Louan-Villegruis-Fontaine
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France
Louan-Villegruis-Fontaine est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France. Modèle:Sommaire
Géographie
Localisation
Louan-Villegruis-Fontaine est la commune la plus orientale (située la plus à l'est) du département de Seine-et-Marne et de la région d'Île-de-France.
Elle est située à Modèle:Unité du centre de Paris.
Communes limitrophes
Modèle:Carte communes limitrophes
Modèle:Section communes limitrophes d'article de commune de France
Hydrographie
Réseau hydrographique
Le réseau hydrographique de la commune se compose de huit cours d'eau référencés :
- la rivière l’Aubetin, longue de Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre.</ref>, affluent du Grand Morin, y prend sa source ;
- le fossé 01 des Nouettes, Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre.</ref>, affluent de l’Aubetin ;
- le cours d'eau 01 de Cent Pieds, canal de Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre.</ref>, qui conflue avec l’ Aubetin ;
- le canal 01 de la Commune de Louan-Villegruis-Fontaine, Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre.</ref>, qui conflue avec le cours d'eau 01 de Cent Pieds ;
- la Noxe, longue de Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre.</ref>, affluent de la Seine ;
- le ruisseau de la Traconne, Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre.</ref>, qui conflue avec la Voulzie.
- le fossé 01 de la Champagne, Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre.</ref>, affluent du ruisseau de la Traconne ;
- le fossé 01 de la Petite Contrée, Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre.</ref>.
La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de Modèle:Unité<ref name="siges">Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 19 septembre 2019</ref>.
Gestion des cours d'eau
Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du Modèle:Date-, plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie<ref name="GestRiv">Modèle:Lien web.</ref>. La commune fait partie de deux SAGE : « Petit et Grand Morin » et « Bassée Voulzie ».
Le SAGE « Petit et Grand Morin » a été approuvé le Modèle:Date-. Il comprend les bassins du Petit Morin (Modèle:Unité) et du Grand Morin (Modèle:Unité)<ref name="SAGE-petit-et-grand-morin">Modèle:Lien web.</ref>. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le syndicat mixte d'aménagement et de gestion des Eaux (SMAGE) des 2 Morin, qualifié de « structure porteuse »<ref>site officiel du Syndicat Mixte d'aménagement et de gestion des Eaux (SMAGE) des 2 Morin</ref>.
Le SAGE « Bassée Voulzie » est en cours d'élaboration en décembre 2020. Il concerne Modèle:Unité dont 73 en Seine-et-Marne, 50 dans l'Aube, 15 dans la Marne et 6 dans l'Yonne, pour une superficie de Modèle:Unité<ref name="SAGE-bassee-voulzie">Modèle:Lien web.</ref>,. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par Syndicat Mixte Ouvert de l’eau potable, de l’assainissement collectif, de l’assainissement non collectif, des milieux aquatiques et de la démoustication (SDDEA), qualifié de « structure porteuse »<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Climat
Modèle:Encadré La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne<ref name=Joly>Modèle:Article.</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre<ref name=Joly/>. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Troyes-Barberey, qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>, où la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Unité pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web.</ref>, à Modèle:Unité pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>, puis à Modèle:Unité pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal de Louan-Villegruis-Fontaine comprend une ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.</ref>,<ref name=INPN1>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte name=GeoZNIEFF>Modèle:Géoportail.</ref>, le « Ravin Boise de la Noxe entre Nesle-La-Reposte et Villenauxe-La-Grande » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité dont 1 dans l'Aube, 1 dans la Marne et 1 en Seine-et-Marne<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Urbanisme
Typologie
Louan-Villegruis-Fontaine est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire regroupe Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Lieux-dits et écarts
La commune compte Modèle:Nobr lieux-dits administratifs<ref group="Note">Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...</ref> répertoriés consultables ici<ref>Modèle:Lien web.</ref> (source : le fichier Fantoir) dont la Queue aux Bois, Écurie, Marival, Cerclières.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (79,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (80,3% ), forêts (17,2% ), zones urbanisées (1,6% ), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web.</ref>.
Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
-
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
-
Carte orhophotogrammétrique de la commune.
Planification
La loi SRU du Modèle:Date- a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de Modèle:Unité et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Grand Provinois, dont le projet a été arrêté le Modèle:Date-, porté par le syndicat mixte d’études et de programmation (SMEP) du Grand Provinois, qui regroupe les Communautés de Communes du Provinois et de Bassée-Montois, soit Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme en révision<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme<ref group= Carte name="Géoport">Modèle:Lien web.</ref>.
Logement
En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de Modèle:Nobr dont 98,1 % de maisons et 1,1 % d'appartements<ref group="Note">En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.</ref>.
Parmi ces logements, 72,6 % étaient des résidences principales, 18,2 % des résidences secondaires et 9,1 % des logements vacants.
La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 88,9 % contre 10,1 % de locataires<ref>Statistiques officielles de l'Insee, section Logement consulté le 25 juin 2020</ref> dont, 1 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)<ref group="Note">Voir la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).</ref> et, 1 % logés gratuitement.
Toponymie
Modèle:…
Louan est mentionné sous les formes Loan en 1233<ref>Cartulaire des Templiers de Provins, n° 113.</ref> ; G. de Lohan en 1250<ref>Rôles des fiefs, 914.</ref> ; Loan et Loen vers 1330<ref>Rôles des fiefs, II, 337 et 333.</ref> ; Louan et Lohans au xve siècle<ref>Obit. prov. Sens, IV, p. 58.</ref> ; L'étymologie de ce toponyme provient de l'agglutination du nom de personne gallo-romain lovo et du suffixe ante qui signifie : « la terre de lovo ».
Louan devient Louan-Villegruis-Fontaine à la suite de sa fusion-association avec Villegruis et Fontaine-sous-Montaiguillon le Modèle:Date-.
Villegruis est mentionné sous les formes Villagruis en 1190<ref name=b4>Arch. hosp. Provins, B 4.</ref> ; Vilegluis vers 1222<ref>Livre des vassaux.</ref> ; Villegluys en 1265<ref>Longnon, I, 226.</ref> ; Villagruiz en 1266<ref name=b4/> ; Willegruis en 1275<ref>Longnon, I, 335.</ref> ; Vilegris vers 1675<ref>Archives de la Seine-et-Marne, B 191.</ref> ; Villegruis en Brie en 1711<ref>Archives de la Seine-et-Marne, C 301.</ref>.
Par arrêté du Préfet de Seine-et-Marne en date du Modèle:Date-, la fusion simple entre Villegruis et Louan a été validée. La commune de Fontaine-sous-Montaiguillon reste érigée en commune associée.
Fontaine est mentionné sous les formes Fons subtus Montem Aculeum en 1353<ref>Longnon, Pouillés de Sens, p. 282.</ref> ; Fontane en 1407<ref>Longnon, Pouillés de Sens, p. 306.</ref> ;
Histoire
La forteresse de Montaiguillon
La forteresse de Montaiguillon a vraisemblablement été construite dans la première moitié du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. En 1423, le château de Montaiguillon, défendu par Tugdual de Kermoysan et Prigent VII de Coëtivy est assiégé pendant six mois par Salisbury<ref>René Kerviler, "Répertoire général de bio-bibliographie bretonne. Livre premier, Les bretons. 9,CHES-COND", 1886-1908, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6116498p/f224.image.r=Plouvien.langFR</ref>.
Pendant la guerre de Cent Ans, par l’ordonnance et le commandement du duc anglais Bedford (qui se disait « Régent de France »), le comte anglais Salisbury (gouverneur du Pays de Champagne et de Brie) assiégea en 1423 (*1) avec ses troupes la dite forteresse. À l’intérieur de celle-ci, les assiégés armagnacs étaient au nombre de 120 combattants sous le commandement de 3 capitaines : le sire de la Bourbe, le sire de Cotigny et un homme d’armes nommé Bourghenon. Le siège dura près de 6 mois et était régulièrement complété par des assauts anglais. Passé ce temps, les assiégés n’étaient plus qu’une trentaine de survivants. Lesquels, en conclusion, furent contraints de manger leurs chevaux pour survivre. Finalement, ils décidèrent de se rendre au comte Salisbury en promettant qu’ils paieraient pour avoir la vie sauve. Salisbury leur rétorqua qu’il exigeait le paiement de 22 000 saluts d’or (*2). Les assiégés, qui n’avaient d’autres choix, acceptèrent et laissèrent 4 otages comme gages, jusqu’au paiement complet de la somme exigée. Lorsque les tractations furent réglées, Salisbury ordonna la démolition de la forteresse<ref>-En 1420 (ou en 1421, nouv. st.), le maréchal de France, Claude de Beauvoir de Chastellux s’était déjà rendu maître de la forteresse avec ses troupes bourguignonnes. – (*1) : 1423, date anc. st. – (*2) : Salut d’or : monnaie frappée à Rouen sous et par les rois anglais Henry V et Henry VI, aux armes d’Angleterre et de France.</ref>.
Par la suite, il se pourrait qu'il ait servi de repère à des bandes de soudards et autres militaires désœuvrés qui ne s'en écartaient que pour détrousser les honnêtes voyageurs.
En 1613, Richelieu fait démanteler Montaiguillon afin de rendre la forteresse indéfendable pour que les capitaines félons ne puissent plus s'y réfugier<ref>http://www.brionautes.com/article.php?sid=2282</ref>.
Ce château est aujourd'hui en ruine, mais ces importantes ruines féodales, encore ceinturées de murailles imposantes, en pleine et belle forêt, sont la curiosité majeure du canton de Villiers-Saint-Georges. Montaiguillon constitue un des quelques exemples d'architecture militaire médiévale encore visibles en Ile-de-France.
Politique et administration
Situation administrative
Le Modèle:Date-, par arrêté préfectoral, les communes de Villegruis et de Fontaine-sous-Montaiguillon s’associent avec celle de Louan.
Par arrêté du préfet de Seine-et-Marne en date du Modèle:Date-, la fusion simple entre Villegruis et Louan a été validée. La commune de Fontaine-sous-Montaiguillon reste érigée en commune associée.
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Politique environnementale
Équipements et services
Eau et assainissement
L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au Modèle:Date-, mais la loi Ferrand-Fesneau du Modèle:Date- a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au Modèle:Date-<ref name="EauAss">Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Assainissement des eaux usées
En 2020, la commune de Louan-Villegruis-Fontaine gère le service d’assainissement collectif (collecte, transport et dépollution) en régie directe, c’est-à-dire avec ses propres personnels<ref name=EaufranceCom>Modèle:Lien web.</ref>.
L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel<ref name="ANC-Info">Modèle:Lien web.</ref>. La communauté de communes du Provinois assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations<ref name=EaufranceCom/>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Eau potable
En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le syndicat de l'Eau de l'Est seine-et-marnais (S2E77) qui en a délégué la gestion à l'entreprise Veolia, dont le contrat expire le Modèle:Date-<ref name=EaufranceCom/>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Population et société
Démographie
Modèle:Population de France/section
Manifestations culturelles et festivités
Économie
Secteurs d'activité
En 2018, la commune était classée en zone de revitalisation rurale (ZRR), un dispositif visant à aider le développement des territoires ruraux principalement à travers des mesures fiscales et sociales. Des mesures spécifiques en faveur du développement économique s'y appliquent également. Le classement des communes en ZRR était valable jusqu’au Modèle:Date-<ref name="ZRR">Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Agriculture
Louan-Villegruis-Fontaine est dans la petite région agricole dénommée la « Brie champenoise » (ou Provinois), une partie de la Brie autour de Provins<ref group=Carte>Modèle:PdfModèle:Lien web.</ref>. En 2010, l'orientation technico-économiqueModèle:Note de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)<ref name="AgriGéné"/>.
Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de Modèle:Unité par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 28 en 1988 à 19 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de Modèle:Unité en 1988 à Modèle:Unité en 2010<ref name="AgriGéné"/>. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Louan-Villegruis-Fontaine, observées sur une période de Modèle:Unité :
1988 | 2000 | 2010 | |
---|---|---|---|
Dimension économique<ref name="AgriGéné">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.</ref> | |||
Nombre d’exploitations (u) | 28 | 25 | 19 |
Travail (UTA) | 45 | 35 | 21 |
Surface agricole utilisée (ha) | 2 871 | 2 947 | 2 517 |
Cultures<ref name="Expl">Modèle:Lien web.</ref> | |||
Terres labourables (ha) | 2 841 | 2 937 | 2 509 |
Céréales (ha) | 1 869 | 1 876 | 1 635 |
dont blé tendre (ha) | 1220 | 1363 | 1058 |
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) | 378 | 142 | 134 |
Tournesol (ha) | 168 | 15 | |
Colza et navette (ha) | 222 | 392 | 511 |
Élevage<ref name="AgriGéné"/> | |||
Cheptel (UGBTA<ref group=Note>L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).</ref>) | 102 | 45 | 50 |
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Château de Montaiguillon (ruines), ({{#switch: e
| e | er | = {{#switch: e
| e | er | = Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles
| Modèle:S mini-{{#ifeq: e|-| – | e }}Modèle:S mini- siècleXV
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| {{#switch: et
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| Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles
}}
}}), classé monument historique<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
- Église Saint-Médard-et-Sainte-Syre de Villegruis, {{#switch: e
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| Modèle:S mini-{{#ifeq: e|-| – | e }}Modèle:S mini- siècleXIV
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}}.
- Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Louan, {{#switch: e
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}}
}}.
- Église Saint-Jean-Baptiste de Fontaine-sous-Montaiguillon, (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle).
- Bois de Montaiguillon où la Pierre aux Cent Têtes se situe .
-
Entrée du château de Montaiguillon.
-
L'église Saint-Jean-Baptiste.
-
L'église de Villegruis.
-
L'église de Villegruis.
-
L'église de Villegruis.
Personnalités liées à la commune
Héraldique
Voir aussi
Bibliographie
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes