Mainvilliers (Eure-et-Loir)
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France
Mainvilliers est une commune française située dans la banlieue ouest de Chartres, dans le département d'Eure-et-Loir, en région Centre-Val de Loire. Sixième ville du département par sa population, ses habitants sont appelés les Mainvillois et Mainvilloises. Modèle:Sommaire
Géographie
Situation
Mainvilliers est à Modèle:Unité de Chartres, de Lucé et de Lèves, à Modèle:Unité d'Amilly et à Modèle:Unité de Bailleau-l'Évêque.
Le principal hameau de Mainvilliers est Seresville.
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Communes limitrophes
Hydrographie
Au nord de Seresville, Mainvilliers est traversé par le Coinon ou Couanon ou Couasnon, provenant de Bailleau-l'Évêque et rejoignant Lèves, lieu de sa confluence avec l'Eure. Il prend le nom de « vallée des Joncs » lors de son parcours sur la commune.
Mainvilliers a bénéficié d'une station hydrologique sur le Coinon de 1969 à 1985 : le débit moyen annuel ou module, observé durant cette période de 16 ans, est de Modèle:Unité, soit Modèle:Unité pour une surface de bassin versant de Modèle:Unité.
Durant les mois de décembre, janvier et février, le débit moyen annuel du Couasnon est au plus haut avec Modèle:Unité en février, soit 80 litres par seconde. Le débit peut être nul à la fin d'été en septembre. La hauteur maximale instantanée, relevée le Modèle:Date-, est de Modèle:Unité<ref name=BH/>. Au moins une perte est répertoriée dans le lit du Couasnon<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Voies de communication et transports
Voies de communication
Réseau routier
- Provenant de l'ouest, Mainvilliers est traversée par la route départementale 24 (RD 24), reliant Senonches (Modèle:Unité) à Chartres par Digny (Modèle:Unité). Sur la commune, elle prend le nom de rue du Château d'Eau, puis, après le croisement avec la rue de la Libération, prend le nom de rue de la République et rejoint Chartres au « pont de Mainvilliers ».
- Plus au nord, la route départementale 939 (RD 939) traverse également la commune, en reliant Verneuil-sur-Avre (Eure), distant de Modèle:Unité, à Angerville (Essonne), par Brezolles (Modèle:Unité) et Châteauneuf-en-Thymerais (Modèle:Unité). Sur la commune, elle prend le nom de rue Gambetta, avant d'être renommée rue du Faubourg Saint-Jean sur la commune de Chartres.
Réseau ferroviaire
La gare de Chartres étant à moins de Modèle:Unité du centre-ville de Mainvilliers, cette commune n'a pas de halte ferroviaire. Elle est néanmoins traversée par deux lignes de chemin de fer dont la bifurcation se situe au sud de la rue Pierre-de-Coubertin :
- La ligne de Chartres à Orléans, ouverte aux voyageurs de 1872 à 1942. Une réouverture complète est planifiée par la région Centre-Val de Loire pour 2020<ref name=RfF/> ;
- La ligne de Chartres à Dreux, ouverte au voyageurs de 1873 à 1971. Jusqu'en 2020, cette ligne servait pour le fret céréalier et la desserte du silo de Saint-Sauveur. Une requalification de la voie est envisagée.
Ces deux lignes ont contribué jusqu'à la Seconde Guerre mondiale à relier par chemin de fer Rouen à Orléans.
Transports
Bus
La commune est desservie par les lignes 1, 5, 8 et 10 du réseau de bus Filibus.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Chartres », sur la commune de Champhol, mise en service en 1923<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref> à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Urbanisme
Typologie
Mainvilliers est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Chartres, une agglomération intra-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est une commune de la banlieue<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chartres, dont elle est une commune du pôle principal<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en Modèle:Date- celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (61,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (69,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (58,4 %), zones urbanisées (17,6 %), forêts (9,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (9,5 %), zones agricoles hétérogènes (3,1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,9 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Mainvilliers est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par ruissellement et coulée de boue, notamment le Coinon. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1994, 1999 et 2018<ref>Modèle:Lien web, partie 1 - chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines<ref>Modèle:Lien web, partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.</ref>. L'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune<ref name="ECS">Modèle:Lien web</ref>.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 48,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Unité dénombrés sur la commune en 2019, 1178 sont en aléa moyen ou fort, soit 53 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1997, 2011 et 2018 et par des mouvements de terrain en 1999<ref name=Géorisques/>.
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à Modèle:Unité, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque transport de matières dangereuses.</ref>.
Toponymie
A l’époque Gallo-Romaine, un grand nombre de villages de Beauce portent un nom qui se termine par Ville ou Villiers. Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, à la suite de l’arrivée de Germains en Beauce des domaines se forment. Ils continuent de s’appeler Villa ou Villieri mais prennent le nom des nouveaux occupants. Sur la commune, c’est le germain Mahin qui possède un domaine important. Le nom Mainvilliers s’est alors construit en plusieurs étapes. La ville s’appelle d’abord Mahin Villieri puis Ma-in Villiers pour finir par se nommer Mainvilliers<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Histoire
De la Révolution française à la monarchie de Juillet
- 1791 : la commune de Lucé est réunie à celle de Mainvilliers par le décret de l'Assemblée nationale du Modèle:Date-.
- Ainsi, les plans du cadastre napoléonien de Mainvilliers, établis en 1809, comporte une section Q « dite du Hameau de Lucé », mentionnant notamment l'église de cette paroisse et les hameaux du Petit et du Grand Lucé<ref name=Ad28/>.
- 1836 : la section cadastrale de Lucé est séparée des autres sections de Mainvilliers et érigée en commune sous Louis-Philippe par l'ordonnance royale du Modèle:Date-.
Du Second Empire à l'invasion prussienne de 1870-1871
En 1871, le préfet d'Eure-et-Loir rapporte que Mainvilliers a été occupé presque cinq mois par les Prussiens, du Modèle:Date-, date à laquelle le château a été bombardé, au Modèle:Date-<ref name=Guay/>.
Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle
- De 1982 à 2015, Mainvilliers est le chef-lieu du canton regroupant les communes de Bailleau-l'Évêque, Chartres (fraction nord-ouest de la commune), Lèves et Saint-Aubin-des-Bois.
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Modèle:Article détaillé Modèle:…
Liste des maires
Modèle:Article détaillé À la suite de l'annulation des élections municipales de 2020 par un arrêt du Conseil d'État du 22 octobre 2021, la commune est sous la tutelle de l'État<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Pour les actes de pure administration et de gestion urgente, la commune est administrée par une délégation spéciale nommée par le préfet d'Eure-et-Loir le Modèle:Date- avec pour présidente Anne-Marie Borderon<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Le Modèle:Date-, les électeurs renouvellent leur confiance à Michèle Bonthoux avec 59,06 % des voix, le taux de participation étant de 36,03 %<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle retrouve son siège de maire le 28 janvier 2022.
Politique de développement durable
La commune s’est engagée dans une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2013<ref name=Agenda21/>.
Jumelages
Mainvilliers est jumelée avec<ref> Modèle:Lien web.</ref> : Modèle:Jumelages
Équipements et services publics
Espaces publics
- Dans son palmarès 2016, le Conseil National des Villes et Villages Fleuris de France a attribué trois fleurs à la commune au Concours des villes et villages fleuris<ref>Site des villes et villages fleuris, consulté le 22 décembre 2016.</ref>.
- La commune est dotée des « Espaces aquatique et forme - Les Vauroux ». Après avoir été gérés en collaboration avec la commune voisine de Lucé, l'équipement est aujourd'hui placé sous la responsabilité de la communauté d'agglomération Chartres Métropole.
- La ville offre un service de bibliothèque gratuite, Jean de la Fontaine.
- Depuis 2020, la ville est équipée d'un musée numérique, la Microfolie.
- En septembre 2022, le Conservatoire des Machines Agricoles (COMPA) a rouvert ses portes au public après deux ans de fermeture.
Enseignement
Les établissements d'enseignement de Mainvilliers sont au nombre de cinq<ref>Modèle:Lien web.</ref> :
- École maternelle et élémentaire Victor-Hugo - Émile-Zola, 1 rue du 19-Mars-1962 ;
- École primaire publique Jean-Zay, 23 rue Jean-Zay ;
- École primaire publique Pierre-de-Coubertin, 34 rue Henri-Dunant ;
- Collège Jean-Macé, place Jean-Macé ;
- Établissement régional d'enseignement adapté François-Truffaut (EREA), 42 rue du Château d'Eau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Population et société
Démographie
Modèle:Population de France/introduction
Sports
Manifestations culturelles et festivités
La fête annuelle de la ville rend hommage à saint Hilaire, protecteur de l'église de Mainvilliers. En 2019, elle se déroule pendant trois jours en fin de semaine, courant juin<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Économie
- Entre Mainvilliers et Seresville se trouve La Cueillette de Seresville, ferme de Modèle:Unité proposant aux euréliens de faire eux-mêmes la cueillette de leurs fruits et légumes<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
- L’usine de valorisation des déchets Orisane, du groupe Novergie Suez traite la production de Modèle:Nombre de la communauté d’agglomération, ainsi que celles du Somel et de Sirtom du Pays Chartrain<ref>Carte d'identité d’Orisane sur le site du Syndicat national du traitement et de la Valorisation des Déchets Urbains et assimilés, consulté le 6 janvier 2016.</ref>.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Église Saint-Hilaire
- L'église Saint-Hilaire possède quatre vitraux classées monuments historiques<ref>Modèle:Base Palissy.</ref>.
Autres lieux et monuments
- La mairie, surnommée « la Folie », construite en 1902 ;
- Les archives départementales d'Eure-et-Loir, rue Philarète Chasles ;
- Le parc de l'ancien château de La Garenne ;
- La mare Corbonne ;
- Le Compa, conservatoire de l'Agriculture, installé dans l'ancienne rotonde de la SNCF;
- Le monument Modèle:Citation (1939-1945).
- Lieux et monuments
-
Archives départementales d'Eure-et-Loir.
-
Parc de l'ancien château.
-
La mare Corbonne.
-
Le Compa.
-
Monument aux morts.
Personnalités liées à la commune
- Jacques Fouré (1516-1578), évêque de Chalons-sur-Saône en 1573, né à Mainvilliers<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
- François-Marie-Simon de Pâris, né le Modèle:Date-, est officier du régiment de Penthièvre de 1780 à 1786, chevalier d'honneur au bailliage et siège présidial de Chartres de 1786 à 1791, colonel de la garde nationale de Mainvilliers de 1790 à 1792 et bibliothécaire de la bibliothèque de Chartres entre 1794 et 1797. En 1792, il est devenu le propriétaire de l'abbaye de Saint-Vincent-aux-Bois à Saint-Maixme-Hauterive ;
- Philarète Chasles (1799-1873), homme de lettres et journaliste français né à Mainvilliers ;
- Ferdinand Dugué (1816-1913), poète et auteur dramatique propriétaire du château de Mainvilliers ;
- Éléonore Bonnaire (1852-1910), chanteuse, artiste de music-hall et de café-concert, décédée à Mainvilliers ;
- Henri Marchand (1898–1959), acteur français né à Mainvilliers ;
- Pierre Firmin-Didot, imprimeur et mécène français né en 1921 à Mesnil-sur-l'Estrée, est mort le 5 janvier 2001 à Mainvilliers ;
- Bernard Maroquin (1939- ), athlète né à Mainvilliers, spécialiste de la course de fond ;
- Victor Meutelet (1998- ), comédien.
-
Philarète Chasles, historien de la littérature et bibliothécaire de la Bibliothèque Mazarine.
-
Caricature de Ferdinand Dugué par Nadar.
-
Affiche d'Éléonore Bonnaire.
Héraldique
Voir aussi
Modèle:Autres projets Modèle:Article détaillé