adcr"/> (nom patronymique devenu nom de lieu).
René Lepelley considère quant à lui qu'il s'agirait d'une déformation d'ifs<ref>Modèle:Ouvrage</ref> (on trouve également non loin d'ici le lieu-dit : « Ils d'Ouilly »). L'orthographe actuelle Isles date du {{#ifeq:s | s | Modèle:Siècle | XVIIIe{{#if:s| s }} }} siècle. Sur un plan de 1829, près du lieu-dit « le cul de la Courbe » non loin du confluent avec la Baise, on voit que l'Orne formait bien deux petites îles qui se trouvaient au pied d'un promontoire, aisé à défendre, que le cours d'eau principal enserre dans un étroit méandre.

Il y a convergence pour voir en Bardel un anthroponyme médiéval. L'origine serait le nom d'une famille ayant marqué le lieu, peut-être, en y possédant des terres. La même origine serait proposée pour l'autre hameau de la commune appelé : la Bardellière<ref name="Hippeau">Modèle:Ouvrage.</ref>.

Histoire

Rattachements avant la Révolution française de 1789

Sur le plan administratif et judiciaire

La paroisse Saint-Ouen des Ils-Bardel était située dans le duché de Normandie - Parlement de Rouen - intendance d'Alençon - élection et bailliage de Falaise - sergenterie de Thury.

Sur le plan religieux

La paroisse dépendait du diocèse de Séez, archidiaconé du Hiesmois, doyenné d'Aubigny.

La paroisse Modèle:Incise était placée sous le patronage de l'abbaye Saint-Étienne de Caen, fondée par le duc Guillaume le Conquérant au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Ce monastère percevait donc la part la plus importante de la dîme versée par les habitants du lieu ; de plus, l'abbé de Saint-Étienne avait le privilège de proposer à l'évêque de Séez le nom du curé des Ils(-Bardel), chaque fois que le poste était vacant.

Le patron protecteur de la paroisse, saint Ouen (mort en 684) était chancelier du roi des Francs, Dagobert Ier, et évêque de Rouen (la capitale normande). Il œuvra à la diffusion du christianisme dans la province et encouragea en Normandie l'implantation de plusieurs monastères importants dont l'abbaye de Jumièges, l'abbaye Saint-Wandrille de Fontenelle. Ces établissements religieux exercèrent leur influence en créant nombre de dépendances (prieurés, prieurés-cures, granges monastiques ou granges dimières, ateliers métallurgiques, moulins...) qui étaient source d'importants revenus.

Rattachements depuis 1790

Les Isles Bardel appartenaient jusqu'en 2015 au canton de Falaise-Nord et font partie, depuis 2015 du canton de Falaise.

De 1800 à 1926, la commune appartenait à l'arrondissement de Falaise, rattaché en 1926 à l'arrondissement de Caen.

Depuis la création de celle-ci, en 1994, Les Isles-Bardel appartiennent à la communauté de communes du Pays de Falaise.

Au plan religieux, la paroisse des Isles-Bardel fait partie du regroupement paroissial Bienheureux François Jamet des Vallées, basé à Condé sur Noireau, dans le diocèse de Bayeux-Lisieux.

Éléments de chronologie

Les biens matériels de la majeure partie de la paroisse appartenaient à l'abbaye Saint-Étienne de Caen. (les biens temporels de ce monastère lui avaient été donnés au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle par le fondateur Guillaume le Conquérant ainsi que par des familles nobles soucieuses de leur salut après la mort). Seule échappait à l'abbaye une partie de la paroisse, le fief du château des Ils, acheté vers 1472 par Jacques de la Pommeraye, à l'époque où le roi Louis XI de France entreprenait de mettre de l'ordre dans les titres de noblesse et de propriété, après la période très troublée de la guerre de Cent Ans.

Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, l'abbaye d'Ardenne de l'ordre des Prémontrés - proche de Caen - envoya quelques moines (conduits pense-t-on par un nommé Bardel), fonder un prieuré Saint-Nicolas au bord de la Baise, sur des terres données par Enguerrand de Vassy, seigneur de la Forest (Auvray).

NB : Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Jacques de Vassy seigneur de la Forest se convertit au protestantisme et saccagea le prieuré (qui fut restauré par la suite). En 1647, le petit monastère fut transféré au bord de l'Orne sur la paroisse de Saint-Aubert (lieudit Val Hulin). Puis, un des successeurs de Jean de Vassy - revenu au catholicisme - déplaça à nouveau le prieuré Saint-Nicolas à l'intérieur de son château de la Forest, sous la protection de ses hommes d'armes. Enfin, en 1718, l'évêque de Séez autorisa le prieur à transformer le prieuré Saint-Nicolas en simple chapelle castrale dans une des tours du château.

En 1577, Louis de Vassy, seigneur de La Forest (Auvray) et protestant, achète les terres des Isles-Bardel, de Saint-Aubert et de Saint-Philbert aux moines de l'abbaye Saint-Étienne, qui estimaient trop faibles les revenus tirés de ces trois paroisses.

S'estimant lésée par la transaction précédente, l'abbaye Saint-Étienne porte le différend devant la justice ; s'ensuivront d'interminables procédures.

C'est seulement au milieu du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle que l'abbé commendataire de Saint-Étienne Alphonse-Louis du Plessis de Richelieu, - qui était également cardinal- archevêque de Lyon et frère du ministre du roi Louis XIII de France, retrouva la pleine possession des terres des Isles-Bardel.

En 1656, Jean de la Pommeraye seigneur des Ils-Bardel décède et est enseveli dans l'église. Jeanne, sa fille unique, ayant épousé en 1600 Constantin de Brossard, écuyer, seigneur de Saint-Martin, la famille de Brossard prend possession de la seigneurie et du château.

En 1865, M. Frédéric fut instituteur et secrétaire de mairie.

En 1874, ouverture de la ligne de Falaise à Berjou. Cette voie de chemin de fer passait à proximité immédiate des Isles-Bardel (gare de Rapilly et du Mesnil-Villement) ; entre autres utilités, elle facilitait les déplacements vers les marchés et foires de Falaise, de Pont-d'Ouilly, Condé-sur-Noireau...

Au cours de la Première Guerre mondiale, de 1914 à 1918, la commune paye un lourd tribut au conflit compte tenu de sa population : six de ses habitants sont tués, morts pour la France : LANGE Émile, LEBAS Pierre, ONFROY Maurice, PAUTREL Pierre, SOYER Louis, VERRIER Léon.

En 1938 : fermeture aux voyageurs de la ligne de chemin de fer de Falaise à Berjou.

En Modèle:Date-, lors de la Seconde Guerre mondiale, à la fin de la bataille de Normandie, la commune accueille de nombreux réfugiés du Calvados et subit d'importantes destructions au moment des combats de la poche de Falaise.

Politique et administration

Fichier:La Mairie, Les Isles-Bardel, Calvados..jpg
La mairie.

Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin

Le conseil municipal est composé de sept membres dont le maire et deux adjoints<ref name=ʺof-municipales-2020ʺ />.

Démographie

Modèle:Population de France/introduction Vers 1830, la commune comptait 60 feux, soit environ 400 habitants (dont l'activité quasi exclusive était l'agriculture).

Modèle:Population de France/tableau

Modèle:Population de France/graphique

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

L'église Saint-Ouen

Elle surprend au premier abord par sa simplicité et par la longueur de son unique nef, rappellant que la paroisse a été beaucoup plus peuplée dans le passé.

L'encadrement des ouvertures en calcaire ocre taillé, extrait hors de la paroisse, contraste avec la grisaille des murs. C'est le seul « luxe » qui distingue le lieu de culte paroissial des maisons paysannes construites avec la pierre sombre du sous-sol.

Elle porte surtout les marques des {{#switch: XIX

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}}, avec quelques éléments antérieurs difficiles à dater.

Le maître-retable a été restauré en 2010 et 2011.

L’ancienne cuve baptismale retrouvée à l’extérieur a été nettoyée et placée au fond de l’église.

Le château des Ils

Les bâtiments actuels sont du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, date à laquelle ils ont remplacé une construction plus ancienne. (privé).

NB :

  • avant 1789, deux moulins ont été exploités par les moines , un moulin à farine sur la Baise, un moulin à drap (voir moulin à foulon) sur l'Orne (moulin de Donnet ?).(Les dates et causes de la cessation de ces activités ne sont pas connues).
  • au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, trois petits fours à chaux - dont un près de la ferme de la Courbe - permettaient aux cultivateurs de recourir au chaulage des terres - peu fertiles d'origine.

Personnalités liées à la commune

Le corps de la comtesse de Brossard repose dans un caveau entretenu par la famille du comte de Brossard. Sur sa tombe est indiqué « Ci-git le corps de Marie Périne Étiennette d'Auvilliers, épouse de François Constantin, comte de Brossard, né à Paris le Modèle:Date-, décédée le Modèle:Date- aux Ils-Bardel ». Mademoiselle d'Auvilliers, dite mademoiselle de Villemomble, est la fille de Mademoiselle Le marquis (Madame de Villemomble) et de Louis-Philippe de Bourbon, duc d'Orléans, premier prince du sang (1725-1785). Baptisée le Modèle:Date- à Charenton, sœur jumelle de Louis-Philippe de Saint-Albin, qui suivra son frère Louis-Étienne de Saint-Farre dans les ordres.

  • Autres « personnalités » :
    • Me Lecois vicaire des Isles-Bardel en 1788.
    • Me (« messire » sic) Benoist curé vers 1789.
    • Jacques Gigon adjoint « officier municipal » en l'an XII.
    • Louis Debaize adjoint officier de l'état-civil vers 1820.
    • Claude Maline, adjoint officier de l'état-civil pendant de nombreuses années vers 1838.
    • Victor Macé, adjoint officier de l'état-civil vers 1828-1829 - journalier.
    • Gilles Vincent prêtre décédé curé en 1843.
    • Jean Jacques Lange prêtre décédé curé en 1845.
    • Alfred Letourneur adjoint officier de l'état-civil vers 1860.
    • Pierre Ponel -curé de la paroisse- décédé au presbytère en 1861, à l'âge de 47 ans.

Voir aussi

Bibliographie

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Articles connexes

Liens externes

Modèle:Autres projets

Notes et références

Notes

Modèle:Références

Cartes

Modèle:Références

Références

  • Altitudes, coordonnées, superficie : IGN<ref>Modèle:Lien web (archive Wikiwix)</ref>.
  • Cahiers Léopold Delisle 1989, édités par la Société parisienne d'histoire et d'archéologie normandes (à propos du prieuré Saint-Nicolas fondé par le moine Bardel).

Modèle:Références

Modèle:Palette Communauté de communes du pays de Falaise Modèle:Portail